Tant que c'est de la fiction, on s'en fout !
Bonjour, bienvenue dans cette fanfiction de type humour dans l'univers d'Harry Potter. Cette fiction est co-écrite avec Elza'ha (qui a écrit tout ce prologue, exceptée la première phrase). Nous ne savons pas encore si des personnages d'Harry Potter vont intervenir puisque cette fanfiction est principalement un délire.
Il volait sur son balais avec une telle aisance qu'il semblait fendre l'air sur son passage. Ses cheveux bruns paraissaient indomptables et se pliaient au gré de la vitesse impressionnante à laquelle il parcourait le terrain de Quidditch. Il sourit en se posant à terre quelques minutes plus tard. Le Quidditch était un moyen pour lui d'effacer tout ses soucis et Dieu sait que ses disputes avec sa petite amie Clara le tracassaient. Il passa frénétiquement sa main dans ses cheveux et jeta un regard vers les tribunes. Sa meilleure amie Elsa l'attendait en compagnie d'une Serpentard du nom de Tamara dans les tribunes de sa propre maison : les Poufsouffles ; mais aucune trace de Clara. Il souffla longuement avant de regagner les vestiaires, il réglerait cela plus tard. En sortant il frissonna, ses cheveux encore mouillés se glacèrent au contact de l'air froid de janvier : il fallait vite qu'il retrouve Elsa et Tamara. Pensant qu'elles devaient encore se trouver dans les tribunes il se mit a courir. Néanmoins quelque chose le freina dans sa course. Il se stoppa quand il sentit son torse - sculpté par moulte entraînement de Quidditch, heurter de plein fouet un première année Serpentard. Il ne pensa même pas à s'excuser, mais se dépêcha de l'aider a ramasser ses livres s'attendant à recevoir une remarque acerbe du Serpentard, pourtant celui ci s'excusa a son plus grand étonnement :
- Je suis désolé je ne t'avais pas vu, dit-il d'une voix timide.
- Oh non c'est de ma faute excuse-moi aussi, il marqua un temps d'hésitation, petit ? se risqua-t-il
- Héliot.
- Oui, excuse moi Héliot. Moi c'est François, François-Viktor.
Héliot ne sachant que répondre remercia François de l'avoir aidé à ramasser ses livres puis se sauva.