Disclamer : Le monde, les personnages et l'histoire ne m'appartiennent pas contrairement à la traduction !

Titre : The Heartbeat

Auteur : LadyFromPoland

Traductrice : Ange Phoenix Blodeuwedd

Bêta : Elisa, une adorable petite personne !

Résumé : À partir de l'épisode 5x13. Arthur était en train de mourir et Merlin fera n'importe quoi pour le sauver et ce, peu importe les conséquences. C'était une histoire de choix, de sacrifices et d'amour qui était au-delà du destin.

Statut de la fanfiction originale : Terminée, 30 chapitres

Autorisation : Autorisation pour toutes les fanfictions de l'auteur

Note : Le lien de la fanfiction originale et du profil de l'auteur sur le mien

Prochaine date de parution : Soit demain, soit après demain en fonction des disponibilités de ma bêta


The Heartbeat


Chapitre 1 : Quand tout espoir est parti


La fin était proche. Il était impossible de le nier. Merlin pouvait le sentir dans chaque fibre de son corps. Chaque respiration d'Arthur pouvait être sa dernière. Après tout ce que le jeune sorcier avait fait, cela allait se terminer ainsi, dans une clairière couverte par les ténèbres. Si près de la destination, mais pourtant si loin.

"Merci," chuchota Arthur avant de perdre connaissance.

Ces mots avaient déclenché quelque chose chez Merlin. Quelque chose qu'il avait failli oublier. Il appela alors Kilgharrah et lui ordonna de les emmener au lac d'Avalon. Le dragon obéit à la volonté de son seigneur, mais quand ils atterrirent près du lac, il dit au sorcier qu'il était déjà trop tard.

"Tu as accompli ton destin pour l'instant," dit majestueusement le Grand Dragon. "Arthur n'est pas seulement le roi. Il est le Roi qui Fut et qui Sera. Quand le besoin d'Albion sera le plus grand, Arthur ressuscitera."

"J'apprécie vos conseils, Kilgharrah. Je l'ai toujours fait. Mais maintenant... Je dois essayer une dernière fois. Je lui dois bien ça." Il regarda le dragon de près. La créature était vieille et il n'y avait plus beaucoup de vie en lui. "Je vous libère de vos fonctions. Je ne vous appellerai plus jamais. Vous êtes libre, mon ami."

Le dragon s'inclina devant Merlin. "Merci, jeune sorcier. Cependant, avant de partir, je dois t'avertir que la lutte contre le destin est rarement possible et peut avoir des conséquences désastreuses".

"Je sais. J'essaye de le combattre depuis longtemps. Je n'abandonnerai pas maintenant."

"Je ne l'approuve pas, mais je sais une chose. S'il y a bien un être humain capable de changer le destin, c'est toi. Au revoir, Merlin."

Le Grand Dragon s'envola.

Merlin saisit le poignet d'Arthur. Le pouls était à peine perceptible, mais il était toujours là. Tant que le cœur du roi battait, il y avait de l'espoir.

"Il faut se battre encore un peu, Arthur," murmura Merlin, bien que son ami ne l'entende pas.

Il y avait une barque au bord du lac d'Avalon. Merlin savait que ce n'était pas une barque ordinaire. Elle pouvait les emmener sur l'île des Bienheureux où tout était encore possible.

Merlin prit alors Arthur dans ses bras, le mit dans la barque et s'assit à ses côtés. Aussitôt, la barque se déplaça. Le serviteur n'avait pas besoin d'utiliser un sort ou même d'y penser. Les brumes d'Avalon les entouraient et, en un instant, ils n'étaient plus dans le monde des mortels. Ils étaient quelque part entre les deux.

"Est-ce qu'il y a quelqu'un ?" cria Merlin quand ils atteignirent le rivage de ce qui était supposé être l'île des Bienheureux mais qui n'avait pas exactement la même apparence qu'avant. "S'il vous plaît ?"

Il sortit son roi de la barque et l'allongea sur la rive.

"Que suis-je censé faire maintenant ?" chuchota-t-il en touchant doucement le visage d'Arthur. Sa peau devenait de plus en plus froide sous ses doigts. "Je suis prêt à donner ma vie pour la sienne !," cria-t-il une nouvelle fois. "S'il vous plaît, laissez-moi faire !"

"C'est impossible" entendit soudainement Merlin, comme des douzaines de murmure autour de lui.

Ils appartenaient à la fois à des hommes et à des femmes mais Merlin ne voyait personne et ne pouvait pas détecter la source de ces voix.

"C'est possible. C'est déjà arrivé. Une vie pour une vie. C'est le prix et je suis prêt à le payer."

"Votre vie est différente, Emrys," répondirent les voix à l'unisson. "On ne peut pas l'enlever ou la donner."

"Pourquoi ?" s'exclama Merlin désespérément. Il regarda son ami et il sut que bientôt, son roi serait parti. "Je ne peux pas le perdre. Pas comme ça. C'est trop tôt ! ... Je l'aime de tout mon cœur ," dit-il beaucoup plus doucement et, pour la première fois de sa vie, il comprenait parfaitement ce que cela signifiait. C'était vrai. Il n'y avait personne d'autre qu'il pouvait aimer de tout son être. "Je vous aime, Arthur."

"Amour, amour, amour, amour, amour, amour, amour, amour, amour... " répétèrent les voix après lui tel un écho.

"Si je ne peux pas lui sauver la vie, j'utiliserai Excalibur et je le suivrai dans la mort ," déclara finalement Merlin avec fermeté.

"NNNOOOOONNNN ! VOUS NE POUVEZ PAS !" hurlèrent les voix si fort que le sorcier pensait devenir sourd en cet instant. "ÇA DÉTRUIRA VOTRE DESTIN. ÇA AURA UN IMPACT SUR BIEN D'AUTRES CHOSES !"

"Ce n'est pas comme si vous pouviez m'arrêter," leur dit le serviteur. "Arthur et moi sommes les deux faces d'une même pièce. C'est mon autre moitié. Je le sais et je ne vais pas continuer à vivre sans lui."

"Attendez !" s'écrièrent les voix avec force. "S'il est en effet votre autre moitié, l'autre côté de la pièce, il y a un moyen."

Le cœur de Merlin rata un battement. Il ne voulait pas se donner de faux espoirs, mais il devait prendre cette chance, quelle qu'elle soit.

"J'écoute." Il attrapa cependant Excalibur pour leur montrer, que peu importe qui ils étaient, il était sérieux et prêt à faire ce qu'il disait.

"Ce sera douloureux."

"Ce sera dangereux."

"Une fois que ce sera fait, il n'y aura pas d'issue."

Cette fois, les voix ne parlaient pas toutes à la fois.

"Je ferai tout ce qu'il faut pour sauver Arthur," répondit-il. "Dites-moi ce qu'il faut faire."

Le cœur d'Arthur était en train d'être consumé par le poison en ce moment même, comme prédit il y avait bien longtemps.

"Il faudra du temps pour que son cœur soit complètement guéri."

"Il était destiné à se reposer ici, à Avalon, jusqu'à ce que son cœur soit prêt à battre à nouveau."

"Ce n'est pas la bonne réponse," répondit Merlin. "Comment peut-on le guérir maintenant ?"

"C'est impossible. C'est au-delà de votre pouvoir et de nos pouvoirs combinés."

Le sorcier saisit alors l'épée d'Arthur avec plus de force. "Alors quel est le chemin à suivre?" demanda-t-il. "Vous avez dit qu'il y avait un moyen. Vous savez ce que je ferai s'il meurt."

"Ceux qui sont la moitié de l'autre partagent un lien qui est à la fois une malédiction et une bénédiction."

"Le cœur d'Arthur ne peut être guéri, mais si votre lien est aussi profond que vous le prétendez, il peut survivre avec le cœur de son autre moitié."

"Quoi ? Je ne comprends pas..."

"Si vous êtes vraiment la moitié de l'autre, vous pouvez diviser votre cœur en deux et le partager avec l'autre moitié."

"C'est la magie la plus sacrée de toutes."

"La magie la plus dangereuse de toutes."

"C'est la magie elle-même."

"Comment puis-je diviser mon cœur en deux ?" demanda Merlin. "Comment Arthur peut-il survivre avec seulement la moitié de mon cœur ?"

"Il vivra aussi longtemps que vous vivrez."

"Il vous liera tous les deux pour toujours."

"Est-ce que ça va vraiment marcher ? Je sais qu'il est mon autre moitié, mais suis-je vraiment la sienne ? Il a Gwen et elle est peut-être son autre moitié." Merlin toucha sa propre poitrine, étant plus que conscient de ses battements de cœur que jamais auparavant. "Est-il possible qu'il soit mon autre moitié mais que je ne sois pas la sienne ?"

"C'est au-delà de nos connaissances."

"Que se passerait-il si je ne suis pas son autre moitié ?" demanda Merlin, même s'il pensait déjà connaître la réponse.

"Vous mourez tous les deux."

Merlin hocha la tête. C'était ce qu'il soupçonnait. Il allait mourir à la place d'Arthur ou avec lui de toute façon. C'était un choix facile.

"Dites-moi comment faire," ordonna le jeune homme.

"Agenouillez-vous devant l'autre moitié."

Merlin fit ce qu'ils lui disaient. Arthur était déjà presque mort à ce moment-là, mais Merlin était persuadé que c'était encore réversible. Après tout, ils n'étaient plus dans le monde des mortels. Ils étaient à l'endroit où, avec le temps, toutes les blessures pouvaient être guéries.

La brume autour d'eux s'épaississait, mais le sorcier s'en fichait. Tout ce qui comptait pour lui, c'était Arthur. Personne ne pouvait les séparer maintenant.

"Poussez votre main dans votre poitrine et sortez votre cœur battant."

Merlin n'avait pas peur, il fut seulement surpris quand il sentit sa main traverser la barrière de sa peau et de sa chair. C'était un sentiment très étrange, comme s'il mettait sa main dans l'eau mais de manière plus intime. Ainsi, il saisit son propre cœur d'une main tremblante et, d'un geste rapide, l'arracha.

Il regarda son propre cœur battre avec espoir dans sa main. C'était la chose la plus étrange qu'il avait vécue de toute sa vie. Mais il devait être courageux pour Arthur et pour toutes les choses qui allaient se dérouler par la suite.

"Faites de même avec le cœur d'Arthur."

Cette fois, le jeune brun était un peu plus hésitant, mais il ne connaissait pas d'autre moyen. Il enfonça alors sa main dans la poitrine de son roi et elle traversa sa peau aussi doucement que précédemment. Merlin n'avait aucune idée de quelle magie il s'agissait, mais elle devait de toute évidence être très puissante.

Le cœur d'Arthur battait à peine. Merlin pouvait sentir un faible pouls en il lui arrachant le cœur, mais quand il le sortit, le battement n'était plus là. Le cœur lui-même était sombre, comme s'il était déjà mort.

"Que dois-je faire du cœur de mon roi ?" demanda Merlin vaguement. Il lui était très difficile de regarder l'organe malade qui était autrefois fort et en bonne santé.

"Mettez-le dans les eaux d'Avalon."

"Cela peut prendre beaucoup de temps, mais ses eaux le guériront."

Une fois de plus, Merlin suivit les instructions des voix. Il se sentait très peu sûr de lui. Il ne savait pas à qui il s'adressait, mais il savait qu'il n'avait pas d'autre choix. Même si les chances de survie d'Arthur étaient minimes, il devait prendre le risque. Il devait cela à Arthur et il ne se souciait pas de ce qui lui arriverait à lui-même ou au reste du monde par la suite. C'était égoïste d'une certaine manière, c'était très étrange, mais il n'y avait rien dans les mondes mortel et immortel que Merlin ne ferait pas pour Arthur. C'était insensé, mais c'était la vérité. Merlin en était tout à fait conscient.

Le cœur d'Arthur se fit lentement submerger par les eaux profondes du lac d'Avalon. Merlin le regarda jusqu'à ce qu'il soit complètement avalé par l'obscurité.

"EMRYS," appelèrent toutes les voix en même temps.

"Fendez votre cœur en deux."

"Vous ne pouvez pas hésiter."

"Vous devez en être certain."

Merlin observa de près son propre cœur. Il semblait impossible de le partager avec une autre personne. Cependant, c'était Arthur. Il faisait des choses impossibles pour son roi depuis des années. Il n'allait pas douter maintenant.

Il mit alors ses mains autour de son cœur. Puis il prit une profonde respiration et enfonça ses doigts dans sa propre chair battue et fit un geste rapide pour la déchirer.

À sa propre surprise, tout se passa très bien. Il n'y eut pas de résistance, seulement une petite douleur dans sa poitrine vide.

C'était définitif. Il tenait deux moitiés de son cœur qui battaient encore fortement.

"Il faut pousser les deux moitiés en même temps dans vos poitrines," annoncèrent les voix.

"Ensuite, vous devez sceller le pacte et ce sera fait."

"Sceller comment ?" demanda Merlin. Comment pourrait-il savoir comment sceller un tel pacte. Il n'y avait rien sur ce genre de magie dans tous les livres qu'il avait lus.

"Vous devez embrasser votre autre moitié."

Les deux moitiés de son cœur frissonnaient à ces mots. Merlin les observa, puis il regarda autour de lui, cherchant ceux qui étaient invisibles. Il ne s'attendait pas à une telle réponse. Cependant, il était plus choqué qu'effrayé par ce qu'il allait faire.

"Est-ce vraiment nécessaire ?" demanda-t-il, bien qu'il connaissait déjà la réponse. Cela lui semblait logique, mais son bon sens pas si commun que cela l'obligeait à se battre pour ce qui lui restait de son auto préservation.

"Le pacte doit être scellé par un baiser."

"C'est essentiel."

"Sinon, le cœur ne se mettra pas à battre dans la poitrine de votre autre moitié."

Merlin hocha la tête, plus pour lui-même que pour les autres. Il essaya de se convaincre qu'un petit baiser ne pouvait pas faire beaucoup de mal. Une fois que ce serait fait, il serait capable de l'oublier. Arthur n'allait pas s'en souvenir après tout. Comment pourrait-il, alors qu'il était sur le point de mourir ? Du moins, Merlin espérait que cela finirait comme ça.

"Je le fais pour vous, Arthur," chuchota Merlin. "Seulement pour vous."

"Et un peu pour toi-même ," pensa-t-il, mais il décida de rejeter cette pensée instantanément.

Ayant dans chacune des mains une moitié de son cœur, il s'agenouilla aux côtés d'Arthur. Il tint sa main gauche au-dessus de sa propre poitrine et la main droite au-dessus de celle d'Arthur. Il y avait tellement de choses qui lui traversèrent l'esprit en ce moment même, mais il ne s'y attarda pas. Il ferma légèrement les yeux pour se séparer de tout ce qui l'entourait, pour se donner du courage. Puis il poussa ses mains dans sa poitrine et dans celle d'Arthur et comme avant, il n'y eut pas eu de résistance. Sa magie l'avait guidé pour qu'il puisse mettre les moitiés aux bons endroits.

C'était incroyable de sentir la moitié de son propre cœur battre dans la poitrine d'Arthur, juste sous le bout de ses doigts. Il se sentait comme s'il pouvait passer le reste de sa vie à explorer cette sensation étonnante. Il semblait que son corps et celui d'Arthur allaient rester unis pour toujours. Et il souhaita que ce soit vrai.

Merlin enleva aussitôt ses mains, réalisant qu'il ne servait à rien de s'attarder sur certains de ses fantasmes. Il y avait encore le monde réel qu'ils pouvaient explorer.

Il posa son regard sur Arthur, mais sa poitrine ne bougeait toujours pas. Le roi ne respirait pas. Merlin paniqua, mais il réalisa quelque chose : le pacte n'était pas encore scellé.

Il posa donc sa main sur la poitrine d'Arthur, ne sentant aucun battement de cœur, et se pencha sur son ami. On ne pouvait nier qu'il était nerveux. Cependant, il ferma les yeux et posa ses lèvres sur celle d'Arthur dans un doux baiser.

Merlin ne pouvait toujours pas sentir le battement sous le bout de ses doigts, ce qui le faisait paniquer davantage. Il commença à craindre que lui et Arthur n'étaient peut-être pas la moitié de l'un pour l'autre. Peut-être que tous ces efforts et cette humiliation étaient vains.

Cependant, Merlin ne voulait pas lâcher prise. Il mit sa main droite sous la tête d'Arthur, changeant légèrement sa position et pressant ses lèvres plus fort sur celles d'Arthur. Il bougea ses lèvres avec force, réussissant finalement à faire entrer sa langue dans la bouche d'Arthur. Il était désespéré et si c'était la dernière chose qu'il allait faire dans sa vie, il allait le faire correctement.

Soudain, Merlin ressentit quelque chose. Pendant un court instant, il pensa qu'il l'avait imaginé, mais il le ressentit à nouveau. La moitié du cœur d'Arthur commençait à battre lentement dans sa poitrine et la langue d'Arthur commençait également à caresser la langue de Merlin.

Merlin se laissa aller à la joie pendant encore quelques secondes, embrassant Arthur avec passion, mais il vit le visage de Gwen dans son esprit et s'éloigna brusquement.

Il ouvrit les yeux et vit qu'Arthur était toujours inconscient, mais cette fois sa poitrine bougeait de manière régulière. Merlin regarda autour de lui et se rendit compte que le mystérieux brouillard avait disparu et qu'ils se trouvaient sur l'ile du Bienheureux qui ressemblait exactement à ce dont il se souvenait. Ils n'étaient plus à Avalon. Ils étaient de nouveau dans le monde des mortels.

Merlin s'agenouilla aux côtés d'Arthur et toucha tendrement sa joue. Elle était à nouveau chaude et avait une couleur saine.

"Arthur," chuchota-t-il en caressant sa joue.

Le roi ouvrit légèrement les yeux et sourit "Mer... Merlin..." dit-il doucement.

"Ne dites rien," ordonna le sorcier. "Tout va bien, tout va bien. Vous devez vous reposer maintenant."

"Merlin..." chuchota son roi en fermant les yeux.

"Vous avez besoin de dormir," dit le brun. "Je vous garderai en sécurité."

Arthur finit par se rendormir. Merlin s'allongea alors à ses côtés et saisit le poignet de son roi, vérifiant son pouls. Il savait qu'Arthur était en sécurité maintenant, mais il ne pouvait pas s'en empêcher. Il avait besoin de plus de temps pour y croire pleinement.

Le soleil brillait sur eux, les gardant au chaud. Merlin regardait Arthur dormir pendant un long moment. Et à sa propre surprise, il ne se sentait pas très fatigué. Il savait qu'il n'allait pas pouvoir se reposer correctement tant qu'il ne serait pas à Camelot.

Il pensa alors au baiser et à la trahison qu'il avait ressenti en se souvenant du visage de Gwen. Il savait que c'était nécessaire et il ne regrettait rien.

Avec le temps, tout allait revenir à la normale. Il voulait vraiment le croire.


Voici le premier chapitre de ma première traduction - du moins, d'une fanfiction à chapitre -

On se retrouve donc, très prochainement avec la suite, en espérant que ça vous plaise.

Et n'oubliez pas, écrire des reviews, c'est bon pour la santé ! - Surtout pour l'auteur -

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