KINKY KLINK, OR CLINGY KINKS


Solitude


Carter fixait les planches grossières de la baraque. Il faisait nuit et il pouvait entendre la respiration de ses camarades autour de lui. Il y avait celle sifflante de LeBeau, le ronflement régulier de Kinch. Il pouvait même distinguer la silhouette de Newkirk, qui remuait légèrement dans son sommeil. Il avait peut-être un peu de mal à trouver le sommeil, mais son esprit était occupé à comprendre un paradoxe. Alors qu'il tournait dans son lit en essayant de trouver le sommeil et de ne pas trop faire grincer les planches, il ressentait quelque chose d'étrange.

Entouré par ses camarades au quotidien, il se sentait seul.