... Disons que ce Two-Shot (ou Three-Shot, je ne suis pas encore certaine) est un peu ma version de ce que pourrait être la cosmologie de Naruto. Parce que je trouvais ça dommage de ne pas plus développer un personnage comme Kaguya, et par rapport à son nom, j'ai complètement sauté sur l'occasion de la relier au conte originel (dont la version des Studio Ghibli respecte énormément l'original avec quelques petits détails développés) et, aussi, afin d'y ajouter une petite théorie personnelle sur le clan Uzumaki que j'apprécie bien...

Bref, sur ce, je vous souhaite une bonne lecture !

Disclaimer : Non, pas vraiment. Sinon j'aurais fait un parallèle entre Kaguya et celle du conte de la Princesse Kaguya.


Première partie : L'ermite Rikudô et le conte de la Princesse Kaguya.

« Merci de m'aider, Shizune-san. Je sais que tu dois être occupée, avec tout ce qui se passe en ce moment et...

— Ne t'en fais pas, Naruto-san. Cela ne me dérange pas de t'aider, au contraire. »

Bien qu'elle tentait de lui assurer qu'il ne la dérangeait pas, Naruto ne pouvait que se sentir gêner. Il demandait à Shizune de l'aide pour une tâche aussi basique alors qu'elle devait avoir de meilleures choses à faire en ce moment, avec toutes les responsabilités qui lui étaient tombées dessus ces derniers jours...

La destruction de Konoha était une tragédie sans nom, quand bien même il n'y avait pas eu de victimes graves, comme de nombreuses personnes mortes. En fait, c'était pratiquement un miracle – du moins aux yeux des autres nations ninjas qui avaient apprises la nouvelle sur l'anéantissement du village du Pays du Feu – qu'il n'y ait pas eu de blessés.

Ce miracle portait deux noms : Tsunade et Nagato. Tsunade qui avait épuisé tout son chakra pour protéger les siens de la mort de la Répulsion Céleste du Pain Tendô – sur lequel Naruto put le mettre le nom du défunt Yahiko, un acteur principal involontaire de l'Akatsuki – et Nagato qui, plaçant sa foi en Naruto, s'était sacrifié pour faire revenir à la vie tous ceux qui étaient morts par sa faute.

Naruto ne pensait pas cela possible mais, par les récents évènements, il sentait que son esprit et ses convictions avaient encore changé. Désormais, il était encore plus déterminé à amener la paix dans le monde shinobi, pour que plus jamais lui – ou quiconque d'autre – n'ait à assister à des tragédies aussi terribles que de voir ses proches – comme Gaara-kun, Jiraya-sensei, Kakashi-sensei ou Hinata-chan – mourir sans qu'il ne puisse les sauver.

Voilà pourquoi, après la destruction de Konoha, alors que tous travaillaient à rénover leur village bien aimé, Naruto faisait des recherches sur un moyen d'amener la paix. Il se sentait mal à ce propos – à ne rien faire de bien important dans l'immédiat, préférant chercher Shizune dans une des nombreuses tentes disséminées partout pour parler avec elle, alors que ses amis et ses proches œuvraient tant à redresser Konoha – mais il savait aussi que ce qu'il faisait n'était pas inutile – et puis de toute manière, il se consolait en se persuadant que ses clones, qu'il avait envoyé aux quatre coins de ce qui restait du village, aidaient du mieux qu'ils pouvaient.

Certes, il pourrait faire des recherches plus tard. Mais depuis sa confrontation avec Nagato et leur discussion autour de la paix – notamment celle imaginée par leur défunt maitre – il se sentait presser de trouver une solution. D'autant plus qu'il en avait fait la promesse. Et, toujours profondément troublé par tout ce qui s'était passé récemment, il se sentait plus motiver que jamais à la tenir. Il se refusait à la laisser s'étendre sur le long terme, pour finalement être incapable de la réaliser, comme une autre qu'il avait fait, il y avait déjà plus de trois ans – ou était-ce déjà quatre ans ? – de cela, à Sakura...

Un soupir venant de Shizune le fit sortir de ses pensées. Il offrit un sourire compatissant à la jônin épuisée devant lui, qui avait aimablement acceptée de l'aider.

« Désolée Naruto-san, je suis un peu fatiguée ces derniers temps... Qu'as-tu dit que tu cherchais déjà ? demanda Shizune d'un ton las.

— Ce n'est rien, je comprends, Shizune-san. Je cherche des renseignements sur un certain ermite dont Nagato-san m'a parlé.

— Nagato-san ?

— C'est le nom de celui qui était dernière les Pains... Il s'appelait Nagato-san. C'était l'ancien disciple de... de Jiraya-sensei. »

Naruto se tut un instant, ces paroles lui tordant et nouant l'estomac à l'évocation de ces souvenirs – qui étaient, surprenamment, moins douloureux à évoquer en présence de Nagato lui-même, probablement dans le feu de l'action.

Il fut heureux que Shizune n'insiste pas, probablement en remarquant sa réaction. Finalement, Naruto se reprit et continua :

« Nagato-san a évoqué un ermite auquel Jiraya-sensei le comparait parce qu'il possédait aussi le Rinnegan, continua-t-il. C'était un homme qui était considéré comme le sauveur du monde et qui était parvenu à apporter la paix partout. Il a dit qu'il s'appelait l'ermite ri... euh... ridoku ?... arg, je m'en rappelle plus, ttebayo ! »

Il passa nerveusement ses mains dans ses cheveux, agacé d'avoir oublié un élément si important – qui, pourtant, lors de sa discussion avec Nagato, lui paraissait assez insignifiant. Ce n'était vraiment pas le moment d'oublier ça ! Comment Shizune pouvait-elle l'aider s'il ne se rappelait même plus du nom de celui qu'il cherchait ?

« Naruto-kun, est-ce que par hasard tu parles de l'Ermite Rikudô ?

— C'est... c'est ça ! s'écria aussitôt Naruto, avant de froncer les sourcils. Attends une seconde... tu le connais ?

— De nom, oui. J'ai fait quelques recherches à son sujet, pour Tsunade-sama lorsque nous faisions des informations sur Pain.

— Alors j'ai bien fait de te demander de l'aide ! déclara Naruto en souriant. J'ai essayé d'en parler à Iruka-sensei, comme il est enseignant à l'Académie mais même lui, ça ne lui disait pas grand-chose... Alors, comme c'est Jiraya-sensei qui en a parlé à Nagato-san, je me suis dit que peut-être Tsunade-obaasan en saurait quelque chose elle aussi. Mais comme elle est... »

Il ne termina pas sa phrase. Là où parler de Jiraya lui faisait mal, il savait que la situation de Tsunade n'était pas mieux pour Shizune : avec sa maitresse dans le coma, cela devait aussi être un sujet sensible pour Shizune. En tant qu'élève de Sannin, il ne pouvait que la comprendre et compatir. Lui-même s'inquiétait beaucoup pour la santé de Tsunade...

Il aperçut brièvement Shizune baisser les yeux, perdue dans ses pensées – qui concernait Tsunade, cela ne faisait aucun doute – avant qu'elle ne se ressaisisse à son tour et dise :

« L'Ermite Rikudô... Que veux-tu savoir exactement sur lui ?

— Tout ce que tu peux me dire à son sujet. Je crois que Jiraya-sensei a dû m'en parler quelques fois mais... je l'aie toujours d'une oreille distance... avoua Naruto d'un air gêné.

— Eh bien... Bon, comme tu le sais déjà, il était considéré comme le sauveur du monde parce qu'il était parvenu à amener la paix dans le monde. Il est aussi le premier homme à avoir maitrisé, pour ensuite l'enseigner au reste du monde, le ninshû.

— Le ninshû ? répéta Naruto en fronçant les sourcils. Qu'est-ce que c'est ?

— La maitrise du chakra. Apparemment, il s'agit plus d'une philosophie visant à réunir les hommes qu'autre chose. D'ailleurs le ninjutsu en est un dérivé, porté sur une utilisation plus physique, en s'en servant comme une arme.

— Attends, ça veut dire que le ninjutsu en est complètement l'opposé ? devina Naruto.

— C'est cela. Personne ne sait exactement comme le ninshû fonctionne mais, selon Jiraya-sama et Tsunade-sama, c'était effectivement la pratique du chakra qui permettait la compréhension et la cohabitation pacifique entre les hommes.

— Comment est-ce possible ?

— Ça, je ne saurais pas te le dire, désolée...

— Ce n'est pas grave, ttebayo ! C'est déjà vraiment beaucoup. Tu as autre chose concernant cet ermite ?

— Mmh... eh bien, il est apparemment lié à Kaguya-hime mais je ne me rappelle plus vraiment de quelle manière.

— Kaguya-hime ? » répéta Naruto.

Qu'est-ce c'était que ça ? Ni Nagato, ni son maitre, n'avaient mentionné cette princesse. Et pourtant, Naruto sentit que ce nom ne lui était pas inconnu. L'air perplexe que lui lança Shizune ne fit que lui confirmer cette impression.

« Tu ne connais pas le conte de Kaguya-hime ?

— Cela me dit quelque chose, admit-il.

— C'est un conte assez courant, pourtant... C'est la fille qui a été découverte dans la coupe d'une canne de bambou reluisante.

— Dans une canne de bambou ? C'est bizarre ! Attends une seconde... ah oui, je m'en rappelle maintenant, ttebayo ! »

Oui, il s'en rappelait : c'était un des plus vieux – si ce n'était pas le plus vieux – des contes connus. Il racontait l'histoire d'une fille – appelée Kaguya-hime – qui, découverte comme un minuscule bébé dans un étrange bambou luisant, fut recueillie et adoptée par un coupeur de bambou et sa femme. Par la suite, le coupeur de bambou avait trouvé, en faisant le travail que son nom indiquait, de l'or dans un bambou et était devenu riche.

Kaguya-hime, qui devenait une sublime jeune femme, attira l'attention de cinq richissimes princes qui demandèrent sa main. Elle les piégea en leur demande de leur ramener des présents inexistants, à cause de métaphores exagérés qu'ils lui avaient tous fait – et qui concernaient des trésors tels qu'un bol de pierre utilisé par un Kami lui-même, un joyau précieux d'un dragon, ou encore un tissu sacré qui ne pouvait prendre feu. Bien sûr, ils tentèrent tous – du moins les trois premiers, le quatrième ayant renoncé et le cinquième étant mort – de se jouer d'elle, notamment en apportant des contrefaçons des présents demandés ou en tenant de l'amadouer et la manipuler par de doux mots. Mais tous échouèrent.

Puis un empereur lui-même vient demander la main de la jeune femme, qui refusa. Mais l'empereur ne renonça pas et continua d'insister, ce qui causa le malheur de la princesse qui avait de plus en plus de mal à supporter ses incessantes demandes, au grand drame de son père qui voulait la marier avec l'empereur – y voyant le meilleur parti possible pour le bonheur de sa fille.

Ainsi, désemparée, elle se rendait chaque soir dehors et observait la lune, pleurante et suppliante pour que cela cesse. Puis un jour, elle annonça à ses parents qu'elle devait partir : elle devait rejoindre les siens, sur la lune, après que ces derniers aient entendu ses appels à l'aide et décidé de la ramener. Elle leur expliqua aussi qu'elle était venue ici après avoir demandé aux siens de la laisser se rendre dans ce monde, souhait qu'ils lui accordèrent, notamment pour qu'elle se rendre compte de l'erreur qu'elle faisait en voulant découvrir ce monde que, pourtant, tous lui déconseillaient parce que dangereux et nuisible pour elle. C'était une manière de la punir, de lui faire comprendre son erreur, pour qu'elle ne le désire plus.

Sauf que la princesse s'était attachée à ce monde, malgré les mauvais souvenirs qu'elle pouvait en avoir gardé. Pourtant elle acceptait le fait qu'elle devait rentrer chez elle. Elle s'était résignée à cela. Mais ses parents adoptifs, qui l'aimaient follement comme si elle était d'eux, ne voulaient pas la voir partir et, à l'entente de sa tristesse à l'idée de devoir s'en aller, ils s'organisèrent pour défendre le palais et empêcher à quiconque d'emmener leur princesse.

Ainsi arriva le jour où Kaguya-hime devait être ramenée sur la lune par les siens. Alors que les gardes, à l'approche des étrangers venus de la lune qui apparurent devant celle-ci sur des nuages, envoyèrent des flèches qui se transformèrent en fleur, presque tous s'endormirent. Sauf les parents adoptifs de Kaguya-hime qui la virent, impuissants, partir en la compagnie des habitants de la lune.

Mais alors qu'elle s'apprêtait à partir avec les siens, Kaguya-hime ressentie une forte tristesse à l'idée de quitter ses parents adoptifs et hésita, souhaitant leur dire adieu. À ce moment, on la vêtit d'une étrange robe de plumes, qui lui fit oublier tout souvenir de son passage dans ce monde et Kaguya-hime, ayant perdu ses souvenirs, et donc les sentiments qu'elle aurait pu ressentir en compagnie de ses parents adoptifs et de ceux qui lui étaient chers, partie avec son entourage céleste sur la lune sans un regard en arrière.

C'était un beau conte, bien qu'empli de tristesse et qui – du moins selon Naruto – ne se finissait pas bien, mais vraiment pas, puisque revêtit la princesse d'une robe de plumes qui lui faisait perdre tout souvenir et sentiments envers ses parents adoptifs était une solution horrible pour la forcer, contre son gré, à partir.

« Mais quel rapport avec l'ermite Rikudô ? demanda Naruto, complètement perdu.

— Eh bien... Selon certaines rumeurs, le nom de l'ermite Rikudô serait Ôtsutsuki, expliqua Shizune.

— Ôtsutsuki ? répéta Naruto.

— Oui. Cela signifie Grand Arbre Bambou. Kaguya-hime vient d'un bambou, celui où le coupeur de bambou l'a découvert. De plus, toujours selon des rumeurs, le prénom de l'ermite Rikudô est Hagoromo, qui veut dire...

— Robe de plumes... conclua Naruto en hochant lentement la tête, les pièces du puzzle se rassemblant dans son esprit. C'est sûr que ça fait beaucoup trop de liens pour que ça soit une coïncidence... Mais je ne vois toujours pas le rapport...

— Moi non plus, admit Shizune en soupirant. D'ailleurs, j'avoue ne pas avoir cherché plus loin. Je sais juste que certains en ont conclu que l'ermite Rikudô serait la réincarnation de Kaguya-hime qui, s'étant souvenue de ses parents, aurait cherché un moyen de revenir dans le monde ses parents adoptifs. Une fois y être parvenue, ayant remarqué les guerres qui y faisaient rage, elle a tenté de trouver une solution pour y mettre fin et protéger le monde qu'elle avait apprise à aimer, et ce grâce à ses pouvoirs en tant qu'habitante de la lune, et donc la maitrise du chakra.

— Tu penses que c'est plausible ?

— Je n'en pense pas beaucoup, en fait... Si tu veux mon avis, l'ermite Rikudô s'est contenté de prendre un prénom et un nom en référence à ce conte. Enfin, à supposer qu'Hagoromo Ôtsutsuki soit vraiment son nom, déjà. Et...

— Shizune-sama ! »

Un ninja apparut dans la tente. Il paraissait paniquer.

« Sakura-senpai réclame votre aide. Apparemment, c'est urgent.

— Bien, j'arrive, déclara l'assistante de Tsunade. Désolée Naruto, mais nous allons en finir là.

— Pas de problème, déclara l'Uzumaki en souriant. Merci de ton aide, Shizune-san. »

Après que la jônin médecin ait quitté la tente, Naruto, n'y trouvant rien à faire, la quitta à son tour, perdu dans ses pensées suite à cette conversation.

Naruto devait admettre que l'hypothèse de Shizune était plausible. Après, il ne voyait pas vraiment l'intérêt de vouloir porter un nom pareil juste pour être raccord avec un conte mais il était assez mal placé pour en parler avec son prénom qui était tiré d'un livre de son maitre.

Oui, peut-être que l'explication était aussi simple que ça : l'ermite Rikudô avait choisi un nom et un prénom en rapport avec un personnage célèbre de leur folklore. Mais cette hypothèse, aussi simple et logique soit-elle, était aussi triste : cela faisait qu'il était de retour à la case départ en ce qui concernait des informations sur l'ermite Rikudô. Parce que, pour l'instant, tout ce qu'il avait compris, c'était que l'homme célèbre était à l'origine du Ninshû, l'ancêtre de toutes les maitrises de chakra du monde.

Et ensuite ? Plus rien. Il ne savait toujours pas pourquoi l'ermite Rikudô était le premier à maitriser le chakra, pourquoi il avait voulu l'enseigner au monde pour que la paix règne, d'où il venait... rien d'autre, sauf un prénom et nom peut-être factices. C'était assez décevant à imaginer si l'on partait du principe que son prénom et son nom n'avaient rien de particulier sauf une référence.

Après, il ne savait pas s'il aurait été plus avancé en sachant qu'il avait peut-être un lien avec Kaguya-hime. Ce n'était qu'un conte. Qu'est-ce qu'il pouvait bien y trouver comme indice, dans ce conte ?

Naruto réfléchit. Quel pouvait bien être le lien entre l'ermite Rikudô, sauveur du monde et premier à maitrise le ninshû, et une princesse extra-terrestre venu de la lune ?

Naruto s'arrêta brusquement. Il cligna des yeux et leva les yeux au ciel.

« La lune, hein ? »

Il venait peut-être de trouver une piste. Il allait se rendre à un endroit qu'il avait déjà visité auparavant, durant l'entrainement avec son maitre pendant ses trois ans d'absence : Tsuki, le village caché de la Lune.

Peut-être que ses réponses se trouvaient là-bas.


J'adore écrire le mot « Hime », cela me rappelle sans cesse Mononoke-Hime (le film de Miyazaki), dont je suis une très grande fan (autant du film que de la musique). Quoi, vous vous en moquez ? Bon, d'accord. Eh bien, pour une information plus importante et utile, sachez que, concernant le conte de Kaguya-hime, j'en ai fait un petit mélange entre le conte de base et la version des studios Ghibli (notamment parce que je connais le conte de base par le biais d'internet, mais que je n'en possède aucune version). Bon, ce n'est pas très visible et ça ne change pratiquement rien à l'histoire d'origine, mais voilà, c'était juste pour l'annoncer...

Et concernant le village de Tsuki... Vous devez être confus. Mais pas de crainte, je vais vous faire un bref résumé ! Tsuki est un village qui apparait dans le jeu Naruto Shippuden (eh non, je ne l'ai pas inventé !) : Ultimate Ninja Heroes 3. Les détails sont expliqués dans la partie suivante, mais sachez juste que le personnage de Tsukino et le village de Tsuki sont des évènements du jeu. Évidemment, vous n'avez besoin d'en savoir grand-chose : tout est expliqué dans l'O.S (T.S du coup ?) et de toute manière, j'y change beaucoup d'éléments.