N/A: Bonjour à tous ! Me revoilà avec une nouvelle fic sur l'univers de One Piece. Cette fois ci, je m'attaque à un autre équipage qui est de taille puisqu'il s'agit de l'équipage de Big Mom ! Gros challenge ! Ayant lu le dernier manga qui est sorti, j'ai craquer pour l'un des ses fils. Sa prime est de plus de 1 milliard de Berry's, c'est un général sucré, j'ai nommé : Charlotte Katakuri ( dans le manga c'est Dent de Chien mais j'ai préféré gardé le nom original bien que dans ma fic je raccorde les deux en disant que Katakuri veut dire Dent de Chien, bien que je suppose que la traduction n'est pas la bonne). Cela vous permettre cher lecteur de patienter jusqu'au prochaines aventure d'Aurore et Kidd. Je vais essayer de m'écarter de mon personnage d'Aurore bien que mon personnage aura quelque similitude avec elle. Grande différence, mon personnage est bien une humaine à cent pour sang et qu'elle est amnésique en ce qui concerne son passé ! Malgré qu'elle est un don, une sorte de sixième sens et des des yeux hors normes, ce qui est le cas de la plupart des personnages de One Piece, elle n'a pas manger un fruit du démon. Voilà c'est tout ce que je peux vous dire là dessus. Ah si ! J'oubliais, le contexte de l'histoire se déroule bien avant l'arc Tougato, donc désoler mais pas de Luffy, pas de Bege. Désoler pour ceux qui attendaient notre fameux Chapeau de Paille. Sur ceux bonne lecture et on se retrouve en bas.

Prologue

Flash Back...

Tout commence sur une île dans le Nouveau Monde, où le climat était composé de deux saisons : été et hiver. Le premier durait pratiquement 8 années tandis que le second ne durait que 2 années. Composé de plusieurs villages éloignés les un des autres par une flore qui ressemblait à une forêt banal sur une partit de l'île tandis que de l'autre côté elle se rapprochait plus d'une forêt tropicale. La faune aussi par était aussi unique que la flore. Adapté selon leur environnement dans lequel ils vivaient. Tous le monde essayait de cohabiter malgré le climat, cela n'empêcha pas des petits incidents.

Pour autant, un jour alors que l'hiver était là, une tragédie se produisit. Caché dans la partit banal de la forêt un manoir luxueux fut la proie des flammes. A l'intérieur, une fillette d'à peine 10 ans cherchait désespérément ses parents.

- Maman ! Papa ! Où êtes vous ?

Malgré les flammes, elle continua de chercher ses parents. Faisant fit de la fumée qui s'infiltrait dans sa gorge, de la cendre qui la fit pleuré, des flammes lui chauffant la peau telle la langue d'un serpent qui la lui léchait, la fillette continua de chercher. Dans ce chaos, elle pouvait entendre les cris d'agonies de plusieurs personnes. Les domestiques ? Elle ne savait pas. Voyant l'immense, escalier, elle y grimpa évitant de justesse une poutre qui rongée par le feu tomba manquant d'écraser l'enfant. Courant, elle hurla aussi fort que pouvait sa petite voix :

- MAMAN ! PAPA !

Au détour d'un couloir, elle crut entendre son nom être appeler mais à cause du bruit des flammes, elle ne put en être sur. De plus à qui appartenait cette voix ? A son père ? A sa mère ? La fillette ne put la reconnaître. Continuant sa course, elle vit quelqu'un, un homme mais elle était pas sur. Étais ce son père ? Elle l'appela :

- PAPA !

La silhouette s'arrêta comme si la personne avait reconnut l'enfant avant de prononcer son nom. Bien entendu, elle ne l'entendit pas comme elle ne vit pas la personne. C'était comme si quelque chose rendait flou l'homme, le rendant non identifiable pour la fillette. Étais ce à cause du feu, de la fumée qui narquoise voulait masqué l'homme pour faire oublier ce souvenir à une enfant innocente ? En tout cas une chose était sur, la fillette voulut s'approcher quand elle se stoppa net. Quelque chose avait giclé sur son visage. Quelque chose de poisseux, de collant que l'enfant eut du mal à enlever. Réussissant à retrouver partiellement la vue, elle remarqua que l'homme avait disparut. Où était il ? Qu'es ce qui avait gicler sur son visage ? Pleurant de nouveau, elle hurla de nouveau :

- MAMAN ! PAPA !

Encore, encore et encore ! La fillette cria pour que ses parents viennent la retrouver. Qu'ils lui disent de se réveiller car elle était en train de faire un mauvais rêve. Que tout ceci n'était qu'un vilain cauchemar ! Seulement voilà, ce n'était pas un cauchemar ! Tout en continuant de pleurer, l'enfant ne vit pas une ombre menaçante venir vers elle quelque chose dans sa main droite. Lorsque cette main se leva sur l'enfant, une détonation se fit entendre. Puis soudain, la fillette sentit le sol se dérober sous ses pieds. Elle avait l'impression de voler, elle entendit des halètements avant d'ouvrir les yeux. Une femme était en train de la porter contre elle courant pour la sauver. D'autres bruits se firent entendre.

Soudain, l'enfant sentit l'air froid lui mordre les joues. Comment c'était elle retrouver dehors si vite ? Elle sentit qu'on la posait au sol couvert de neige et que celle qui l'avait porter se mit à sa hauteur, posant une main sur sa tête lui caressant les cheveux avec douceur. Pour autant, le visage de cette femme restait flou devant l'enfant. Pourquoi n'arrivait elle pas à voir cette femme correctement ? Pourquoi ? De plus la voix de celle -ci sonnait comme déformé aux oreilles de l'enfant. Elle savait qu'elle connaissait cette voix. Elle en était sur ? Étais ce sa mère ? Sa sœur ? Ou encore une domestique ? Impossible pour elle de mettre un nom ou un visage sur cette voix qui lui chuchotais des mots doux entre coupées de sanglots. Pourquoi cette femme pleurait elle ?

- Je suis désolée...vraiment désolée...pardon ma chérie...

Ma chérie ? Serais ce sa mère ? Alors pourquoi ne pouvait elle pas voir son visage nom d'un chien ? Pourquoi lui dire qu'elle était désoler. Tout ce mélangeait dans la tête de l'enfant qui essayait tant désespérément de mettre un vissage et une voix sur cette inconnue. Soudain des bruits de pas se firent entendre ainsi que des clameurs tels que :

- Les voilà !

- Vite rattrapons les !

- Elles doivent pas nous échapper !

La femme inconnue tourna la tête derrière elle avant de reporter son regard vers l'enfant qui paniquait. Lui déposant un baiser sur son front, la femme posa ses mains sur ses épaules frêles qui tremblait de froid, elle lui dit d'une voix assurer :

- Cours ! Va te cacher dans les bois ! Ne te retourne surtout ! Ne les laisses pas t'attraper !

- Mais...

- ...va te rejoindre mon cœur. Ne t'en fait surtout pas ! Va maintenant !

La fillette fit ce que la femme lui ordonna de faire. Pourquoi n'avait elle pas entendu le premier mot qu'elle avait prononcer ? Pourquoi ? L'enfant ne le sut pas puisqu'elle courut aussi vite que ses petites jambes le pouvait. Malgré la neige qui la glaçait à chaque pas qu'elle faisait, la fillette continuais de courir sans se retourner comme l'inconnue le lui avait dit. Les branches des arbres lui fouettais le corps, les jambes, les bras, le visage mais elle continuait de courir. Elle se demandait si la femme la suivait. Qui était elle ? Cette question obsédait l'enfant qui à un moment se prit les pieds dans un branche la faisant tomber au point qu'elle déboula pendant un moment. Durant sa chute, le sol l'égratigna, des petits cailloux s'enfonçaient dans sa peau. Elle avait mal, très mal. Puis soudain, sa tête cogna contre quelque chose. Ce fut les ténèbres, la neige la recouvrit tel un manteau froid et glacé puis...

Fin du Flash Back

Se réveillant en sursaut, couverte de sueur, une jeune femme haleta pendant un moment. Tournant la tête à droite puis à gauche, elle se demandait où elle se trouvait avant de reprendre ses esprits. Se passant la main sur son visage, elle murmura :

- Encore ce maudit rêve ! Pourquoi, je ne rappelle plus de rien ? Pourquoi je n'arrive pas à voir leurs visages ? Ou a entendre leur voix ? Rhaaa !

La jeune femme donna un coup dans le mur qui se fissura à cause de l'impact. Enlevant la couette d'un air rageant, elle se leva pour aller poster devant la fenêtre qui laissait entrer les rayons de la pleine lune. Une fois devant, elle croisa les bras sur son torse, pour observer le paysage plongé dans la nuit. Elle ne portait juste qu'un t-shirt et un short en flanelle comme pyjama mais elle n'avait pas froid vu qu'il s'agissait d'une île au climat chaud. Elle observa le ciel nocturne pendant un bon moment avant de voir l'heure afficher sur un réveil poser sur sa table de nuit :

- 2h00 du matin ! Putain ! Pourquoi ce maudit rêve ne me laisse -t-il pas dormir ? Enfin, j'ai pas sommeille donc autant en profiter pour aller s'entraîner un peu dehors. Caleb ma m'incendier demain mais bon quand il faut y aller, faut y aller.

S'écartant de la fenêtre la jeune femme troqua son pyjama contre une tenue un peu approprier composé d'un débardeur kaki, un short en toile, des ranger, de lunette de soudure comme bandeau suivit d'une sacoche verte foncé et comme arme, elle se munit d'un couteau qu'elle accrocha autour de sa cuisse gauche. Prenant une ceinture, elle y mit un pistolet avant de l'accrocher à sa taille. Une fois prête, ne voulant réveiller personne, elle ouvrit la fenêtre avant d'enjamber le rebord avant de sauter de branche en branche. Il faut dire que l'endroit où elle habitait avec le reste de sa « famille », était un gigantesque arbre dont l'intérieur avait été creuse pour en faire une maison gigantesque à l'abri des bêtes sauvages et qui se fondait parfaitement dans l'environnement.

Glissant sur une liane, elle atterrit au sol avant de regarder une dernière fois la maison avant de rabattre ses lunettes sur son nez et de partir en courant dans la forêt. Il fallait qu'elle se dépense, elle voulait hurler, fracasser quelque chose. La jeune femme pria pour rencontrer n'importe quoi qui se montre comme un défi pour elle. Elle en avait besoins. De plus, elle n'avait aucunement besoins de lampe torche, connaissant le monde sauvage comme sa poche. Pendant presque six ans, elle avait vécut comme un animal sauvage, six ans, où elle devait apprendre à survire seule sinon la jeune femme aurait été tuer par une quelconque bête. Seth lui disait qu'elle devait avoir du sang animal dans les veines pour avoir survécut assez longtemps en pleine nature ou n'importe quel autre enfant serait mort. Il lui avait même dit qu'elle devait avoir du sang de loup vu comment elle se comportait quelque fois. Elle se demandait parfois s'il n'avait pas tort. Parfois, elle oubliais comment bien se comporter laissant son côté sauvage prendre le dessus.

Ce n'était pas facile d'oublier six année de solitude sans autre compagnie que des animaux au lieu des humains. Mais bon, ils l'avaient pratiquement tous accepter comme elle était et c'était tout ce qu'elle demandait au fond de son cœur. Une famille qui l'aimait telle qu'elle l'était malgré sa différence. Car après tout, qui aurait pu ne pas avoir peur en la voyant pour la première fois ? Qui ne se serait pas demander si elle était vraiment normale ? Après tout quel être humain pouvait avoir des yeux comme elle ? Des yeux de loup.

N/A : Et voilà mon prologue. Oui, je sais il est très court voir vraiment court. Mais si je dévoilais tout ce ne serait pas drôle. Alors que là, je peux faire travailler votre imagination. Je sais que vous vous posez tout un tas de question à propos de mon personnage. Patience, je vais écrire très vite la suite. Vous ferez plus ample connaissance avec tous le monde. Qui ils sont, à quoi ils ressemblent et leur mission. Si vous avez aimer laisser un commentaire. Je suis ouverte à toutes critiques.

Je vous dis à la prochaine.