Je me possède aucun des personnages de la série télé.

Petit recueil de drabbles prenant place dans l'univers de la série White Collar. Pour ceux qui ne connaissent pas le principe, on vous donne un mot et vous avez 7 minutes pour écrire un texte de 100 mots (avec une tolérance de 10%). Certains ont été écris dans le cadre des soirées Drabbles du Collectif NoName, d'autres avec l'aide d'un générateur de mots aléatoires.

C'est différent de ce que je fais d'habitude mais je trouve ça amusant comme exercice. Vous trouverez un peu de tout sans ordre chronologique.

En espérant que cela vous plaise

Bonne lecture

PS : Si vous cherchez à mettre de l'ordre dans mes fics, faites un tour sur mon profil, la liste est à jour et vous avez un ordre pour les lires biens que la plupart soit des OS.

QUELQUES MOTS SUR WHITE COLLAR

1. Compulsif (113 mots)

Mozzie ne savait pas si c'était depuis l'orphelinat mais il avait toujours aimé collectionner des trucs… Des tas de trucs… Chers, très chers… Certains aimaient les voyages, lui il aimait collectionner… S'en était totalement compulsif… C'est comme ça qu'était né le dentiste de Détroit, ce jour là il avait décidé d'augmenter son argent de poche en collectionnant le plus de billets possible et il y a été tellement bien parvenu qu'il avait crée un véritable empire criminel avant même d'avoir 12 ans. Par la suite, il avait collectionné les tableaux, les statues, les bijoux... Cependant, il ne possédait qu'un seul ami, presque un petit frère et ça valait bien tous ses autres trésors

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2. Dépoter (107 mots)

Quand Peter s'était trouvé affecté à cet entrepôt des saisies, il avait bien comprit que c'était une sanction disciplinaire et quand il se retrouva à inventorier 400 montres de luxe contrefaites, il se sentit déprimé. Surtout que David Cook était réapparu et qu'il tentait de l'arrêter depuis son arrivée au FBI. Le problème c'est qu'il était bloqué ici. Pourtant, quand Neal était venu le chercher pour enquêter avec lui, il l'avait suivi, se disant qu'il passerait la nuit sur l'inventaire. Pourtant, à son retour, il découvrit que son travail avait été fait et un petit mot de Mozzie, décidément dans ce genre de tâche, il dépotait !

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3. Smoking (100 mots)

Depuis qu'il était enfant, Neal Caffrey avait comprit que dans la vie, tout se jouait sur l'apparence. Pour se fondre dans un milieu, il fallait en acquérir le langage, la posture et la tenue vestimentaire. Alors pour avoir une chance de pénétrer dans ce gala de charité mondain et de s'approcher du Monet exposé, le smoking était la tenue de rigueur. Sa dextérité, son sourire et ses yeux bleus cristal feraient le reste. Si tout se passait bien : entrer, charmer la veuve Marlowe avec une coupe de champagne et échanger les toiles ne lui prendrait pas plus d'une heure.

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4. Fraîcheur (108 mots)

Au premier jour de sa rencontre avec Rebecca, Neal avait eu l'impression de revivre. La jeune femme avait était une bouffée d'air, une vague de fraîcheur qui lui avait permis de s'évader d'un quotidien qui était de plus en plus sombre : June en vacances en Europe, Peter qui ne lui pardonnait pas la trahison de son père et le considérait désormais comme un simple consultant et plus comme un ami, Hagen qui le tenait à sa merci pour avoir tout tenté pour sauver Peter… Oui, Rebecca lui avait fait du bien mais Rebecca n'existait pas. C'était un mirage et Neal n'avait plus rien pour le retenir désormais.

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5. Hasard (109 mots)

Alors qu'il se tenait sur la terrasse du penthouse de June, observant les lumières nocturnes de New York en buvant un verre de grand cru français, Neal se dit que bien des choses dans sa vie étaient dues au hasard : sa rencontre avec Mozzie autour de ce jeu de bunto pour piéger les touristes, la présence de Peter… Etait-il courant que l'agent du FBI chargé de votre traque devienne un réel ami, presque un frère, voire plus ?... Et puis, il y avait June, dans cette friperie, quelques années auparavant… Oui, la vie de Neal était remplie de hasard, mais ce n'était pas lui qui allait s'en plaindre.