Disclamer : Harry Potter appartient à JKR, mais cette histoire est à moi.

Beta : Klaiindy


NdA : Alors, l'idée de la fic vient du défi numéro 3 de : les défis de Stessy qui se trouve sur le forum HP ( ) section défis. Me connaissant, je ne suis pas certaine de respecter toutes les exigences de celui-ci, mais comme l'idée me plait, je me lance. C'est un slash Calice/Vampire. Au vu de toutes les fics que j'ai en cours, je pense à une publication mensuelle, tous les premiers vendredis du mois. J'espère que cette nouvelle histoire vous plaira et n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez.


La soif éternelle.

Chapitre 17

Voldemort était assis sur son trône dans l'une des nombreuses salles de bal du manoir Malfoy quand quelque chose dans son esprit s'éveilla, le mettant en garde contre un danger imminent. Le mage noir resserra sa prise sur sa baguette et se leva de son trône afin de lancer des regards pleins de suspicion autour de lui. Cependant, il eut beau scruter les alentours de ses yeux et avec sa magie, il ne trouva rien ni personne pouvant être la cause de ce soudain éveil de méfiance. Voldemort allait se rasseoir en se disant que son instinct s'était trompé quand quelque chose d'incongru, d'impensable, d'inimaginable, se glissa dans son… dans son… dans son cœur.

La pensée même qu'il ait pu avoir un cœur lui donna envie de vomir, tant l'idée était inconcevable. Alors qu'il se faisait cette réflexion, l'image d'une jeune femme rousse aux courbes divines se dessina dans son esprit. L'image provoqua en lui une chose qu'il ne lui était plus arrivé depuis si longtemps qu'il s'en alarma. Il venait d'avoir une ÉRECTION ! Lui, Lord Voldemort venait d'avoir une maudite érection suite à l'image d'une idiote rousse qu'il ne connaissait ni de Merlin ni de Morgane ! Et tel un ressort et poussé par une rage folle, il se redressa et descendit les quelques marches qui surélevaient son trône pour faire le tour de la pièce.

Mais cette fois encore, il ne trouva rien. Cette incapacité à dénicher celui ou celle qui s'amusait à jouer avec son esprit et ses… ses sentiments ne fit qu'augmenter un peu plus sa colère. Salazar, il promettait de tuer sans sommation l'auteur de cette stupide plaisanterie ! On ne jouait pas avec Lord Voldemort sans y laisser quelques plumes… Rectification, sans y laisser la vie. Alors qu'il était plongé dans une profonde indignation due à cette honteuse attaque mentale et émo…émotionnelle, devrait-on dire, une nouvelle image de la rousse repassa dans son esprit, ce qui lui fit lâcher un… un pathétique… gémissement.

L'envie de vomir du mage devint si forte qu'il se plia en deux, bouche ouverte, alors que des hauts-le-cœur le prenaient aux tripes. Il allait d'abord éviscérer l'auteur de cette mauvaise plaisanterie avant de lui ôter la vie, se promit le mage alors qu'il vidait le contenu de son estomac sur le carrelage immaculé des Malfoy. Quand il n'eut plus rien à rendre, Voldemort se redressa, retourna s'installer sur son trône, mit ses coudes sur ses genoux et posa son menton sur ses deux mains jointes. Il fit le vide dans son esprit à l'aide de l'Occumancie. Tandis qu'il mettait de l'ordre dans son esprit, d'autres images de plus en plus suggestives se bousculèrent dans sa tête.

Cependant, il parvint à les bloquer, aidé en cela par sa colère et son désir de vengeance. Maintenant, l'esprit bien plus clair, le mage se mit à la recherche du petit malin qui allait bientôt apprendre que tous les actes, surtout ceux commis vers sa personne, avaient un prix. Cela lui prit une dizaine de minutes, voire plus, pour trouver d'où venait l'attaque. Cette dernière provenait de l'étrange et inexplicable lien qui liait son esprit à celui de Potter. Donc c'était lui qui s'amusait à jouer avec lui ! s'exclama Voldemort avec un peu plus d'indignation. Comment osait-il lui faire ça à lui ?!

Cela n'allait pas se passer comme ça. En réunissant toute la rage et le pouvoir qu'il pouvait se permettre, il suivit le lien jusqu'au mince mur qui se dressait entre son esprit celui de Potter. Puis, sans aucune précaution ou hésitation, il fonça dessus. Et là, quelque chose d'étrange se produisit. Alors qu'habituellement il rencontrait une petite… bon, une très forte résistance de la part de Potter, cette fois, il put franchir la barrière sans le moindre effort. Surpris mais néanmoins heureux de cette opportunité, il se glissa dans l'esprit du plus jeune, comme en terre conquise.

Voldemort s'était attendu à tout en pénétrant l'inconscient de son ennemi mais certainement pas ça. Devant lui, il y avait un grand lit sur lequel on pouvait voir Potter lutter contre une jeune femme qui était sur le point de… Salazar ! Même lui n'était pas aussi maléfique pour faire un acte aussi dégradant, répugnant. Il avait bien trop d'estime - à sa manière certes - pour faire ça à Potter. Pour le violer. Le mage fut tellement surpris par ce dont il était témoin qu'il ne vit pas l'ombre qui était tapie dans un coin de la pièce se jeter sur la violeuse en hurlant : NE TOUCHE PAS À CE QUI M'APPARTIENT, MISÉRABLE FEMELLE.

Cela se passa si rapidement que si Voldemort n'avait pas eu les yeux braqués sur la jeune femme à ce moment-là, il ne l'aurait pas vu. Un instant, la rousse tenait le membre de Potter et se laissait glisser dessus et la seconde d'après, son corps voltigeait à l'autre bout de la pièce. Celui-ci s'écrasa violemment sur le mur dans un bruit sinistre. Il n'avait aucun doute sur le sort de la jeune femme. Elle devait être morte ou bien pas très loin de l'être. Se détournant rapidement du corps de la rousse, Voldemort porta son regard sur l'ombre qui venait de sauver Potter. Et alors que ses yeux se posaient sur elle, Voldemort fut frappé par une chose.

L'ombre. L'ombre avait son visage. Le visage qu'il avait cette nuit-là. Cette nuit où il a pénétré dans la maison des Potter. C'était impossible ! Comment ? Et surtout, pourquoi son sosie avait pris la défense de son ennemi.

- Tu n'es pas le bienvenu ici, Voldemort, lui dit l'ombre en se mettant entre lui et Potter qui avait, semble-t-il, perdu connaissance.

- Qu'es-tu ? questionna le mage noir en faisant un pas vers l'ombre.

- Rien qui te regarde alors quitte cet endroit. Harry a besoin de se reposer après ce qu'il vient de subir.

- Non, je ne quitterai pas ce lieu tant que je ne saurais pas ce que tu es, ni pourquoi j'ai ressenti ces… ces… bref, je ne quitterai pas ce lieu sans réponse.

- Très bien, je vais me charger de te conduire à la porte dans ce cas, dit l'ombre en prenant de plus en plus d'ampleur.

Et avant qu'il n'ait eu le temps de comprendre ce qui se passait, il fut projeté en dehors de l'esprit de Potter. L'ombre mystérieuse prit bien soin de lui faire ressentir une vive douleur dans le processus. Lorsque le mage ouvrit les yeux dans la salle de bal des Malfoy, une migraine carabinée lui lacérait le crâne. Qu'était donc cette Ombre qui lui ressemblait tant ? se demanda le mage durant le reste de la nuit. La réponse ne lui vint que le matin quand son cher Familier, Nagini, se glissa auprès de lui. Nagini n'était pas le genre de Familier que les vampires utilisaient pour faire de la magie. Non, Nagini était autre chose. Nagini était ce que très, très peu de sorciers connaissaient et appelaient : Horcruxe. Elle abritait en son sein, une partie de l'âme de Voldemort.

Lorsque Nagini se glissa auprès de lui aux premières lueurs de l'aube, Voldemort réalisa que ce qui le liait à Potter n'était pas qu'une simple prophétie. Non, tous deux étaient bien plus liés qu'il ne l'avait jamais osé penser. Harry Potter était un Horcruxe. Son Horcruxe car il abritait une partie de son âme en lui. Cela expliquait bien des choses, comme la faculté de l'adolescent à parler Fourchelang. Maintenant qu'il savait cela, était-il prêt à sacrifier cette petite part de lui ? Voldemort n'était pas certain de la réponse.

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- JE CROIS QU'ELLE EST MORTE !

- Qui est morte ? questionna McGonagall.

- C'est Ginny…GINNY EST MORTE !

- Comment ça, vous croyez que Miss Weasley est morte, Miss Johnson ?! s'exclama McGonagall en grimpant en vitesse les dernières marches.

- Elle ne bouge plus… et… et…, tenta de dire la jeune femme avant d'être secouée par de lourds tremblements.

- Et quoi, Miss Johnson ? pressa l'enseignante en se retenant de secouer la demoiselle.

- Son corps… son corps est…

- Son corps est quoi ?

- Son corps est dans une position étrange et couvert de sang, murmura la jeune femme en se laissant tomber au sol.

À la suite de cette déclaration, McGonagall s'élança en direction de la chambre que partageait Ginny avec d'autres élèves de son année. Elle pénétra dans la pièce sans marquer de pause puis se dirigea vers le lit de Ginny où se trouvait déjà Hermione, en pleurs.

- Miss Granger ? interrogea la vieille sorcière en direction de la plus jeune.

- Elle est morte, chuchota la jeune fille à la vue de sa directrice de maison. Je ne sens plus son pouls, ajouta-t-elle.

McGonagall s'approcha du lit où se trouvait Ginny, nue, étendue à moitié sur son lit, le corps tordu étrangement, alors qu'un mince filet de sang coulait de sa bouche et de sa tempe. Les yeux de la rousse étaient grands ouverts, fixant le vide. L'angle étrange qu'avait son cou donnait l'impression que quelqu'un avait voulu lui tourner la tête vers l'arrière. L'image qu'offrait la jeune fille était si horrible que McGonagall eut du mal à ne pas verser une larme en imaginant l'atrocité qu'avaient dus être les derniers instants de la vie de son élève. Tout ce qu'elle put faire fut de dire :

- Que s'est-il passé ?

- Je ne… je ne sais pas…, souffla Hermione, les yeux braqués sur le corps de son amie. Enfin, je crois que…, ajouta-t-elle avant de se taire.

- Vous croyez quoi ? pressa McGonagall en ordonnant silencieusement aux deux filles qui partageaient la chambre de Ginny de quitter la chambre.

Les gamines obéirent avec empressement, les jambes tremblantes. Tandis qu'elle attendait la réponse d'Hermione qui mettait du temps à venir, Minerva conjura un Patronus auquel elle remit un message pour Dumbledore dans le but de l'informer de la macabre nouvelle. Après que le Patronus se fut envoler pour délivrer le message, Minerva appela un elfe de maison et lui demanda de faire venir l'infirmière. Cela étant fait, d'un sortilège de lévitation, elle remit Ginny correctement dans son lit avant de faire apparaître un pyjama sur elle. Elle se tourna ensuite vers Hermione et lui dit :

- Alors Miss Granger, que sous-entendiez-vous par : ''enfin, je crois que…'' ?

Hermione lança un regard incertain vers son professeur avant de dire :

- Rien, madame, rien du tout. C'était certainement le choc, souffla-t-elle.

- Miss Granger, je sais que vous et vos amis, Potter et Weasley, avaient pris l'habitude de nous cacher, à nous, vos professeurs, des choses qui étaient parfois, non, très souvent même, graves. Mais là, il s'agit d'un meurtre. Du meurtre d'une de vos camarades, de votre amie, alors quoique vous sachiez, dites le-moi maintenant ou c'est au professeur Snape que vous devrez le dire. Au professeur Snape ou aux Aurors, ajouta la vieille sorcière sur un ton très sévère.

Hermione se mordit la lèvre, se demandant si elle pouvait dire la vérité à son enseignante, sans que cela ne lui porte préjudice. À savoir qu'elle pensait que le meurtrier de Ginny était Harry Potter qui avait dû, pour ne pas changer, trouver un moyen de combattre les effets de la Fleur de Cœur. Merlin ! Pourquoi Harry ne pouvait pas faire comme tout le monde ! N'aurait-il pas pu, pour une fois, se laisser gentiment faire au lieu de toujours faire l'intéressant en réalisant l'impossible ? Sa maudite chance ne pouvait-elle pas partir en vacances pendant quelques heures ! Et alors qu'elle pensait à tout ça, Hermione regretta de s'être associée à Ginny. Non ! Mieux même, elle aurait dû prendre la place de Ginny quand elle avait appris le plan de cette dernière.

Mais cela ne servait à rien de ruminer maintenant car elle ne pouvait plus rien lui reprocher parce… parce que sa seule amie, la seule qu'il lui restait après que Harry et Ron se soient éloignés d'elle, était morte. Et elle ne semblait pas avoir eu une mort douce. Une larme puis deux puis trois puis plusieurs se succédèrent sur ses joues. Elle venait de perdre son amie. Elle venait de la perdre pour toujours. Et tout ça, c'était de la faute de Potter. Encore et toujours Potter ! Non seulement il était anormal à se laisser enculer par un vicieux Serpentard mais, en plus, il n'apportait que mort et chagrin sur son passage.

La preuve : d'abord ses parents, ensuite Cedric puis Sirius et pour finir, Ginny. Cet imbécile imbu de lui-même n'apportait que malheur autour de lui. Si seulement il avait pu mourir cette nuit-là avec ses parents, ils n'en seraient pas là aujourd'hui. Voldemort n'aurait jamais pu revenir à la vie en utilisant son sang. La guerre n'aurait jamais repris. Et elle, elle ne se serait pas trouvée dans la situation dans laquelle elle était désormais coincée.

- Miss Granger, allez-vous bien ? questionna soudainement McGonagall en obligeant Hermione, qui était plongée si profondément dans sa colère, que les premiers signes d'hyperventilation faisaient leur apparition.

Minerva tenta de la calmer en lui disant que tout allait bien se passer mais tous ses mots, au lieu de calmer Hermione, ne firent que la faire paniquer un peu plus. La peur de ce qui pourrait lui arriver si on venait à découvrir ce qu'elle et Ginny… enfin, Ginny avait voulu faire à Harry devint si pressante, qu'elle en perdit connaissance. Lorsqu'elle ouvrit les yeux, Snape, Dumbledore, McGonagall ainsi que deux sorciers en tenue d'Auror, étaient à son chevet. À leur vue, Hermione n'eut qu'une seule envie : fermer les yeux pour ne plus jamais les rouvrir.

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Alors que McGonagall se précipite en direction de la chienne qui a voulu nous piquer notre Calice, une joie délectable s'infiltre en moi. J'espère vraiment que cette fille ne s'est pas trompée. J'espère de tout cœur que cette pétasse est morte. Je sais que certains diront que je suis cruel et que c'est une manière horrible de penser à une camarade de classe mais je m'en fous ! Elle a ce qu'elle mérite. Ce qu'elle a tenté de nous faire, de faire à Harry est tout aussi, voir plus, horrible que ça. Tandis que je me réjouis du trépas de Weasley femelle, la porte de la salle commune des Gryffondor s'ouvre une nouvelle fois. Cette fois, sur l'infirmière et Dumbledore.

Celui-ci, dès qu'il franchit le passage, pose les yeux sur moi. Je crois y lire de la surprise mais aussi une pointe de colère ou quelque s'y approchant. Mes lèvres s'étirent en un lent sourire moqueur, sans même que je puisse me contrôler. Dumbledore fronce les sourcils d'étonnement, me lance un regard étrange avant de diriger son attention sur mon parrain.

- Severus, que se passe-t-il ici ? Je viens de recevoir une note de Minerva m'indiquant que la jeune Weasley est morte. Est-ce exact ?

- Donc c'est confirmé, lui répond Severus. Elle est bel et bien morte.

- Qu'entends-tu par-là, Severus ? s'étonne le vieux barbu.

La sénilité doit l'avoir gagné pour qu'il ait autant de mal à comprendre un truc aussi simple. Pourtant ce n'est pas si compliqué à saisir : Weasley est MORTE ! Bon vent ! Mon parrain semblant avoir l'habitude de devoir se répéter plusieurs fois afin de se faire comprendre du vieux croûton confirme le décès de Ginny Weasley en utilisant des mots simples et concis. Tandis qu'il invente une raison à notre présence dans la tour des lions, je profite du petit rassemblement qui s'est effectué entre temps pour me rendre dans le dortoir de mon petit-ami afin de voir comment il va.

Mon instinct me dit qu'il ne court aucun danger. Mon instinct et le manque de réaction violente de la Bête. Parce qu'entre nous, s'il était arrivé quelque chose à mon Calice, il n'y a aucun doute que la Bête et moi-même l'aurions ressenti. Donc je me glisse habilement entre les élèves et me rends auprès de mon Poodir. Quand j'arrive devant la porte de sa chambre, j'entends des chuchotements venant de cette dernière.

- Je t'assure, on dirait qu'il y a un truc qui se passe en bas, disait Thomas.

- Eh bien, si tu en es si certain, vas voir et laisse-moi dormir, lui répond une voix endormie.

- Tu ne veux pas savoir ce qui se passe ? demande Thomas.

- Non, j'ai trop sommeil pour être curieux !

- T'es vraiment pas marrant, râle Thomas. Ne viens pas me demander ce que j'ai découvert parce que je ne te dirais rien.

Sur ce, je l'entends se diriger vers la porte puis l'ouvrir brusquement en râlant. Je me glisse derrière la porte pour éviter qu'il ne me voit. J'attends quelques minutes pour m'assurer que celui qui discutait avec Thomas s'est bien endormi avant de m'introduire dans la pièce. La chambre est plongée dans le noir mais, avec ma vue vampirique, je vois comme en plein jour. Je me dirige droit vers le lit de Potter. Celui-ci a cessé de flotter dans les airs et est maintenant allongé, encore nu, dans son lit. Il est profondément endormi. Rien ne semble indiquer qu'il vient d'échapper à une tentative de… comment dois-je appeler ça ? Peu importe parce qu'il s'en est sorti, comme toujours.

Je lance un sortilège sur mon Calice afin de le couvrir car, même si la vue est loin de me déplaire, je n'aime pas l'idée que quelqu'un d'autre puisse le voir ainsi. Après lui avoir conjuré un pyjama, je me glisse dans son lit, tire les rideaux sur nous et le prends dans mes bras. Je sais que je ne vais pas pouvoir rester très longtemps étant donné ce qui vient de se passer avec l'autre dinde mais, je suis soulagé de savoir que mon petit-ami est hors de danger, que cela ne m'inquiète pas le moins du monde. Tout en passant mes doigts dans les cheveux indisciplinés de Harry, je ne peux m'empêcher de me demander ce qui s'est passé ? Comment Weasley femelle est morte ? Et si Harry avait quelque chose à voir avec son décès ?

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Un petit com pour la route !

!PROCHAINE PUBLICATION : LE 22 SEPTEMBRE