Bonjour, bienvenue dans ma nouvelle fic, j'ai décidé d'écrire un récit 100% Harry Potter (il était temps), bref rien de ce qui se trouve dans cet histoire ne m'appartiens ; sauf quelques OC que j'ai crée par-ci par-là.

Je vous explique les bails : Il y'aura des romances diverses et variées - homo, hétéro, bi et asexuelles - par forcément monogames - des threesomes quoi. Mais ne vous inquiétez pas ce n'est pas pour tout de suite ^^ Par ailleurs, les personnes à qui ça gênerait (homophobes et les gens prudes) vous connaissez la sortie hein !

Il y'aura de la violence, envers Harry comme dit le résumé, mais aussi tout du long, et de manières différentes. Rien de trop graphique mais juste assez pour que vous ayez une idée, sachez aussi que je risque de parler maladies.

Il y'aura du bashing Dumbledore/Weasley (sauf les jumeaux et Ron)/certaines personnes de la "Lumière''. Voldy sera moins sadique, les Malfoy seront sympas et notre Trio d'Or ne sera pas aussi doré et gentillets que ça.

Voilà pour la mise en bouche ! Sans plus tarder, je vous laisse avec ce premier chapitre en vous souhaitant une bonne lecture !

Chapitre 1 – Un allié ou un simple objet ?

Le placard sous l'escalier … sombre, plein de poussière et sentant le sang ainsi que l'urine quasiment tous les jours, existe t-il un lieu aussi infernal que celui-ci ? Alors que le monde est si vaste … il fallait que cet endroit exigu soit à la fois son seul refuge et une salle de torture où les châtiments se succédaient.

Sur un matelas aussi fin et fragile que sa carcasse, un enfant se repose qu'à moitié : son petit corps tremblant faisait à peine 1 m 20. Il était tellement mince qu'on voyait ses os, sa peau était brûlée par le soleil, ses mains sont fines …

Son dos était parsemé de coupures ensanglantées et violacées, sans doute provoquées par une ceinture ou un bâton pointu, elles ont été aspergées de javel pour ''désinfecter''. Son ventre est plus bleu qu'autre chose, ses mains sont égratignées jusqu'au sang, sa lèvre dégouline du liquide carmin …

Il se balançait dans tous les sens, incapable de rester immobile malgré la douleur, en respirant bruyamment, il manquait d'air et il avait peur que ses poumons le lâche. Il était couvert de sueur et son pantalon était taché d'urine …

Ses cheveux, d'une belle couleur ébène sont légèrement bouclés, ils se collaient à son visage, très mince avec des traits anguleux, un nez droit et des lèvres fines. Il avait une fine cicatrice rougeâtre en forme d'éclair sur le front.

Ses yeux sont vert foncé comme une émeraude, cerclés par un bleu discret. Son regard était débordant de tristesse et d'intelligence, ses prunelles sont cachées par des lunettes rectangulaires noires.

L'enfant, répondant au nom de Harry, finit alors par se lever : il devait faire le petit-déjeuner mais aussi se changer, sa tante n'aimait pas le sang, ni la pisse … déjà que sa présence insupporte la famille Dursley !

Le petit garçon, âgé de 7 ans depuis deux semaines, s'attelle à préparer des victuailles dignes des Dieux. Une présence se fait ressentir : elle est étouffante, oppressante et violente. L'enfant tremble, deux mains puissantes le mettent à terre et une gamelle fut posée devant ses yeux : quand sa ''famille'' était dans ses beaux jours, elle lui donnait à manger comme un chien.

Son oncle, une grosse baleine rougeaude avec une moustache, ricane devant son empressement à dévorer des pelures de fruit avec du yaourt et de l'eau. Puis il l'envoie dehors accomplir des corvées sous un soleil de plomb, tandis que la girafe grinçante qui lui sert de tante et l'hippopotame capricieux lui servant de cousin le raille, le frappe …

Ses blessures au dos lui donnent une silhouette rigide, sa respiration est bruyante même si les côtes ne sont pas touchées, son regard est vague et son visage torturé.

Mais il y' a des blessures qui ne se voient pas ! Les regards froids de sa tante, les coups violents de son oncle, l'indifférence du voisinage et les rires cruels de son cousin lui font encore plus mal que les coups, les privations diverses et les insultes …

La vérité est que son esprit glisse vers une sorte de placard, tout aussi étroit que l'original, il essaie de retenir les derniers pans qui composent son être : la dignité, la compassion, l'humanité, entre autres. Mais plus les jours passent et moins il a de contrôle sur son côté sombre, ces pulsions non pas macabres, mais néanmoins très sombres se font de plus en plus présentes dans son esprit enfantin.

Non pas qu'il ait envie de tuer, mais il éprouve cette sorte de rage qui lui fait souhaiter la mort de quelqu'un : de sa ''famille'', des amis de Dudley, des voisins, des professeurs à l'école et aussi celle de la vieille Figg. Il rêve de les torturer afin de leur apprendre quelques trucs de la vie, pas qu'ils meurent – la mort serait trop douce – mais qu'ils soient proches de rendre l'âme.

Le jeune garçon s'ébroue la tête à ces pensées, elles sont monstrueuses et impossibles : les Dursley sont certes stupides mais trop forts pour lui, il n'est qu'un gamin pleurnichard et frêle ! Il n'est pas un bourreau, mais une victime condamnée à subir ces châtiments pour une durée indéterminée, un enfant anormal parce qu'il existe et qu'il vit selon le bon vouloir de sa ''famille''.

En fin d'après-midi il a fini ses tâches, il voit Dudley et sa bande sortir de la maison, une expression cruelle sur leurs visages enfantins et les poings prêts à frapper. Sans attendre d'autres signaux alarmants, le petit brun se met à courir comme s'il est poursuivi par une armada de démons.

En général, ce ''jeu'' durait une petite heure et il avait deux fins possibles : la première, Harry trébuchait à cause de l'hypoglycémie et se faisait allégrement tabasser, la seconde était davantage clémente, ses poursuivants abandonnaient car il trouvait une cachette sûre.

Pour le moment, le petit garçon s'en sort bien, il décide alors d'aller dans le vieux quartier du Surrey alors que la bande de Dudley commençaient à s'épuiser ; cela faisait déjà trois-quarts d'heure qu'ils courraient.

Le quartier où Harry les emmène est vieux, les bâtiments datent des années 1950 avec des devantures des boutiques et de cinéma qui correspondent à cette époque, on pouvait également noter la présence d'un Dinner. Les seules choses qui appartiennent à l'an de grâce 1987 sont les voitures, les lampadaires et les gens qui sont habillés à la mode.

Quoiqu'il en soit, Harry bifurque dans une ruelle dans un joli dérapage et est arrêté par un épais grillage de deux mètres avec une poubelle posée devant. N'écoutant ni le stress ou la peur qui lui tenaille les tripes, le garçonnet monte sur la benne à ordure, puis grimpe sur l'obstacle de fer – qui heureusement n'est pas rouillé – et une fois en-haut, se laisse doucement tombé.

L'atterrissage est rude, mais il n'a rien de cassé et il voit Dudley avec sa bande d'affreux qui ricanent, mais ils n'arrivent pas à escalader la benne et les rires laissent place à des hurlements de frustration et à des insultes colorées, Harry prend le risque de faire un petit sourire narquois, avant de repartir au cœur de la ruelle.

Il marche depuis plusieurs minutes déjà, il récupère son souffle tout en restant aux aguets, la pluie commence à tomber et il jure comme un charretier, puis son regard est attiré par le seul magasin ouvert dans la ruelle : une librairie, plutôt vieille, avec des boiseries mauves.

Sur une impulsion – et parce qu'il pleut à dru – le petit garçon entre dans le vieux magasin, l'endroit était sombre, assez poussiéreux, il n'y a pas de chauffage mais le feu de cheminée est sans nul doute tout aussi accueillant, sans compter ces fauteuils en velours gris qui ont l'air confortable !

Le petit garçon entra, frissonnant et il se dirige près du feu pour se sécher. Une fois cette tâche accomplie, il se met à s'interroger sur l'absence du propriétaire … le magasin n'avait pas l'air fermé et il était encore tôt, il entendit un bruit discret dans l'arrière-boutique. Le petit brun s'approcha doucement et vit un vieil homme dormir sur un rocking-chair, son sommeil était si profond que Harry n'eut pas cœur de le réveiller.

Et il ne voulait pas être dérangé, le petit garçon regarde les différents ouvrages, mais ces livres sont vieux : leurs pages sont jaunes, leurs couvertures usées. Il ne trouvait pas son bonheur et pourtant le petit garçon adore les livres, apprendre de nouvelles choses pour compenser son manque d'amour …

Soudain, il tombe sur un livre à l'aspect énigmatique : la couverture était aussi noire que le charbon – totalement neuve – avec des pages entièrement blanches, lisses. Il doit appartenir à quelqu'un car un nom tout aussi étrange et une date sont gravés en lettres argentées.

''Tom Elvis Jedusor – 1943. Que fait un journal intime ici ? En plus, il n'y' a rien d'écrit …'' Chuchote pensivement Harry, tout en feuilletant le petit livre.

Posés sur le comptoir, il voit un pot emplit de stylos variés, Harry en prend un et se rassoit près du feu, tandis que la pluie tombe à verse et que le dormeur ronfle toujours.

''Bonjour cher journal, je m'appelle Harry Potter.'' Écrivit nonchalamment le petit garçon, qui fut surpris lorsque son écriture disparue … et que le mystérieux objet lui répond.

''Enchanté de te rencontrer Harry Potter, je suis Tom Jedusor.'' Lui déclare le journal intime sous ses yeux à la fois intéressés et mystifiés ; était-ce une blague ? Une hallucination d'un enfant solitaire ? Il remarque que le nom de son ''interlocuteur'' correspondait à celui gravé sur le journal.

''Tom Jedusor ? Ce journal t'appartient ? Ou tu es en quelque sorte le journal, comme dans les films ?'' Demande Harry, plein de curiosité.

''Oui et oui, même si je ne comprends pas le rapport avec le cinéma. De mon vivant, j'étais propriétaire de ce journal, puis j'ai transféré un morceau de mon âme là-dedans. Ensuite j'ai attendu, tout en stockant mon savoir, ainsi que mes souvenirs, et te voilà. En tout cas bravo pour la déduction !'' Le complimente Tom.

''Merci, je travaille bien à l'école et je lis beaucoup. C'est possible de transférer une âme et un savoir ? Dans ce cas-là tu dois être intelligent !''

''C'est bien d'être bon à l'école, quel âge as-tu ? Oui, mais il faut être puissant au niveau magique et suffisamment brillant pour y penser. Crois-tu en la Magie ?''

''J'ai 7 ans, mais parfois j'ai l'impression d'être plus âgé. La Magie ? Mon oncle et ma tante me battent si j'en parle ou si je fais de la ''magie''. Mais il m'arrive de faire des choses bizarres : une fois j'ai poussé très fort mon cousin contre un mur, une autre fois je me suis retrouvé sur un toit, j'arrive à réparer mes lunettes …''

''Mon cher Harry, je dois dire que je suis impressionné ! Peu d'enfants magiques ont autant de puissance … mais quelque chose me titille, tes tuteurs te battent ? Raconte-moi tout, je ne vais pas te juger.''

''Mes parents sont morts, il y a longtemps, alors ils m'ont recueillis ''avec bon cœur''. Ils m'enferment dans un placard – qui est ma chambre – parfois pendant une semaine. Mon oncle me bat dans la cave, ils me font faire toutes les corvées, leur fils me frappe aussi tout en ruinant ma réputation. Et … il me touche, 'là'.''

''Mon dieu, quels monstres ! Dis-toi Harry, que la Loi interdit ce genre de choses (il y a de quoi creuser pour une éventuelle opportunité de chantage). Comment tu es physiquement ? Et psychologiquement ?''

''Je fais 1m20, avec la peau sur les os et brûlée à cause du soleil, j'ai un peu de muscles grâce à mes corvées donc ça va. J'ai des cheveux noirs, des yeux verts derrière des lunettes et j'ai une cicatrice en forme d'éclair sur le front – à cause de l'accident de voiture qui a tué mes parents. Je m'habille avec des vieux vêtements ayant appartenu à mon gros cousin.''

''Mon pauvre Harry … mais dans ta tête, comment tu gère tout ça ?''

''J'ai envie de leur faire du mal Tom … pas de les tuer, mais de leur faire mal jusqu'à ce qu'ils comprennent vraiment qui je suis : un être humain, avec des besoins et une envie d'affection. Parfois je me sens sombrer, comme si le monde devenait noir et blanc, avec des touches de rouge, mes émotions s'effacent peu à peu.''

''Malheureusement je ne peux rien faire pour te consoler (outre le fait que je sois un journal, ce n'est pas mon truc les sentiments), mais je peux t'aider en te guidant … si tu veux, je peux te parler de moi, et de notre Monde Harry ! Je peux t'y amener et te conseiller pour t'y faire une place.''

Si quelqu'un a vu le petit garçon, il en aurait tremblé de peur et se serait précipité vers la sortie : le regard vert est devenu noir de désir, avec un sourire diabolique, ses doigts semblent muent d'une fausse délicatesse, sa posture est anormalement souple et son aura est comme le feu d'un bûcher – dévorante et brûlante.

''J'accepte ta proposition avec plaisir Tom ! Dis-moi tout sur toi, j'ai envie de connaître celui qui va m'apprendre la Magie.''

''Je suis né en 1926, ma mère est morte en couche. J'ai donc vécu dans un orphelinat où mes pouvoirs se sont éveillés assez brutalement – j'attirais les foudres des adultes et la crainte des enfants. Puis à mes onze ans, un certain Dumbledore est venu me voir et m'a expliqué qui j'étais.''

''Tu as du le prendre pour un fou …''

''Il n'est pas fou, plutôt manipulateur. Bref, j'ai acheté les affaires scolaires seul, avec quelques livres en plus (pour ne pas être ignorant), à Poudlard (nom de l'école) j'ai été réparti dans la maison Serpentard ; elle représente ceux qui ont de l'ambition et qui sont rusés. Je me suis promis d'être le plus fort d'entre tous !''

''Laisse-moi deviner … tu es du genre premier de la classe, poli avec les gens, assez froid mais qui sait avoir des alliés ?''

''Tout à fait, cette année m'a permis de prendre la température du Monde Magique. Mais la seconde fut un peu plus intéressante : j'ai entendu parler d'une Chambre secrète construite par l'un des Fondateurs de l'école, déterminé à l'ouvrir, je fis des recherches tout en apprenant les manières des sang-purs (les nobles si tu préfère).''

''Intéressant ! Ils t'ont accepté au bout de combien de temps ? Tu as réussi as découvrir où était cette Chambre ?''

''En fait, j'ai su où elle était, mais je ne savais comment l'ouvrir. Ce fut chose faite lors de ma quatrième année, en même temps où mes camarades ont fini par m'inclure dans leurs cercles ; là j'ai commencé à chercher mes origines, pour avoir de l'ascendant sur eux. J'ai également commencé à étudier la Magie Noire dans la Chambre.''

''Comment l'as tu ouverte ? Quels genre de cercles as-tu intégré ?''

''J'ai un don essentiel pour l'ouvrir : le fourchelangue, la langue des serpents. Un don antique et rare, mais aussi utile pour les Arts Sombres. Le cercle de la politique Harry ! C'est important, car c'est là que tu peux tirer les ficelles et récupérer une part du pouvoir ! Celui-là et un autre qui pratiquait la Magie Noire selon les rites de Grindelwald (un Mage Noir de l'époque).''

''Mais tu la pratiquait aussi dans la Chambre … y avait t il une raison ?''

''En effet, Dumbledore nous surveillaient, moi plus que tout autre ! J'ai dû apprendre dans la Chambre ou dans les profondeurs des cachots de l'école, les autres ont arrêté mais pas moi. Lors de la 5eme année, j'ai continué mes recherches sur l'Immortalité tout en révisant mes examens magiques.''

''Tu les as réussis ? Les autres ont l'air d'être lâches, mais ta famille … tu as retrouvé leurs traces ?''

''Bien sur que je les ais réussis ! Haut la main en plus. Quant à ma famille, oui je savais où ils habitaient : mes parents étaient tous les deux dans le même village, mais du côté de ma mère je n'ai vu qu'un oncle cinglé et semi cracmol. Quant à mon père et ses parents … ils ont refusé de me reconnaître et ils m'ont insulté, sous le coup de la colère … je les ais tués.''

''Merde, ils ont du te blesser profondément pour que tu en arrive à ça ! Mais … comment as-tu fait pour la police et tout ?''

''J'ai utilisé un sort qui tue sans laisser de trace, un autre pour effacer des souvenirs et un dernier pour obliger quelqu'un à obéir à tes ordres. J'ai lancé le second sur la gouvernante, le troisième était pour mon oncle : lui aussi m'a renié en me refusant mon héritage qui me revenait de droit. J'ai profité qu'il commette le ''crime'' pour voler l'Anneau de l'Héritier.''

''C'est brillant, faire porter le chapeau d'un triple meurtre, tout en volant des objets familiaux ! C'est quoi un anneau d'héritier ?''

''Un Anneau d'Héritier est une chevalière porter par le chef de famille, riche et avec un pouvoir politique important de préférence. Vu que mon oncle était un alcoolique, fou et ancien taulard, dont le père est mort en prison … cet objet me revenait de droit, en tant qu'unique Héritier de la Maison Gaunt, sachant que nous étions liés à Salazar Serpentard.''

''Serpentard comme ta maison à Poudlard ? Qu'a tu fais de cet anneau ? À quoi ressemble t-il, quels sont ses pouvoirs ?''

''Tout à fait, j'étais le dernier descendant de cet homme exceptionnel. Avant de partir d'Angleterre, j'ai remis l'anneau sous les décombres de la maison de mon oncle. Ses pouvoirs sont de protéger le porteur, physiquement et magiquement. Il est en argent pur, avec un serpent vert faisant le tour de l'anneau et une pierre noire en triangle. En revenant à Londres, j'ai fais valoir mes droits en tant que dernier membre de la famille.''

''Laisse-moi deviner, tu as découvert que la fortune familiale a été dilapidée.''

''Exactement, tout l'argent et les objets précieux des Gaunt ont été gaspillés ou vendus. Alors j'ai ouvert un compte en banque, avec seulement 20 galions. Puis j'ai acheté ce journal – que j'ai enchanté – et par curiosité, j'ai cherché ce qu'il y' avait du côté des Jedusor, mais s'ils étaient riches dans leur comté, ils n'avaient aucun patrimoine solide en ville.''

''Et la Magie Noire fut donc ton principal exutoire, mais qu'est ce qu'il y a dans la Chambre ? Peut-être qu'elle avait des livres permettant de devenir un homme important.''

''La Chambre contient un serpent géant que l'Héritier de Serpentard peut contrôler. Elle a une bibliothèque avec quelques ouvrages – mais ils sont sans doute en poussière au moment où je te parle. Après je n'ai pas eu le temps de tout exploré, donc oui … il doit y avoir des objets et des écrits qui auraient pu m'aider dans ma quête du pouvoir. Ainsi j'ai découvert, dès le début de la 6eme année, une Magie permettant d'être immortel, ou du moins d'avoir une porte de secours.''

''Immortel ? Tu y tenais vraiment ! Quelle est cette Magie dont tu me parle ? Un serpent géant … génial.''

''Je te cache pas que la Mort m'a toujours fait peur, donc j'y pensais en permanence. Le serpent est plutôt sympathique, mais je te conseille de ne pas le regarder dans les yeux ; sa race peut te tuer d'un regard. Cela s'appelle les Horcruxes : ce sont des objets dans lequel tu place un bout de ton âme, il faut tuer des personnes pour le faire. C'est de la Magie extrêmement Noire, surtout que le meurtre reste imprégner dans l'âme de la personne qui vient de tuer.''

''Laisse-moi deviner … ce journal en est un, et tu as utilisé la mort des Jedusor pour l'envoûter ? Et l'Anneau des Gaunt, c'est pareil ? Ou c'est juste un objet ordinaire ? Combien tu en as fait au juste …''

''Tu es intelligent, sacrément intelligent même. Oui Harry, ce journal est un Horcruxe, la bague des Gaunt aussi. Mais non, je n'ai pas seulement utilisé la mort des Jedusor pour créer le premier ! J'en ai fait cinq, mais je voulais en faire deux de plus. Pense-tu ! Un journal qui te répond tout seul … absurde s'il n'y a pas de Magie Noire dans l'équation.''

''Absurde en effet. Pour autant je ne ressens rien de spécial, la Magie Noire devrait me faire quelque chose non ? Ou bien il est trop tôt pour le dire. Dumbledore se doutait t-il de tes actes ? Qui d'autre as-tu tué pour faire l'autre Horcruxe ?''

''Oui, elle devrait t'influencer petit à petit, et ta présence me donne de la force. Mais tu es puissant donc tu ne ressens pas les effets néfastes. Pour la bague, ce fut un accident : le serpent s'est échappé de mon contrôle et a tué une jeune fille, pour éviter que Poudlard ferme, j'aie dû accuser un autre élève. Suite à ça, Dumbledore a mis encore plus d'ardeur pour me surveiller.''

''Quels effets néfastes, comment tu deviendrais plus fort ? Cet élève était-il suffisamment crédible pour se faire accuser ? Avait-tu des alliés pour te couvrir ou fallait t-il que tu te cache encore plus ?''

''La Possession de ton esprit : perte de mémoire, cruauté facile, dédoublement de personnalité, incapacité à ressentir des sentiments, colères permanente ou dépressions profondes et ta Magie devient plus faible. Plus tu écriras dans le journal, plus je pourrais reprendre ''vie'' … comme un acteur dans un film ayant des admirateurs, je serais Moi grâce à un peu de ta Magie.''

Harry réfléchit à ces mots, énigmatiques et terrifiants à la fois, il en fut fasciné par cet échange mortel : donner inconsciemment – innocemment presque – quelque chose de précieux à un objet à l'apparence banale qui vampirise l'imbécile, endormit par le réconfort que lui procurait ce ''journal'', il en devenait accroc et avec le temps, plus faible.

Et le tout sans comprendre pourquoi jusqu'à ce qu'il soit trop tard, oui c'était sacrément vicieux ! Tom était un génie, Harry comprit qu'il avait entre 16 et 17 ans lorsqu'il a créé ces Horcruxes, mais sans doute avait t-il fait profil bas suite à la mort de cette fille.

''Quant à l'autre garçon, il possédait une tarentule et aux yeux de la Loi, il est interdit de posséder ce genre d'animal ; qui est hautement dangereux pour ces pauvres enfants. Ce n'était pas seulement lui ou moi Harry … si Poudlard fermait, je devais revenir à l'orphelinat et finir mes études en supportant des regards suspicieux. J'avais en effet des alliés bien placés politiquement, ils me couvraient mais les portraits du château (qui sont vivants) sont des espions parfaits.''

''Une tarentule est en effet dangereux. Et puisque tu as suivi la Loi, on va pas te reprocher de l'avoir dénoncé. Je comprends que tu n'as pas voulu aller dans cet endroit, mais tes ''amis'' ne pouvaient t-ils pas t'accueillir chez eux ? Et ne pouvais-tu pas t'émancipais ?''

''Les sorciers deviennent majeurs à 17 ans, je suis né en décembre et on était déjà fin novembre quand cette histoire s'est déroulée. Avery, l'un de mes suivants, m'a accueillis chez lui pour les fêtes de Noël : j'y ai appris pleins de choses intéressantes sur la Magie Noire et la politique sorcière. Puis lorsque j'ai du me présenté devant les Lords, je me suis fait appeler Voldemort, dernier descendant de Salazar Serpentard.''

''Voldemort, plutôt classe comme nom ! Et terrifiant aussi. Tu leur as révélé ton pouvoir de fourchelangue ? J'imagine qu'ils étaient sectaires à propos de leur noblesse.''

''En effet, je leur ai montré mon potentiel – en leur faisant promettre de ne rien dire – et j'ai demandé à être entraîné à la Magie Noire de façon plus … pratique, brutale. Comme j'étais séduisant à cette époque et éloquent, ils ont accepté sans faire d'histoire, j'ai émis le souhait de retrouver l'héritage de Serpentard et d'avoir de l'argent afin de conquérir le Monde Magique.''

''Quand tu dis ''brutale'' … tu pensais à quoi exactement ?''

''J'ai appris à torturer, à contrôler les esprits, à y lire impunément et à tuer, entre autres. À ton âge, tu ne devrais pas connaître cette partie de mon apprentissage, tu es encore trop jeune pour comprendre par là où je suis passé. Ainsi lors de la dernière année, je passai brillamment mes examens tout en infiltrant les sphères politiques de basses à intermédiaires.''

''Tu voulais travailler dans la Politique ? Toi, le futur Mage Noir en puissance, bientôt immortel. Ambitieux et puissant comme personne personne n'a jamais vu !''

''Je peux sentir l'ironie dans ta voix, je dois t'avouer que si je pouvais, je ricanerais de façon aristocratique. Non Harry, je ne songeais pas à devenir un homme politique, à la place j'ai préféré postuler pour un emploi dans une boutique achetant et revendant des objets de nature sombre.''

''Ton image de Lord noir en a pris un coup, tu voulais faire de nouveaux Horcruxes ou te lancer en tant que collectionneur ? À moins que tu veuilles retrouver des objets ayant appartenu à ta famille ?''

''Décidément tu es incisif et intelligent, tu à l'air de bien contrôler tes émotions, tu es rusé et froid … tu ferais un parfait Serpentard. Je voulais trouver des objets puissants pour faire des Horcruxes. En partant de l'école, j'ai demandé où se trouver le diadème de Serdaigle – une autre fondatrice de Poudlard. Il avait la réputation de rendre plus intelligent que la normale. Et puis, je me devais de rester dans l'ombre pour manipuler les hommes politiques.''

''Tu as réussi à trouver ce que tu cherchais, je présume. Mais pourquoi rester en bas de l'échelle … ?''

''Mon idée était de créer un mouvement politique exclusivement de Sang-Pur, porté sur la Magie sombre : à la mort de Grindelwald, les utilisateurs de Magie Noire ont été traqués par l'ensemble de la population. Donc certains Arts Sombres été ''tolérés'' mais d'autres … tu pouvais être exécuté pour ne serais-ce que lire des livres à leurs sujets. J'ai trouvé le diadème en Albanie lors de mes vacances, j'en ai fait un Horcruxe après avoir torturé et tué un paysan moldu et sa famille.''

''Tuer, carrément ?! Ils ne connaissent pas la détention à perpétuité ? Toutes ces vies et ces familles détruites par la connerie humaine, parce que j'imagine que certaines personnes n'ont jamais entendu parlé de telle ou telle Magie. Donc ils ont du être dénoncés par des connards voulant faire du zèle …''

''Belliqueux Harry ? Je peux comprendre que ça te révolte. Certaines Familles ''Neutres'' (ou Grise si tu préfère) ont disparue suite à ces manœuvres abjectes, plus que les Familles ''Noires'' par ailleurs, et même quelques familles ''Blanches'' en ont pâtis. Mais il y' a également certaines créatures magiques (loups-garous, gobelin, vampire, elfes noirs et archanges) qui ont du se cachées encore plus que d'habitude.''

''C'est odieux. Que sont les elfes noirs et les archanges ?''

''Les elfes noirs sont des humanoïdes faisant environ 1m90, la peau très mâte – presque noire – et musclés. Contrairement aux autres elfes, ils ont les cheveux courts, noirs ou roux, avec des yeux violets pour les hommes et gris pour les femmes. Lors de leur naissance, un tatouage représentant leurs âmes-sœurs apparaît à l'endroit de leur cœur. Ils sont par nature des guerriers, loyaux jusqu'à la mort.''

''Quant aux archanges, ils sont tout aussi grands et musclés. Leurs yeux ont une couleur surnaturelle : comme par exemple bleu-céruléen, vert-émeraude, gris-acier. Ils ont un visage séduisant et une aura magique puissante. Et bien sur, ils ont des ailes, qui représentent leur âme et un signe de démonologie sur la main avec les initiales de leurs âmes-sœurs.''

''Pourquoi ''âme-sœur'' est au pluriel ?''

''Les archanges peuvent avoir au maximum deux partenaires et sont bisexuels (ils sont attirés par les filles et les garçons). En général il y' a une personne ''soumise'' dans la relation qui servira à enfanter et une autre ''médiatrice'' qui fera en sorte que la relation fonctionne. L'archange sera le ''dominant'', qui va initier la relation et la protéger.''

Suite à ces mots, le cœur de Harry ressentit une étrange chaleur qu'il n'avait cru pouvoir éprouver, il aimerait avoir un archange dans sa vie !

''Pour ce qui est des elfes noirs, ils sont exclusifs, et ils sont hétérosexuels ou homosexuels. Les hommes peuvent enfanter comme les femmes. Par exemple, deux hommes ou deux femmes peuvent avoir des enfants naturels. C'est pareil pour les vampires (qui ont des calices) et les loups-garous.''

''C'est intéressant Tom. J'aimerais avoir un archange comme amoureux(se) et partager ne me dérange pas. Continue ton histoire s'il te plaît.''

''Bien. Un jour, je suis passé chez Hepzibah Smith (une cliente renommée) , dans l'espoir de lui faire vendre des objets précieux. J'ai revêtu mon masque charmeur jusqu'à ce qu'elle me montre la légendaire coupe de Poufsouffle : selon mes recherches, elle avait la propriété de faire en sorte que tes rivaux oublient leurs griefs envers toi et aussi de te soigner si tu bois dedans.''

''J'imagine que ton intérêt a été piqué.''

''Oui mais pas plus que ça. Par contre ce qu'elle m'a présentée ensuite était nettement plus intéressant : elle m'a montré un médaillon ayant appartenu à Serpentard, qui faisait ressortir tes craintes, ton côté sombre est exacerbé. J'ai décidé de faire une pierre deux coups : cette femme me voyait presque comme un fils et elle était riche, avec un serviteur sénile. Et elle possédait deux objets puissants.''

''Hum laisse-moi deviner … tu t'es servi du serviteur sénile pour voler la dame, ou pour la tuer discrètement. Ensuite tu as tué le serviteur et tu as fait des Horcruxes.''

''Et bien en fait, j'ai ensorcelé le serviteur (un elfe de maison) pour qu'il dorme durant trois jours, ensuite j'ai tué Hepzibah puis j'ai fait de la coupe un Horcruxe, je lui ai injecté du poison et j'ai dit à l'elfe que c'était une étourderie fatale. Comme prévu, j'ai eu les deux objets et de l'argent pour mes suivants. Pour ce qui est du médaillon, j'ai simplement tué un clochard moldu en rentrant à l'orphelinat (dans le Monde Moldu, on est majeur à 18 ans et je n'avais pas assez d'argent pour vivre seul).''

''Donc tu as fait 5 Horcruxes, tu es devenu à peu près riche, assez puissant politiquement. C'est quoi la suite ? Un voyage au bout du monde pour te faire des amis, voire d'autres cultures magiques ?''

''Eh bien oui, j'ai décidé de faire le tour du monde pour voir les différents points de vue sur la Magie Noire et me faire des alliés ; j'avais à peine 20 ans et on était à la fin des années quarante, j'ai pris mes Horcruxes avec moi, me gorgeant de leurs pouvoirs. J'ai appris beaucoup de choses, fait des rituels pour augmenter ma puissance, j'ai rallié pleins de personnes à ma cause … et en 1955, je l'ai rencontré LUI.''

''Lui ? Tu es tombé amoureux de quelqu'un finalement, je pensais que tu n'étais pas branché sentiments. Qui est l'heureux élu ?''

''Oui Harry, je suis tombé amoureux. Cet homme a brisé toutes mes barrières, ne m'a jamais jugé … il m'a rendu follement heureux. Il s'appelait Enrik, il avait mon âge, les cheveux aussi rouges que le sang, la peau mâte et les yeux bleus, grand et musclé … comme tu l'as compris, c'était un elfe noir. Son tatouage était un serpent doré typé incas. On s'est uni de toutes les façons possibles …''

''Que s'est t-il passé Tom ? Est-ce que c'est Dumbledore …''

''On est revenu en Angleterre en 1968, pour renforcer notre position politique et sociale : je voulais également légaliser le mariage entre âme-sœurs, peut importe s'il y avait des créatures magiques dans le lot. Mais le monde sorcier n'était pas d'accord avec mon point de vue ; des sorciers de la ''Lumière'', homophobes et xénophobes envers les créatures. Si cette guerre était déjà violente, elle a redoublé de dangerosité pour tout le monde…''

''Oh non … Enrik a été …''

''Oui Harry, il a été tué par Dumbledore lui-même quatre ans après notre retour. On avait comme projet d'avoir un enfant, il était enceinte de trois mois, blessé et à terre … il a prévenu Dumbledore qui l'a froidement exécuté. Je suis devenu fou de douleur et de rage : j'ai tué, torturé encore plus violemment qu'avant ; mais je ne touchais pas aux enfants ni aux âmes-sœurs.''

''Je suis désolé Tom, ce Dumbledore me paraît être un salopard de première ! J'aimerais l'avoir en face de moi, histoire de lui démontrer mon point de vue.''

''Je suis ravi de ton soutien Harry. Même si ton langage laisse à désirer. Toujours est-il que j'ai décidé de caché mes Horcruxes, on était alors en 1978 et la guerre faisait rage, je ne sais pas ce qui s'est passé par la suite … il faudra que tu te débrouille pour découvrir le reste. Voilà tu connais toute l'histoire.''

''Merci Tom, d'avoir fait preuve d'honnêteté. J'ai besoin d'un ami, quelqu'un qui me restera loyal … tu me veux toujours ?''

''Bien sur Harry ! Je serais ravi d'être cette personne, si tu veux de moi bien sur …''

''Assurément, partenaire. Maintenant je vais rentrer chez moi, il commence à faire tard … Pense-tu que je puisse ouvrir la caisse pour prendre un peu d'argent ? Ou dois-je utiliser mes charmes ?''

''Je vais t'apprendre un sort utile : même si tu n'as pas de baguette, il suffit que tu te concentre bien en le demandant à ta Magie. Puis prononce ''Alohomora'' en regardant bien la serrure. Prends de l'argent mais pas des gros billets et n'oublie pas de refermer.''

Harry range le journal et le stylo dans les poches démesurées de la chemise, puis il applique les conseils de son ami désincarné ; il se concentre au plus profond de lui-même, suppliant sa Magie de ne pas le lâcher. Il essaie une première fois, sans résultat, puis une seconde … il y a des cliquetis mais la serrure ne s'ouvre pas.

Se retenant de pester, le petit garçon touche la serrure de l'index avec des yeux noirs rempli de Magie, puis il répète la formule et voit le tiroir s'ouvrir ; ses yeux redeviennent normaux et un sourire épanoui naît sur ses lèvres.

Il prend tous les billets de 20 et de 10, ainsi que quelques penny. Évitant difficilement les grosses coupures, il était honnête mais pas à ce point … !

Une fois son forfait commis, il sort du magasin après avoir refermé la caisse, il se précipite dans le premier bus venu ; il a plusieurs arrêts avant d'arriver à Privet Drive, donc il en profite pour discuter avec Tom.

Celui-ci le félicite de sa prouesse, le rassure sur le fait que la Magie sans-baguette était un apprentissage long et fatigant, puis il parle des différentes Magies sur tout le trajet et Harry, pas pressé de rentrer dans son enfer, lui demande plus de précision à propos des créatures magiques qu'il a rencontré au cours de ses voyages.

Le parc est tranquille, comme c'était l'été il faisait encore jour après 18h, il n'y a plus personne, donc Harry peut apprendre et écrire dans le silence que confère la solitude. Lorsque le sujet parlant de l'économie sorcière fut épuisée, Harry prend la décision de rentrer.

Grâce à Tom, il a appris à rentrer sans faire de bruit et à cacher son précieux journal ainsi que l'argent qui lui reste. Puis le journal lui explique un rituel permettant de passer inaperçu pendant quelques mois – la durée dépendait de la puissance du sorcier, du moins la théorie car il fallait des objets et des ingrédients spécifiques pour pouvoir le faire.

Tom lui explique que s'il utilise ce rituel, il pourra en profiter pour apprendre la Magie, manger correctement et ne plus se faire frapper ; le temps d'être suffisamment fort pour vivre par lui-même et se venger.

Mais avant cela, il lui faut aller sur le Chemin de Traverse pour prendre de l'argent à Gringotts et ensuite se faufiler dans l'Allée des Embrumes.

''Dis Tom, on dirait qu'il y a plusieurs zones dans le Chemin de Traverse.''

''Oui, d'abord celui-ci qui représente le côté ''Lumineux'', ensuite il y a le côté ''Sombre'' qui est l'Allée des Embrumes. Puis tu as le Quartier des Hôtes, qui regroupe des hôtels et des restaurants, celui de l'Impasse des Fêtards, où il y a des endroits festifs. Et enfin, tu as la Commune du Géant, qui est un endroit fréquenté par des créatures magiques.''

Suite à ces explications, Harry doit préparer à manger et faire un peu de ménage : heureusement la soirée se passe bien, même si Vernon le regarde d'une façon malsaine. Ce qui fait que le petit garçon s'enferme dans son antre à double-tour et continua à parler du Monde Magique avec Tom, apprenant peu à peu les bases de son vrai monde.

Et voilà pour ce premier chapitre ! J'espère qu'il vous auras plu, je suis un peu nerveuse. En tout cas ce dialogue était long j'en suis consciente, mais j'espère tout de même que vous avez saisi la relation entre Harry et Tom : qui manipule qui ? Y'a t'il manipulation d'ailleurs ? Tom joue t'il la carte de la transparence ? Harry celle de la confiance ?

Et ben lisez la suite, qui arrivera dans quelques jours, en attendant portez-vous bien et laissez-moi plein de reviews !