Disclaimer: L'histoire et les personnages ne m'appartiennent pas. Il y a une scène de tentative de viol mais j'ai mis comme l'auteur un avertissement quand elle va avoir lieu si vous voulez la passe. De plus, ce chapitre m'a rendu très émotive durant que je traduisais, j'espère avoir réussit à mettre cette même émotion dans ma traduction :) Bonne lecture et merci de votre patience!

Chapitre 2

Peter leva la louche doucement vers les lèvres de la petite fille blonde, continuant de la tenir pendant qu'elle buvait lentement.

"Merci Peter!"cria-t-elle, les yeux bleus brillants lorsqu'elle le regardait et il lui donna un sourire affectueux.

"De rien, Gwen." Il leva son petit corps dans ses bras et la porta durant le chemin vers le village pour l'orphelinat.

Il allait donner son aide à l'orphelinat une journée par semaine depuis qu'il était petit et venait avec Tante May quand elle venait livrer des couvertures faites maisons pour les petits. Incapable d'avoir leurs propres enfants, May et Ben avaient passé plusieurs heures à aider la petite maison avec les réparations, la nourriture et faisaient des petits cadeaux pour les orphelins quand leur anniversaire arrivait. Même après que les parents de Peter aient décédé et qu'il se sont retrouvés à être soudainement les tuteurs de ce petit de quatre ans, aux grands yeux et au grand sourire, qui parlait vite, ils l'amenaient simplement avec eux.

Maintenant, Peter venait autant qu'il le pouvait pour livrer de la nourriture de May et de quelques marchés, pour aider avec les corvées, ou encore juste pour s'asseoir et jouer avec les enfants, qui étaient impatients de le voir et le saluèrent avec des cris et des rires. Normalement, il amenait un livre à leur lire, Monsieur Lee était toujours d'accord à n'en passer un pour la journée, mais aujourd'hui Peter avait passé tout son temps avec Gwen.

Sa gorge se serra un peu, regardant la brillante petite gamine de six ans. Personne ne savait vraiment ce qui n'allait pas avec la petite fille, juste qu'elle devenait de plus en plus faible depuis son quatrième anniversaire et n'ayant aucun docteur à plein temps dans le village et aucun moyen de l'amener vers de plus grosses cités pour les soins, elle disparaissait juste sous leurs yeux.

Ce qui avait commencé par une toux, durant un hiver particulièrement dur, s'était installée dans son torse et porté jusqu'à l'été, jusqu'à ne soit plus capable de courir avec les autres enfants sans avoir de la difficulté à respirer. L'hiver qui suivit lui en avait encore plus pris et durant les journées venteuse elle ne pouvait pas sortir du tout. Elle pouvait à peine descendre les escaliers pour le souper à la maison. Ses petites joues étaient trop rougeâtres, ses yeux un peu trop brillants, ses mains tremblaient quand elle prenait quelque chose mais elle avait toujours ce gros sourire pour lui.

Peter aimait Gwen comme sa petite soeur et ça lui faisait si mal de la voir partir si rapidement, de voir sa peau presque translucide et de savoir qu'elle ne sera pas là assez longtemps pour qu'elle ait une fleur sur celle-ci, ne verra jamais de vignes, de feuilles et des couleurs monter et descendre sur ses bras lorsqu'elle grandirait et qu'elle tomberait amoureuse et vivrait sa vie.

Et aujourd'hui, elle était pire comme il ne l'avait jamais vue, malgré son beau sourire, il pouvait entendre le crépitement à chaque respiration qu'elle faisait.

Alors Peter la serra fort quand il lui donna son câlin de revoir, l'allongeant sur le lit avec soin et elle leva les yeux vers lui solennellement. "Peter, quand je serais grande, voudrais-tu m'épouser?"

"Tu ne voudras pas de moi à ce moment, Gwen, ma puce."dit-il avec un gentil sourire. "Je serai vieux, ridé et répugnant et tu seras encore jeune et magnifique."

"Je suis sûre que tu seras beau même si tu es vieux, Peter"protesta-t-elle faiblement, se recroquevillant et toussant quelques fois et Peter toucha ses cheveux blonds pâles délicatement.

"Si tu pense encore que je suis beau quand je suis vieux alors ça me ferait plaisir de t'épouser."dit-il silencieusement et de l'autre côté du lit, la directrice de l'orphelinat tenait sa main devant sa bouche alors que des larmes commencèrent à tomber.

"Pourrais-tu me parler du Seigneur des Épines?"demanda-t-elle, sa voix semblant fatiguée mais elle tenait sa main serrée.

"Pourquoi voudrais-tu entendre cette histoire?"demanda Peter, essayant avec difficulté de ne pas laisser sa voix trembler pour ne pas qu'elle sache comment il était triste.

"Parce que tu la racontes mieux que personne."insista-t-elle. "Tous les autres disent que c'est une histoire de peur, mais pas toi. Tu dis toujours que c'est une histoire d'amour."

"Ma tante me la racontais toujours comme si c'était une histoire d'amour." Peter s'agenouilla au bord de son lit. "Elle me disait tout le monde voulait toujours être couvert de fleurs, en beauté, mais les plus belles fleurs étaient gardées par les plus grosses épines. Alors peut-être qu'à place d'être un signe du diable, ou sans âme, le Seigneur Noir était couvert d'épines parce que-"

"-son coeur et son amour était quelque chose à être chérit et à être trouvé seulement par la personne qui était prête à combattre ces épines pour le réclamer."finit Gwen, parce qu'elle avait entendu cette histoire plein de fois.

"C'est ça, ma petite." Il souria, tassant les cheveux de son front, sentant la température montée avec alarme, regardant alors que les petites rafales s'amenèrent et son petit corps commença à trembler.

"Pourquoi n'es-tu pas couvert d'épines aussi Pete?"demanda-t-elle, presque inaudible maintenant. "Je parie que ton coeur est fabuleux et c'est pourquoi qu'aucune fleur ordinaire s'est montrée sur toi. Je sais que tu n'aimes pas ta peau car elle est vierge, mais moi si. Tu es trop précieux pour des fleurs normales, tu as besoin de celles qui sont spéciales, pas vrai? Celles qui ont une signification?"

"Ça doit être pour ça que tu n'as pas de fleurs aussi."chuchota-t-il et elle lui hocha la tête, ses yeux bleus se fermant.

"Trop précieux pour des fleurs normales."murmura-t-elle et Peter tena sa petite main serrée jusqu'à ce que sa prise se desserre et tombe.

Peter était assit devant un petit tas de terre retournée, longtemps après que tout le monde avait quitté.

Le service avait été court et triste, et les enfants de l'orphelinat avaient pleuré pour leur ami, la directrice de l'établissement les gardait proche dans ses bras, des larmes coulant sur ses joues.

Peter avait erré dans la prairie jusqu'à ce que ses bras soient remplis et commença à arranger les douzaines de fleurs sur la petite croix de bois, lisant son livre de poésie jusqu'à ce que sa voix soit enrouée et que le soleil tombe.

Une fleur apparue sur sa peau cette nuit, sur l'un de ses côtes droites, une petite ne m'oubliez pas de la même teinte de bleu que les petits yeux de Gwen.

Et Peter jura et souhaita pour des épines à la place.

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"Peter." Tante May passa ses doigts dans ses cheveux pour le réveiller. "Peter, veux-tu venir avec moi au marché, Je ne veux pas te laisser tout seul."

"Non." Il se tourna vers l'autre côté de son petit lit, à l'opposé d'elle, ne voulant pas lui faire face cette journée. "Vas-t'en juste s'il te plaît."

"Je crois peut-être qu'une pause serait bien pour toi, mon coeur. Tu as été tellement triste depuis que la petit Gwen-"

"Tu peux t'en aller Tante May. Je veux juste m'allonger ici."

"Peter, je suis inquiète pour toi. Tu parle à peine maintenant. Tu es normalement si enjoué et c'est comme si ton étincelle était partie. Je ne t'ai pas vu sourire et tes yeux sont si triste, mon ange."

Il soupira et s'assit, frottant son visage avec lassitude. "Je suis correct. Gwen était-" Il avala difficilement. "Ça a été difficile mais je vais bien aller. Pendant que tu seras partie je peux construire un petit four avant l'hiver et nettoyer le jardin." Il soupira encore, ses épaules s'affaissèrent . "Quelques travaux physiques me feront du bien. Nous avons besoin d'un nouveau couvert pour le puit et-et-" Sa voix s'affaiblissait et May pris et tint sa main serrée.

"Est-ce-que je peux te rapporter de quoi? Pour ta fête? Nous l'avons jamais célébrer et quand Harry venait pour te voir tu ne descendait même pas."

"Je ne veux pas voir Harry."murmura-t-il.

La première chose que Harry a fait était de venir cogner, le matin de son vingt-et-unième anniversaire, appeler Peter pour le laisser entrer alors ils pourraient célébrer. Peter s'était juste cacher dans sa chambre, parce qu'il n'avait pas la patience ni l'énergie pour repousser l'homme persistant. Et aussi parce qu'il était effrayé qu'il soit si solitaire et désespérée pour n'importe qui, qu'il laisserait Harry le tenir dans ces bras. Ça s'était empirer dernièrement, l'agitation et le besoin d'avoir quelqu'un avec lui. La plupart des personnes de son âge avait déjà rencontré leur partenaire et lui n'avait jamais été embrassé.

Non, rien de bon viendrait en laissant Harry le tenir simplement parce qu'il était seul. Alors Peter resta dans le lit à la place, passant ses doigts sur les petites fleurs sur ses côtes.

"Tante May."dit-il silencieusement, serrant sa main. "Voudrais-tu me raconter l'histoire du Seigneur des épines encore?" Il s'allongea et elle commença à caresser son dos en faisait lentement des petits cercles réconfortants.

"Ils disaient qu'il vivait profondément dans les bois, tout seul dans ce château magique,"commença-t-elle doucement. "Couvert d'épines de la tête aux pieds. Quelques personnes disaient qu'il a été maudit parce qu'il était un cruel prince au coeur froid, si cruel que les fleurs refusaient de fleurir sur sa peau. Mais non, ce n'est pas vrai."souria-t-elle à son neveu, il était déjà endormi. "Le Seigneur des Épines attend seulement que quelqu'un d'assez fort puisse briser ces épines et trouver la rose qui est sur con coeur, celui qui sera la beauté de sa bête."

May ferma la porte de la chambre silencieusement, laissant Peter dormir sur le lit.

"Mon pauvre Peter."murmura-t-elle. "Un jour tu trouveras quelqu'un qui amènera une fleur à ton coeur."

"Es-tu sûr que tu ne veux pas venir avec moi?"demanda encore May et Peter lui donna un sourire, mettant la dernière des caisses dans leur vieux chariot.

"J'ai quelques semaines de travaux à finir ici avant que la saison commence à changer. Mais je viendrais après que j'aie fini et j'apporterai le reste des paquets et des vivres, au cas tu en auras plus, d'accord?"

May soupira et hocha de la tête et le pris dans un cours câlin. "Je vais t'écrire quand je serais rendu, attend toi à une lettre dans pas plus d'une semaine. Tu te souviens où Cousine Letty habite?"

"Bien sûr que je le sais et si ne m'en souvenais pas j'aurais demandé en ville." Il l'embrassa sur la joue. "Trois ou quatre semaines tout au plus, Tante May. Je t'écrirais quelques journées avant que je sois prêt à partir alors tu sauras quand m'attendre."

Elle le regarda quand même encore inquiète. "Tu mangeras, Peter, tu as perdu beaucoup de poids ces dernières semaines et -"

"Alec et Roberto continuerons à me faire manger, maintenant va vers l'hôtel avant qu'il ne fasse sombre." Le voyage pour le marché prenait deux jours et avec le chariot rempli ça pouvait prendre trois jours si elle ne partait pas assez tôt.

"Je t'aime Peter." May donna un câlin à son neveu.

"Fait attention à toi." Il lui donna un câlin en retour. Je te verrai bientôt."

La scène de tentative de viol, qui commence calmement et bien que pas trop intense, est ici donc si vous voulez la passer n'hésitez pas.
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"Peter!"appela Harry alors qu'il chevaucha vers la clotûre. "Peter!"

Peter soupira et déposa son livre, protégeant ses yeux du soleil alors que Harry descendit de son cheval et buta en quelque sorte et alla vers lui.

"Pete." Avec un sourire satisfait, Harry le rejoignit et même si Peter résista, il n'était pas égal à Harry, qui le tira dans une embrassade. "Tu m'as manqué. Je ne t'ai pas vu pendant des semaines, où étais-tu?"

"J'étais ici." Peter fut capable de s'éloigner, se mettant sur une des marches de la maison pour se faire un peu plus grand que Harry. "Tante May est partie donc je n'avais pas à aller au village souvent, je devais rester et finir quelques trucs." Ses yeux rétrécirent, regardant Harry. "Et tu es venu à cheval saoul?"

"Ne t'inquiète pas, j'en ai amené assez pour partager." Harry pointa vaguement en direction de son cheval. "Alors j'ai entendu pour ton ami, la petite fille." Les yeux de Harry s'assombrirent de sympathie. Il était parti à un voyage de chasse avec son père et il avait manqué le service. "Je suis désolé Pete, je sais qu'elle était très importante pour toi. Mais tu aurais pu me voir, une fois que j'étais à la maison, j'aurais pu t'aider à passer à travers. Ça sera ma job, d'être avec toi et je suis content de commencer maintenant." Un sourire sur les lèvres et il posa une main sur la taille de Peter, son pouce caressant sa hanche. "Pourquoi allons-nous pas à l'intérieur et avoir quelque chose à manger et à boire. Que faisais-tu de toute façon?"

"Lire."dit Peter, reculant d'un autre pas et jurant silencieusement quand Harry le suivit dans les marches. "Harry, regarde, je ne suis pas d'humeur à avoir de la compagnie et si tu es saoul-"

"Nous sommes amis, n'est-ce pas Pete?"demanda Harry, semblant contrarié. "Ne sommes-nous pas amis? Parce que dernièrement tu agis comme si nous l'étions pas et ça fait mal un peu." Il avança de nouveau d'un pas, face à face à Peter maintenant, planant presque sur lui et souria lentement. "Pourquoi es-tu aussi changeant avec moi?" Il leva son autre main pour tirer les cheveux épais de Peter. "Je veux être là pour toi et tu continues à me repousser. Tu me parle presque à peine maintenant. Tu avais tellement l'habitude d'être un moulin à paroles et maintenant je peux à peine avoir deux mots de toi. Je pensais qu'un peu de vin te relaxerais et tu es juste genre impoli après moi." Il tira plus fort les cheveux de Peter, forçant à la baisser par en arrière.

"Peut-être mais je ne veux pas te parler, Harry! Peut-être que je me suis tanné à t'entendre me dire que je parlais trop!" Il se retira et recula de quelques pas, les sourcils froncés de frustration. "Tu te moques de moi quand je lis, tu te moques de moi quand je parle trop, tu te moque de moi que je sois plus petit que toi. Puis, tu mets tes mains sur moi même si je ne veux pas que tu le fasse. Et maintenant tu ne comprends pas pourquoi que je ne veux pas être autour de toi? Je ne suis pas intéressé à être avec toi Harry. Laisse moi seul."

"Pete." Harry pencha sa tête et sourit un peu déconcerté. "Je suis le fils du Baron. Penses-tu que tu as le choix dans ce cas-là? Si je veux t'épouser, mon père fera en sorte que ça arrive. J'essaie juste de te rendre plus docile à cette idée. Tu verra, la vie avec moi sera bien. Je te fournirai et toi, tu pourras garder la maison au chaud et prête quand je retournais à la maison." Son sourire grandit. "Comme une bonne femme au foyer. Ou un mari au foyer je suppose." Il regarda Peter comme s'il s'attendait que Peter rit mais le terme de femme au foyer fut la seul chose que Peter avait entendu et se tenait droit, serrant les poings.

"Je ne vais pas te marier."dit Peter fermement. "Je ne serais jamais une femme au foyer pour toi ou quoique ce soit. À partir de maintenant toi et moi ne sommes même plus amis. Arrête de me toucher et part de notre propriété.

"Qui crois-tu que tu es, de me parler comme ça" La voix de Harry s'éleva de colère et il prit durement le poignet de Peter, le poussant dans les marches et contre la porte. "Je crois que tu as besoin d'apprendre à garder ta bouche fermée pour te garder hors du trouble."

"Harry-" Peter essaya de l'arrêter mais Harry le poussa, le mettant face au bois dur, tenant son bras derrière lui pour qu'il ne bouge pas.

"Je ne vois pas pourquoi tu te bats pour ça." La souffle de Harry était chaud contre son oreille, sa langue traçait le doux lobe d'oreille et Peter mordu ses lèvres alors qu'il commença à paniquer. "Pourquoi ne veux-tu pas ce que je peux te donner. Tu sais que je peux toujours l'avoir, non?

Il s'approcha encore plus, frottant ses hanches contre celles de Peter, soupirant doucement. "Mais je ne veux pas le faire comme ça. Pourquoi n'allons-nous juste pas à l'intérieur et nous pourrions en parler?"dit-il avec un petit rire et Peter grinça des dents à l'odeur sûre du trop plein d'alcool. "Tu vas être mien, Pete. Allons juste.." Sa voix diminua alors qu'il lécha le cou de Peter, une main rampant autour pour tâtonner l'attache des pantalons de Peter. "Un peu de vin te relaxeras et alors tu verras."

"Sois dur pour moi Peter."dit Harry haletant, ses hanches bougeant plus fort contre lui maintenant. "Allons à l'intérieur. Laisse moi te montrer comment les bonnes choses peuvent être entre nous. Je vais tout t'apprendre. Tout."

Pitié non. Peter ferma ses yeux, serrés, et essaya de disparaître, essayant de ne plus être là alors que Harry ouvrit la porte et entra, forçant Peter sur le divan.

"Non, Harry." Peter secoua la tête, rampant vers l'arrière alors que son ami s'approchait de lui déterminé, défaisant les attaches de ses pantalons. "Harry, arrête, s'il-te plait arrête seulement et tout ira bien. Tu peux aller à la maison et te dessoûler et nous pouvons juste oublier-"

"Je te voulais depuis si longtemps Pete." Les mots de Harry étaient mal articulés alors qu'il se plaça au-dessus de lui, son poids étant lourd sur les cuisses de Peter, l'immobilisant. "Je ne sais pas pourquoi que tu continues à dire non."

"Harry! Écoute moi! S'il-te plait!"

Mais Harry n'écouta pas et quand il couvrit le corps de Peter avec le sien, cherchant entre ses jambes et ça faisait mal, alors Peter pris la première chose qu'il pu et envoya un lourd vase aussi fort que possible sur la tête de Harry.

L'autre homme cria et tomba, tenant son visage alors que du sang commença à couler entre ses doigts et Peter sauta, le poussant durement.

"Va-t'en! Va-t'en,va-t'en,va-t'enVA-T'EN!" Il criait, pleurait et le poussa aussi fort qu'il pu et Harry chancela et tomba dans les escaliers, atterrissant dans la boue et la saleté.

Peter ferma la porte à double tour et s'affala sur le sol, se mettant en boule et laissant les larmes couler sur son visage.

"S'il-vous-plaît." Il cria dans la maison vide. "S'il vous plait, il doit y avoir autres choses de mieux que ça. Ça ne peut pas tout être là pour ma vie."

Il quitta le matin suivant à cheval, les sacs remplis de pommades et de crèmes pour sa tante, du pain de Alec et Roberto et son livre de poésie.

Écrivant une lettre rapide pour sa tante, la laissant savoir qu'il était en route, Peter partit, déterminé à ne jamais revenir.