Bonjour à tous et à toutes ! Nous voilà pour cette dernière avec l'apparition, cette fois, de Neji ! Ne vous en faites pas, j'ai mis une explication tout à fait logique (enfin, pas du tout, mais bon...) sur le fait qu'il soit encore en vie. Même si, la principale raison de sa survie est qu'il serait drôle de voir « Tonton Neji ». Osez me dire que ça ne serait pas super drôle. Enfin, quoi qu'il en soit, bonne lecture !

Disclaimer : Je ne possède pas Naruto, vu que Neji est en vie dans cette histoire.


Deuxième partie : Lorsque je suis mort.

De toute son existence, jamais Neji Hyûga n'aurait pensé vivre une telle situation. En même temps, il pensait peu à l'avenir, préférant vivre dans le présent et se morfondre dans le passé – oui, se morfondre du passé pouvait avoir de bonnes conséquences, qu'importe que les autres pensent le contraire. Bref, Neji Hyûga n'était pas quelqu'un qui voulait précipiter les choses et qui prévoyait le futur. Outre deviner les agissements de ses adversaires, il n'attendait rien d'autre de ses pensées sur le futur.

Alors, bien évidemment, jamais il n'aurait pensé se retrouver garder la fille de sa cousine. De même, rien que l'idée qu'Hinata soit marié à Naruto continuait de paraitre extrêmement déroutante dans sa tête, qu'importe combien il tentait de se rappeler des signes évidents de leur rapprochement. Certes, ils se ressemblaient. Mais cela ne suffisait pas, n'est-ce pas ? Après tout, une... Hyûga avec un... baka, sonnait étrangement. Mais Tenten lui répétait souvent que l'amour était un être étrange et passionnant et qu'il valait mieux de pas tenter de le comprendre et plutôt profiter de lui sans réfléchir.

« Neji-ojisan, on peut aller jouer ?

— Bien sûr, Himawari-chan », sourit Neji.

Une chose était sure : Neji ne pourrait jamais résister à la mine attendrissante de sa filleule. Hinata, extrêmement occupée en ce jour, lui avait confiée la garde d'Himawari, signe de sa confiance envers son cousin et, qu'importe ce qu'importance de ce qu'il aurait pu avoir à faire lorsque cette demande fut faite, il aurait tout laissé tomber pour s'occuper de celle qui le considérait à la fois comme son oncle et son parrain. D'une certaine façon, il était les deux, bien qu'il soit officiellement juste le parrain de la jeune fille.

Neji se leva du canapé sur lequel il était installé et attrapa les clés de l'appartement. Avant de sortir avec sa filleule, il s'assura que rien de manqua à la jeune fille. Combien même Himawari pouvait être rassurante avec son doux sourire et ses grands yeux bleus, il était hors de question qu'elle tombe malade par sa faute. Alors il attrapa le manteau de la jeune fille, qu'il garda avec lui, et un foulard rouge que Naruto avait offert à sa fille. Il lui passa autour du cou et, assurée que la jeune fille sous sa garde ne tomberait pas malade, ouvrit la porte pour la laisser sortir et ferma l'appartement avec le double des clés laissé par Hinata. Enfin, plutôt le triple puisque Naruto possédait lui aussi un double des clés.

« Alors, Himawari-chan, où veux-tu aller ? »

Sa filleule proposa, d'un air enjoué, d'aller au parc de loisir, ce que son parrain ne refusa pas. Pour l'instant, il ne faisait pas très frais et aucune signe qu'il pleuve prochainement. Alors que risquait-il de perdre en acceptant ? Absolument rien. Et puis, de toute façon, Neji n'était pas très doué pour trouver des activités intéressantes et divertissantes pour les enfants – bon, ses pairs aussi trouvaient ses occupations ennuyeuse mais là n'était pas le sujet – alors il préférait laisser ceux-ci décider d'eux même. De toute façon, comme on le lui répétait souvent, les enfants avaient beaucoup plus d'imagination que lui. Et avec Naruto qui appréciait beaucoup de pouvoir se moquer de lui, Neji préférait ne plus rien dire en compagnie de celui qui – à son plus grand regret – faisait partie de sa famille désormais.

«Eh, Neji-ojisan!»

Neji se crispa. Il reconnaissait parfaitement cette voix, et cela ne l'arrangeait guère. Pourquoi fallait-il que, de toutes les rues dans Konoha, il passa dans celle où se trouvait l'ainée des enfants Uzumaki ? Pourquoi ne pouvait-il pas juste surveiller Himawari sans croisé Boruto en chemin ? Comme quoi, qu'importe la manière, Naruto trouvait un moyen de lui gâcher l'existence, même avec un gosse accidentellement trop ressemblant ?

« Hashirama Senju, pourquoi haïssez-vous tant les Hyûga ? marmonna Neji.

— Neji-senpai ! Et Himawari-chan ! que faites-vous ici ? »

Neji fronça les sourcils. Peu de personnes l'appelaient avec ce terme honorifique et, dans ce lot, se trouvait...

« Mirai-san, salua poliment le garçon du clan Hyûga. Nous allons à l'aire de jeux. Et vous donc, que faites-vous à l'Ichiraku Ramen ? »

En effet, Mirai et Boruto étaient tous deux assis à l'Ichiraku Ramen, reprit par la fille de Teuchi, Ayame. Même si son propriétaire initial ne travaillait officiellement plus dans ce restaurant, il restait tout de même souvent présent aux côtés de sa fille pour l'aider avec son boulot.

« J'ai invité Boruto-kun manger des ramens, expliqua la jônin. Il n'arrêtait pas de me harceler avec ça, alors j'ai fini par accepter. Et puis, comme ça, il a promis de rester calme tout le reste de la journée. Pas vrai, Boruto-kun ?

— Mouaif ! » répondit le fils de l'Hokage entre deux bouchées de ramens.

Neji sourit. Il se rappelait clairement qu'Asuma se servait de cette même technique pour s'assurer de la bonne entente de l'équipe dix. En tout cas, il semblerait que cette méthode fonctionnait même à travers les âges, puisqu'elle maintenait en place l'un des garnements les plus épuisants de Konoha. De ce côté-là, Boruto ressemblait parfaitement à son père : aussi agaçant de son paternel à son âge. Peut-être que cette technique se transmettait comme la Volonté de Feu d'Asuma ? Dans ce cas, il faudrait penser à toujours conserve l'Ichiraku-Ramen, le seul restaurant de tout Konoha qui pouvait rendre docile les Uzumaki masculins.

« Eh, Himawari-chan, s'exclama son ainé, tu devrais goûter ces ramens, ils sont délicieux ! Mirai-oneesan, tu peux lui payer un bol de ramen ? Il faut qu'elle les goûte !

— Ha, ha, bien sûr ! C'est pas comme si ça me ruinait beaucoup, plaisanta l'héritière Sarutobi. Himawari-chan, tu veux un bol de ramen ?

— Neji-ojisan, je peux ? demanda joyeusement la fille d'Hinata.

— Bien sûr, répondit son parrain, qui ne voyait aucune raison de refuser. Mais si tu n'aimes pas, ne te force pas à manger. Mais ne donne pas non plus ton bol de ramen à son frère je suis sûr qu'il n'attend que ça.

— Même pas vrai ! s'offusqua Boruto. Je veux juste qu'elle goûte des ramens mais j'ai terminé mon dernier bol. »

Et avec trois bols désormais vide, Neji ne doutait pas que Boruto avait mangé bien assez de ramen comme ça. Non pas que cela paraisse choqué Mirai, qui semblait prête à payer une nouvelle tournée au jeune héritier s'il le désirait. À n'en pas douté, sur ce point, elle était exactement comme son défunt père : extrêmement généreuse, souvent à son dépend puisque les autres en profitait sans honte. Le jour où elle s'occuperait d'une équipe de genins, Mirai comprendrait que cette gentillesse lui coûterait très cher – littéralement puisque son porte-monnaie se viderait très rapidement sans qu'elle ne le remarque.

« La prochaine fois, Neji-san, vous payerez ? sourit Mirai alors que celui-ci et Himawari s'asseyaient à leurs côtés.

— Hein ? Je n'ai pas...

— Ouais ! s'exclama Boruto. Neji-ojisan, tu nous emmèneras à l'Ichiraku-Ramen ? Génial !

— Mais...

— Merci, Neji-ojisan ! ajouta la cadette de la famille.

— ... D'accord, je le ferai », soupira l'Hyûga — il n'avait aucune chance de gagner avec ses protestations interrompues sans cesse.

Au pire, il demanderait à Naruto de le rembourser.

«Neji-ojisan, Neji-ojisan! Appela Boruto impatiemment.

— Boruto-kun, je ne suis pas sourd, grommela Neji. Qu'est-ce qu'il y a ?

— Otou-san nous a dit que tu étais un héros, c'est vrai ça ?

— Je ne vois pas du tout de quoi ton père veut parler. C'est quoi encore cette histoire de héros ?

— Mais tu as fait la guerre ! et t'es revenu à la vie ! C'est vrai puisque c'est otou-san qui me l'a dit !

— Vous êtes revenu à la vie, Neji-san ? s'étonna Mirai. Vraiment ? J'ai souvent entendu parler de l'Alliance Shinobi lors de la Quatrième Grande Guerre Shinobi mais je ne savais pas que vous étiez si célèbre ! Comment avez-vous fait pour revenir à la vie ?

— Déjà, pour commencer, ton père raconte n'importe quoi, Boruto. Je n'étais pas mort mais dans le coma.

— C'est quoi la différence ? demanda le jeune garçon.

— Euh... Laisse tomber.

— Alors raconte-nous ce qui s'est passé !

— Non.

— Himawari-chan ! s'exclama Boruto en se tournant vers sa jeune sœur. Aide-moi à convaincre Neji-san de nous raconter ce qui s'est passé !

— Boruto-kun, n'entraine pas ta sœur dans tes histoires et...

— Neji-ojisan, raconte nous ! supplia la cadette avec une moue adorable.

— ... Mmh... fut la réponse d'un Neji très influencer par sa filleule. Ha, d'accord.

— Ouais ! s'écria Boruto. Je savais qu'il ne te résisterait pas, Himawari-chan ! T'es la meilleure.

— C'est pour ça que je hais les enfants... marmonna l'Hyûga.

— Vous avez dit quelque chose, Neji-san ?

— Rien ! Bon, où commencer. Boruto-kun, si tu t'avises de me dire ''par le début'', gare à toi.

— J'allais pas faire ça, voyons, mentit le jeune garçon avec un grand sourire empli d'innocence, trop béat pour être honnête. »

Après quelques secondes de réflexions, Neji soupira et commença son récit, sous l'oreille attentive de son entourage qui s'impatientait de connaitre son histoire.

« Tout commença par ma mort. Bon, ça peut paraitre bête, mais c'est comme ça. Alors tout commença lorsque je fus tué par Jûbi en tentant de protéger vos parents, Naruto-kun et Hinata-chan. J'étais en paix avec moi-même, libéré de tous mes soucis et prêt à accueillir la mort à bras ouverts. Disons que, ça ne s'est pas vraiment passé comme prévu...

Il ne ressentait aucune douleur, voir rien du tout. Ainsi, voilà comment l'on se sentait une fois mort ? Comme si un creux intérieur avait dévoré votre cœur. Cela était très étrange, mais la mort était après tout mystérieuse, alors il ne fallait sans doute pas tenter de la comprendre. Il ne comprenait pas comment, mais il se savait allonger au sol. Où ? Voilà la grande question. Lentement, il prit son courage à deux mains et ouvrit les yeux. Ce qui le vit le surprit.

Il reconnaissait cet endroit. Certes, tout était beaucoup plus blanc qu'auparavant mais il voyait encore le ciel, les nuages, les arbres, la terre et les gradins. Cette arène, il l'aurait reconnu entre mille. C'était celle de l'examen des chûnin, celui-ci durant lequel il avait perdu contre un quelqu'un qu'il considérait comme un raté. Ironiquement, cela lui donnait envie de rire. Mais le contexte ne s'y prêtait pas. Il se leva et fixa les alentours. Que faisait-il au centre de cette arène, absolument déserte de monde, avec un silence très inconfortable et inquiétant.

« Si cela est vraiment l'autre monde, il est dénoué de tout intérêt, moqua Neji pour lui-même.

Peut-être pas autant que tu le crois. »

Neji se retourna brusquement au son de la voix, mais il n'y avait personne. Il fronça les sourcils, regrettant de ne pas pouvoir utiliser son Byakugan

« Qui est là ? demanda-t-il. Montrez-vous !

Ça va... Pas la peine de grogner comme un chien enragé... »

Une nouvelle fois, l'Hyûga se retourna et cette fois, il vit son interlocuteur, et en fut très surpris. C'était un garçon, approchant son âge, vêtu d'un Shihakushō, un habit semblable robe noire et tenue par une ceinture blanche, d'une paire de sandale et d'une lanière rouge qui servait à maintenant le fourreau de son épée, qu'il portait dans le dos. Outre cela, ce garçon avait des cheveux orange ébouriffés et un regard perçant, qui laissait deviner un profond désintérêt.

C'était assez bête mais Neji s'attendait presque à voir Naruto au lieu de ce garçon. Après tout, vu l'endroit où il se trouvait...

« Qui êtes-vous ? questionna Neji.

Je suis le Shinigami envoyé pour toi », répondit l'inconnu avec lassitude.

S'il n'était pas mort, Neji n'y aurait pas cru. Après tout, ce n'était pas vraiment comme cela qu'il s'imaginait les dieux de la mort. Il le pensait plutôt avec des longs cheveux blancs, un vêtement vierge de toute couleur, et un corps grisâtre, comme le contaient les légendes parlant de la technique interdite de l'Emprisonnement des Morts.

« Je n'ai jamais entendu dire que les dieux de la mort étaient si... particuliers, réfuta Neji.

Oh, ça va ! C'est pas parce que j'ai pas un masque en forme de tête de mort, une faux et des yeux rouges que je suis pas un Shinigami ! s'offusqua le garçon aux cheveux orange. Bon, de toute façon, je suis pas venu ici pour parler de comment doivent-être physiquement les Shinigami. En plus, j'ai pas le temps pour ça.

Tss, comme si j'avais le temps et l'envie de bavarder avec vous, de toute façon.

Y'a vraiment plus de respect pour les Shinigami, c'est désolant... Bon gamin, on va aller droit au but : si je suis ici, c'est pas pour te faire passer dans l'autre monde, c'est clair ? »

Neji cligna des yeux. Il devait rêver, ou alors il avait, pendant toute sa vie, donné beaucoup trop d'importance aux Shinigami. Car en plus d'être très excentrique, ce dieu de la mort lui racontait n'importe quoi ! Il n'avait quand même pas besoin d'être Hashirama Senju pour savoir qu'il était mort tout de même !

« Oui, bon, je sais que c'est un peu bizarre à comprendre mais c'est un truc très spirituel et j'ai franchement pas envie de t'expliquer, admit l'esprit. Donc on va faire simple : je suis ici pour te faire une proposition unique. Si je puis dire, la proposition de toute une vie.

... Vous êtes vraiment un Shinigami ?

Puisque je te dis que oui ! Pourquoi tout le monde n'arrête pas de me poser la question ? Vous avez jamais vu de Shinigami ou quoi ?... Euh, répond pas à cette question. Bref ! Comme je te le disais, avant d'être interrompu, je vais te faire une proposition qui pourrait changer ta vie à jamais. Serais-tu prêt à accepter ?

Faudrait peut-être me dire c'est qui avant de me demander si je le veux ou pas.

Ah oui, mince... Bon, voilà l'offre que les Shinigami ont décidé de t'accorder. »

— Et là, il m'a dit qu'il pouvait me laisser revenir à la vie, mais qu'en contrepartie, je ne pourrais plus jamais utiliser mon chakra et donc je devrais abandonner ma carrière de ninja, termina Neji.

— Oh ! et tu as accepté ? demanda bêtement Boruto.

— Tu sais, Boruto-kun, si Neji-san est ici, je pense qu'il a accepté, expliqua doucement Mirai.

— Ah oui, ha, ha... »

Neji soupira de nouveau. Il avait choisi de vivre et, à peine quelques jours après la fin de la guerre Shinobi, avait repris conscience. Ce fut à ce moment qu'il sut qu'il avait fait le bon choix : en voyant la joie et le soulagement illuminés les visages d'Hinata et Naruto, de ses coéquipiers et de son sensei. Il avait compris que ce choix fut le bon quand Naruto lui déclara qu'il allait se marier avec sa cousine, quand on lui annonça qu'il serait le parrain d'Himawari et qu'il déclara son amour à Tenten et qu'elle accepta de l'épouser en retour. Dans ces moments de joie, il ne doutait pas qu'accepter de revenir dans ce monde était la meilleure des solutions et qu'il ne la regrettait pas un instant.

Sauf peut-être quand Naruto lui confiait la surveillance de Boruto. Après tout, Neji avait beau avoir été un grand jônin, avoir participé à la Quatrième Grande Guerre Shinobi, avoir rencontré la mort et être revenu parmi les vivants, il y avait des choses qu'il ne pouvait pas faire. Et s'occuper du fils de Naruto faisait partie de ce qu'il était incapable de faire. Heureusement que le Nanadaime Hokage s'était trouvé une autre victime – enfin, un autre volontaire pour s'occuper de Boruto. À côté de lui, Himawari était un ange à garder.

«Boruto-chan!

— Oh ça va, tu n'allais pas finir tes ramens de toute façon, Himawari-chan ! Tu peux bien en laisser à ton gentil grand frère, non ?... HA ! »

Neji cligna des yeux alors qu'il remarqua que Boruto venait de tomber à la renverse. Toujours assise, Himawari souriait, son bol de ramen en main. Neji fronça les sourcils. Avait-il rêvé ou sa filleule venait d'utiliser son chakra pour pousser son frère ? Neji secoua la tête. Non, cela ne devait être que son imagination. Himawari ne pouvait pas déjà savoir utiliser son chakra, n'est-ce pas ?

Peut-être faudrait-il qu'il s'inquiète pour les parents des deux enfants ? Naruto et Hinata promettaient d'avoir bien du souci avec Boruto et Himawari !

Ce fut dans ces moments-là qu'il était très content de ne pas encore être parent. Quoi que, Tenten commençait à parler d'enfant... Lui aussi devrait s'inquiéter, mais pour lui, surtout. Surtout si Tenten désignait Lee comme parrain. Là, ça serait dramatique.

Bon, quand est-ce que Naruto revenait, histoire qu'il s'occupe de ses enfants ?


Et voilà la fin de cette deuxième partie ! J'espère que vous avez tout autant apprécié ce chapitre et, pour ceux qui l'auront peut-être reconnu, le Shinigami est une référence directe à Bleach, parce que je trouvais que ça serait amusant, et que je n'avais pas d'autres idées pour un dieu de la mort sympa.

En tout cas, merci d'avoir lu et je serais très contente que ça vous ai plût.