Cinis in a Pompeia romance

(Cendres sur une romance pompéienne)

Résumé:

La trahison était quelque chose dont été habitué Harry Potter maintenant. La souffrance encore plus. Mais la mort, Harry donnerai tout ce dont il avait de plus précieux pour l'évité, surtout si c'était pour mourir aussi misérablement et aux bénéfices des traîtres. C'est pourquoi, quand on lui donna le moyen de sauvé sa vie, il fit le choix de l'empoché sans remord et avec l'espoir d'une vie meilleure. Une chance de vivre et non plus de survivre... en quelque sorte. Un autre univers, une famille et une nouvelle vie, voilà l'existence qu'à toujours rêvé le jeune homme... si seulement sa mère et sa sœur aînée ne voulait pas se débarrasser de lui avec l'aide de son ancien directeur ou que cette créature beau en diable avait maintenant pour seule vocation de faire de lui son seul et unique calice.

Harry vous à-t-il déjà dit à quel point il pouvait attiré les problèmes ? Non ? Et bien, maintenant vous le savez.

Disclaimer(s) : Rien ne m'appartient bien sûr – à part les OC – sinon tout revient à la sublimissime J.K. Rowling, créatrice de cet univers incroyable ! Je ne touche donc aucune forme de rémunération quel qu'elle soit (à part les review lol) !

Thème(s) : Créatures magiques / réincarnation / autre Survivant / antiquité / UA

Genre(s) : Romance / famille / drame / aventure.

Sous-genre(s) : Vampire fic / elfe fic / slash / bashing.

Warning(s) : Cette histoire contiendra du YAOI, du MPREG (implicite ou explicite, je ne sais pas encore), des personnages OC, certainement OCC aussi, et des personnages BASHING. /!\ Pour toutes personnes à qui cela ne plaît pas, je ne les obliges en aucun cas à lire cette histoire ! Vous voilà prévenu !

Pairing(s) :

- Draco M. x Harry P.

- James P. x Lily P.

Bashing(s) :

- Albus Dumbledore

- Lily Potter

- Les Weasley (Molly, Percy, et Ron) sauf Arthur, Ginny, Fred et George (Bill et Charlie ne seront juste que mentionné par moment mais pas réellement présent)

- Hermione Granger (dans un certain sens)

/!\CE QU'IL FAUT SAVOIR/!\

Note 00: Il faut savoir que je ne déteste pas Dumbledore, les Weasley ainsi qu'Hermione (il y a juste son côté « Miss-je-sait-tout » qui ne me revient pas), c'est juste que pour les besoins de l'histoire, ils se doivent malheureusement de tenir le mauvais rôle. Et puis, j'avoue que j'ai un petit faible pour les histoires dans lesquels ils ne sont pas très gentil :p.

Note 01: Cette histoire est légèrement inspirée de l'étonnante fic La Beltane de Sucubei qui elle-même c'est inspirée de la fic anglaise Veela inheritance problems de Sakya. J'ai juste emprunter le concept de la cérémonie, le reste c'est mon imagination qui s'est fait plaisir.

Note 02: La fic est totalement un UA est ne suit pas du tout le canon originel.

Note 03 : Oui, je sais ce que vous allez me dire (lol), encore une fic qui met en avant des vampires. Cependant, j'espère avoir assez « revisiter » le mythe du vampire en lui ayant apporté une touche d'originalité.

§ § § : Cela indique le commencement et la fin des flash-back.

Mon temps de publication sera (à mon avis) totalement aléatoire même si j'essayerai de publié un chapitre toute les deux semaines environs mais je ne peux rien vous promettre quand même, cependant je n'abandonnerai aucune de mes histoires et si cela devait malheureusement être le cas je vous assure que vous seriez automatiquement prévenu grâce à mon profil.

Je suis désolée pour les fautes d'orthographes et de grammaires que vous pourriez décelé durant votre lecture, j'essaie de faire mon maximum pour les évités mais je ne suis pas une pro dans se domaine.


Prologue,

Quand tout ce termina…?

Quelque part en Angleterre,

18 Juin 2008,

On disait toujours de la « mort » qu'elle était une nouvelle étape.

Un nouveau commencement dont il ne fallait pas craindre mais accueillir comme une amie.

On affirmer qu'elle était synonyme de « repos éternel ».

Qu'elle n'était qu'une passerelle vers une nouvelle vie, un nouveau commencement.

Cependant, tous ces « on-dit » ne rassuraient pas pour autant le jeune homme à terre, ensanglanté et meurtrie, dont la vie elle-même était sur le point de le fuir de la manière la plus douloureuse qui soit. Car, malgré toutes les choses rassurantes que l'on disait sur elle, il ne désirait pas les éprouver maintenant.

À un si jeune âge.

Car oui, il était encore bien jeune pour devoir accueillir la mort. Il n'avait même pas atteint ces vingt-huit ans et possédé surtout toute la vie devant lui. Tout ceci était bien injuste à ces yeux.

Mais, sa vie l'eu toujours était quand on y regarder de plus près.

Seulement pour en connaître le tournant, il fallait en commencer par le commencement…

… ... ...

« Il était une fois, l'histoire d'un jeune garçon trahis par les siens.

C'était une histoire bien triste et sombre.

Un genre de conte que l'ont raconté maintenant aux jeunes enfants pour leur rappeler la tragédie, la traîtrise même de se garçon autrefois tant vénéré par les leurs.

Mais il a sombré dans les Ténèbres, disait-on, obscurs et froides… impénétrable.

Cependant, l'histoire en elle-même était mensongère.

Pour la comprendre, il fallait donc commencer par le début.

C'était il y a bien longtemps, alors qu'il n'avait même pas encore ces dix-huit ans. Il était jeune, un peu naïf malgré toutes les épreuves qu'il avait endurer tout au long de sa brève vie et surtout, il ne connaissait que la surface d'un monde qu'on ne chercha pas à lui expliquer en profondeur.

Qu'ils faisaient exprès de le laisser aussi ignorant.

Comme à chaque fois.

Après tout, comment aurait-il donc pu savoir à l'âge de douze ans que parler une autre langue, pas n'importe laquelle bien entendu, celle des serpents, le laisserai ainsi à part, tel un paria ?

Que tous croyaient ce dont ils voulaient bien croire et qu'ils aimaient – adoraient même – faire d'un pauvre enfant un bouc émissaire quand les choses ne leurs plaisaient pas. Comme, par exemples, sa participation fortuite au Tournois des Trois Sorciers qu'il n'avait jamais désiré ou même encore sa révélation du « retour de Voldemort » que tous s'étaient évertuer à démentir – préférant croire le ministère alors qu'il l'avait réellement vue de ces propres yeux et combattu de sa baguette – pour le faire ainsi passer pour fou. Et bien entendu, hypocrites qu'ils étaient, de revenir vers lui la bouche en cœur et s'excusant à peine de la douleur de leurs attitudes à son encontre quand ils remarquèrent qu'il ne s'était pas tromper.

Comment aurait-il pu aussi savoir qu'il devait se sacrifier à seulement dix-sept ans pour le bien d'une communauté entière et ceux, juste parce qu'il détenait, accrocher à sa propre âme, celle de son ennemi juré ?

Qu'il n'était alors qu'entré dans ce monde envahi par la magie, le mystère et la fantaisie que pour y mourir même pas sept ans plus tard et ceux pour des personnes qui s'étaient égosillé de lui ?

Il n'était en fin de compte qu'un « porc élevé pour aller y mourir à l'abattoir », seulement là, introduit dans ce monde magique que pour y faire la basse besogne dont on l'avait affligé.

Cependant, à la surprise de tous, il n'était pas mort comme beaucoup l'auraient pensé. Mais lui en à été soulager, heureux de pouvoir continué à vivre même après son enfance volé et toutes les horreurs qu'il avait vécu en parallèle.

Le jeune garçon qu'il été c'était simplement réjoui maintenant de ne plus entendre parler de ce mage sombre et perfide, car il avait réussi à détruire tous les Horcruxes qu'il avait éparpillés, pouvant alors anéantir l'âme de cet homme cruel et froid.

Seulement, au lieu de fêté une grande victoire, il fut arrêté mystérieusement.

Peu de temps après, le jeune garçon fut alors emprisonner dans l'une des plus sombres et obscures cellules du ministère. Dans les entrailles même du bâtiment de marbre qui resplendissait dans ces plus hauts niveaux alors que la déchéance et la misère exulté de ces sous-sols. Les hurlements de douleur et de désespoir qui remplissaient les bas-fonds du ministère était devenu son quotidien et le faisait tremblait à chaque fois.

Les pas dans l'immense couloir de pierre froide, d'où aucune lumière ne pouvait vivre assez longtemps pour l'atteindre, résonnaient lourdement, terrorisant les « habitants » des lieux. Les « visites » des bourreaux se faisaient aléatoirement, faisant monté l'appréhension des prisonniers qui redoutaient ces dernières. Après tout, la douleur qui en ressortait à chaque fois était cuisante et les laissé meurtri.

C'était la même chose pour lui.

Lui qui y vivait depuis presque dix ans.

Dix ans de douleurs, de pleurs et de peur.

Il avait tout subis.

Les tortures, toutes plus inventives les unes des autres. Et même si ces bourreaux étaient des sorciers – des fameux sorciers de la « Lumière » – ils paraissaient beaucoup adoré les méthodes de torture Moldus, parfois plus salissante.

Le fouet, le tisonnier brûlant, les couteaux, les poings, les coups de pieds… et ceux, sans oublier pour autant les sortilèges.

Tous étaient bons pour lui faire le plus de mal possible.

Cet endroit était bien pire que la prison d'Azkaban pourtant très réputé pour faire perdre la raison à ces détenus. Il se demanda en fait, si il n'aurait pas préféré devenir fou par la présence continuelle des Détraqueurs plutôt que de subir l'horreur des tortures toutes plus vicieuses les unes des autres.

C'était beaucoup… beaucoup pour un jeune garçon de son âge. Il n'avait que dix-sept ans à l'époque après tout, même si maintenant, il en avait presque vingt-huit.

Ici-bas, il se languissait de la chaleur du soleil sur sa peau, lui qui était gelé par le froid environnant. Aucune fenêtre n'habillait sa cellule. Il était dans le noir le plus complet, frissonnant de froid.

A sa plus grande consternation, il y a cinq ans à peu près de cela, plusieurs prisonniers furent amenés d'Azkaban. Les pires engeances du monde magique d'après ce qu'il avait compris. Il avait appris que la plupart faisaient partis de ceux qui avaient suivis Voldemort et qui furent arrêter à la fin de la bataille final, et qui serait assurément heureux de le voir, lui, mort.

Il était donc entouré de quelques-uns des plus grands criminels qui n'eurent jamais existé ici.

Heureusement pour lui, aucune de ces personnes n'étaient au courant de son identité, car il fallait être honnête, l'un d'eux aurait tout donné pour venger leur Maître en le tuant. Il sût donc que c'était là une nouvelle torture de la part de ces bourreaux qui désiré l'effrayé encore plus que son esprit l'était déjà, vivant dans la crainte qu'un jour, l'un de ces prisonniers qui abhorré son existence ne prenne conscience de cette dernière non loin d'eux. Il était donc resté silencieux durant ces cinq dernières années. Il n'avait pas émis ne serait-ce qu'un seul mot, qu'un seul son. Il avait peur de se trahir, sinon. Il n'avait donc rien dit. Le jeune homme ne savait même plus si il avait encore une voix et ne chercher pas à le savoir pour l'instant.

Tout ce qu'il faisait à longueur de journée était de ressassé le passé.

Longtemps, il à pleurer la traîtrise de ceux qu'il avait considéré comme sa famille, ces amis, ces proches. Après tant de temps passer dans cette prison, beaucoup l'aurait pensé être devenu fou, surtout pour un jeune garçon de dix-sept ans, toutefois, le garçon avait réussi à garder une part d'esprit. Croyant, espérant que tous se rendent compte de leur erreur et le sauve de cet endroit maudit.

Malheureusement, il n'eut jamais de nouvelle.

Rien.

Comme si il n'existait plus pour eux.

Et cela faisait bien dix ans, dix ans qu'il continuait de pourrir ici, dans sa petite cellule miteuse.

Et tout ceci, par leur faute.

Lui, celui que l'ont nommé autrefois le célèbre Harry Potter, le Garçon-Qui-Avait-Survécu, le Survivant. Celui qu'ont avait élevé sur un piédestal et que l'ont avait lâchement abandonné, houspillé et trahis. Pour eux, son innocence n'était pas possible, car ils étaient sûrs et certains de sa culpabilité.

Harry se rappeler que sous le choc de ces accusations, il ne s'étaient même pas débattu quand ils l'avaient emmené, les chaînes lourdes aux poignets, comme un criminel juste après qu'il est terrassé Voldemort.

Il avait été bien trop choqué pour réaliser ce qu'il lui arrivé sur l'instant.

Les jours qui suivirent furent alors ceux de son procès ou beaucoup de ce qu'il avait cru être ces amis et sa famille avait témoigné contre lui, l'abandonnant sans aucune once de remords.

Affirmant qu'il était dérangé mentalement et qu'il était dangereux.

L'accusant d'être le futur mage sombre qui avait pour ambition de dominer leur monde afin de les asservirent, prédominant les sang-pur et voulant certainement éliminer les nés-de-Moldus ainsi que les Moldus, et bien sûr, d'avoir laissé périr bon nombres de sorciers sous les malédictions des Mangemorts.

Et dire que c'est ces mêmes amis avec qui il avait tout partagé qui le considéré comme un criminel en puissance alors qu'ils se connaissaient depuis sept ans.

Ils auraient dû donc savoir qu'il été incapable de faire autant de mal que Voldemort lui-même !

De vouloir prendre sa place !

Même si il trouvait que Voldemort était un ange maintenant comparé à Dumbledore, surtout quand il avait vu que se dernier avait été le premier à l'enfoncer !

Et Harry c'était donc mis à penser que cela fut orchestré depuis longtemps, ce servant de lui comme d'une marionnette parfaitement docile jusqu'à ce qu'il est réalisé sa basse besogne.

La douleur en eu été cuisante. Ça l'avait énormément blessé. Il avait l'impression que ces amis, leur amitié avec eux était fausse depuis le début. Le pire, c'est qu'il avait compris qu'on c'était servis de lui mais qu'en plus, personne ne l'aimer réellement.

Qu'il était seul.

Si seul.

Il l'avait vu dans leurs regards, leurs expressions.

Et de voir que pratiquement toute la famille Weasley avait témoigné contre lui, de voir sa meilleure amie, Hermione lui jeté un regard hautain plein de dédains et de satisfaction, et de voir la plupart des Gryffondor se moqués bien ouvertement de son sort avait été une torture.

Les autres maisons de Poudlard avaient eux aussi eu des réactions différentes à ce moment-là. Les Poufsouffle lui avait lancé des regards empli de dégoût, ne comprenant pas le moins du monde comment il avait pu essayer de soi-disant les « berner » et toujours rancunier qu'il est laissé mourir Cédric Diggory. Voir, qu'il ne l'ait pas tuer lui-même enfin de compte. Les Serdaigle avait essayé d'analyser la situation comme toujours, cherchant à expliquer ceci et cela tout en se fichant bien de son sort en vérité. Et les Serpentard, Harry avait été surpris de ne voir que confusion chez eux, lui qui aurait pensé les voir se réjouir de son sort.

Même Malfoy avait eu l'air choqué et totalement perdu !

Lors de son procès, quelques-uns avait essayé de le défendre, en vain. On les avait brutalement bannis de la salle d'audience. Neville Londubat avait, au plus grand choque du brun, pestiféré à l'encontre de tout le monde, lui qui avait était si timide et discret, tout comme les jumeaux Weasley.

Puis, pour ce qui était de Dumbledore, ce dernier n'avait pas paru avoir eu le moindre remord à témoigner contre lui, Harry aurait même pu jurer avoir vu un éclat brillant de satisfaction éclairaient ces yeux bleus.

Le Ministre de la Magie, un certain Rufus Scrimgeour, qui présidait le conseille, était quand à lui entièrement exalté et ne s'en était pas cacher. Pourtant, Harry ne comprenait pas pourquoi il semblait si heureux de le faire souffrir surtout qu'il ne le connaissait pas vraiment.

Plusieurs membres du Magenmagot étaient là aussi, tous portant sur leurs faciès la même joie sinistre que leur Ministre.

Ils avaient tous témoigné contre lui.

Il s'en souvenait encore comme si cela c'était passé hier...

§ § §

Tribunal, Département de la justice magique, Ministère de la Magie, Angleterre,

18 Juin 1998,

Silence dans la salle ! Silence ! s'était écrié le Ministre à l'aide de son petit marteau avec lequel il frappait la table qui était devant lui.

Tous s'étaient alors tût pendant que lui les observait toujours sous le choc des derniers événements.

Nous sommes tous réuni ici afin de jugé les actes ignobles d'Harry James Potter pour la tentative de reprendre les actes perpétrer par le Seigneur des Ténèbres comme son Héritier, de vouloir éliminer purement et simplement les nés-de-Moldus et les Moldus, et d'avoir laissé périr bons nombres d'élèves de Poudlard ainsi que bien d'autressorciers. Nous allons donc accueillirent plusieurs personnes désirant témoigner. Nous appelons à la barre, Albus Perceval Wulfric Brian Dumbledore.

Le vieux directeur s'était dirigé et assis sur la chaise mise à disposition pour les témoins.

Albus Perceval Wulfric Brian Dumbledore, nous confirmez-vous que l'accusé ici présent, aurait été capable de tels actes envers la communauté des sorciers et ces camarades ?

Je ne le confirme pas monsieur le Ministre… commença-t-il en lançant un regard à la petite personne enchaîner à la chaise devant lui.

Le jeune accuser relava les yeux, l'espoir s'insinuant dans tout son être.

Il se désola de ne pas avoir eu foi en son bien aimé directeur. Son précieux mentor. Il n'aurait pas dû douter de lui alors qu'en fait il avait essayé tout simplement de trouver une solution pour le sortir de se traquenard, comme lors de sa cinquième année.

Mais il déchanta bien vite.

— … je l'affirme ! fit Dumbledore en lui lançant un regard triste et à la fois joyeux.

Cela ne le rendait que plus détestable et effrayant.

Monsieur Potter ici présent me paraissait un peu instable depuis que l'ont à appris qu'il pouvait parler la langue des serpents lors de sa seconde année. Plusieurs de ces camarades de dortoir m'ont affirmé que monsieur Potter était devenu étrange et distant avec eux, ces amis les premiers. Je me désolerais toujours de ne pas avoir vu le déclin de ce pauvre garçon qui sombrer petit à petit dans les Ténèbres, fit le directeur avec un air contrit.

L'accuser avait une folle envie de pleuré tellement il se sentait blessé par ce que son précieux directeur et mentor avait osé lui faire, surtout que tout ceci était faux !

Entièrement faux !

Lui donner une étincelle d'espoir qu'il lui a arraché aussi vivement.

Rufus hocha la tête, satisfait.

C'est stupide ! s'écriât d'une même voix George et Fred Weasley. Harry a sauvé notre petite sœur ! Il a sauvé le monde magique ! Il ne tente pas d'en prendre le contrôle !

Ça se voit que vous ne le connaissait pas aussi bien que moi, avait sifflé Ron en grognant sous le regard blessé d'Harry.

C'est toi qui ne connais pas Harry, Ron ! avait répliqué Neville, les joues gonflées de colère devant le comportement du roux. Après tout ce qu'il à fait pour toi ou Hermione ! Pour nous tous ! Tu le poignarde dans le dos, espèce d'hypocrite !

Je t'interdis de me juger, sale cracmol ! ragea Ronald rouge de colère, ses yeux se plissant. Harry à essayer de tous nous tuer, j'en suis sûr ! Il ne cherche qu'à devenir l'Héritier de Voldemort et l'a tué exprès pour prendre sa place ! Ce n'est qu'un menteur !

Les trois rebelles lui avaient jeté un regard à faire geler les Enfers. Ils avaient voulu ajouté quelque chose mais le Ministre somma qu'on les fasse sortir avec son petit air hautain alors que Neville et les deux Weasley aboyer qu'ils faisaient une bien belle erreur en condamnant un innocent sous le regard déçu de leur mère.

Molly Weasley ne comprenait pas comment ces deux fils pouvaient défendre un meurtrier et futur mage noir en puissance. Il ne faisait aucun doute pour elle qu'Harry était coupable. Beaucoup d'élèves avaient péri à cause de son égoïsme et de sa cruauté, même sa Ginny aurait pu finir par être tuer. Cela ne fit que remonté les larmes aux yeux de la femme alors que son mari la prenait dans ces bras pour la réconforté, lui aussi déboussolé.

Puis, durant deux heures, deux interminables heures, l'accusé vu son cœur s'anéantir un peu plus au fur et à mesure que les minutes étaient passées, les mots de chacun avaient été une douleur lancinante en plus pour sa pauvre poitrine meurtrie.

J'ai toujours su que l'accusé était une personne bien trop dangereuse et puissante malgré le peu d'intelligence dont il faisait preuve. Ce n'est rien d'autre qu'une de ces brutes de mage noir qui a du trempé dans la magie sombre depuis qu'il est à Poudlard ! Il n'y à qu'à voir le faite qu'il parle aux serpents pour le comprendre ! avez rétorqué Hermione Granger, venimeuse.

Ouais ! En plus il a toujours été imbu de sa personne, à se pavaner sans cesse devant tout le monde. Mais j'ai vue clair dans son jeu ! Il faisait en sorte d'attendre le plus possible avant de battre le monstre de la Chambre des Secret afin que plus d'élèves soient agresser en deuxième année ! Et là, il a fait en sorte que la guerre dure le plus longtemps possible pour que plus de sorciers ne meurent ! C'est un monstre ce mec ! avez ajouté Ronald Weasley d'une voix pleine de jalousie.

J… je me désolerai toujours de l'avoir accueilli au sein de notre famille. J… je n'imaginais pas à quel point le fils de J… James et Lily Potter pouvait être aussi m… mauvais pour avoir osé essayer… de tuer… tant de personnes. Même ma petite Ginny aurait pu mourir par sa faute ! C'est vraiment dégoûtant et seule une personne sans cœur et s… sentiment peut osé faire une chose pareille ! c'était exclamée Molly Weasley tout en pleurnichant piteusement.

Harry avait été anéanti par leurs paroles plus que blessante à son égard. Il ne s'était jamais senti aussi seul.

Sa vie était d'un misérable.

Et le pire dans tout ça, c'est qu'il n'avait même pas pu se défendre lui-même à cause du sort de silence qu'on lui avait apposer depuis le début du procès.

Peu après ces témoignages, le Ministre avait repris la parole.

Au vue de toutes les accusations que l'on vous porte, accusé… je vous condamne à être prisonnier de nos sous-sols au ministère, sans possibilité de libération, enchaîné à vie.

La salle c'était faite silencieuse à l'entente de la sentence.

Tous avaient eu l'air parfaitement satisfait de cette dernière.

L'accuser ne se rappeler plus vraiment grand-chose à partir de là. Il avait l'impression de s'être réveillé dans ces fameux sous-sols, enchaîné par les entraves qui le retienne ici.

C'est comme cela qu'il c'était retrouvé à être un des nombreux habitants de se sous-sol terrifiant.

Un sous-sol de douleur.

§ § §

Oui, c'était à cause d'eux qu'il était ici et qu'il souffrait ainsi.

Abandonner par la communauté magique et trahis par les siens.

L'espoir de sortir libre de cette prison un jour, qu'une personne se rende enfin compte de l'énorme méprise commise et ne le libère avait laissé place à une immense rancœur à leur encontre.

Et cette rancœur mourra très certainement avec lui.

Sans qu'il n'est pu se venger de ceux qui lui ont fait tant de mal. »

… ... ...

Et c'est ainsi, qu'Harry Potter avait fini sur le sol froid de sa cellule, ensanglanté, meurtrie, trépassant. Le sang coulait de plus en plus de ces nombreuses blessures bien trop importantes maintenant, sa magie faible des contraintes ne pouvait le sauver comme elle l'avait fait tant de fois auparavant. Son souffle se faisait irrégulier, une de ces côtes ayant certainement dû traverser l'un de ces poumons, le plongeant dans une agonie interminable dû au passage à tabac que les bourreaux venaient encore de lui infliger.

Le pauvre Harry, était à peine reconnaissable maintenant. Ces cheveux sale, emmêler étaient bien trop long désormais et s'éparpiller sur le sol dure, sa peau autrefois halé par le soleil était maladif et rempli de cicatrices dû à ces dix ans de torture et de réclusion forcer loin de la lumière du jour, dans une éternelle obscurité, son corps autrefois musclé par le Quidditch et son entraînement pour vaincre Voldemort était devenu bien rachitique, n'ayant plus que la peau sur les os, quand à ces yeux qui avaient été deux billes d'émeraudes luminescentes où brillaient jadis un feu éternel étaient devenus bien ternes et froides.

Harry n'était plus que l'ombre de lui-même, alimenter par le seul sentiment qui lui rester : la haine.

Il était écœuré de finir sa vie ainsi, comme un paria, un criminel, lui qui les avait tous sauvés !

Il ne voulait pas mourir !

Harry renifla. Ces yeux c'étaient rempli de larmes alors que son souffle était de plus en plus difficile.

Par Merlin, il ne voulait pas mourir !

Il voulait vivre !

Vivre sa vie qui lui avait été cruellement arraché à cause d'une stupide prophétie et de l'égoïsme des sorciers.

— Je… ne veux… pas… mourir… s'acharna-t-il à répéter encore et encore, inlassablement de sa voix brisé.

Il était si désespéré.

Mais très vite, son désespoir allait se transformer en espoir.

Car son vœu tant désiré allait être exaucé.

Après tout, il l'avait fait, il y a dix ans.

Il avait réussi ce que personne après des siècles n'avait pu réaliser.

Réunir les célébrissimes Relique de la Mort, celles conté dans les fables pour enfant.

Et même si il ne les avait eu que peu de temps en sa possession, même si elles lui avaient été arraché lors de son arrestation, il les avait tout de même réuni, portant alors le sceau des Reliques à jamais apposé sur sa peau.

Laissant-là, gravé le symbole du seul être qui n'est jamais réussi à les réunir.

Et tout comme dans la légende, « l'immortalité » est son présent.

Le présent pour les avoirs réuni, elles qui furent séparé durant des siècles.

Alors, ces dernières ne pouvait le laissé trépassé, mourir ainsi sur le sol froid de sa cellule sombre.

Elles quittèrent donc le bureau de Dumbledore où ce dernier les avait gardées pour son propre compte sans possibilité de les utiliser puisqu'il n'était pas leur Maître et se matérialisèrent dans la cellule d'Harry sous ces yeux ébahis.

Le lorgnant, les trois Fée de la Mort le dévisageaient tendrement, elles d'habitudes si froide.

Après tout, elles étaient les filles même de la Mort.

Harry respira lourdement, autant qu'il lui était possible avant de commencer à parler avec difficulté :

— Q… qui… qui… êtes… vous… ? siffla-t-il avec douleur, ne comprenant certainement pas ce qu'il se passer et d'où ces trois femmes étaient apparues.

Peut être était-ce une hallucination dû à la douleur ?

Les Fées lui sourirent avec tristesse.

— Nous venons à toi, ô très cher et précieux Maître, car nous avons entendu ta supplique, s'exclamèrent d'une même voix les trois femmes surprenant Harry.

— Q… quoi… ?

— Ô toi que notre père désire emporter, toi qui ne devrais pas trépasser, aimé de la Mort, nous sommes ici en ce lieu, en cette heure, pour t'accorder ton vœu le plus cher. Quel est-il ? demandèrent-elles ensemble, même si chacune savait ce qu'il désiré.

Toutefois, il fallait qu'il l'exprime de vive voix pour que celui-ci soit éligible.

Harry les regardèrent, toujours impressionner devant cette situation étrange.

Pouvait-il croire à leurs paroles ?

Après tout, si il était vraiment leur Maître, pourquoi n'était-elles pas venu l'aider dès le départ ?

Dès qu'il à commencer à souffrir ?

Et comme si ces dernières entendaient ces pensées, elles répliquèrent d'elles-même :

— Nous sommes les filles de la Mort et c'est uniquement quand notre père désire emporter notre Maître que nous pouvons le rejoindre pour lui accorder son désire le plus cher. C'est seulement à ce moment-là, que notre Maître peut utiliser notre puissance. Alors, très cher Maître, votre vœu, quel est-il ?

Harry gémit. Il fallait qu'il soit au porte de la Mort pour avoir une chance de s'en sortir. Quel situation tordue ! Enfin, si ce qu'elles disaient était vrai…

Étaient-elles vraiment ce qu'elles prétendaient êtres ?

Avait-il réellement une chance ?

— Je… je veux… vivre… tenta-t-il avec espoir. Vivre réellement… sans devoir… sauvé qui que se soit… à cause… d'une prophétie… ! Je… veux être… aimé ! cria-t-il autant que possible.

Les trois Fées de la Mort s'entre-regardèrent avant de reportaient leurs regards sur Harry.

— Qu'il en soit ainsi ! firent-elles toujours d'une même voix avant de s'approcher de lui, lui souriant toujours.

Harry senti la peur l'envahir peu à peu.

Qu'allaient-elles lui faire ?

Il n'eut pas à se poser plus longtemps la question quand il senti qu'elles l'enlacèrent, comme le ferait une mère à son enfant. Harry eu l'impression qu'elles chantèrent, fredonnant des paroles impossible à comprendre, venant d'un langage d'un autre temps. Une douce chaleur remonta le long de son corps, le réchauffant subtilement, l'apaisant alors que la mort était sur le point de le prendre. Les Fées le rassurèrent, continuant de chantés alors que ces yeux commencèrent à se fermer.

Il entendit alors leurs dernières paroles :

— Ô toi qui nous à réunies, sache que ton vœu à bel et bien été entendu et nous autres, filles de la Mort, t'accordons le droit de vivre la sérénité dans les bras des Ténèbres dont se sont remplie ton cœur. Tu vivras à jamais accompagner de ton seul élu, régnant sur l'obscurité. Seulement, fait bien attention, car ce ne sera pas dans cette dimension que tu vivras mais dans une autre si semblable et pourtant si différente. Bonne chance à toi, ô notre Maître, ô jeune sorcier du nom d'Harry Potter…

Et les limbes finirent par entourer sa conscience.

… ... ...

A SUIVRE…

Voici ma première histoire publié sur se profil et je prie pour que se soit là le début d'une bien belle aventure à vos côtés, mais les premières questions à se posée sont :

Alors ?

Qu'en pensez-vous ?

Cela mériterait-il de posté une suite ou non ?

Dans tout les cas, j'espère que ce prologue vous aura tout de même mis l'eau à la bouche.

Merci de m'avoir lu et à très bientôt j'espère !