Alooors comment dire. J'avais écrit 2 OS sur cette plateforme mais je les ai supprimé parce que j'ai progressé depuis je crois, et finalement je préfère me mettre à écrire une looongue FanFiction (enfin longue... longue version moi qwa). J'en ai deux en tête, donc celle-là que je risque probablement de finir parce que quand je dis long c'est 6 ou 7 chapitres je pense (4 sont déjà écrits) et une deuxième sur SnK avec Livaï x Eren *^* /PAN/ Qui sera un UA (Univers Alternatif) pas dans un lycée mais je pense garder la relation qu'ils entretiennent dans le manga (donc Livaï en tant que mec qui s'occupe de lui le temps qu'il apprenne à maîtriser une force quelconque) donc j'ai pensé au karaté, et à pleins d'autres trucs qui feront que je pourrais intégrer tous les personnages tout en gardant leur rôle C: ENFIN BREF je n'y suis pas encore et et bref

Titre : Where the rain came from ?

Disclaimer : Les personnages appartiennent à Tadatoshi Fujimaki. POUR MON PLUS GRAND MALHEUR

Rating : T/M sur la fiction en long terme mais pour ce chapitre K+

Genre : Romance / Humour

Pairing : Kise x Kasamatsu

Concernant les reviews ! BAH OUI FAUT EN PARLER. OUI les auteur(e)s -je ne fais pas exception- écrivent pour le plaisir. C'est normal après tout, on va pas se forcer à écrire. Le fait du publier en revanche est pourvu d'un espoir que les gens s'y intéressent et si possible, aident l'auteur à progresser ! Bien sûr, juste un "continue !" fait vraiment plaisir, mais pour donner un ordre d'idée, sur un OS que j'avais écrit j'avais 600 ou 700 vues et 6 reviews. Je ne m'en formalise pas trop, mais sachez que même si vous postez en anonyme ça me ferait très plaisir ! PLACE AU MAGNIFIQUE MANQUE D'ORIGINALITÉ QUE JE SUIS.


La pluie tombait, les gouttes glissaient sur les vitres, et il entendait le bruit qu'elles faisaient en s'écrasant violemment sur les murs extérieurs. Les arbres perdaient leurs feuilles, et celles-ci, ternes, se déposaient lentement sur le sol. « Quel temps pourri ». Il haïssait la pluie. D'humeur plutôt joyeuse, il avait tendance à rejeter le pessimiste le plus loin possible de lui. Le blond soupira, et s'efforça en vain de suivre le cours. Les paroles du professeur avaient beau rentrer par une oreille, ça ressortait par l'autre. Et puis, l'homme au tableau parlait en anglais. Tous ses cours étaient en anglais désormais. Qu'est-ce qu'il lui avait pris d'accepter ces études de 3 mois aux Etats-Unis ?

Au départ, l'idée lui avait vraiment plu, il avait trouvé quelque chose dans le fait de partir de très libre, quelque chose de nouveau qui lui correspondait bien. Il avait besoin de varier d'atmosphère et évoluait constamment grâce à ces changements.

- Kise, do you listen to me ?

- Excuse-me sir, I was just...

Il ne finit pas sa phrase en constatant que finalement, l'américain n'en avait pas grand-chose à faire qu'il écoute ou pas. C'était plus sur la forme qu'autre chose. Il se tourna vers son correspondant depuis peu qui haussa les épaules et se plongea de nouveau dans ses notes. Rien à faire. Kise Ryouta ne pouvait pas se concentrer en cours. Pas quand le basket lui manquait tant que ça.

En allant aux Etats-Unis, il s'était dit que l'opportunité pour s'améliorer semblait être un rêve venu des cieux, mais il avait vite fini par déchanter. Bien qu'à l'aise en anglais, ce n'était pas sa langue natale, et il ne parlait pas au point d'être bilingue. Il pouvait recopier des mouvements, faire tous les sports du monde, mais parler une autre langue c'était pas la même chose. Les imitations parfaites d'une phrase lui apparaissaient très simples, mais un cours sans pause dans une autre langue, c'était une tout autre histoire. Alors il passait ses soirées à travailler ses cours. Il n'était pas studieux, mais les paroles de son Senpai lui étaient suffisamment montées au cerveau. « Si tu obtiens ne serait-ce qu'une note au-dessous de la moyenne, je te conseille de porter plus qu'un pauvre tee-shirt pour protection ». Il en frissonnait encore.

La sonnerie retentit, et il poussa un énième soupir, de soulagement cette fois, puis rangea ses affaires. Son correspondant, Ryan, lui sourit et l'emmena à la cantine. Le système scolaire américain, totalement différent du Japon, dépaysait notre pauvre Ryouta qui ne savait pas où donner la tête la plupart du temps. Ca ne faisait que 4 jours qu'il était parti, et il sentait déjà le manque du pays en lui. Il sortit son portable, mais se rappela que son forfait ne lui permettait pas d'envoyer des messages au Japon en dehors d'Internet. Il attendrait d'être rentré, tant pis.

La journée passa plus lentement qu'un escargot en pleine digestion, et le basketteur prit le chemin du retour en compagnie de Ryan qui lui parlait de la prof d'histoire qui avait... des fesses magnifiques ? Il avait bien entendu ?

- Hum... Ryan, it's not the most important when a teacher try to teach us something...

- You're kidding me ! You can imagine this ass in your hands, oh my godness !

Ils rigolèrent encore quelques instants, et pendant que Ryan continuait la discussion, Kise regarda distraitement un petit cercle de béton surplomber d'un panier de basket donc les rebords étaient dégoulinant d'eau. Le filet s'usait, et le sol se trempait avec les intempéries, mais il se promit de revenir ici lorsqu'il ferait beau. Le cercle en hauteur lui rappelait. Les sons revenaient. Le crissement des chaussures, la chaleur de la fatigue, la transpiration de l'effort. Il frémit à cette pensée, et Ryan sembla le voir.

- Are you okay ?

- Yes, yes, I was wondering...

- Yes ?

- ...Nothing.

Il n'osait plus demander à son correspondant de s'entraîner au basket, celui-ci lui avait déjà fait des remontrances, tout comme Kasamatsu, concernant son incapacité à travailler sérieusement, alors qu'il en avait parfaitement les moyens « apparemment ».

Arrivés à la maison, ils entrèrent et enlevèrent leur chaussure avant de monter à l'étage, les vêtements trempés. Intelligents comme ils étaient, on ne se pose pas la question de comprendre pourquoi ils n'avaient pas de parapluie. Le blond n'attendit pas une seconde avant de sortir son cahier d'anglais. Il fit tourner son stylo plusieurs fois dans sa main, mais n'écrivit pas un seul mot. C'était Kasamatsu qui faisait ça avant. Il l'aidait. Son Senpai l'aidait pour l'anglais. Bien que ça finissait souvent par faire l'inverse. Mais i peine 4 jours, il y avait un petit gars colérique qui le frappait à longueur de temps à côté de lui. Ca lui semblait tellement loin. Il regarda vers la fenêtre. Il pleuvait encore. La voix de son correspondant retentit à travers ses pensées les plus noires :

- What are you doing ?

- It's weird.

- What ?

- The rain. It's almost like if that came from an imaginary place.

Comme si ça venait de nulle part.


- Kasamatsuuuu !

Le numéro 4 se retourna une veine tapant violemment contre sa tempe. Une nouvelle avait fait son apparition en tant que « manager ». Mais quand l'équipe lui avait affirmé que Kise Ryouta ne revenait que dans plusieurs mois, elle avait fait de son mieux pour ne pas paraître complètement déçue. Ca arrivait fréquemment, mais celle-là avait l'air de prendre tout de même son travail à cœur, ce qui n'aurait pas manqué de plaire au capitaine de l'équipe, très studieux dans tout ce qu'il entreprenait. Sauf qu'un détail le chiffonnait beaucoup.

- Sais-tu quand Kise va rentrer ? Je veux dire... vous vous connaissez bien alors... As-tu eu des nouvelles ?

Il lui lança un « hein » violent dans la figure, et se retint de la frapper. Malgré ses beaux cheveux bruns remontés en un chignon, il parvenait de justesse à retenir une certaine violence. Il n'arrivait pas à la voir comme une manager, mais plus comme une gêne qui ne faisait que lui quémander le retour de Kise.

- Et d'où as-tu entendu qu'on se connaissait bien ?

- Et bien... tu le frappais souvent alors... euh... j'ai supposé que... vous étiez proche.

Sa voix faiblissait au fur et à mesure, et le capitaine de Kaijo, de son ton sévère qui faisait reculer la gente féminine, déclara :

- Tu supposes mal. On ne se parle pas, ni par message, ni en dehors du basket.

La jeune brune s'inclina, penaude, et s'enfuit à toute vitesse. Moriyama, qui avait assisté à la scène, reprocha au plus petit :

- Franchement quel gâchis... Avec ton physique, tu pourrais avoir tellement plus de succès ! Arrête de froncer tes sourcils comme ça ! Et puis fallait pas lui mentir, vous vous parliez un peu. Il te demandait de l'aide pour son anglais.

- Tch. Je vois pas en quoi il avait besoin de mon aide, c'était plutôt lui qui m'aidait au final.

L'équipe continua de s'entraîner un moment, et après avoir sué, ils retournèrent dans les vestiaires pour se changer. En sortant, Kasamatsu constata le ciel gris, et la pluie qui s'acharnait déjà sur ses cheveux. Il remonta la fermeture de sa veste et rabaissa sa capuche. Il avait regardé la météo ce matin. Pas comme d'habitude, à la télévision. Sur l'ordinateur, pour regarder le temps en Amérique. Il pleuvait aussi. Il se demanda un instant si ce gamin insupportable qu'était l'as de Kaijo regardait ce ciel. Il soupira devant une question aussi stupide, et prit le chemin de son humble demeure. Il ne put s'empêcher de lever les yeux tout au long du trajet pour observer les nuages. Il ne niait pas que la tête brûlée et étonnement gamine du blond lui manquait. Dans le fait de nier quelque chose, il y avait d'abord l'idée d'y avoir pensé. Alors il essayait de ne pas penser. Mais quand il fixait l'étendue au-dessus de lui, et lorsqu'il sentait la pression de la pluie, il se demandait si celle-ci pouvait les relier, tout comme elle reliait le ciel et la terre. Il lâcha un juron à moitié étouffé et reprit sa marche, constatant qu'il s'était finalement arrêté. Il ne regarda plus le ciel. Ni la pluie. Pour ne pas penser.


- Raaaah ! Stooop it noooow !

Le lendemain, il commençait à péter les plombs. Le mauvais temps devait y être pour quelque chose, parce que Ryan ne sut absolument pas quoi faire. Ils travaillaient tranquillement après avoir mangé des pâtes englouties à 20h pile, et d'un coup, le blond s'était mis à crier « stop » à tout va. Il se décoiffa tout seul, s'empara de son portable et utilisa le Wi-Fi pour envoyer un message sur Facebook à Kasamatsu. Il avait voulu résister, parce qu'il savait très bien que ce dernier allait l'envoyer chier en lui disant : « travaille au lieu de me harceler » mais être sans contact d'aucun membre de son équipe était affreusement frustrant et plus dur émotionnellement qu'il ne l'avait pensé.

« Kasamatsuuuu-senpaaaaaai ! »

Il ne lui dit rien de plus dans le message. Il voulait que son interlocuteur comprenne qu'il ne voulait rien lui demander, ni le marchander, mais juste lui parler. D'ami à am-...

« Kise enfoiré ! Va travailler au lieu de me harceler ! »

Si prévisible. Le basketteur sourit en imaginant la fausse colère de son capitaine. Bon, le terme « ami » ne devait pas convenir. « Coéquipier » serait plus correct. Il allait répondre quand les vibrations de son téléphone sonnèrent en nombre. Il paniqua et son portable vola entre ses mains sous la surprise du soudain appel de Kasamatsu. Ryan, qui assistait à son changement soudain d'humeur, se mit à paniquer également. C'est une maladie transmissible.

- Ki-ki-ki-Kise ! What's going on ?

- I-i-i-i-i- don't know ! But I have to take this call !

Il partit s'installer dans son lit en hauteur tandis que son correspondant décida qu'il devait prendre sa douche. Il décrocha et attendit un moment avant d'entendre hurler Yukio :

- Je peux savoir pourquoi tu viens me faire chier à 21 heures ? T'as pas du boulot toi ? C'est si facile que ça l'anglais ? Et tu t'entraînes au basket ? Tu manges bien ? Je m'inquiète pas, mais ça serait con de se retrouver avec une spaghetti à la place d'un joueur de basket.

Les yeux de l'as devinrent deux beaux tourniquets sous l'assaut des questions. Il constata qu'après 5 jours sans lui parler, la première phrase qui venait à la bouche de son adorable capitaine était « je peux savoir pourquoi tu viens me faire chier à 21 heures ? ».

- Tu dis ça Kasamatsu-senpai, mais c'est toi qui m'a appelé.

Il entendit l'autre grommeler pendant qu'un sourire s'afficha sur son propre visage.

- Pour que tu te mettes tout de suite et maintenant à travailler. Tu parleras quand tu seras devenu bilingue. Donc ne me parle jamais.

Et sur ce, l'appel se termina sous le raccrochement étrangement rapide du brun. Kise cligna des yeux une fois, deux fois, trois fois, toujours le téléphone à la main, comme un abruti, avant de verser de fausses larmes de crocodile en lançant à qui voulait l'entendre : « Kasamatsu-senpaaai, tu es horriiiiible avec moi ! ».

Quand Ryan revint, quelle fut sa surprise en voyant Ryouta affaler sur son lit à pleurer toutes les larmes de son corps. Il haussa un sourcil avant de se mettre de nouveau à paniquer :

- Shit, Kise, do you want to tell me what is this fuck ?!

- My senpai is horrible with meeee !

- Your... what ?

- My senpai. Kasamatsu-senpai. He's more old than me. And he's my captain !

- Oh I see. Captain for what ?

- Basketball.

Ils discutèrent un moment, et la discussion dériva sur le basket en lui-même. Le blond en parlait désespérément passionnément, et les larmes avaient disparu. Ryan se promit de l'emmener au gymnase prochainement. L'animation de l'intérieur se heurtait à l'ambiance sombre de l'extérieur. Il pleuvait toujours.

- Kise, why do you like the basketball ?

Le susnommé laissa un silence s'installer avant de reprendre tranquillement :

- I don't understand people. I see their faces, I look details, details like their cheeks or their eyes, but when I try to read something, it's like if there is a big wall. And I can't see anything.

Il ne savait pas s'il faisait des erreurs dans sa prononciation ou sa syntaxe, mais Ryan sembla le comprendre, alors il continua :

- With the ball, I can see all of that. The angry. The sadness. The pleasure. And the proud when we win.


- Kise ! Je t'ai trouvé une équipe ! Tu me parles tout le temps de la tienne, alors j'ai demandé à des amis à moi qui font du basket. Comme tes notes remontent, je me disais que tu pouvais t'autoriser des temps libres !

Deux semaines étaient passées, et il n'avait pas joué une seule fois, ni parler avec Kasamatsu. Oh, il avait tenté plusieurs fois, c'était sans compter la ténacité de son capitaine à vouloir le concentrer sur son travail. A l'entente de ses mots, il devint tout sourire et secoua son correspondant comme un prunier :

- Ryaaaaan si tu savais comme tu me fais plaisir ! On est samedi, dis dis dis je peux les voir ? Je veux jouuuer !

Son correspondant rit un instant avant de hocher positivement la tête, mais de poser la condition de n'y rester que 3 heures. Sous la contrainte, le basketteur accepta avec joie.

Le premier mois se déroula ainsi. Il travaillait sérieusement, bien que l'envie de parler avec ses véritables coéquipiers le tenaillait. Il suffisait d'imaginer le regard de lourds reproches de son capitaine pour se résigner. Son rôle de top modèle ne lui servait pas ici, et il passait ses autres soirées à jouer au basket. Quand les Américains avaient recruté ce joueur japonais dans leur petite équipe, ils avaient peur du résultat, et avaient accepté uniquement sous l'insistance de Ryan. Désormais, ils ne regrettaient pour rien au monde d'avoir autorisé son accès. C'était un joueur sans pareil, et ce samedi, ils lui firent comprendre :

- Sérieusement, tu as appris à jouer où comme ça ?

Le blond, la balle entre les mains, dribbla deux fois avant de sauter pour mettre un beau panier.

- J'ai regardé. « Kiseki no Sedai ». La Génération des Miracles. Ils sont tous meilleurs que moi.

Leur mâchoire se décolla presque de leur visage respectif :

- C'est une blague ?

- Bien sûr que non ! Aominecchi, Midorimacchi, Akashicchi, Murasakibaracchi, Kurokocchi -un cas à part- et à leur niveau Kagamicchi. Il y a également pleins de joueurs très doués, dont mon capitaine ! Il a mental de fer ! Un jour, vous jouerez contre nous !

Les Américains ne relevèrent pas tous les "-cchi" qui sortaient de sa bouche. Ils considérèrent pour le bien commun et la santé mentale de tous que c'était la langue japonaise qui voulait ça.

Kise prenait à malin plaisir à mettre son capitaine en avant, et la plupart du temps, celui-ci lui reprochait. Dire que le mannequin n'en avait rien à faire était un pur euphémisme. Bien qu'après leur première rencontre, il avait appris à respecter ses aînés, il n'hésitait pas à dire ce qu'il pensait. Et Kasamatsu Yukio formait un joueur globalement solide.

Il haleta les 2 heures qui suivirent, et rentra chez Ryan, avec qui il était devenu très proche. Il commençait à s'habituer à son nouvel environnement, et s'il avait décidé que ce jour-là serait un jour spécial, c'est parce qu'il avait pris la décision qu'il enverrait un message à son Senpai. Ses notes le lui permettaient. Il franchit le seuil de la porte, et se dirigea vers la chambre où il salua rapidement Ryan avec un « j'suis rentré » typique des coutumes japonaises. Il brancha son téléphone, se connecta, et envoya un message :

« Senpaaaaai, mes notes sont remontées, je peux te parler ! »

Il reposa le portable et la réponse tarda. Son appareil ne vibra qu'une heure après, temps durant lequel il avait pu embêter Ryan. Il le déverrouilla et fit un grand sourire devant sa réponse :

« Tu me déranges. »

Vraiment, il devait être maso pour sourire devant ce genre de réponse.

« Tu fais quoi Senpai ? »

Des smileys suivirent sa réponse. Tellement que le texte prenait à peine un quart du message en entier. Du Kise tout craché.

« 'Te regarde pas. »

« T'as trouvé une copineeee ? »

Il regarda un instant le « Kasamatsu est en train d'écrire... », et une soudaine réalité le frappa de toute part. Il ne voulait pas recevoir de réponse. Pas à cette question. Ignorant pourquoi, mais n'en prêtant pas plus attention que ça.

« Elle s'appelle Yumi, c'est Moriyama qui me l'a présenté. »

Les premières gouttes d'un début d'averse frappèrent contre la vitre. Elles frappèrent fort, très fort, et c'est dans cette fenêtre que Kise aperçut son reflet. C'était la vérité qui s'abattait sur lui.

« Flic, floc, flic, floc. » Kise s'allongea dans son lit, passant son bras sur ses yeux, les cachant par la

même occasion :

- Quel temps pourri.


JE VEUX VRAIMENT PAS SPOILER HEIN mais ça va bien se goupiller 8D /PAN/

Pauvre p'tit Kise, il me fait déprimer le pauvre. N'hésitez pas à relever les fautes, dire si quelque chose ne va pas, faire des critiques etc...

Je crois avoir fait exprès de laisser quelques fautes en anglais de mémoire (je l'ai écrit y'a plusieurs mois!) parce que Kise est un débutant ! Et j'ai fait des phrases simples, si vous ne comprenez pas demandez en review et je répondrai au prochain chapitre ! Désolé pour les fautes s'il y en a .

Au prochain chapitre : rapprochement entre Kise et Kasamatsu malgré la distance ! Ironique non ?