Chapitre 1

Pov Luffy

Je m'appelle Monkey D Luffy, j'ai 8 ans et je suis toujours souriant même si je n'ai pas encore d'amis. Mais je vais tout faire pour vite en avoir. Je vis avec mon Papy que j'adore mais je ne connais pas mon papa car il voyage partout dans le monde et qu'il ne rentre jamais à la maison. Et ma maman est aller au ciel à ma naissance pour toujours me surveiller et prendre soin de moi, même si je ne la voie pas.

Je suis en troisième année de primaire et je suis assis dans le coin à droite au premier rang. Il n'y a personne assis à coté de moi. Mais c'est pas grave car bientôt j'aurais un ami et il s'assira à coté ce moi.

Aujourd'hui la maitresse nous dit qu'elle va nous donner une feuille et qu'on devra marquer dessus ce qu'on veut faire plus tard et pourquoi. Elle dit aussi que si on ne pas comment écrire quelque chose il faut lui demander. Elle commence à distribuer et nous demande d'atteindre que tout le monde ai sa feuille pour commencer. Elle finit vite de distribuer et nous dit de commencer. Moi, je marque que veut faire détective pour arrêter les méchants et aider les autres. Mais aussi parce que c'est trop cool. À la sonnerie elle nous demande de mettre notre feuille sur son bureau avant de rentrer chez nous. Tout le monde rend sa feuille et sort de la classe. Quand je sors des grandes de la classe me demandent ce que je veut faire. Je suis si heureux que quelqu'un m'adresse la parole que je répond très vite :

-Détective !

Les grands rirent au éclat, je ne comprend pas pourquoi jusqu'à ce qu'un grand disent entre deux éclats de rire :

-C'est impossible t'es trop bête et naïf !

Ma bonne humeur fut remplacé par un sentiment étrange. Je pars à la sorti de l'école et vois mon Papy qui m'attend au portail, je courre lui prendre la main et on commence à rentrer. Je repense à ce le grand a dit, puis Papy me demande :

-Qu'est ce que tu as fait aujourd'hui ?

Je retrouve tout de suite ma bonne humeur et raconte ma journée à Papy. Il rit à certain moment comme à la bêtise de Vivi. En arrivant à la maison Papy me dit d'aller me rincer le visage avant de prendre le goûter. La soiré se passe comme d'habitude. À 19 heures 45 Papy va me mettre au lit puis me raconte une histoire avant de faire un bisou de bonne nuit que je lui rend avant de m'endormir.

Le lendemain Papy m'emmène à l'école et je lui fais un bisou d'au revoir. En entrant dans la cours je vois les grands d'hier, je vais vers eux et leur demande :

-Pourquoi vous avaient rient hier ?

-Parce que c'est pas possible que tu deviens détective, t'es beaucoup trop stupide.

Un autre grand me demande de retirer mon sac pour me mettre un porte bonheur sur le dos. Je fais ce qu'il me demande en souriant innocemment. Il me met le porte bonheur et la sonnerie retentit. Tout le monde va se ranger avec sa classe, la maitresse vient nous chercher pour nous emmener en classe. Quand on s'assoit j'entendis des rirent derrière moi sans comprendre pourquoi tant de personne rient. La maitresse leur demande de se calmer et le cours commence. À la sonnerie tout le monde se précipite dehors mais la maitresse me retiens pour me dire que j'ai quelque chose d'accrocher sur dos. Je lui répond en souriant que c'est un porte-bonheur. Elle me regarde étonnée et s'excuse de m'avoir retenu pour rien. Je lui dit 'Pas grave' avant de courir dans la cour, je vais demander aux autres si je peux jouer avec eux mais ils disent tous que les règles sont trop compliquer pour moi. Alors je vais m'assoir dans un coin sans mon éternelle sourire. Quand tout le monde retourne en classe je réfléchis à pourquoi ils disaient que les règles sont trop durent pour moi. La maitresse me pose une question à laquelle je ne peux pas répondre n'ayant pas écouter. Le reste de la journée se passe comme d'habitude, à la dernière sonnerie la maitresse part nous laissant dans la classe. Certains de mes camarades de classe viennent à ma table pour me dire que je suis vraiment beaucoup trop stupide. Je me met à pleurer en ayant marre que tout le monde disent que je suis stupide. Je prend mes affaires et sort de la classe en essuyant mes larmes. En voyant Papy je courre vers lui et prend sa main.

-Qu'est ce que tu as sur le dos.

Papy prend mon porte bonheur et me demande qui me l'a mis je mens en disant que je ne sais pas. On rentre ensemble pendant que je raconte ma journée à Papy sans dire l'insulte que tout le monde m'a dit, pour ne pas l'inquiéter. Après le goûter Papy me montre ce que je pense être mon porte bonheur, mais je ne vois qu'une feuille avec marquer en gros 'Je suis super stupide'. Je comprend alors pourquoi tout le monde se moquais de moi. Mais je dis à Papy que je ne sais pas pourquoi j'avais ça sur le dos.

Le jour suivant je vais voir le grand qui m'a mis la feuille sur le dos et lui demande pourquoi il a mis ça à la place du porte bonheur. Il répond que c'est le porte bonheur et que c'est grâce à lui que beaucoup de personne m'ont parler. Je lui répond que ce n'était pas gentille. Il dit 'Et alors' avant de me pousser pour partir ailleurs. Le reste de la matinée se passe comme hier, à la récréation de midi une fille de ma classe me demande si c'est vrai que je veux être détective. Je lui dit que oui et elle continue en disant tout en souriant :

-Alors c'est vrai, t'es le Détectbête !

Elle par en rigolant et va dire ça à ses amies. Elles se mettent toute à rirent de moi, je me sens triste et je vais m'assoir dans un coin de la cour au bord des larmes.

Le reste de l'année se passe entre les bousculade, les insultes et mon surnom Détectbête. Papy me demande plusieurs fois pourquoi mes notes ont baisser, je lui mens toujours en disant que je ne sais pas. Je ne lui parle jamais de ce que les autres me font à l'école.

Les années de primaire sont passée dans les injures, les coups qui sont arriver en cinquième année, les bousculade et encore mon surnom. Je ne parle jamais à Papy de tout ça. Il croit que c'est la crise d'adolescence qui m'a fait devenir maussade. À la rentré au collège Papy m'aide à mettre mon uniforme, surtout la cravate. En entrant en classe un garçon me demande s'il peut se mettre à côté de moi, j'accepte. Il s'installe et m'écrase la pied avec le sien. Il m'ordonne de ne pas faire de bruit sinon ce sera pire. J'obéis docilement. À la pose des garçon me disent que je devrais me mettre à côté de chacun d'entre eux selon la matière. Je ne dit rien me contentant de baisser la tête.

Les deux premières années de collège sont encore pire que les année de primaire. J'ai commencer à moto-mutiler en pleurant le soir quand Papy pense que je dors. Chaque jour je parle de moins en moins, et je m'entraine chaque matin à sourire pour avoir l'air bien. Pour que Papy ne s'inquiète pas.

La troisième année de collège est de loin la pire de ma vie. Tout le monde m'insulte, me frappe, se moque de moi et utilise sans cesse ce surnom, encore et encore. Les professeur ne savent rien et Papy non plus. Je veux mourir, je veux mourir, je veux mourir. J'en peux plus, je veux mourir. Je pleure tout les soir en me répétant ça tout en me cisaillant les bras. Je me rappel soudain d'une falaise au dessus de la ville. Si je vais là bas et que je saut tout s'arrêtera. Je n'aurais plus mal, on ne me fera plus de mal. Tout se terminera sans problème. Je me lève et sort discrètement de la maison. Je marche deux bonne heures avant d'arriver en haut de la falaise. Je vois les lumières de la ville en contrebas. J'avance, prend une grande inspiration puis me laisse tomber en avant.