Réponse review:

Veervanspel: On peut dire que tu commences à la lire au bon moment! Pile quan je reposte enfin! Merci pour tes mots encourageants! J'ai passé en effet beaucoup de temps dessus, et en passerait encore pas mal! Je compte la finir ^^


La fraicheur appréciable du début de journée n'était plus qu'un lointain souvenir pour Kaden. Sur le dos, affalé à même le sol de sa cellule, il mourrait sur place. Les mots de Moyesia, proche de lui et appuyée contre les barreaux, lui revinrent subitement. Cette femme avait parfaitement raison. Ils étaient cuits. Sous un soleil de plomb, sans eau et surtout privés d'ombre, les deux jeunes souffraient le martyre. Le seul avantage de cette chaleur étouffante était que leurs charmants compagnons, les crocodiles, avaient fui les lieux. Certes, ils n'étaient assurément pas partis définitivement, mais ils ne tournaient déjà plus autour de leur cage tels des rapaces attendant leur pitance. Ils se doraient les écailles sous les rayons, tout le groupe réparti sur la berge de l'immense bassin afin d'augmenter leur température corporelle. Aux yeux de Kaden, bien qu'il peinait à aligner deux pensées cohérentes, c'était une occasion à saisir. Sans quoi, il ne donnait pas cher de sa peau.

Se redressant, tout en détestant la sensation du tissu collant à son épiderme, il jeta dans un premier temps un coup d'œil en direction de Moyesïa. Cette dernière n'avait pas du tout bougé depuis qu'elle s'était trouvé son petit coin. À la voir ainsi, paupières baissées et paisibles, son ravisseur se demandait comment elle était parvenue à s'endormir dans une telle situation… À moins que ce soit autre chose. La faucheuse lui avait-elle déjà rendu visite ?

Enfin, cette donnée ne l'intéressait pas plus que ça. Décédée ou non, la marine accepterait la tête de cette criminelle. Mais là encore, il ne s'agissait pas d'une priorité pour lui. Avant tout, il voulait se sortir du pétrin dans lequel il était fourré à cause de cette pirate. Elle s'était peut-être résignée à fermer les yeux ici, mais pas lui. Se relevant, marchant calmement jusqu'aux barreaux, il en saisit deux de ses mains et commença à les secouer. Il en fit de même pour les deux suivants à sa gauche, puis encore et encore. Il avait pour objectif de faire un tour complet de la cellule de cette façon, mais arrivé près de sa colocataire, son manège dérangea.

– Qu'est-ce que tu fais ? grinça Sïa lui offrant un regard mauvais.

Sans se soucier de sa question, l'albinos approcha d'elle et agita à leur tour les barres métalliques sur lesquelles elle se reposait jusqu'alors, puis continua. L'observant, tout en soupirant, Sïa réitéra sa demande.

– Je cherche un moyen de sortir, ça ne se voit pas ? Avec un peu de chance, l'un d'eux est mal fixé. Avec de la souplesse, que j'ai bien évidemment contrairement à toi espèce de manche à balai, je pourrai me faufiler.

– Premièrement, j'en ai. Je ne suis pas raide comme un clou. Deuxième, est-ce que le soleil t'a cramé le peu de cervelle que tu possédais ? Tu as déjà oublié la présence de nos amis à grande mâchoire ?

– Ils font bronzette. Si je nage assez vite et discrètement, avec un peu de chance, ils ne me verront pas.

– L'espoir fait vivre. Mais sur la trentaine, il y en aura bien un pour t'apercevoir. Tu vas finir en pièces détachées.

Soufflant exaspéré par le mental pessimiste et résolu de la jeune femme, Kaden prit une décision qu'il considéra comme vitale à ses yeux. Ne plus adresser la parole à cette peste sans pareil. C'était pour son bien avant tout. Il avait envie de la rayer de son existence. C'était l'une de ces rares cibles qu'on détestait après une capture pourtant réussie.

Finissant son tour ainsi, bien sombrement, Kaden arrivant à l'ultime barreau avait perdu espoir d'en trouver un lui permettant de fuir. Sans grande conviction, il poussa sa dernière chance et manqua de crier de joie. La barre métallique avait bougé de son emplacement initial ! Elle n'était plus droite comme un piquet, mais légèrement inclinée. Il pourrait à l'aide de sa force, et grâce à sa bonne étoile, parvenir à la faire coulisser jusqu'au bout et s'en sortir. Il en était convaincu en tout cas, et surtout, la perspective de ne point s'être leurée l'enchantait. Le dicton disait vrai. La chance souriait aux audacieux. Aimant plus que tout remuer le couteau dans la plaie, il se tourna vers Sïa tout en affichant un sourire triomphant. Il lui avait prouvé avoir eu raison d'essayer, et cela valait toutes les victoires du monde. Il se moqua ouvertement du regard désintéressé que lui renvoyait son ancienne prisonnière. Il avait trouvé sa porte de sortie et serait prêt à tout si nécessaire à sa survie.

De son point de vue, Sïa observait plus naïf qu'elle — elle n'aurait pas cru ça possible avant de rencontrer Kaden — se réjouir de sa découverte. Était-il né stupide ou le faisait-il exprès ? Son instinct lui criait que jamais cette chère Cléo n'aurait laissé passer pareil impaire. Non, elle était bien la première à vérifier par deux fois ses plans. Orgueilleuse comme elle était, elle ne pardonnait pas l'échec, à elle comme aux autres. Cette erreur était selon Moyesïa bien trop grossière pour être involontaire. S'accommodant d'un hochement négligeant des épaules, la démone s'activa pour la première fois. Se redressant, elle essuya du dos de sa main la sueur perlant sur son front. Tout en approchant de Kaden, elle croisa les bras sous sa poitrine. Loin d'avoir décidé de suivre aveuglément cet homme, il s'agissait après tout de celui l'ayant conduite à cette situation (vous ne rêvez pas, chacun se renvoyait mentalement la balle, comme dans leur discussion), elle se contenta de commenter :

– Il reste le problème des crocos.

– Tu connais déjà mon plan là-dessus.

– Ils vont venger leurs frangins finissant en sac à main avec ta petite tête. J'ai hâte de te voir broyer entre leurs dents.

Décidément, ils ne pouvaient que communiquer qu'en se chamaillant. Perdant patience à son tour, ne retenant aucune parole aussi cruelle soit-elle, Kaden repoussa un à un tous les arguments sensés de Sïa. Il n'en garda strictement aucun, alors qu'au fur et à mesure le ton montait entre eux. Énervés l'un contre l'autre, aucun ne remarqua le mouvement des animaux sur la berge. Tous, sans exception s'avancèrent jusqu'au bord et se glissèrent dans le liquide avec aisance et grâce. C'était vraiment impressionnant tout de même, qu'une fois dans un milieu aquatique ces mastodontes parviennent à nager avec tant de fluidité.

Les deux prisonniers finirent malgré tout par s'en apercevoir, bien plus tard, quand du bruit atteignit à leurs oreilles. Arrêtant leur querelle sans fin et ne les menant strictement à rien, Sïa tout comme Kaden tournèrent leurs têtes en direction des animaux s'agitant dans l'eau et créant des remous. Le groupe entier se battait, tous attirés par quelque chose flottant en grande quantité. Plissant des yeux, Kaden fut le premier à tenter d'identifier de quoi il s'agissait. Au bout d'une longue minute, il finit par comprendre pourquoi les crocodiles se livraient bataille. La couleur rougeâtre à la surface du bassin lui mit la puce à l'oreille.

– Ce sont des pièces de viande ?

– Visiblement, souffla Sïa peinant à saisir comment et quand ce nouveau gouté était arrivé là par miracle.

Contrairement à elle, Kaden ne perdit pas son temps. Impatient, il se précipita jusqu'au barreau qu'il avait repéré et le fit coulisser en avant. L'objet ne tarda pas à être englouti par le liquide transparent, et lui avait déjà une jambe dehors quand Sïa imposa sa main sur son épaule pour le retenir. Muet face à l'intervention de la démone, Kaden se garda bien de l'envoyer foutre verbalement. Il se contenta de dégager son membre de sa prise. Il était prêt à plonger lorsque Sïa soupira et lui fit comprendre qu'ils n'étaient pas tant que ça si seuls qu'ils le croyaient. Elle pointa du doigt une silhouette sur la berge, leur faisant signe qui plus est, et tenant un panier en osier dans sa main. Fronçant les sourcils, Kaden resta sur ses gardes. Sïa, tout comme lui, pensa pour une fois pareille. Qui était donc cette personne ?

– Tu comptes faire quoi ? Crever ici ou finalement tu sors de ta cage, moineau ?

– Je n'ai aucun compte à te rendre, souffla en colère Sïa qui d'un geste brusque entraina vers l'arrière Kaden.

Tombant sur les fesses et pestant contre sa colocataire, l'albinos souhaita de tout cœur qu'elle finisse dans l'estomac de l'un des crocodiles. L'un d'eux pourrait bien se détourner du repas généreusement offert afin de croquer un bout de cette peste ! Il en serait ravi !

La voyant le devancer sans aucun remords, alors que depuis le début elle s'avouait vécue, Kaden l'observa nager jusqu'au bord où se tenait leur miraculeuse sauveuse. Ainsi, c'était son plan ? Placer sa confiance chez ce nouveau venu ? C'était insensé, et pourtant, lui emboitant le pas, Kaden en fit de même. Rapidement, avant que leurs amis ne finissent leur repas, les deux jeunes enchainèrent les brasses. Arrivé aux extrémités, se fut à la force de ses bras que Sïa dut se hisser sur la terre ferme. Peinant face à la tâche, épuisée par des heures compliquées sous un soleil de plomb, elle vu subitement une main se tendre devant elle.

Levant la tête, elle rencontra enfin la personne leur ayant porté secours. Homme ou femme, elle n'en avait aucune idée puisque l'individu était voilé de la tête aux pieds d'un drap noir. Il portait également un sugegasa, l'un de ces larges chapeaux asiatiques tissés avec des plantes séchées et pointant au sommet. Très honnêtement, Sïa envia instantanément l'étranger. Elle aurait tué pour le même couvre-chef.

Observant finalement les doigts tendus et impatients d'être serrés en retour, elle remarqua qu'ils étaient entièrement bandés. On peut dire que ce détail n'avait rien de significatif aux yeux de Moyesia. Brutalement suspicieuse, elle se demanda si leur sauveur n'était pas une momie, l'un des sbires de Cléo. Par conséquent, elle opposa un refus face à l'aide lui étant proposée. Remontant par ses propres moyens, elle fut rapidement rejointe par Kaden. Désormais à trois, un silence oppressant s'installa, notamment à cause de Sïa dévisageant sans le moindre remords le nouveau. Elle était devenue méfiante avec le temps, et refusait d'offrir sa confiance aisément, comme elle l'avait fait avec Law, ou bien et malheureusement avec Akihiko. On ne la duperait plus si facilement, elle se l'était jurée.

Regardant de haut son ancienne prisonnière, Kaden se demanda si subitement il n'était pas envisageable de revenir sur sa décision. Maintenant qu'il était libre, il pouvait bien retenter d'enlever Sïa et de suivre son plan initial. Certes, la perte de son navire se révélait problématique, mais il pourrait sûrement pallier au problème dans le futur. Bien que cette terre paraissait désolée, et que toutes ses richesses semblaient concentrées dans le palais de cette Cléo, les vivres qu'engloutissaient les convives lors de ce bal devaient bien affluer de quelque part. Un port encore viable devait se trouver sur l'île. Il suffirait d'emprunter un bateau, tout en gardant un œil sur la pirate. C'était chose faisable, entièrement à sa portée.

Or, pour l'heure, il apparaissait que d'autres projets se dessinaient depuis l'arrivée de cet inconnu. Sans leur adresser un mot, elle leur donna le dos et quitta les lieux. Un court laps de temps, les deux autres demeurèrent perdus, se demandant sans doute qu'est-ce qui serait préférable de faire. Suivre cette femme, ou bien partir chacun de leur côté ? Sïa finit par trancher pour eux. Sans se concerter avec Kaden, de toute façon ce qu'il ferait ne l'intéressait pas le moins du monde, elle emboita le pas de l'étranger sans plus attendre.

Ignorant être observés, ils s'éloignèrent du palace de Cléo très semblable à une pyramide. Pourtant depuis sa terrasse, la dirigeante des lieux les épiait tout en affichant un sourire de pure satisfaction. Faisant signe à ses gardes en retrait d'approcher, elle souffla à leurs oreilles de nouvelles consignes. Son piège se refermait doucement sur sa proie, comme elle l'avait espéré.


Après bien deux heures de marche dans le désert, Moyesïa vit enfin leur guide s'arrêter devant une construction rectangulaire et tout en pierre, perdue entre les dunes. À bien y regarder, l'édifice lui rappelait un mausolée. Toutes les croix, ainsi que les dessins faisant référence à la mort sur la façade le lui faisaient penser. Il y avait de quoi être refroidi, mais la chaleur dissuada le duo de faire les fines bouches. De toute façon, depuis qu'ils s'étaient enfoncés dans ce paysage gigantesque et aride, ils avaient irréversiblement oublié l'idée d'abandonner leur meneur. Il ne faisait aucun doute que sans lui, leurs chances de survies auraient été réduites de plus de moitié.

Passant la porte, Moyesïa conserva le silence. Ils avancèrent dans la batiste quand subitement leur guide s'arrête, s'accroupit et souleva une imposante plaque en pierre au sol, dévoilant ainsi un escalier souterrain. Un court instant, Kaden comme Sïa avaient craint découvrir un tombeau. Ce fut un brusque soulagement pour Kaden refusant de voir une momie de plus, mais aussi un amas de questions supplémentaires pour eux deux, invités à s'engouffrer plus profondément.

Leur laissant le choix, le propriétaire des lieux les convia d'un geste à entrer les premiers. Il eut bien évidemment un moment d'hésitation de la part du binôme ennemi, mais à court de solution, ils finirent par pénétrer dans son antre. Le nouveau passa en dernier, et dissimula sa cachette alors que les autres descendaient les marches.

Arrivée au bout du passage, le regard de Moyesïa balaya le nouvel espace dans lequel elle se trouvait. Un repère tenu secret, où sans doute son allié imprévu devait y vivre à plein temps. Le désordre fou ainsi que de nombreuses boites de conserve s'agglutinant sur une petite table le lui indiquaient à merveille. Il y avait également un matelas dans le coin de la pièce, aux draps défaits. Se tournant vers leur sauveur, les doutes de Moyesïa se confirmèrent. L'inconnu retirant son chapeau ainsi que son voile se montra enfin. Il s'agissait bien d'une momie, mais aussi d'une femme comme le laissaient penser les formes que moulaient à la perfection les bandages contre sa peau. Tout le corps disparaissait derrière les bandes blanches, mis à part un œil, le gauche, qui les dévisagea à tour de rôle.

Finalement, fidèle à son tempérament explosif, Kaden prit les devants :

– Je peux savoir si t'es avec les autres gugusses ?

Quel tact pensa la démone désemparée ! Mais elle n'émit aucun commentaire. Après tout, elle voulait aussi la même réponse, bien qu'elle s'imaginait peu probable que cette demoiselle dise la vérité. Tout ce qu'elle appréciait dans l'intervention de Kaden était le fait qu'il ne tourne pas autour du pot.

– Non.

La répartie fut brève. Irrité par si peu d'explication, un tic nerveux prit Kaden au niveau de son sourcil. Un rictus ne présageant rien de bon étira ses lèvres alors qu'il approcha sournoisement de la momie. Son bras se leva tout aussi précipitamment, et un instant Sïa crû sincèrement que cet idiot allait l'agresser. Fort heureusement, le jeune homme se contenta d'apposer son bras par-dessus les épaules bandées. Emmenant ses doigts à l'une des extrémités d'un pansement, il joua avec :

– Alors tu m'expliques ton apparence ? Ne serait-ce qu'un déguisement ?

Peut-être songea la démone. Toutefois, elle se garda bien d'ouvrir la bouche alors qu'elle avait une idée sur la question du comment et du pourquoi l'un de ces morts embaumés n'était pas allié à Cléo. Ne préférant pas pourtant faire parler d'elle, la pirate tendit l'oreille en attente d'explications détaillées de l'interrogée semblant faire peu cas du bras sur sa personne.

– C'est à cause de cette mystérieuse femme. Elle a débarqué ici il y a peu de temps. Et possède des capacités inhumaines.

– Elle a en effet ce genre de pouvoir, déclara Moyesïa, le fruit de la malédiction. Elle t'a condamné à cette apparence j'en déduis. Pourquoi ?

– Je protégeais l'île, j'en suis la dirigeante. L'impératrice des lieux. Maintenant… Je me contente de sauver qui je peux de cette folle. Comme je vous ai aidé à vous échapper. Mais… je ne m'attendais pas à ce que vous vous libériez seuls.

– Normal. Cléo t'a tendu un piège.

Écarquillant de l'œil à cette réponse, la jeune femme dévisagea longuement Moyesïa restant impassible. Kaden se limita à un froncement de sourcils, espérant que la brune se trompe. Or, à son air sérieux, il doutait malheureusement que l'heure soit à la plaisanterie. Regardant le plafond, la démone du trio leur fit signe de la suivre. Le haki ne mentait jamais. Ils étaient déjà là et nombreux. Sans faire part de ses tristes observations, elle se contenta de remonter à la surface, tout en préparant ses « alliés » - elle ne pouvait pas vraiment les appeler ainsi, mais bon… -, elle leur dit clairement de s'attendre au pire.

Entendant ces mots, la momie récupéra une masse minuscule trainant contre le mur, puis grimpa comme les autres les marches. Dehors, le vent chaud leur fouettait de nouveau le visage. Également, la petite bande perdit en assurance. Ils étaient encerclés. Les sbires de Cléo avaient formé un cercle autour du mausolée perdu au milieu du désert. La situation semblait difficilement plus compliquée, et surtout désespérée. Se confondant en injures, Kaden tentait déjà de trouver une solution pour s'en tirer sans une égratignure, alors que la bandée du groupe, peut-être finalement bien plus menacée que Sïa, brandit son gros maillet de métal en avant. Elle était tout simplement prête à défendre sa liberté coûte que coûte.

Quant à Moyesïa, se montrant droite comme un piquet, elle considéra Cléo de loin, perchée sur un matelas soulevé par quatre de ses hommes. L'ébène les observait tout en restant allongée et en esquissant un sourire triomphant. Ouvrant un petit coffret qu'elle conservait, Cléo en sortit un crâne humain. Elle le lança avec négligence, et ce dernier roula jusqu'à ses adversaires. De son pied, Moyesïa l'arrêta puis se pencha pour récupérer l'objet sans se dépêtre de son calme alors que dégouté, Kaden afficha une grimace devant cette horreur. Si seulement il avait une idée de quoi il en retournait réellement.

Peu après, la mâchoire inférieure de la tête en os s'ouvrit, et une voix en sortit.

– Moyesïa…

– … Père ?


Mmh... * regarde la date de ma dernière publication. Regarde son calendrier...* S.H.I.T ! ( Trouvez la référence ;) ).

Et bien dis donc ! J'ai attendu le confinement pour trouver le temps de poster! * lève un drapeau blanc * je m'excuse! Je voulais po! U.U... et j'espère que cette fois-ci et pour de bon je vais retrouver un rythme de publication. J'oublie pas ma fic, je le jure sur mon bien le plus précieux mon adorable toutou! Bref... UN GRAND MERCI A MA MEUILLEURE AMIE ! X) elle a encore corrigé ce chapitre. Parfois je me demande comment tu supportes le poulpe retardataire, et ses fautes toujours à l'heure