Hello tout le monde,

Avec un peu de retard, voici le chapitre 05 qui est attention HOT puisque ce qui suit est très détaillé ! Je ne suis pas fan du Yaoi comme je suis Fan de Saint Seiya, mais j'apprécie parfois de lire et écrire ce genre de fic (à petite dose bien sûr).

J'espère qu'il vous plaira. Je le redis une nouvelle fois, ceux qui n'apprécient pas ce type de fic, je vous invite à ne pas la lire. Tout commentaire désobligeant sera supprimé.

Bonne lecture et on se retrouve en bas.

PS: Merci pour vos Reviews ^^


Milo et Camus s'embrassèrent langoureusement, les bras noués autour de son cou se perdirent dans la chevelure bleu foncé de son ami, quant aux mains de Milo, elles explorèrent le dos de Camus. À bout de souffle ils durent se séparer haletant tous les deux cherchant à retrouver leur souffle. Milo était heureux car même si cela faisait la troisième fois qu'ils s'embrassaient, ce baiser était différent des autres, c'est LE baiser d'amour tant attendu vu qu'il s'était dévoilé à Camus.

- Tu es encore meilleur que dans mes rêves les plus fous.

- Parce que tu rêves de moi, c'est nouveau ça ?

- Oui Camus je rêve de toid'une voix suaveParce que je suis fou de toi.

De nouveau, Milo posa ses lèvres sur les lèvres fraîches de Camus qui entrouvrit les lèvres en sentant la langue de Milo dessus. Leurs langues se rencontrèrent dans un ballet sensuel et involontairement la main de Camus frôla l'entrejambe de Milo qui laissa échapper un petit gémissement de plaisir. Surpris par ce bruit, Camus recula les joues rouges.

Balbutia - Euh je… Je suis désolé…

Milo fut amusé de voir Camus aussi gêné et le voir un peu rougir le rendait encore plus désirable aux yeux du Scorpion. À ce moment précis, un détail frappa Milo qui se souvenait de leur dispute le lendemain où il avait failli retourner chez Hadès selon les dires de Shion et de Dohko. Un sourire se dessina sur son visage, sourire qui n'échappait pas à Camus qui se demandait ce que signifiait son sourire.

- Qu'est-ce qui te fait sourire ainsi ?

- J'avais raison n'est-ce pas ?

- À propos de quoi ?

- Tu n'as jamais eu le moindre rapport, tu es puceau Camus ?

De voir que Milo avait vu juste, Camus ne put s'empêcher de rougir. Milo prit cela pour un oui et voyait bien que son ami était gêné et tenta de le rassurer.

- Aller ne soit pas gêné, il n'y a pas à avoir honte.

- Oui je sais bien mais toi…

- Quoi moi ?

- Tu as de l'expérience alors pourquoi désires-tu perdre ton temps avec moi qui n'y connaît rien.

- Oui j'ai de l'expérience en matière sexuelle avec les femmes, en revanche, je n'ai jamais eu le moindre rapport avec un homme. Et je te l'ai dit Camus, je te désire et je t'aime depuis des années.

Une nouvelle fois, Camus rougit légèrement à la déclaration sincère de Milo. De son côté Milo était aux anges et ne put se taire il enserra Camus par la taille et l'entraîna avec lui dans sa chute laissant le Verseau le dominer un moment.

- Tu es vraiment adorable quand tu es ainsi gêné tu sais.

Le ton cassant - Milo !

Milo ignora le ton que Camus avait employé et reprit.

- Alors comme cela, je vais être le premier à pouvoir réellement te toucher, c'est formidable, cela me rend heureux Camus si tu savais. Laisse-moi te guider, je vais t'apprendre et te faire découvrir les plaisirs sexuels et t'entraîner dans ce que l'on appelle la jouissance.

- Milo ce… Ce n'est pas raisonnable, on ne devrait pas…

Voyant que son tendre ami hésiter toujours, Milo prit les devants pour le décider et laissa ses lèvres se poser dans le cou de son ami. Il laissa sa langue goûter la peau fraîche mais délicieuse de Camus faisant gémir celui-ci sans le vouloir. N'arrivant pas à se décider, Camus finit par s'éloigner de Milo pour ne pas céder aux avances de son ami, mais surtout ne voulant pas le décevoir sachant que Milo avait déjà une grande expérience en matière de sexe.

Voyant que son ami lui échappait une fois de plus, Milo noua ses mains autour de son cou avant que celui-ci ne s'éloigne trop et captura ces lèvres une nouvelle fois et inversa les rôles se retrouvant au-dessus de Camus qui n'appréciait pas trop ce changement et repoussa doucement Milo.

- Milo !

- Allons ne te met pas en colère, regarde plutôt.

Milo se mit à genoux devant Camus et pointa son doigt sur sa virilité qui n'était plus au repos mais légèrement dressé. Le fait de voir cela, Camus rougit alors que Milo le regardait amusé de la situation.

- Allons ne soit pas gêné Camus, cette réaction de mon sexe est naturelle, cela signifie que je te désire réellement.

Milo prit la main de Camus le força à se relever un peu et guida sa main jusqu'à son sexe la posant dessus ce qui gêna encore plus Camus.

- Laisse-toi aller et détends-toi.

Milo guida la main de son ami sur son sexe afin de laisser cette main le caresser faisant coulisser sa virilité dans la main de Camus qui était comme paralyser ne sachant quoi faire. Il scruta Milo qui réagit immédiatement à cette caresse gémissant doucement. Le Scorpion regarda son ami et décida de lui expliquer le B à Ba sinon, une nuit ne serait jamais assez il lâcha Camus qui recula aussitôt.

- Camus mon ami, tu vois mon sexe et bien cette caresse m'a fait beaucoup de bien même si c'était moi qui te guidais, c'était comme si c'était toi qui me faisais du bien.

- Milo tu… Tu perds ton temps avec moi.

- Oh non je ne crois pas.

Le regard du Scorpion venait de se poser sur l'entrejambe du Verseau où une légère érection pointer son nez.

- Qu'est-ce que tu regardes ainsi ?

- Cecidit Milo en pointant l'entrejambe de Camus Cette caresse ne m'a pas fait uniquement du bien à moi.

Camus rougit une fois de plus gêné de la situation ? Milo s'approcha une nouvelle fois de lui pour capturer ses lèvres dans un tendre et doux baiser.

- Ne soit pas ainsi gêné c'est une réaction normale de ton corps, cela signifie qu'il en a aussi envie. Regarde…

Milo porta sa main à l'entrejambe de son ami et là caressa faisant frissonner le Saint des Glaces.

- Hummmm, Milo !

Souriant - Tu vois rien qu'une caresse te fait soupirer d'aise et regarde ton érection est un peu plus voyante.

Camus vit en effet que la bosse au niveau de son pantalon était plus importante qu'il y a quelques instants mais ce n'était rien comparé à la virilité de son ami qui se montrait déjà plus voyant.

Reprenant les dires de son ami- Ton érection à l'air plus important que la mienne pourtant.

En entendant les dires de son ami, Milo éclatait de rire vexant presque le Verseau. Ne voulant pas que son ami le laisse en plan, gardien du huitième temple lui expliqua.

- Oui c'est vrai que mon érection est plus voyante mais je suis nu. Toi ton membre est encore emprisonné dans son pantalon et ne peut donc s'épanouir. Et puis ce n'est que le début des festivités alors ne t'inquiète pas.

- Qui t'a dit que j'allais rester ?

Surprit- Ne me dit pas que cela t'est agréable ? Tu mentirais à ton corps si tel était le cas.

- Là n'est pas la question Milo mais…

Le coupant sachant où il voulait en venir- Tu t'inquiètes parce que tu n'as jamais eu de rapports sexuels et tu as peur de me décevoir où alors que ce soit une aventure d'une nuit ?

Camus détourna son regard, une fois encore, le Scorpion avait vu juste et lu en lui. Milo prit alors la main de son ami et la posa sur son cœur surprenant le Onzième Gold.

- Tu entends ces battements ? Mon cœur bat pour toi Camus. Crois-moi si je t'ai presque supplié de passer cette nuit avec moi ce n'est pas pour te jeter demain. Je t'aime mon Camus et je te désire plus que tout. Moi aussi c'est ma première nuit avec un homme, la seule différence entre toi et moi à cet instant c'est que je connais mon corps ainsi que ces réactions vis-à-vis du plaisir rien de plus.

Milo stoppa son monologue et se mit à caresser l'entrejambe de son ami au niveau de son érection naissante faisant soupirer une nouvelle fois Camus.

- Tu vois le fait que je te caresse te fait soupirer tout comme moi tout à l'heure quand je guidais ta main sur mon sexe. Tu ne connais rien au sexe parce que tu es puceau et alors où est le problème. Cela ne m'en pause aucun bien au contraire, je suis heureux d'être le premier à te faire l'amour et ne t'en fais pas je serais doux et patient avec toi, je ne veux surtout pas te brusquer au risque de te perdre, je t'aime trop pour cela.

Bien que d'habitude, Camus n'écoutât pas les longs monologues de son ami, là il avait tout écouté et se sentait ému de ce que ressentait son Milo pour lui, qui était pourtant considéré comme l'être le plus froid du Sanctuaire.

- Milo…

Le dit Milo s'allongea au côté de son ami laissant sa main caressait son érection qui prenait de plus en plus d'ampleur.

- Regarde ton désir grandit prouvant que ton corps aussi ressent du désir.

Camus se sentait bien à cet instant et commençait à ressentir ce qu'il avait déjà ressenti deux fois, se matérialiser de nouveau et l'aventure de la douche lui revient en mémoire mais cette fois-ci, Milo avait son consentement pour faire ce qu'il voulait.

Milo sourit et sentit son futur amant se détendre peu à peu sous ses caresses et décida de passer à l'étape suivante. Il se remit au-dessus de Camus prenant une position de dominant et lui dit en souriant :

- Maintenant que tu es plus détendu passons à la suite. Si tu trouves que je vais trop vite n'hésite pas à me le dire d'accord ?

Camus acquiesça et attendit de voir ce que Milo allait faire. Pour commencer, Milo captura de nouveau les lèvres fraîches de son compagnon les caressant presque avec les siennes qui étaient chaudes et tout aussi douces. Camus entrouvrit ses lèvres laissant ainsi au Scorpion le plaisir d'explorer sa cavité buccale. Les mains de Milo parcouraient la taille de Camus le caressant à travers ses vêtements. Cela déclenchant chez les deux hommes des ondes de chaleur qui se répandaient dans tous leur corps.

Les mains de Camus qui s'étaient posées dans le dos de son compagnon le faisant frissonner vue qu'il était nu remontaient le long de sa colonne vertébrale, caressant sa nuque avant de s'enfouir dans sa chevelure qu'il caressait ; Mettant fin au baiser, Milo explora le cou de son amant qui reversa sa tête vers l'arrière et fermait les yeux, la langue et ses lèvres gouttaient avec délectation à la douceur de la peau fraîche qu'avait Camus avant de lui mordiller le lobe de l'oreille faisant gémir son amant. Doucement sans brusquer les choses, Milo passa lentement ses mains sur le torse de Camus, les laissant descendre tout le long et s'arrêta le regardant le sourire aux lèvres. Camus rouvrit les yeux et rencontrant les yeux verts de Milo et répondit à son sourire.

- Est-ce jusque-là je n'ai pas été trop vite Camus, ressens-tu plus de désir ?

- Oui ça va, c'est même bon je dirais.

Souriant- Alors dans ce cas, me permets-tu de continuer ?

Camus acquiesça de la tête et fermait de nouveau les yeux se laissant aller

Avec l'accord de Camus, Milo reprit où il en était et passa de nouveau ses mains sur son torse, dessinant ses muscles et jouant avec les petits bouts de chaires moins grosses que chez une femme et entreprit de déboutonner doucement sa chemise afin de ne pas le brusquer. À chaque parcelle de peaux dévoilées, Milo y déposa ses lèvres douces et chaudes faisant gémir son compagnon qui commençait à ressentir une certaine chaleur au niveau de son bas-ventre.

- Hummmm ! Milo !

S'arrêtant - Excuse moi je vais trop vite peut-être ?

Ouvrant les yeux - Non continue s'il te plaît

- N'hésite pas à me dire si je vais trop vite, je veux que cette première fois soit mémorable pour nous deux.

Camus le regardant le sourire aux lèvres de voir son ami si doux. Il ne s'était donc pas trompé derrière cet air parfois sadique, son compagnon d'armes et ami était quelqu'un de doux et tendre quand il le voulait.

Milo embrassant sensuellement Camus alors que ses mains continuaient de déboutonner entièrement sa chemise blanche. Une fois sa chemise grande ouverte, Milo se redressa et contempla le torse pâle de Camus qu'il n'avait jamais eu le loisir de voir, vu qu'il n'aimait pas s'exposer au soleil. Cette peau laiteuse et magnifique le rendait encore plus désirable aux yeux du Scorpion qui avait presque peur d'y toucher de peur de la souiller.

Il invita Camus à relever son buste afin de lui retirer complètement cette chemise qu'il envoya valser à terre sous les gros yeux de Camus.

- Quoi…

- Tu sais que je déteste le désordre même si c'est chez toi !

Soupirant - OK j'ai compris.

Milo se leva et prit la chemise de son compagnon qu'il posa soigneusement sur la chaise sentant le regard de Camus sur lui. En effet, Camus ne pût s'empêcher de regarder la nudité de son ami, se sentant excitait tout d'un coup ce qui amusa Milo qui revient vers son compagnon et s'allongea près de lui.

- Alors mon corps te plaît-il monsieur de Saint du Verseau.

Camus ne répondit pas, mais avait en effet trouvé son compagnon très beau et se demandait encore ce qu'il l'attirait chez lui qui à la différence de son ami, se trouver banal. Le voir perdu dans ses pensées inquiéta un peu Milo qui décida de le détendre un peu en posant sa main sur son torse faisant sursauter Camus.

- Laisse-toi aller Camus.

De nouveau, Milo domina le Saint du Verseau et commença à laisser ses mains vagabonder sur le torse de son ami le faisant soupirer d'aise. Milo scruta le moindre signe de plaisir de son amant et entreprit d'aller un peu plus vite pour voir sa réaction. Doucement il pencha son visage sur ces petits tétons et posa ses lèvres dessus faisant réagir son ami qui poussa un plus long soupir.

- Cela te plaît-on dirait.

Milo posa ses lèvres sur l'autre téton et titilla avec son pouce et son index celui délaissé, tendit qu'il titilla l'autre avec la pointe de sa langue ce qui eut pour effet de faire gémir Camus.

- Hummmm ! Milo !

Milo sourit et baissa les yeux pour voir son plaisir qui grandissait, il allait bientôt devoir le libérer, mais pour le moment, il s'occupait de ces petits bouts de chaire qui pointer déjà sous le désir devenant dur. Il insista un peu plus avec sa langue et se mit à le suçoter en les mordant doucement avant de le délaisser et de faire subir le même traitement à l'autre. Il remonta son visage vers celui de Camus pour l'embrasser de nouveau laissant la peau nue de son torse rentrer en contact avec celle de Camus ce qui eut pour effet de les faire gémir tous les deux. Le baiser devint vite plus profond et plus enflammé, les choses sérieuses commençaient réellement. Dégageant les mèches vert d'eau de son Verseau, Milo dévora de nouveau son cou en y déposant des baisers brûlants faisant exprès de frotter son membre déjà dur contre le ventre nu de son amant histoire de l'exciter à son tour.

- Est-ce que ça va, je ne vais pas trop vite Camus ?

Haletant- Non

Camus ne put rien articuler de plus se trouvant déjà entre la frontière de leur monde et celui du désir.

Milo eut un sourire qui se dessina sur son visage heureux de voir que son ami était pris par la fièvre du plaisir, d'ailleurs son érection était encore plus importance. Il laissa alors sa main la caressait à travers le pantalon faisant gémir un peu plus le Verseau qui se sentait de plus en plus perdre pied avec la réalité, complètement dominé par Milo. De son côté, le jeune homme entreprit de déboutonner le pantalon de Camus, mais ce dernier l'arrêta en ce relevant.

- Non je…

Milo plaqua ses lèvres sur les siennes se laissant aller contre le torse brûlant de son amant et lui offrit un nouveau baiser enflammer, plongeant de nouveau sa langue avec délice dans la bouche de Camus qui laissa de nouveau ses mains se perdre dans la chevelure de son ami. S'enivrant du goût de l'autre, Milo en profitait pour descendre doucement sa main au niveau du pantalon de Camus caressant la bosse une nouvelle fois afin qu'il se laisse aller. Devant mettre fin au baiser étant tous les deux à bout de souffle, ils se regardèrent amoureusement et ce fut Milo qui tenta de mettre à l'aise son compagnon.

- N'aie pas peur, je ne te ferais pas le moindre mal je te le promets !

Milo déposa une nouvelle fois ses lèvres sur celle de son amant avant de poursuivre.

- Je vais juste le libérer d'accord.

Camus acquiesça donnant ainsi son accord à Milo pour poursuivre. Le jeune Grec reprit où il avait arrêté peu de temps avant, à savoir déboutonner le pantalon de Camus qui portait en plus un ceinturon. Soupirant Milo avait envie de voir rapidement le corps nu du Français, mais ne voulait pas le brusquer sachant que c'était là première fois pour lui. Il entreprit de ne pas brûler les étapes retirant d'abord la ceinture puis déboutonna son pantalon. En même temps, il caressait le ventre de Camus pour ne me brusquer. Milo se montrait toujours tendre avec ses partenaires d'une nuit, mais là avec Camus, il redoublait de tendresse sachant que c'était sa toute première fois. Et prenait son temps dans les préliminaires. De son côté, Camus n'avait jamais imaginé que Milo était aussi tendre et aussi délicat quand il s'agissait d'amour.

Le pantalon ouvert, Milo ne fit pas comme lors de l'épisode dans la salle de bains en faufilant sa main dans son pantalon, non il remonta son visage vers celui de Camus qui lui souriait une nouvelle fois. Le Grec embrassa de nouveau le Français, caressant sa langue avec la sienne. Pour la première fois de sa vie, Milo se sentait heureux de ce qui allait suivre. Bien sûr il prenait beaucoup de plaisir en lorsqu'il faisait l'amour avec une délicieuse créature, mais là ce n'était pas pour assouvir une envie quelconque, non ce qui allait se produire était par amour, car même si Camus n'avait pas répondu à sa déclaration, le jeune Grec savait que le Français lui faisait entièrement confiance. Néanmoins, curieux il posa la question ?

- Est-ce tu aime ce que je te donne ?

- Bien sûr, sinon je ne serais plus là depuis longtemps !

Hésitant- Est… Est-ce que tu m'aimes Gabriel ?

Camus fut surpris non seulement par la question du Scorpion, mais aussi par le fait qu'il l'appelle par son vrai prénom, chose qui était rare même quand ils étaient seuls. En attendant la réponse, Milo entreprit de l'exciter un peu en lui mordillant doucement le lobe de son oreille afin d'avoir la réponse qu'il attendait.

Camus tentait de réfléchir à ce qu'il ressentait réellement pour son ami était-ce de l'amour ou une profonde affection ? Non, c'était bien plus que de l'affection mais il n'arrivait pas à réfléchir correctement avec ce qu'était en train de lui faire subir Milo il décida de répondre comme à son habitude.

- À ton avis, si je ne t'appréciais pas, crois-tu que je te laisserais faire ?

Milo fut un peu déçu, il aurait tellement voulu entendre ces trois mots sortir de la bouche de son beau Français, mais il le connaissait et savait qu'il n'était pas du genre à crier ces sentiments pourtant les entendre de la bouche de Camus l'aurait rendu tellement heureux. Voyant l'air triste qu'il aborder, Camus lui caressa la joue du revers de la main, avant de laisser son pouce caresser ces lèvres sentant que Milo embrasser son doigt.

- Laisse-moi un peu de temps mon ami, je te dirais ce que tu veux entendre, mais pas tout de suite, pas maintenant.

- Pourquoi ?

- Parce que je n'ai pas ma tête à réfléchir et que je veux que tu continues ce que tu avais commencé.

Fou de joie, Milo l'embrassa une nouvelle fois tendrement et repartit à l'assaut de son pantalon qu'il fit glisser le long des jambes d'un Camus rougissant d'être presque nu devant son amant. Milo quant à lui se régaler de la vue.

- Tu es tellement beau Camus, comment est-ce que j'ai pu attendre si longtemps.

- Difficile de répondre à cette question mon ami, le manque de temps sûrement !

- C'est vrai, mais maintenant, nous l'avons tout notre temps.

Milo se remit à caresser le sexe de Camus à travers le boxer dont l'érection se manifester de plus en plus, faisant gémir Camus sous les caresses exquises que lui infligeait le Scorpion. Passant à la vitesse supérieure mais sans brusquer son tendre ami, Milo remonta une nouvelle fois vers ces lèvres comme s'il répondait à leur appel et l'embrassant une nouvelle fois passionnément ondulant en même temps son bassin laissant son sexe gonflé entrer en contact avec celui de Camus qui était toujours emprisonné dans ce bout de tissu.

- Hummmm ! Milo je…

Instinctivement, Camus ondula aussi son bassin et poussa un cri de surprise lorsqu'il sentit le sexe gonflé de Milo contre sa cuisse alors que ce contact fit gémir Milo. Il le caressa alors longuement sur le torse et laissa sa bouche prendre la place de ses mains qui se mirent à caresser longuement le sexe encore cachait de son amant faisant gémir Camus à chaque caresse plus prononcer. Sa bouche descendait le long de son torse jusqu'à son ventre s'attardant quelques secondes sur son nombril avant de s'attaquer au dernier rempart de l'objet du désir. Il finit par stopper ses caresses exquises et regardant son amant qui avait les yeux clôt profitant de l'instant.

- Camus…

Ouvrant les yeux- Oui…

Le regardant avec désir et envie- Puis-je te libérer ?

Camus ne répondit pas mais ondula son bassin afin de faire savoir à Milo sa réponse, mais celui-ci ne fit rien et le regarda dans les yeux.

- Je veux te l'entendre dire Camus !

- Libère-moi Milo, je suis trop serré…

Le sourire aux lèvres, Milo décida de torturer un peu son tendre amant en passant l'une de ses mains sous le boxer et commença une lente caresse sur le sexe du Français qui haleta à chaque caresse se sentant devenir dur et douloureux.

- Milo… S'il te plaît libère-moi…

Devant le supplice de son tendre amant, Milo s'exécuta mais d'une manière à exciter encore plus Camus. En effet, mit son visage au niveau du boxer de Camus qui le regarda se demandant ce qu'il allait faire. Le jeune Grec prit l'élastique dans ses dents et fit descendre doucement le dernier vêtement que portait le Français libérant petit à petit la virilité de Camus qui se mit à rougir de se retrouver nu et le sexe dressé devant le regard presque insistant de son ami.

Milo quant à lui regardait le corps dénudé et pâle mais parfait de Camus et se demanda comment il avait fait pour ne pas se rendre compte plus tôt ce qu'il éprouvait pour son meilleur ami. Ils étaient à présent tous deux nus. Milo s'allongea alors doucement contre Camus laissant ainsi leur corps entré en contact alors que leurs sexes gonflés se frottèrent l'un contre l'autre avec délice, ce contact les électrisait et les faisant gémir tous les deux alors que Milo caressait le visage de son amant.

Ils s'embrassèrent une fois de plus et Milo se positionna entre ses cuisses.

- Pour quelqu'un qui dit ne pas être attiré par le sexe, tu es drôlement excité ! Regarde-moi ça

Dit Milo en tapotant le sexe dressé de son ami en le faisant soupirer d'aise.

- Toi aussi tu m'as l'air excité

Dit Camus en regardant le sexe de Milo, qui était tel un soldat en garde à vous.

Milo baissa les yeux en souriant et se coucha à nouveau sur Camus laissant leur sexe rentrait une nouvelle fois en contact les faisant tous les deux gémir à nouveau. Milo lécha le cou de son amant et lui murmura d'une voix suave.

- C'est toi qui m'excites mon beau Gabriel

Les dires de Milo firent frémir Camus qui noua ses bras autour du cou de son ami. Qui incita Milo à poursuivre.

Milo redescendit alors à l'objet du désir et le regarda un instant se demandant s'il allait ou non offrir une fellation à son ami se demandant quelle serait sa réaction. Avant de le lui demandait il prit doucement dans sa main et le caressa lentement faisait sursauter Camus qui se cambra en gémissant plus fortement, envahi par de multiples sensations qu'il n'avait encore jamais ressentis auparavant. Le fait de voir son amant excitait, l'excitait encore plus, sentant sa virilité devenir un peu plus dur. Ne sachant pas si son ami allait accepter cette position pourtant terriblement agréable, Milo eut une idée en tête.

- Viens contre moi Camus…

Surprit le Français s'exécuta et se releva se mettant dans une position assise se demandant ce que désirait faire son compagnon.

- Allons n'ait pas peur, laisse-moi te guider, tu verras ! Viens t'asseoir sur mes jambes en à califourchon.

Camus s'exécuta, alors que Milo se colla à lui laissant leur sexe se frôlaient, faisant une nouvelle fois gémir Camus qui était toujours mal à l'aise de se retrouver ainsi. Milo sourit ayant compris le malaise de son ami et prit les choses une nouvelle fois en main.

- Tu n'as pas à avoir honte d'être nu devant moi Camus, ne t'inquiète pas… Tu es magnifique

Il posa alors sa main sur son membre avant de s'emparer du sien avec cette même main les caressant en même temps faisant sursauter Camus qui gémit encore plus fort envahi par de multiples sensations encore peu connues, mais qui lui procurait beaucoup de plaisir. Voyant que son ami se laissait aller, Milo entamait une lente et douce caresse sur leurs sexes gémissants en même temps que son amant. Tout en effectuant ses caresses, la bouche de Milo vint prendre goulûment les petites perles de chaires qui étaient à sa portée et intensifia ses caresses sur leurs sexes collaient l'un à l'autre. L'autre main de Milo caressait le dos de son amant, le caressant longuement alors que Camus était submergé par les sensations nouvelles pour lui, sensations intenses enivrantes et surtout délicieuses que jamais il ne l'aurait imaginé.

Camus ne put s'empêcher de rejeter sa tête en arrière haletant, le souffle court ayant du mal à contrôler son corps, sentant le désir monter en plus. Il poussa un petit cri de surprise lorsqu'un doigt de Milo vint caresser une autre partie de son corps plus intime encore, et gémissait vue que c'était le premier attouchement de cette sorte. Milo continuait cette caresse à cet endroit tout en accélérant ses caresses sur leurs sexes. Avant que le point non-retour n'arrive ayant senti le sexe de son Verseau frémir contre le sien, Milo stoppa toutes caresses faisant soupirer Camus de frustration se demandant la raison.

- Po… Pourquoi t'es-tu arrêté ?

Souriant- Parce que je veux que cette première fois soit mémorable et que je veux te faire découvrir ce qu'est le véritable plaisir.

Surprit- Le véritable plaisir ?

- Oui. Certains diront que c'est sale, mais moi je trouve cela fort agréable.

Milo croisa le regard brûlant de son amant et le fit basculer sur le dos happa de nouveau ses lèvres, étouffants leur gémissement contre la bouche de l'autre. La sueur était déjà peu présente sur leur corps mais la chaleur n'allait pas tarder à se faire de plus en plus présente.

Camus regarda le corps de son compagnon penché au-dessus de lui et se dit que cet homme était terriblement beau il voulut le goûter lui aussi mais ne savait pas comment si prendre, laissant alors le Scorpion le rôle de professeur néanmoins, il laissait ses mains caressaient le dos et les fesses de son ami et amant s'empreignant de sa douceur comme si cela était la seule et unique fois qu'il pouvait le toucher. Milo quant à lui mener doucement son Camus sur le chemin du plaisir divin et bien qu'il ressentît encore une petite gêne, le Français s'était abandonné aux caresses expertes de son ami.

Milo repartit à la découverte du corps de son amant qu'il connaissait déjà depuis peu mais avait envie de le redécouvrir. Il posa délicatement ses lèvres sur le haut du sexe de Camus le faisant crier de surprise.

- Milo mais qu'est-ce que…

- Chut calme-toi et laisse-toi aller aux sensations et au plaisir que tu ressens et détends toi tout ira bien.

Camus laissa sa tête reposée sur l'oreiller, ferma les yeux et se crispa un peu. Milo sourit intérieurement se rappelant sa propre première fois il n'était pas plus rassuré d'autant plus que la femme qu'il l'avait dépucelé avait de l'expérience c'est d'ailleurs cette même femme qui lui avait fait connaître les joies de la fellation.

Milo laissa sa langue parcourir le sexe de Camus qui frémit sous cette caresse faisant crier le Français qui arqua son corps vers l'avant signe que cela lui donnait beaucoup de plaisir. Milo répéta l'opération plusieurs fois, passant sa langue sur ce sexe qui sentait durcir de plus en plus. Camus commençait à avoir chaud, très chaud, sentant son ventre devenir douloureux alors qu'une envie grandissait de plus en plus, envie qu'il n'avait encore jamais eue, où ressentit jusqu'à maintenant, la langue de Milo se faisait de plus à plus audacieuse sur son membre, mais faisait entièrement confiance à son compagnon, laissa sa main dans la chevelure ondulée de Milo alors que l'autre serré le drap.

Milo entreprit de pousser un peu plus loin son exploration et laissa sa main titillait l'entrée de cette intimité fermé jusque-là ainsi que ces testicules, prenant totalement dans sa bouche le membre de son amant qui cria plus fort cette fois-ci :

- AHHHHHH MILO!

Camus avait crié en sentant quelque chose de chaud et humide le prendre et serra les draps s'ouvrant davantage aux caresses de Milo qui explorait toute son anatomie alors qu'il se sentait partir vers un monde de volupté absolue. Tout en le suçant, Milo laissait sa langue le parcourir le sentant chauffé de plus en plus se doutant que le moment n'allait pas tarder à arriver. Le Grec faisait son possible pour se montrer doux afin de le préparer pour sa première fois qui ne ferait pas sans douleur mais voulait à tout prix ne pas faire souffrir son amant. Il sentait aussi qu'il n'allait pas tarder à venir tellement que cela l'excitait de dépuceler Camus et était heureux qui lui accorde une telle confiance sachant que le Saint des Glaces n'était pas du genre à se dévoiler. Il sentit le sexe de Camus frémir dans sa bouche se doutant qu'il n'allait pas tarder à connaître sa première jouissance. Le corps de Camus réagissait à cette délicieuse torture. Le souffle de plus en plus court, son rythme cardiaque s'accéléra et il se cambra contre son ami, s'empala dans sa bouche.

- Argh MILOOOOOOOOOOOOO

Camus hurla le prénom de son meilleur ami lorsque la jouissance s'empara de lui se répandant dans la bouche de Milo qui devant la jouissance de son ami ne pût se retenir lui non plus, éjaculant sur le ventre du Français.

Camus laissa retomber sa tête sur l'oreiller haletant et respirant avec difficulté. Satisfait, Milo continua de le lécher un peu récoltant chaque goutte de la chaude semence que le sexe de son amant avant de le libérer et le regarder. Ce dernier avait les yeux clos, la tête enfoncée dans l'oreiller haletant et tente de reprendre son souffle. Il était magnifique se dit Milo.

Milo vint de nouveau contre lui, collant son torse brûlant contre le sien l'embrassant doucement.

- Alors est-ce que cela t'a plu ?

- Oui beaucoup.

Milo écarquilla les yeux entendant Camus lui répondre ainsi mais il était heureux de voir que son ami avait apprécié ce qu'il lui avait offert. Le couple s'embrassait à nouveau alors que leur corps se touchait et leurs sexes toujours en érection se caressaient avec délice. Milo mit fin au baiser et regarda son amour dans les yeux qui avait le regard brûlant.

- Camus !

- Oui Milo ?

- Voudrais-tu me donner du plaisir toi aussi !

Hésitant - Je… Je ne sais pas si…

Le coupant- Je te guiderais n'ai pas peur…

Camus repoussa doucement Milo le forçant à se relever. Le Grec l'interrogea du regard ne comprenant pas.

- Milo je ne sais pas si c'est une bonne idée…

- Ne dis pas cela, regarde mon corps et le tient, ils ont tous deux apprécié ce que je t'ai offert et ils en redemandent.

Voyant que son ami hésiter toujours, Milo prit la main de Camus et là guida sur son sexe faisant rougir ce dernier au contact. S'apercevant que son beau Français ne fit aucun geste pour stopper son ami, Milo referma la main de Camus à l'aide de la sienne sur sa virilité dure et gonflée.

- Laisse aller ta main et tout ira bien.

Milo guida la main de Camus là faisant coulisser sur son sexe déjà dur et gémissait de plaisir en se penchant vers l'arrière sous le regard de Camus qui se sentait redevenir dur dans la région du bas-ventre. Milo accélérait le mouvement de la main de Camus et finit par lâcher la main de ce dernier, le laissant mener la danse. Incité par les gémissements de son ami, Camus continuant de caresser sa virilité qu'il sentait devenir dur. Le torse penchait vers l'arrière, Milo gémissait de plus en plus fort sentant qu'il n'allait pas tardait à jouir ce qui arriva et éjacula sur la main de Camus qui surprit relâcha le membre de son ami les joues rouge. Haletant, Milo regarda son ami presque amusé mais s'excusa.

- Excuse-moi… J'aurais dû te prévenir.

Il s'allongea sur Camus et l'embrassa sensuellement.

- C'était divin, tu es doué Camus

- C'est toi qui m'as mené.

- Oui au début, mais après tu l'as fait seul. Tu ne voudrais pas faire une fellation, j'adorerais sentir ta bouche sur moi.

Devenant rouge comme une écrevisse - Que… Quoi…

- Je voudrais que tu me fasses ce que moi je t'ai fait. S'il te plaît mon amour…

Camus rougit encore plus en entendant Milo l'appeler ainsi ? Milo se lova contre lui et lui mordit le cou faisant frissonner le Français de plaisir. Milo roula sur le côté entraînant Camus avec lui se retrouvant dans la position du dominant et ondula son bassin faisant sentir à son amant son envie.

- Camus s'il te plaît, j'ai envie de toi…

Camus essaya de se rappeler ce que Milo lui avait fait, afin de lui faire la même la chose. Caressant d'abord la hampe de chair dressée devant lui, il posa ses lèvres sur le bout du sexe de Milo faisant bondir celui-ci qui ne put retenir un long râle de plaisir qui se fit plus fort encore lorsqu'il sentit la langue de Camus lécher son sexe sur toute sa longueur.

- Ahhhhhhh Camus ! C'est trop bon !

Le buste relevé, s'aidant de ses coudes la tête rejetait en arrière, il haletait tellement ce que son Français lui faisait subir était bon. Le Français apprenait vite, sa langue léchait le sexe dur du Grec sur toute sa longueur gémissant en même temps que ce dernier. La gêne qu'avait ressentie Camus lorsque Milo lui avait demandé, s'était dissipée pour le plus grand bonheur du Grec qui appréciait terriblement cet instant se doutant qu'il n'allait pas tenir éternellement. Il poussa un cri de plaisir lorsqu'il sentit que son compagnon engloutit son sexe en entier sous l'effet du plaisir qui fut intense, il crut qu'il ne pourrait jamais se retenir. Camus fut légèrement maladroit les premières secondes ne sachant pas comment bien respirer et ne se sachant pas comment ne pas lui faire de mal avec ses dents prit vite ses marques. La main de Milo se posa au niveau de la nuque de Camus lui appliquant le mouvement et voulant qu'il l'engloutisse entièrement. Camus les yeux mi-clos, laissait Milo le guider sans sourcilier le suçant et le léchant plus rapidement le sentant chauffé et frémit à chaque mouvement. Milo était dans un autre monde, il ne s'appartenait plus, au bord de la rupture, ne voulant pas éjaculer dans la bouche de Camus par respect pour ce dernier et tenta de l'arrêter, mais cette langue fraîche parcourant son membre lui faisait perde tout contact avec la réalité et dans un râle de plaisir, il arqua son bassin s'empala dans la gorge de Camus se déversant en lui, se laissant retomber contre l'oreiller haletant difficilement.

Camus avala la semence de son amant sans pouvoir faire autrement mais ne trouva pas cela désagréable si bien qu'il lécha jusqu'à la dernière goûte. Pour la première fois depuis le début de cette chaude nuit, Camus se lova amoureusement contre son amant l'embrassant sensuellement laissant le Scorpion goûter son propre liquide mêler à la salive de Camus.

- Humm… Pour quelqu'un qui ne connaît rien au sexe, tu es très doué Camus.

Souriant - J'ai eu un bon professeur

Souriant à son tour- Et tu es un excellent élève.

Milo noua ses mains au niveau de la nuque de Camus et lui offrit à son tour un baiser rempli d'amour et sensuel.

- Me permets-tu de terminer ?

- Bien sûr.

Milo reprit alors sa place de dominant et se plaça entre les cuisses de Camus regardant avec envie son sexe qu'il prit de nouveau entre ses lèvres en titillant son intimité avec son doigt faisant gémir Camus. Il délaissa son sexe et glissa sa langue douce et chaude contre ce petit orifice intime qui s'ouvrit doucement faisant gémir Camus de plaisir, qui écartait les cuisses d'instinct laissant ainsi le champ libre au Scorpion. Camus gémissait tout en se tordant de plaisir alors que la langue de Milo lécher son intimité avec plus d'ardeur. Le Verseau perdit pied avec la réalité s'offrant sans réserve à son ami en qui il avait une entière confiance. Milo estimait l'orifice suffisamment chauffé décida de préparer à sa future intrusion, pour cela il lui présenta deux de ses doigts, que Camus prit dans sa bouche. Le jeune Grec sentit la langue tiède de Camus les lécher et une fois qu'ils furent bien humidifiés, le Grec enfonça doucement son index dans l'intimité de Camus le faisant gémir d'extase. Milo fit entrer et sortir son doigt plusieurs fois le faisant bouger en lui cherchant les zones plus sensibles afin que son ami s'habitue à cette intrusion. Le Grec enfonça son majeur en plus de son index, Camus se cambra en poussa un petit cri de douleur ce qui stoppa le Grec immédiatement.

- Pardon je t'ai fait mal ? S'inquiéta aussitôt Milo

- Non… Ce n'est rien continu

- Je ne veux pas te faire souffrir mais la pénétration risque d'être douloureuse tu… Tu veux quand même continuer ?

- Oui… J'ai envie de toi Milo… Prends-moi s'il te plaît.

Milo fut surpris d'entendre Camus si direct, il devait être terriblement excité pour oser dire cela. Pour éviter de le faire souffrir, Milo mordit doucement l'intérieur de sa cuisse avant de glisser sa langue chaude contre son intimité et caressant son sexe afin de le détendre le plus possible. Il sentit son amant bougé son bassin le suppliant de venir en lui. Milo avait terriblement envie de ne faire qu'un avec lui mais avait peur de le faire souffrir mais il savait qu'il devait passer par cette légère douleur. Il insinua de nouveau un doigt dans cette intimité chaude, sentant son tendre ange des neiges se crisper de nouveau avant de se relaxer. Après quelques instants, un second doigt rejoignit le premier faisant gémir Camus une nouvelle fois. Le Scorpion, sentait son ami se détendre de plus en plus et finit par insérer un troisième doigt et regarda celui qui occupait son esprit à cet instant. Il vit Camus se détendait totalement, regarda Milo amoureusement et lui murmurant.

- Milo…

La voix du Verseau se fit presque suppliante et Milo comprit ce qu'il désirait et retira ses doigts.

Milo se plaça de nouveau entre les jambes écartées du Verseau, prit ces hanches pour les poser sur ses propres cuisses et caressa avec le bout de son sexe son entrée fragile. Il écarta un peu plus les jambes de Camus avant de s'enfoncer tout doucement dans l'étroit passage lubrifié, mais sentit Camus grimacer de douleur et le sentit se contracter qui fut aussi douloureux pour Milo qui se retira immédiatement. Il se lova contre le torse brûlant de Camus et serra ses mains dans les siennes capturant ses lèvres dans un fougueux baiser afin de détendre son amant, se glissant tout doucement en lui ; Camus mit fin au baiser rejetant la tête en arrière, criant de douleur à l'intrusion du sexe imposant de Milo. Le Grec sachant que la douleur ne pouvait être stoppée vue que cette douleur était souvent présent lors de la pénétration, lécha le menton de son amant, son cou avant de reprendre possession de ses lèvres continua son entrée.

Camus gémissait de douleur malgré la douceur dont faisait preuve Milo qui se demandait quoi faire pour apaiser son tendre compagnon. Une idée lui traversa l'esprit et tout en l'embrassant sensuellement Milo descendit sa main vers le sexe tendu de Camus, ses doigts se refermèrent sur le membre dur et tendu et le firent coulisser doucement afin de lui faire oublier son intrusion douloureuse tandis qu'il enfonçait son propre sexe dans cette chaude intimité distendue. Camus rejeta la tête en arrière et gémissait doucement tenta d'oublier le mal qui lui déchirait les entrailles. Ayant du mal à rentrer devant le fait que Camus se contracter, Milo suça et lécha ces petits mamelons déjà durs afin qu'il se détende le plus possible. Soupirant d'aise prit dans un délicieux plaisir, Camus se décontracta peu à peu ouvrant un peu plus les cuisses et murmura :

- Pardon…

Milo stoppa sa lente poussée et ses caresses et embrassa son amant en lui murmurant des mots tendres à l'oreille.

- Ne t'en fais pas mon ange des neiges… Ce n'est rien… Mon amour… C'est ta première fois je comprends

Milo poussa doucement en lui, sentant sa cavité s'ouvrir doucement. Il reprit ses caresses sur la virilité de Camus et d'un coup de reins, enfonça le reste de son sexe en Camus qui hurla de douleur et mit fin au baiser qu'ils échangeaient.

Milo s'en voulut, redoubla alors d'effort sur les caresses sur ce sexe délaissait et laissa son bassin immobile afin qu'il s'habitue à sa présence.

Murmurant - Tout va bien… Ne t'en fait pas le plus dur est passé.

- J'ai… J'ai mal Milo.

- Je sais, mais ne t'inquiète pas la douleur va disparaître… Détends-toi mon amour

D'un ton sec- Facile à dire !

L'embrassant- Chut… Calme-toi et concentre-toi sur le plaisir à venir.

Milo savait que la première fois était toujours douloureuse et espérait que son Camus ne garde pas un mauvais souvenir de leur première nuit car c'était si agréable d'être en lui, c'était si chaud à l'intérieur bien qu'il fût très serré. Il resta immobile quelques instants afin que son compagnon s'habitue.

- Camus… Tu es prêt ?

Camus acquiesça et Milo entreprit d'abord de léger va-et-vient à l'intérieur de ce doux fourreau tout en caressant son sexe gonflé au même rythme afin de lui faire oublier la douleur qui allait disparaître peu à peu.

- Est-ce que ça va mon amour ?

- C'est… Moins douloureux.

Souriant - Tu vois je te l'avais dit.

Camus lui rendit son sourire. Milo avait stoppé une nouvelle fois les va-et-vient et regardant son ange l'embrassant doucement avant de lui dire.

- Tu es si bon Camus… Je t'aime tant.

Posa sa main sur son visage- Moi aussi…

Milo écarquilla les yeux devant les dires de Camus et fut heureux qu'il partage la même chose que lui. Il reprit ses caresses sur son sexe et reprit les va et viens accélérant un peu le rythme en même temps que ces caresses sur la virilité de son amant. Bientôt les hanches de Camus bougèrent elle aussi mais dans le sens inverse des va-et-vient que faisaient Milo les faisant crier tous les deux devant l'intensité du plaisir ressentit à chaque instant. Gémissant de plaisir, l'un comme l'autre faisait tout pour retarder l'orgasme final, mais Milo savait déjà qu'après des préliminaires chauds et intenses qu'il aurait du mal à se retenir très longtemps sentant son Verseau autour de son sexe, pourtant il tenta de retarder le plus possible sa jouissance voulant jouir en même temps que Camus.

Camus de son côté gémissait de plus en plus ayant perdu pied avec la réalité se trouvant dans le monde du plaisir. Il ressentait une foule de sensations qui s'étaient réveillées tout au long de cette nuit et sentait une forte chaleur envahir son bas-ventre qu'il avait du mal à contenir et il le fit savoir à son amant.

- Mi… Milo je… Je vais…

Milo de son côté n'allait pas tarder non plus. Il accéléra la cadence des va-et-vient et des caresses sur son sexe et s'empala brutalement en lui. C'est dans un cri de jouissance ultime les deux amants jouirent en même temps, Milo se déversa à l'intérieur de Camus, tandis que ce dernier éjacula dans la main experte de son ami qui le caressait si bien.

Épuisé, Milo se laissa retomber contre le torse brûlant de son ami, haletant et tenta de reprendre doucement sa respiration, de son côté, Camus fit de même ses mains reposant sur les draps. Au bout d'un moment comblé, heureux mais épuisé, Milo embrassant une nouvelle fois son amant qui passa ses mains dans la chevelure du Scorpions qui se retira doucement laissant son liquide mêler à celui de Camus couler un peu. Milo vit avec horreur que du sang souillait la cuisse de Camus et sur les draps et se doutant que c'était à cause de l'acte par lui-même que le Verseau avait saigné. Sentant la culpabilité s'emparer de lui, Milo mit sa tête au niveau de la cuisse du Onzième Gold et le lécha doucement surprenant Camus qui soupira d'aise une nouvelle fois.

- Pardon Camus.

Surprit- Pardon pour quoi.

- De t'avoir fait souffrir à cause de moi tu as dû verser du sang, pourtant je…

Camus le renversant sur le dos prenant la position de dominant et l'embrassa afin de l'empêcher de dire des âneries surprenant ainsi Milo. Il enfouit sa tête dans l'épaule droite du Scorpion et resta silencieux un long moment ce qui inquiéta Milo.

- Merci pour cette nuit… Caressant le torse de son ami en dessinant des petits cerclesC'était merveilleux

Laissant ses mains caressait son dos - Pardon de t'avoir fait mal

- Ne t'excuse pas, tu as été doux, délicat et patient… Jamais je n'aurais osé faire ce que tu m'as offert cette nuit ! Embrassant son torseMerci mon ange Scorpion

Ému - Milo sentit les larmes lui montaient aux yeux alors qu'il n'était point émotif.

- Camus…

- Oui ?

- Embrasse-moi…

- C'est si gentiment demandé, comment refusé…

Camus remonta son visage vers celui de son amant qu'il embrassa, sa langue redevenue fraîche explora la bouche de Milo, rencontra sa jumelle qu'il caressa longuement.

- Milo…

- Oui mon amour ?

Murmurant- Je t'aime

Heureux- Moi aussi je t'aime Camus et je t'aimerais toujours mon glaçon adoré.

C'est heureux de s'être enfin avoué leurs sentiments, que les deux amants s'endormirent épuisés mais comblés.


Ainsi s'achève le chapitre 05, qui j'espère vous aura plu. Je vais tenter de mettre le 06 dès la semaine prochaine où pas ^^'

Sachez qu'un OS de Saint Seiya est en cours de finalisation, pas eu le temps de bosser dessus cette semaine mais j'essaye de le terminer au plus vite. La semaine prochaine vous aurez donc soit le chapitre 06, soit l'OS.

J'ai également un écrit quasi fini sur Saint Seiya The Lost Canvas sur un petit couple tout mignon que j'apprécie (El Cid - Shion) Imaginé le fier Capricorne prendre sous son aile le petit mouton qu'est Shion avant de devenir le puissant Bélier ^^

Donc voilà, il y a de quoi s'occuper ^^

See you Again,

Haruka

XoXoXo