Salut à tous !

Voici le dernier chapitre de cette fanfiction ! J'espère qu'il vous plaira autant que moi j'ai aimé l'écrire ! J'avoue que j'ai un petit pincement au cœur, mais il fallait bien qu'elle se finisse un jour, non ? Je pense revenir avec une autre fiction, mais ne vous attendez pas à ce qu'elle arrive très bientôt. J'aimerai bien avoir quelques chapitres d'avance afin de ne pas me retrouver à la ramasse comme avec celle-là !

J'ai déjà finit d'écrire l'épilogue, alors je pense le sortir rapidement.

Bonne lecture !

/!\ Disclaimer : la série Once Upon A Time et ses personnages ne m'appartiennent pas /!\


Dangereuse Attraction

chap 32

Chez les charmants, Neal était arrivé un peu plus tôt dans la matinée et il partageait maintenant un petit-déjeuner avec son fils et ses grands-parents, lorsque Mary reçu un message de la serveuse du Granny's. Devant le rire qu'elle laissa échapper, la discussion s'arrêta :

- Que se passe-t-il ? S'enquit son mari.

- Apparemment, des gens sont allés se plaindre à propos de l'arrivée d'Ethan en ville et maintenant, ils sont tous assis par terre devant la mairie avec lui.

- Elles sont avec lui ? Demanda Henry, sans même se préoccuper de préciser de qui il parlait.

- A ton avis ?

- Je ne sais même pas pourquoi je demande, rit le garçon.

La petite famille mangea tranquillement son petit-déjeuner avant de se mettre en route pour la mairie. Le temps qu'ils y arrivent, le débat s'était essoufflé et les habitants était en train de dire quelques mots à Ethan avant de reprendre leur journée.

Regina et Emma riaient entre elles. La blonde, pliée en deux par les rires, se retenait à peine de tomber en s'accrochant au bras de la brune qui, elle, s'était balancée en arrière dû au fou rire qui venait de les prendre.

Face au regard que Regina posait sur sa fille, David souffla silencieusement et décida d'aller discuter avec elles.

- Vous avez passé une bonne nuit ? Intervint-il, une fois proche d'elles.

- Comment ? Pardon, mais vous avez dit quoi ? S'enquit Regina, qui faisait de son mieux pour étouffer ses rires, ce qui n'était pas tâche facile sachant qu'Emma riait encore à gorge déployée.

- Est-ce que vous avez bien dormi, Emma et toi ? Répéta David.

- Oh ! Oui, oui… Très bien, ça fait du bien d'être rentrée à la maison.

- Je veux bien te croire, rit David, mais Regina pouvait sentir que quelque chose n'allait pas.

- Qu'est-ce qu'il y a, Char- David ?

- J'apprécie ton effort, Regina, rit David, sincèrement, cette fois. Mais… Est-ce que je pourrais te parler deux secondes s'il te plaît ?

- Oui, bien sûr, sourit la brune.

Emma, qui s'était entre temps arrêtée de rire, demanda silencieusement à sa compagne si elle voulait qu'elle vienne avec elle, mais Regina la rassura d'un sourire.

Emma alla donc récupérer Ethan qui venait de finir sa conversation avec Archie et salua ensuite sa famille.

- Elle va mieux maman ? Demanda Henry.

- Oui, beaucoup mieux. Tu n'as plus à t'inquiéter, gamin.

- J'ai proposé à Henry de me faire visiter Storybrooke, mais je voulais d'abord voir avec Regina et toi, intervint Neal.

- Oh ! Hmm… Emma se retourna un instant vers la brune. Je ne sais pas si-

- Si elle sera d'accord, coupa Neal. Oui, je sais, c'est pour ça que la réponse ne presse pas. Ça peut attendre qu'elle ait fini de discuter, ne t'inquiètes pas.

- Je peux savoir si ce qu'il t'est arrivé ?

- De quoi tu parles ?

- Tu es super gentil avec Regina, c'est bizarre.

- Comme je te l'ai dit hier, j'ai juste réalisé que ça ne servait à rien que j'insiste. Ça se voit qu'elle a changé. Peut-être qu'elle me déteste et je ne l'apprécie pas beaucoup non plus, rit Neal, mais si je veux qu'elle me laisse voir Henry, il faut au moins que je sois sympa.

- Je ne te reconnais pas, affirma Emma en tournant la tête sur le côté. Tant mieux.

- Connasse.

Emma se retourna vers sa mère pour lui demander comment s'était passé la semaine sans eux, tandis que Regina, de l'autre côté du parking, devait faire face au pire interrogatoire de sa vie.

- Mais… Vous avez déjà… Tu sais… Tenta David.

- On a déjà quoi ? Demanda innocemment la brune.

- Tu saaaaiis… Il leva ses mains et fit se toucher ses deux index, crack-crack.

- Oh mon Dieu, David ! L'amour ! Fait l'amour ! Ça devrait pas être si compliqué que ça !

- Ouais, bah excuse-moi de ne pas être à l'aise en parlant de ça avec mon ancienne belle-mère ! Se renfrogna l'homme.

- Tu n'es pas obligé non plus, je ne t'en voudrais pas.

- Emma reste ma fille, j'ai le droit de savoir.

- Absolument pas, non. Nous ne sommes plus dans la Forêt Enchantée, Charmant.

- Je sais bien.

- Alors, ne te comporte pas comme si c'était le cas. Tu n'es plus roi. Emma n'est plus une princesse. Et tu n'as plus le droit de contrôler sa vie.

- Ce n'est pas ce que je tente de faire, j'ess-

- Je sais, David, je sais, coupa le maire. Ce que je veux dire, c'est que si tu veux nous montrer ton soutien, il y a pleins d'autres moyens que… ça.

- Excuse-moi…

- Je sais que tu tournes autour du pot depuis le début, qu'est-ce qu'il y a ? Réellement, cette fois.

- Je voulais m'excuser Regina.

- Toi ? T'excuser ? S'étonna la femme. Mais t'excuser de quoi ?

- Je sais que tu es au courant de comment je parlais de toi à Emma lorsque la malédiction s'est brisée.

- Absolument.

- Eh bien, je voulais m'en excuser.

- Tu n'as pas à le faire, David, enfin… C'est moi seule qui suis responsable de tout ça. C'est moi qui m'excuse, pas toi.

- Tu hais toujours Blanche, n'est-ce pas ? Prise de court par cette question, Regina prit quelques secondes pour y réfléchir. Elle tourna la tête vers la brunette et fit une petite grimace.

- Je ne pense pas non, commença Regina, sans quitter Mary du regard. Je ne l'ai jamais vraiment haï en soi. Enfin, si, se reprit-elle en se reconcentrant sur David, bien sûr que si, mais pas autant que je ne le montrai. Je pense que j'étais surtout énervé, car celui que je pensais être mon Amour Véritable avait été tué à cause d'elle. Bon, j'avais tort… Certes… Mais, elle ne méritait pas ça. C'était qu'une gamine, punaise… Devant le regard surpris de l'homme, elle rajouta : Oui, je jure maintenant. Regarde la mauvaise influence qu'a ta fille sur moi ! S'amusa-t-elle.

- Tout ça ne répond pas à ma question.

- C'est vrai, excuse-moi… Bref, non, je ne la hais plus. Je ne vais non plus aller jusqu'à dire que je l'apprécie, mais sa présence ne m'est plus aussi difficile qu'avant. En même temps, c'était évident que ça allait arriver. Avant que tout ça n'arrive, je l'aimais bien cette petite. Se rendant compte de tout ce qu'elle avait dévoilé en l'espace de quelques minutes, Regina se racla la gorge. C'est bon ? L'interrogatoire est fini ? Je peux retourner voir mon fils ?

- Et ta compagne, sourit David.

Regina recula d'un pas, mais David lui tendit la main. Surprise et méfiante, elle la serra dans la sienne. Elle se rendit compte alors que ce n'était pas une poignée de main ordinaire, c'est une poignée de main qui voulait dire : « Je te pardonne, mais si tu fais souffrir ma fille, je te détruirai. » Regina leva les yeux au ciel, mais ne put retenir un demi-sourire. David et elle se séparèrent et rejoignirent les autres.

- Regina ! Interpella Emma.

- Que se passe-t-il ?

- Neal voulait emmener Henry avec lui pour qu'il lui fasse découvrir Storybrooke. Je suis d'accord, mais j'attendais ta réponse avant de lui donner la mienne. Regina ne put s'empêcher de sourire, elle était heureuse de voir que son avis comptait tout autant que celui de la blonde.

- Même si ça me coûte de le dire… Oui, je suis d'accord. Henry a le droit de mieux le connaître.

- Merci, Mme Mills, intervint Neal.

Père et fils s'éloignèrent alors, Henry souriant de toutes ses dents. Regina se tourna vers les autres.

- Allez, allons-y.

- Où ça ? S'inquiéta Mary.

- Je vous offre le repas chez Granny.

- C'est vrai ? S'enquit David.

- Bien sûr, pourquoi ? Ça t'étonne tant ?

- Pas du tout, mais ça nous fait plaisir !

- C'est quoi « chez Granny » ? Demanda Ethan.

- C'est le diner de la ville, informa le maire. On y mange bien. Alors, on va faire un tour en ville pour te montrer Storybrooke et, à midi, on ira manger. Ça te va ?

- Oui, super !

- Ça vous va ? Demanda Regina aux trois autres.

- C'est une superbe idée, Regina, affirma Mary. Les deux autres se contentèrent d'un hochement de tête.

Vers midi, le petit groupe passa les portes du Granny's et Ruby se précipita pour dire bonjour à la blonde.

- Tu m'as manqué, Em' ! L'embrassa-t-elle, avant d'aller saluer les autres.

- Je te présente mon petit frère. Ethan, voici Ruby.

- Je ne savais pas que tu avais un frère ! Tu aurais dû me le dire plus tôt ! Elle enlaça le jeune homme. Bon, venez, je vais vous donner une table.

Ethan fut le seul à recevoir une carte puisque les autres connaissaient le menu par cœur. Regina fut un peu déçue de voir Emma s'asseoir à l'opposé d'elle, mais ne dit rien. A près tout, il était normal qu'elle s'assoie à côté de son frère.

Le repas se passa dans la joie et la bonne humeur… Enfin, ça, c'était pour tout le monde sauf pour Regina. Tout au long du repas, elle avait remarqué qu'Emma était distante avec elle. Bien évidemment, au début, elle s'était dit que c'était normal qu'elle soit plus concentré sur son frère, mais, ça allait plus loin que ça. A plusieurs reprises, Regina lui sourit sans qu'il n'y ait de réponse. A plusieurs reprises, elle tenta de lui prendre la main mais la vit aussitôt retirer sa main.

Voulant s'empêcher de sur-analyser les choses et de sur-réagir, Regina prétexta une envie pressante et s'éclipsa aux toilettes. Elle savait que ça ne voulait rien dire. Emma était simplement timide au milieu de tant de gens. Face à ses parents. Oui. Voilà. C'était certainement ça. Emma voulait éviter d'embarrasser ses parents. Elle essaya de se convaincre ainsi en se passant un coup d'eau sur le visage.

C'est alors qu'elle ressentit une main se poser sur le bas de son dos. Elle n'avait même pas besoin de se retourner pour savoir qui c'était. Non pas qu'elle reconnaissait le toucher, mais plutôt parce que personne d'autre qu'Emma n'aurait jamais osé faire ça.

- Tout va bien ? Demanda le Shérif.

- Bien sûr, pourquoi ça n'irait pas ? Mentit la brune.

- Pas de ça avec moi, 'Gina. Je te connais comme si je t'avais faite, qu'est-ce qu'il y a ?

- Rien d'important, Emma. Je t'assure.

- C'est important pour toi, ça se voit.

- C'est juste que… Commença-t-elle. Non, ce n'est rien. Retourne avec ta famille.

- Tu es aussi ma famille, je te signale. Alors, explique-moi.

- Je ne sais pas… C'est juste que j'ai eu l'impression que tu étais distante envers moi, alors j'ai sur-analysé les choses… Comme je le fais toujours.

- Arrête, tu ne sur-analyses pas les choses, d'accord ? Écoute, oui, j'étais distante. Oui, je ne me suis pas assise à côté de toi. Oui, je ne t'ai pas tenu la main, mais c'était ce que tu voulais, non ?

- Quoi ? Que veux-tu dire par là ?

- C'est toi qui me disais que tu avais peur de ce qu'allait dire les gens, de leur regard.

- Oui… Invita-t-elle à continuer.

- Alors, je me disais qu'il valait mieux ne pas te mettre mal à l'aise en public tant que tu n'étais pas prête.

- Oooh… Emma…

- Quoi ?

- Je ne veux pas me cacher. J'avais peur pour toi, pas pour moi. J'ai passé l'âge de m'inquiéter du regard des autres.

- Eh bien… Tu n'as pas besoin d'avoir peur pour moi, Regina.

Emma attrapa Regina par la main et l'entraîna avec elle dans la salle du diner. Bien sûr, leur main liée attira toute l'attention mais au lieu de rencontrer des regards dégoûtés, ce fut plutôt des petits sourires en coins. Granny, qui encaissait un client, fut interpellé par les soudains murmures et ne pu s'empêcher de réagir à la scène :

- Il était temps, nom de Dieu ! S'exclama-t-elle.

- Pardon ? S'enquit Regina.

- Ooh… Allez, les filles, ça fait des mois que vous vous tournez autour ! Un peu plus et on aurait tous étouffé sous c'te putain de tension.

- Quoi ? S'étonna Emma.

- Vous êtes vraiment pas discrètes.

- J'hallucine, soupira Regina en baissant la tête.

- Rooohh ! Ça vaaa… Allez, mangez et reprenez vos vies ça ne va rien changer, ne vous inquiétez pas.

_.-._.-._

- Tu te plais ici, petit ? Demande Neal.

- Oui, même si j'aimerais bien savoir comment c'est de vivre dans une grande ville. Mais, j'aime bien connaître tout le monde, rit Henry.

- C'est pas si fun que ça, les grandes villes, tu sais ? Tu es anonyme, tout le monde bouscule tout le monde, tout le temps…

- Ouais, mais ici, il n'y a rien à faire…

- C'est sûr, que les petites villes sont connues pour être ennuyantes, mais toi, tu vis dans une petite ville remplit par des personnages de contes de fées ! Tu te rends compte de toutes les aventures que tu vas pouvoir vivre ? Le visage de l'enfant s'illumina à cette idée.

- Oh mais ouais ! Ça va être trop cooooool maintenant qu'ils ont retrouvé la mémoire !

- Mais, oui. J'te dis, il y a tellement de possibilité, ici ! Soudainement, Henry prit un air sérieux.

- Ça ne te fait pas bizarre de revoir ton père ?

- Si, bien sûr que si, mais moins je lui parle mieux je me porte.

- Tu devrais lui parler, non ? Lui donner une seconde chance ou je sais pas…

- Je suppose, ouais… Très trop mature pour ton âge, Henry, rit l'homme.

_.-._.-._

Vers 16h, Neal ramena Henry chez ses mères qui s'étaient séparées des Charmants après manger. Ethan demanda au petit s'il pouvait lui montrer son livre ce qu'il accepta dans un cri de joie. Regina s'amusa de son enthousiasme et lui rappela de ne pas courir dans les escaliers. Elle s'éloigna de l'entrée après avoir dit au revoir à Neal. Emma allait faire de même, mais il prit la parole.

- Je pourrais te demander quelque chose, Em' ?

- Qu'est-ce qu'il y a ?

- Comment est mon père ? Demanda-t-il.

- Hmm… Disons… Qu'il peut être sympa quand il le veut.

- Dis-moi la vérité, s'il te plaît.

- Je ne sais pas si ça en vaut le coup. Il a sauvé Regina, retiens ça. C'est le plus important.

- S'il n'avait pas été là, il n'aurait pas eu à la sauver en premier lieu.

- Certes…

- S'il te plaît, Em'. Je voudrais aller lui parler, mais je veux d'abord savoir comment il est, ici, et pas comment il va me dire qu'il est.

- Tu veux la version soft ou hard ? Elle continua avant qu'il ne puisse répondre. La version soft, ok… Le sauvetage de Regina a été la seule chose de bon qu'il ait pu faire depuis mon arrivée.

- Je dis pas que je veux tous les détails, mais dis m'en plus. Emma hésita un instant, puis céda, non sans soupirer.

- Il a fait sauter la mairie pour me faire gagner la place de Shérif, sauf que Regina a fini à l'hôpital. Il a commandé au Chapelier Fou de la torturer lorsqu'il a découvert que Belle était encore vivante… J'en passe, et des meilleures.

- D'accord… Je vois.

- Je suis désolée, Neal…

- Ne t'excuses pas, Em'. Ne t'en fais pas, ce n'était pas de ta faute. Merci, j'ai quelque chose à faire, je pense.

- Dis-moi, je dois t'appeler comment maintenant ? Baelfire ou Neal ?

- Neal. J'ai renoncé à Baelfire lorsque je suis venu dans ce monde.

Après un salut, il s'éloigna tranquillement et se mit en route pour la boutique de son père. Sur la porte était marquée « on est fermé », mais de la lumière s'échappait de derrière les stores… Neal hésita quelques instants qu'allait-il pouvoir lui dire ? Il hésita, mais poussa la porte.

- Je ne m'attendais pas à ce que tu viennes si rapidement, Bae.

- Je n'allais pas pouvoir t'éviter bien longtemps, papa.

- Je ne serais pas venu te parler tant que tu n'étais pas prêt à le faire de toi-même.

- Merci…

La discussion se transforma rapidement en dispute, mais les deux hommes finirent par être épuisés. Neal laissa tomber sa méfiance et accepta de dîner avec lui et Belle.

_.-._.-._

Ce soir-là, après le dîner, Regina revint de la cuisine avec un verre de vin. Au lieu, de retourner s'asseoir près de sa compagne, elle s'adossa à l'encadrement de la porte et observa. Autour du plateau de Monopoly, Ethan râlait, car il devait encore payer Emma, Emma et Henry se moquait de lui… Regina se fit la réflexion qu'elle n'avait jamais vue son fils aussi heureux qu'en ce moment précis, tout comme Emma d'ailleurs… Elle ne put retenir un sourire elle était enfin heureuse, et tout ça grâce à la Sauveuse. Qui l'aurait cru ? Certainement pas elle. Elle savait qu'elle avait encore beaucoup à faire avant que tout redevienne normal, avant que la ville ne lui pardonne, avant qu'elle ne puisse vivre pleinement leur nouvelle aventure, mais elle savait aussi qu'elle n'était plus seule. Elle avait Henry. Elle avait Emma.

- 'Ginaaaa ! Appela soudainement Emma, sans se retourner. C'est ton tour !

- J'arrive, je suis là.

Elle retourna s'asseoir sur le canapé, posa son verre sur la table basse et lança les dés.