Salut tout le monde !

Je vais essayer de faire court : je reprends les épisodes de la saison 5A de OUAT pour les premiers chapitres (ATTENTION SPOILERS) et la suite est totalement inventée. Allez sur facebook : ananaspowerfanfictions/ pour plus d'infos.

Disclaimer : OUAT et Ses personnages ne m'appartiennent pas, seule cette histoire m'appartient.


Chapitre 1 : Barrons-nous de là

Merida tournait en rond. Elle leva un instant les yeux sur les barreaux de sa cellule avant de replonger dans ses pensées. Fichus cachots ! Elle cherchait désespérément un moyen de sortir de là, mais ne voyait pas ce qui pourrait l'aider. Elle se prit la tête entre les mains et se laissa tomber par terre en grognant de rage. Si sa mère avait été là, elle l'aurait vertement tancée de son comportement ''indigne d'une reine''. Elle eut un sourire triste. Elle était reine d'un tas de braillards qui se rebellaient, et sa mère n'était pas là.

Elle fut tirée de ses pensées moroses par un bruit de pas. Non, plusieurs bruits de pas qui se rapprochaient. Plus nombreux et moins réguliers que ceux des gardes qui patrouillaient. Elle sauta immédiatement sur ses pieds. Puis elle entendit des bruits de coups échangés, mais le silence revint rapidement. Sa curiosité se transforma en vague inquiétude. Que se passait-il ? Puis les bruits de pas reprirent et se rapprochèrent d'avantage. Finalement trois hommes et une femme arrivèrent devant sa cellule, mais lui tournaient le dos. Ils s'intéressaient au chevalier emprisonné en face d'elle.

-Charmant ? fit ce dernier.

« Quel nom ridicule » pensa la jeune femme.

-Tout va bien, répondit le dénommé Charmant. Mary-Margaret et moi ne sommes plus sous le contrôle d'Arthur.

-Comment avez-vous brisé le sort ? demanda le chevalier.

-Ce n'est pas eux, fit un bel homme brun.

Ça y est, elle les reconnaissait ! C'était la famille de la femme blonde qui avait failli réduire son cœur en poussière dans la forêt quelques jours plus tôt.

-C'est moi, fit un homme à la cape étrange en s'avançant vers le chevalier.

-Merlin, le reconnut-il.

-Qu'en est-il de moi ? lança Merida. Allez-vous me libérer aussi ?

Elle priait intérieurement pour que leur réponse soit positive. Elle devait absolument sortir d'ici aussi vite que possible.

-Merida ? s'étonna le beau brun.

-Comment t'es-tu retrouvée ici ? ajouta Charmant.

-C'est une longue histoire, éluda-t-elle. Mais après ce que ta fille m'a fait, me libérer est le moins que tu puisses faire !

-Elle a raison. Emma voudrait qu'on la libère, acquiesça Kylian.

-En effet, mais il y a eu du changement durant le dernier millénaire. Ces barreaux sont enchantés avec une magie que je n'ai encore jamais rencontrée, grimaça Merlin.

La jeune femme feuilleta rapidement un grimoire épais comme un matelas et présenta une page à Merlin. Merida fronça les sourcils.

-Tiens, essaies ça, dit la jeune femme.

Merlin lui renvoya un sourire légèrement impressionné.

-Eh bien, tu ne serais pas le cerveau du groupe ?

-Contente que quelqu'un l'ai remarqué, lui répondit la jeune femme.

Merlin tendit un bras vers chaque cellule, et fit disparaître les barreaux d'un mouvement de doigts. Merida eut un léger mouvement de recul, impressionnée. Elle sortit de la cellule plus sereine, mais tous se retournèrent lorsque des voix de gardes se firent entendre plus loin dans le couloir.

-On ferait mieux d'y aller, lâcha Kylian, exprimant à voix haute la pensée collective.

Ils commencèrent à partir dans un sens, mais Merida ne les suivit pas immédiatement.

-Non, attendez ! protesta-t-elle. Je ne peux pas partir ! Arthur a pris mon feu follet. C'est le seul moyen que j'ai pour retrouver mes frères.

Son cœur se serra lorsqu'elle pensa à ses pauvres petits frères adorés.

-Je sais que ces feux follets ne te mèneront qu'à une chose, intervint Merlin. Ta mort. Je t'assure que nous trouverons un autre moyen de sauver tes frères.

Merida se mordit la lèvre inférieure, mais finit par acquiescer, n'ayant pas d'alternative. Elle suivit la troupe pour sortir du château et à travers la forêt. Les hommes marchaient devant en bavardant avec des airs de conspirateurs aux aguets. Merida marchait à côté de la jeune femme, Belle.

-Je t'ai vue là-bas, tu n'es pas si mauvaise avec la magie. Si j'étais au moins à moitié aussi bonne que toi, je n'aurais jamais fini dans ce cachot.

-Pourquoi étais-tu là-bas ? demanda Belle.

-Après vous avoir quitté, j'ai suivi le feu follet pour trouver où les clans retiennent mes frères. Le feu follet m'a conduite à la Mer d'Ivoire, alors j'ai volé un bateau pour la traverser, mais malheureusement le bateau appartenait au mauvais gars.

-Quoi, Arthur ?

-Ses hommes m'ont capturée et m'ont jetée dans cette prison humide, grimaça Merida.

Puis elle s'arrêta, tous ses sens aux aguets, et stoppa Belle avec son bras.

-Shh. Tu as entendu ça ? murmura-t-elle en fixant les fourrés.

-Entendre quoi ?

-Rien. Je voulais juste que tes amis soient hors de vue.

-Quoi ? s'étonna Belle. Pourquoi ?

Elle tourna le dos à Merida, regardant autour d'elle.

-Pour qu'ils ne voient pas ça.

Et elle assomma Belle avec une pierre. Elle souleva la jeune fille et la fit passer sur son épaule avant de partir vers le port. Elle fut soulagée d'arriver sur les quais, même avec sa force, porter un corps inconscient pendant plusieurs heures n'était pas de tout repos.

Elle chargea Belle inconsciente dans une barque, détacha l'embarcation et y grimpa discrètement. Saisissant les rames, elle s'empressa de mettre de la distance entre elle et Camelot, et rama énergiquement vers les Highlands, sa terre natale. C'est seulement près des côtes de DunBroch que Belle papillonna des yeux et s'agita.

-Je commençais à penser que tu ne te réveillerais pas, lança sarcastiquement Merida.

Belle se releva avec difficulté, et la menaça avec un bâton trouvé dans le fond de la barque.

-Où m'emmènes-tu ? cracha-t-elle, agressive.

-Ouh, tu as du tempérament. J'apprécie cela. Mais je ne veux pas te faire de mal, répliqua Merida, pas du tout impressionnée.

-Dis ça à la bosse sur ma tête, fit Belle en massant son crâne.

-Sans le feu follet, j'ai besoin d'un autre moyen pour trouver mes frères. Et cet autre moyen, c'est toi.

Elle se pencha et ramassa le grimoire de Belle avant de lui tendre.

-Tu avais besoin de magie, il suffisait de demander !

-Quoi, et risquer un non ? Désolée, je suis plus du genre ''frappe d'abord et demande après''.

-C'est pour ça que les clans ont kidnappé tes frères ?

-Presque. Ces gros lourdauds en kilts pensent que je ne peux pas diriger les Highlands sans épouser l'un d'eux. Je ne vais pas épouser quelqu'un que je n'aime pas juste pour garder ma couronne.

Elle regarda au loin sans cesser de ramer.

-Après la mort de mon père, ils ont exilé ma mère, et ont kidnappé mes frères en guise de rançon. Ils ne les libéreront que si je renonce au trône.

-Et ce n'est pas ce que tu prévois...

-Abandonnerais-tu tout ce dont tu as toujours rêvé juste parce qu'un homme a dit que tu ne le méritais pas ?

Belle fit une moue ironique.

-Alors qu'en dis-tu ? M'aideras-tu à montrer aux clans qu'ils ont embêté la mauvaise reine ?

Elles échangèrent des sourires déterminés. Une fois à terre, elles se dirigèrent droit vers le cœur de la forêt. Merida guida Belle au milieu des larges troncs recouverts de mousse. Elles arrivèrent en vue d'une maison enfoncée dans une colline, recouverte de mousse elle aussi. Elles se cachèrent derrière un rocher et observèrent l'entrée de l'habitation.

-Il y a de la magie à l'intérieur qui peut nous aider. On pourrait s'en servir pour retrouver mes frères, expliqua la rousse.

-Tu es sûre que la sorcière n'est pas chez elle ?

-Non. Quelle importance ? Nous irons seulement nous faufiler, pour utiliser son chaudron.

Sans un mot de plus, Merida se dirigea rapidement vers la petite porte de bois. Belle la suivit en essayant d'imiter le pas souple de sa compagne d'aventure.

À l'intérieur, au milieu du désordre, belle trouva le chaudron. Elle prit une poignée d'une poudre qui traînait sur une table, et la lança dans le chaudron. Les deux jeunes femmes virent une fumée étrange s'élever du récipient, avant de former un écran. L'écran de fumée montra alors des hommes, rassemblés face à trois autres.

-Tu sais où ça se trouve ? questionna Belle.

-Oui, dans les terres du Sud, répondit Merida.

L'écran fit un gros plan sur les trois hommes qui semblaient diriger la foule rassemblée face à eux.

-MacIntosh, MacGuffin et Dingwall, grinça Merida en serrant les mâchoires.

-Ceux qui voulaient t'épouser ?

-Maintenant tu comprends pourquoi je veux gouverner seule.

Des hommes traversèrent la foule, amenant trois prisonniers dont les têtes étaient cachées par des sacs. Merida se figea, ne quittant pas l'image des yeux. Les geôliers retirèrent les sacs, révélant trois jeunes hommes roux.

-Je suppose que ce sont tes frères, lâcha Belle, elle aussi attentive.

-Oui... Qu'ont-ils l'intention de leur faire ?

Le dénommé MacIntosh parla alors.

-Nous avons attendu assez longtemps. Parce que Merida a refusé de renoncer à la couronne, nous n'avons pas d'autre choix que de la lui prendre et de la punir pour sa trahison. A la fin du jour, ses chers frères seront exécutés.

La fumée se dissipa.

-Ils vont mourir à cause de moi...

Merida, choquée, fixait le vide, ses mains tremblaient autant que sa voix.

-C'est faux, intervint Belle. On peut encore les sauver.

-Non. On a plus le temps de prévoir un plan d'évasion !

-Je te promets qu'on trouvera un moyen de les faire échapper à ce destin.

-Le destin... murmura Merida. C'est ça.

Ses yeux brillèrent. Elle venait d'avoir une idée. Elle se dirigea vers une table encombrée et se saisit d'un parchemin. Elle se tourna ensuite vers Belle.

-Désormais il n'y a plus qu'un moyen de sauver mes frères. Je dois changer leurs destinées, et j'ai besoin de toi pour ça.

Elle lui tendit le parchemin. Belle haussa les sourcils et grimaça face à ce qu'elle lut. Merida sortit pour la laisser préparer la potion en paix. Elle prit un rond de bois en sortant, et l'installa dehors en guise de cible. Elle encocha une flèche, visa et tira. La flèche se planta au centre exact de la cible improvisée. Puis elle tira trois autres flèches, qui transpercèrent chacune la précédente. Belle qui sortait de la maison à ce moment là émit un sifflement admiratif.

-Où as-tu appris à faire ça ?

-Quand j'étais un petit diable. Je refusais de croire qu'un arc n'était qu'une chose ma mère attachait à mes cheveux bouclés. [Référence à un genre d'épingle à cheveux] Mon père était d'accord. Il disait que savoir se battre était essentiel que tu portes une robe ou un kilt. C'était un homme sage, ce roi Fergus.

-J'aurais aimé que mon père soutienne autant mes aventures, soupira la brune.

-Il n'était pas seulement un soutien. Il m'a appris tout ce que je sais sur le tir. Il me disait « ma fille, si tu sais pourquoi tu te bats, tu ne manqueras jamais ta cible ».

-On dirait que c'était un bon conseil.

-Hmm. Maintenant, est-ce que ma potion est prête ?

-En parlant de ça, tu sais ce que cette potion va te faire ?

-Tu penses que je te demanderais de la faire si je ne savais pas ?

-Mais ça te transformera. En ours, insista Belle.

-Non, ce qu'elle fait, c'est changer le destin. On l'appelle le sort de Mor'du. La légende dit que cette sorcière l'utilisa pour changer le destin d'un prince, lui donnant la force de dix hommes.

-Donc tu penses que te changer en ours te rendra assez forte pour sauver tes frères ?

-Je sais que ça marchera. Ce n'est pas la première fois que je vois cette magie à l'œuvre.

-Mais Merida, tu n'as pas besoin de magie pour changer le destin.

-Comment le saurais-tu ?

-Je t'ai vu tirer tes flèches sans cligner un œil. Tu peux forger ton propre destin. Tout ce dont tu as besoin, c'est ton esprit et ton arc. N'est-ce pas le meilleur moyen de prouver aux clans que tu es digne d'être leur reine ?

-Je crains que tu n'aies tort.

Merida tira une dernière flèche, qui transperça les quatre précédentes. Elles partirent en direction des terres du Sud dans un silence tendu.

Elles traversèrent un grand marécage, et une fois l'autre côté atteint elles se cachèrent derrière un gros rocher. Elles passèrent prudemment la tête et observèrent la scène qui se déroulait devant eux. Les trois garçons roux aperçus plus tôt grâce au chaudron étaient attachés par les mains à des poteaux, les yeux bandés. La respiration de Merida se fit plus saccadée.

-Donne-moi la potion, ordonna-t-elle.

-Pourquoi as-tu besoin de magie pour sauver tes frères ? demanda Belle. Dis-moi où elle finit sur les rochers, ajouta-t-elle face à l'air féroce de la rousse.

-Bien, si tu veux tout savoir. Il n'y a pas très longtemps, DunBroch a été attaqué. C'était un ennemi d'une autre terre. Mon père s'est battu côte à côte avec tous les clans, et moi avec lui. Lorsqu'il nous menait à la victoire, j'ai vu un chevalier casqué fonçant droit sur lui, brandissant son épée. Mon père n'a pas vu le chevalier. C'était à moi de jouer. J'avais l'ennemi en vue. J'ai encoché une flèche, tiré la corde de l'arc, pris une respiration, stabilisé ma main, et laissé la flèche s'envoler. Mais j'ai manqué ma cible. Et le chevalier a foncé droit sur mon père. Mon père est mort par ma faute.

-Ce n'était pas ta faute, dit Belle en secouant la tête doucement.

-Comment peux-tu le savoir ?

-J'ai perdu ma mère pendant la guerre des ogres. Je m'en suis voulu, aussi, et j'ai finalement compris la vérité. Ce n'était pas ma faute. Je me suis pardonnée. Tu dois apprendre à faire de même.

-Je ne peux pas. Les clans n'ont plus confiance en moi depuis ce jour. Ils pensent que je ne peux plus diriger. Je peux avoir la potion maintenant ?

Belle lui donna le petit flacon à contrecœur.

-Merci, fit Merida avant de lui adresser un sourire carnassier. Maintenant laisse-moi botter quelques derrières.

La voix de Lord MacIntosh se fit alors entendre. Tournés vers ses hommes et ceux des autres clans, il apparaissait clairement comme le chef.

-Messieurs, aujourd'hui, nous concluons un pacte entre nos trois clans. Avec les frères de Merida écartés et elle en fuite, le droit au trône des DunBroch va être supprimé !

Les hommes approuvèrent bruyamment.

-Pas si j'ai quelque chose à dire là-dessus ! tonna Merida en se dressant derrière le jeune Lord.

Cela eut l'effet escompté et le silence tomba comme un couperet sur la scène tandis que Lord MacIntosh se retournait. Il parut presque content de la voir.

-Merida, lâcha-t-il.

-Laisse mes frères partir à moins que tu ne veuilles finir aussi noir que bleu...

-Pff... Vous et quelle armée ?

-Celle-là, fit Merida en montrant la fiole.

Elle saisit le bouchon avec les dents, le recracha plus loin, et descendit le flacon d'un trait.

-Attends. Dans un moment tu seras vraiment, vraiment désolé, le prévint-elle.

Le jeune Lord fit quelques pas, la fixant avec prudence. Rien ne se passa. Merida roulait des épaules nerveusement, mais rien ne se passa.

-Est-ce que tu l'as bien mélangée ? demanda-t-elle à Belle.

-Oui. Mais j'ai changé la potion avec de l'eau.

-Quoi ? À quoi tu joues ? Où est la vraie potion ?

-Si tu vaincs les clans avec de la magie, les gens ne voudront toujours pas te suivre.

MacIntosh sortit une flèche de son carquois et se plaça aux côtés des Lords MacGuffin et Dingwall, face aux prisonniers.

-Tu dois les vaincre en tant que reine, insista Belle.

-Si tu voulais me donner une leçon, tu aurais dû le faire avant que nous soyons encerclées, s'énerva Merida.

-Je savais que tu ne voudrais pas faire face à ta peur sauf si tu n'avais pas le choix. Je sais que tu peux le faire.

-Ça suffit Merida ! tonna Lord MacIntosh. Le seul moyen pour toi et tes frères de vivre, c'est d'abandonner ta couronne.

-Après tout ce que mon père a fait pour créer la paix entre les clans, jamais ! Le clan DunBroch est le leader légitime des quatre clans, et je suis la seule et légitime reine !
-Alors tu ne nous laisse pas le choix.

Les trois Lords bandèrent leurs arcs.

-Feu ! ordonna MacIntosh.

Ils tirèrent. Les trois flèches filaient vers les frères de Merida. Cette dernière banda son arc.

-Noooooon !

Elle tira. Sa flèche coupa chacune des trois autres, les arrêtant dans leur course mortelle. Toit le monde, surpris et estomaqué, se tourna vers elle. Lord MacIntosh en laissa tomber son arc sous le choc. Vif comme l'éclair, il sortit cependant son épée, imité par les deux autres chefs de clans. Merida lâcha son arc et sortit son épée.

-Vous avez vu ce que je peux faire avec un arc, vous voulez vraiment voir ce que je peux faire avec une épée ? Maintenant laissez-les partir !

Des hommes s'empressèrent d'aller libérer les trois princes, pendant que tous s'agenouillaient. Lord MacGuffin et lord Dingwall lâchèrent leurs épées et posèrent un genou en terre également.

-Vous aussi ? cracha Lord MacIntosh.

Il jeta rageusement son épée sur le sol et s'agenouilla.

-Vous avez de la chance qu'on m'ait enseigné la valeur de la pitié, lâcha Merida.

MacIntosh lui renvoya un long regard qu'elle soutint sans ciller. Les trois princes se précipitèrent dans les bras de leur sœur, qui les serra contre elle en pleurant de joie. Belle sourit devant ce touchant tableau de famille. Ils rentrèrent tous au château. Merida accompagna Belle au port et lui remit une barque. Elles se firent des adieux rapides, et Belle partit.


Review ? Juste une pitite pour me faire plaisir...

Je vais essayer de poster chaque semaine, alors à lundi prochain si tout va bien !