Salut à tous! Alors c'est la première fois que j'écris une fiction et je suis vraiment contente de la publier ici. Et tant donné que je suis toute nouvelle dans ce domaine, je ne pense pas que ma fic soit parfaite, donc tout les conseilles, critiques sont vraiment les bienvenues pour que je puisse m'améliorer. J'espère vraiment que mon premier chapitre vous plaira et j'attends les retours avec impatiente !

Avant de vous laissez lire, je tiens vraiment à remercier, NekoBebouh, qui m'a vraiment poussée et motivée à écrire cette fic et à la publier et sans qui mon histoire n'aurait pas vu le jour. Je te remercie mille fois ! Sans oublier ma Beta lectrice Vyersdra, qui a eut la gentillesse de me corriger et que je remercie infiniment.

Titre : L'amour n'est pas un long fleuve tranquille et paisible.

Disclamer : Le manga ne m'appartiens pas et c'est bien dommage xD

Couple : Aomine x Kise et Murasakibara x Himuro ( en couple secondaire).


Chapitre : 1

Aomine Daiki était un jeune homme de 17 ans en dernière année de lycée. Il détestait l'école et les cours pourris qu'on lui enseignait, même la nourriture de la cantine lui paraissait horrible. Il n'y avait qu'une seul chose qu'il aimait par-dessus tout depuis sa plus tendre enfance : le basket-ball.

Aomine faisait partie du célèbre Tôo Gakuen, un lycée réputé pour ses capacités sportives extraordinaires. En effet, chaque année et dans presque toutes les disciplines, les équipes de sports atteignaient les nationales. Et même si Tôo n'était pas parfait, le simple fait qu'il soit fort en basket suffisait à leur renommée.

Mais depuis sa première année de lycée, Aomine passait son temps à sécher les entraînements de basket. A part quelques rares jours, pour répondre aux avertissements de son équipe. Eh oui, il faut dire qu'un entraînement sans votre as peut beaucoup vous ralentir et surtout vous assurer une défaite. Cependant ce mot n'existait pas dans le vocabulaire de l'équipe de Tôo.

Avant d'être dans ce lycée, Aomine était dans le prestigieux collège de Teikô , le collège japonais le plus puissant au basket-ball. Qu'est-ce qui faisait que l'équipe de Teikô était aussi forte ? Elle avait pour elle la « Génération des miracles », une équipe composée de génies plus monstrueux les uns que les autres, plus extraordinaires et plus intrigants que tout. En effet, ils avaient tous un talent phénoménal pour leur jeune âge. L'un qui pouvait recopier les techniques des autres, le copieur. Le shooting guard qui faisait des tirs à trois points pouvant recouvrir la moitié de la surface du terrain. A propos d'Aomine, lui était d'une telle agilité et avait une telle manière de se mouvoir, qu'on aurait cru voir une panthère sur le terrain de jeu. Mais il restait encore deux autres coéquipiers, le pivot, il ressemblait à un monstre tellement il était impressionnant. On le surnomme même le titan. Et enfin le leader de l'équipe, un stratège sans égal avec une telle emprise sur les gens, qu'il pouvait rien qu'en les regardant les mettre à genoux. C'était l'empereur.

Tout ça pour dire qu'Aomine n'était pas n'importe qui et même encore maintenant au lycée, il avait évolué et doublé ses talents de génie. Mais il y a une chose qu'Aomine n'oublierait jamais dans sa vie de basketteur, c'était sa première défaite en première année de lycée. Il avait ressenti à ce moment-là une douleur inexplicable dans sa poitrine : lui qui se considérait comme imbattable et infaillible, il avait enfin pu goûter à la peine et la honte que ressentaient ses adversaires durant leur match face à lui, la panthère. Sa phrase fétiche était elle-même très arrogante et il la répétait souvent : « Le seul qui peut me battre, c'est moi même ». Mais un de ses amis du collège, un dénommé Kuroko Tetsuya qui faisait lui-même partie de la Génération des Miracles en tant que 6 ème joueur, avait réussi à lui faire avaler son arrogance et lui remettre les idées en place.

Kuroko était un jeune homme très discret voire invisible aux yeux des gens. Pourtant il avait une force de caractère que beaucoup de personnes n'auraient soupçonnée chez lui et surtout une forte volonté dans ce qu'il entreprenait et lui semblait important. C'est pour cela qu'avec son basket, il avait réussi à récupérer Aomine, un ami qu'il lui était cher, et que même sa meilleur amie Satsuki qu'il considérait comme une sœur n'avait pu raisonner. Et cela avec l'aide de son partenaire Kagami Taiga. Si Aomine était une panthère, lui était un tigre sauvage et puissant. Quand ils s'affrontaient au basket, on avait toujours l'impression d'assister à un combat entre deux félins assoiffés de victoire. Finalement Kuroko et Kagami avaient eu raison d'Aomine.

A présent Aomine était en dernière année de lycée, il ne lui restait que quelques mois avant de le quitter. Il savait déjà ce qu'il allait faire par la suite... du basket au niveau professionnel. Il n'avait aucun souci à se faire à ce niveau-là car il avait déjà reçu plusieurs offres pour de grandes universités, qui déboucheraient directement sur de grandes équipes japonaises.

Donc en attendant que sa journée se passe, il faisait une petite sieste sur le toit du lycée. Il avait bien progressé au niveau des siestes et des ratages de cours à la différence d'i an ou il passait ses journées à dormir et à sécher. Maintenant il était devenue sérieux...un petit peu...bon peut-être pas tant que ça finalement. Mais il pouvait toujours compter sur Satsu pour le réveiller :

- « Dai-channn ! Réveille-toi ! C'est l'heure d'aller en cours, et si tu veux vraiment dormir, tu pourras le faire dans deux heures en rentrant à la maison, dit Satsuki.

-Satsu qu'est-ce tu m'veux encore !? C'est toujours comme ça avec toi, tu m'réveille tout le temps au mauvais moment, se plaignit Aomine.

-Avec toi c'est toujours le mauvais moment, à croire que tu n'as que ça à la bouche, lui assena-elle.

-Nan mais là chuis sérieux ! En plus toujours au moment où j'ose lui dire que...

-Quoi ? Mais de quoi tu parles ? Oser dire quoi et à qui ? Lui demanda-t-elle.

-Raaaa ! Laisse tomber, on n'y va ou on va être en retard. J'ai pas vraiment envie de parler, là, tu vois. Tu m'connais pourtant, lui reprocha-t-il.

-Ahhh lala ! Oui je sais et tu sais que t'es chiant aussi au réveil ! Bref, trêve de bavardage et let's go ! » Lui dit-elle en lui prenant le bras pour le traîner avec elle en salle de classe.

Satsuki était l'une des rares personnes qui avait le privilège de côtoyer Aomine et pouvait se vanter d'être aussi proche de lui. Ils étaient comme des frères jumeaux que rien ne pouvait séparer. Ils n'avaient aucun secret l'un pour l'autre et si l'un avait un souci, il n'avait même pas besoin de le mentionner car l'autre le devinait instantanément.

D'ailleurs la plupart des filles du lycée la jalousaient pour être si familière avec lui. Il faut dire qu'il était très beau garçon, il avait un charme, une aura très particulière. Il avait une peau mate voire métissée, ce qui est rare chez les japonais. De nombreuse fois on lui avait proposé des rendez-vous, mais il n'avait jamais accepté. Les filles superficielles et maquillées de la tête au pied, telles des danseuses du carnaval de Rio, ne l'attiraient pas.

Même s'il était aussi reconnu par ses camarades pour aimer les magazines cochons et de charme, avec des femmes plantureuses et à gros seins, il n'en profitait pas dans la vrai vie, pour le plus grand désarroi de Satsuki. S'il voulait des poitrines, il suffisait seulement de sortir avec une des filles qui le courtisait et il en verrait tous les soirs des seins le Aomine ! Mais pour une raison inconnue, il refusait de sortir avec quelqu'un depuis son entrée au lycée.

Après les cours, il devait aller à l'entraînement, mais il était bien trop fatigué pour s'y rendre, en plus il avait sommeil. Satsuki, elle était déjà dans le gymnase, car en tant que manager elle ne pouvait se permettre de faire comme Aomine puis elle aimait vraiment être présente avec les autres membres de l'équipe.

Au moment de franchir le portail, Aomine reçut un message :

[Message: 18h04] Satsu :

« Heyyy Dai-chan ! Devine qui est venu au gymnase !»

[18h05:]

« J'espère que c'est quelqu'un d'important pour que tu t'excites comme ça –' »

[18h05:]

« Bon ben si tu le prends comme ça, je ne te dirais rien ! »

[18h06:]

«C'est bon, j'rigole fait pas ton bébé. Vas-y crache le morceau, c'est qui cette personne qui suscite tant d'excitation chez toi ? »

[18h08:]

« Bon si tu insistes tant ! C'est...c'est...tu verras quand tu seras là haha !»

[18h08:]

Quoi ? C'est quoi cette plaisanterie pourris ! Attend j'arrive tout de suite ! »

[18h09:]

Ouhhh je vois qu'on s'emballe hein ! Dépêche ou il va partir. »

[18h09:]

Retiens-le ! Je cours »

Aomine se pressa aussi vite qu'il put jusqu'au gymnase en courant de toutes ses forces. Son cœur battait vite, très vite. Pas seulement à cause de l'effort physique, mais à cause de quelque chose d'autre, il sentait qu'on lui resservait une surprise.

Il traversa la cour pour arriver devant le gymnase et y entrer avec violence. Toute les personnes présentes tournèrent leurs têtes brutalement vers lui, il était essoufflé et cherchait du regard Satsu et la fameuse personne venue au gymnase. Il se fichait des regards posés sur lui, son seul objectif était de les trouver à tout prix.

Il avança à toute vitesse vers son coéquipier Sakuraï, pour lui demander ou se trouvait Satsuki. Ce dernier, rapidement, lui indiqua les vestiaires. Ayant obtenu son information, il avança vers les vestiaires, quand soudain il sentit autour de son cou des bras qui le serraient en une forte étreinte, pleine d'affection. Il n'appréciait pas les contacts physiques habituellement, excepté ceux provenant de Satsuki, mais cette accolade n'était pas comme les autres. On pouvait ressentir plein de générosité et d'amour venant de cette personne.

Il prit donc l'une des mains de l'individu pour la tenir, elle était belle est soignée. Il se retourna pour enfin voir le visage et il fut très surpris quand il le vit :

- « Kise ! Mais qu'est-ce que tu fais ici ? Lui cria-t-il plus qu'étonné.

-Daikicchi ! Tu m'as tellement manqué, lui dit Kise en le prenant dans ses bras pour lui montrer à quel point il était heureux de le voir.

-Kise »... Murmura Aomine, troublé.


A suivre et Bye bi !