Bonsoir tout le monde! Il est 3h28 et je suis crevé, mais je voulais absolument poster ce chapitre avant de dormir!

Merci à vous tous pour m'avoir soutenue et suivit jusqu'à la fin! Bonne lecture pour ce dernier chapitre!=)

Hakuronchu: FAUX! Je ne suis pas une tiseuse de bonne (ou mauvaise) aventure!^^ Moi je vais au plus simple!=p Mais pour savoir de quoi je parle, il te faudra lire ce dernier chapitre!^^ "La monogamie ce n'est pas réaliste" HAHAHA! C'est quoi cette troisième hypothèse. Malheureusement avec moi la monogamie est reine, pas de couple libéré dans cette histoire!^^ Bonne lecture pour

Florence Baker: Héhéhé je suis une experte pour terminer mes histoires au moment où il ne faut pas!=p Je suis ravie que l'histoire et les personnages de plaisent et j'espère que ce dernier chapitre te conviendra!=) Bonne lecture!

Guest: Lol décidément vous vous êtes passé le mot!^^ Comme dit plus haut à Florence Baker, j'adore faire ce genre de chose!^^ J'espère que ce dernier chapitre te plaira!=)

Lyxiee: J'avais oublié ta vengeance donc j'en ai préparé une petite en bonus que tu trouveras à la fin du chapitre!=) J'espère que ce dernier chapitre te plaira.


Soudain, il s'arrêta net. Son regard vert fut attiré par une scène qui se jouait dans la cour de l'école. Pansy Parkinson était en train d'embrasser Draco, les bras accrochés autour de son cou.

Draco ne répondait pas au baiser, certes, mais il ne la repoussait pas non plus et cela fit du mal à Harry. Envolé la joie de sa note en potion, envolé l'envie d'apprendre plus de choses sur cette matière. Harry se sentait soudain las.

Un regard gris se tourna d'un coup vers lui et Harry ne put s'empêcher de rougir. Il quitta rapidement le couloir et malgré sa démotivation, se dirigea quand même vers la bibliothèque. Une fois dans le rayon potion, il prit le premier livre qui lui tomba sous la main et s'installa à une table près d'une fenêtre.

Draco arriva quelques minutes plus tard et prit place en face de lui. Harry continua de regarder l'ouvrage, faisant mine de ne pas avoir remarqué sa présence.

"Ton livre est passionnant?" Demanda soudain Draco.

"Très!" répliqua Harry, le nez toujours plongé dans le bouquin. "D'ailleurs, tu m'empêches de me concentrer, va donc continuer à embrasser Parkinson!"

Draco soupira, mais ne releva pas la pique et répondit simplement:

"Harry, il s'agit d'un livre de niveau universitaire et en plus tu le tiens à l'envers!"

Le jeune homme devint rouge de honte. Il referma rapidement le bouquin et se leva pour aller le ranger, Draco sur ses talons.

"Ne donne pas d'importance à ce que tu as vu tout à l'heure, chaton."

"Pardon!" Harry fit volte-face et planta ses yeux verts sur son petit ami.

Il était blessé par les paroles de Draco, mais ça, Madame Pince n'était pas censée le savoir et il se fit jeter de la bibliothèque. Draco fut également obligé de le suivre, pour Madame Pince il n'y avait jamais qu'un seul coupable. C'était soit tout le monde, soit personne.

"Tu aurais pu être plus discret." S'énerva Draco.

"La ferme!"

"Pardon?"

Draco venait de rêver ou le petit chaton venait de dire au serpent de se taire de façon vulgaire. Personne ne disait à un Malfoy de se "la fermer" pas même son petit ami. Irrité par le comportement d'Harry, il l'attrapa par les cheveux et le tira vers la première salle de classe qu'il trouva. Les cours étaient finis, il était sûr que personne ne viendrait les déranger. Par mesure de précaution, il ferma quand même la porte à clé.

"AÏE!" Cria Harry tout en tentant de faire lâcher prise à Draco.

Comme il ne semblait pas vouloir libérer ses cheveux, Harry réussit à lui agripper l'autre bras et il mordit dedans à pleines dents. Ce fut au tour de Draco de crier et pour le coup, il lâcha les cheveux d'Harry pour inspecter sa blessure.

"Tu m'as mordu! Espèce d'enragé!"

"Tu m'as tiré les cheveux! Sale infidèle!"

Ils se regardèrent d'un oeil noir, attendant de voir qui allait sauter sur l'autre en premier. C'est Harry qui entama les hostilités en lui giflant la joue. Draco répliqua automatiquement et sans réfléchir en lui éclatant l'arcade sourcilière avec son poing.

Harry fit un pas en arrière sous le choc et à la vue du sang qui coulait abondamment de son oeil, ils s'arrêtèrent net tous les deux. Harry regarda Draco et petit à petit ses yeux s'embuèrent de larmes.

"Harry... je suis désolé, chaton!"

"J'étais tellement content d'avoir eu E et toi pendant ce temps tu visitais les amygdales de Pansy!"

"Si je l'avais repoussé, ça aurait été pire! Avec Pansy la meilleure défense c'est l'indifférence. Mais... dans quelle matière tu as eu E?"

"Potions." Renifla Harry.

Il se rappela de ce que Snape lui avait dit au sujet des notes de Draco et Harry voulut le rassurer, mais il le prit par surprise en lui frottant avec énergie la tête.

"Mais c'est super ça! S'il t'a suffi d'une leçon pour obtenir un E, alors on ne devrait pas mettre longtemps à faire de toi un maitre des potions! Viens, allons à l'infirmerie pour soigner ton oeil. Ensuite, il faudra que je prépare ma valise."

"Tu t'en vas?"

"Je passe la première semaine des vacances chez mes parents." Draco remarqua la tristesse d'Harry et poursuivit. "Ne fais pas cette tête! On fêtera Noël ensemble lorsque je serai revenu."

Harry voulut répondre, mais ils arrivèrent à l'infirmerie. Madame Pomfresh les sermonna tous les deux en voyant leurs blessures, mais ils furent vite guéris et quittèrent l'infirmerie sans demander leur reste pour retourner dans leur chambre.

"Ce n'est pas la peine de marcher lentement, Harry. Dans tous les cas je partirais ce soir."

"Peut-être... mais en attendant je passe plus de temps avec toi."

Draco se tourna vers lui pour l'observer. Harry était vraiment beau. Il mesurait environ un mètre soixante-dix, ses joues avaient gardé la rondeur des nourrissons et sa peau était vraiment douce. S'il n'avait pas de poils et un service trois-pièces entre les jambes, on aurait presque pu croire qu'il était une femme.

Ses yeux verts étaient sans nul doute le joyau de son corps. Ils étaient tout simplement magnifiques et lorsqu'il pleurait, ses pupilles brillaient comme des étoiles. C'était surement pour cette raison que Draco aimait le faire pleurer.

En ce moment, Harry le regardait avec des yeux de chien battu, ce qui lui donnait un air de petit garçon. Pour l'esprit sadique du Serpentard, il n'en fallut pas plus pour qu'il ait envie de lui faire de vilaines choses.

Il lui prit la main et le traina sur les derniers mètres qui les séparaient de leur chambre. Une fois la porte fermée et verrouillée, il plaqua Harry contre celle-ci et l'embrassa à pleine bouche. C'était un baiser plein de passion et d'envie trop longtemps contenue. Il n'avait rien de doux. C'était un baiser à vous couper le souffle.

Harry passa sa main dans ses cheveux et s'y agrippa comme si sa vie en dépendait. Il tirait sur ses cheveux, ce qui faisait grogner Draco de douleur et de plaisir. Son petit chaton sortait les griffes. Il le souleva du sol et Harry passa immédiatement ses jambes autour de sa taille. Dans cette position, leurs sexes étaient pressés l'un contre l'autre.

Ils gémirent à l'unisson, se déhanchant sans pudeur. Harry n'ayant pas encore l'habitude de ce genre de caresse vint le premier. Draco le regarda avec attention, gravant dans sa mémoire son visage post-orgasmique pour ses moments en solitaire.

"Tu as aimé?" Chuchota Draco à son oreille.

Harry hocha faiblement la tête, toujours dans les vapes.

"Bien. Maintenant, arrête de faire l'égoïste et occupe-toi de moi!"

Sur ces mots, Draco le lâcha sans prévenir et Harry tomba sur ses fesses. Il écarquilla les yeux lorsqu'il vit l'érection du blond à travers son boxer et rougit immédiatement. Il n'avait pas su donner du plaisir à son partenaire et ne l'avait même pas attendu.

"Ne fais pas cette tête et contente-toi de me rendre l'appareil."

Harry se redressa sur ses genoux et vint frotter son visage contre son boxer à la manière d'un chat. Après tout, n'était-il pas le chaton de Draco? Il inhala à pleins poumons son odeur de sexe et de sueur.

Harry fondait face à cette odeur, plus il la respirait, plus il en avait envie. Il lécha la queue à travers le tissu, le goût de la lessive et du liquide préséminal imprégna ses papilles et il sentit son sexe se durcir à nouveau.

Draco avait posé ses mains contre la porte pour empêcher son corps de s'effondrer. Harry était comme un couteau à double tranchant. Son côté naïf et timide cachait une fougue et une témérité étonnante.

Harry avait baissé le boxer de noir de Draco et s'amusait à redessiner les contours de son sexe du bout de sa langue. Draco était au bord de la jouissance, lorsqu'il entendit la cloche de Poudlard sonner dix-sept heures.

Il s'écarta précipitamment d'Harry, se rhabillant en vitesse, pestant mentalement contre sa libido.

"Draco?"

"Mon train par à dix-sept heures trente et je n'ai encore rien préparé!"

Harry regarda Draco s'activer dans tout les sens afin que ses bagages soient prêts à temps et il fut presque jaloux de ces valises qui obtenaient plus d'attention que lui.

"Je te fais à ce point peu d'effet pour que tu penses à préparer tes affaires plutôt qu'à moi?!" Harry s'était relevé et avait posé sa question d'une voix bourrue.

"On se revoit le vingt-six Potter!" Déclara Draco en déposant un baiser sur son front avant de quitter la chambre.


La soirée n'en finissait pas. Qu'est-ce qu'il pouvait mépriser ces mondialités! Lorsqu'enfin le dernier convive fut parti, il monta dans sa chambre et s'affala sur le canapé en cuir vert foncé qui s'y trouvait.

Il défit sa cravate et déboutonna les premiers boutons de sa chemise qu'il sortit également de son pantalon et poussa un profond soupir. Il avait rempli sa mission de fils d'un Malfoy, il allait pouvoir rentrer à Poudlard demain et embêter son chaton.

Celui-ci ne lui avait même pas écrit une seule lettre et même si Draco ne lui avait rien demandé, il était légèrement vexé par ce silence postal.

De léger coup retentir contre la porte de sa chambre et bien qu'il ne voulait parler à personne, il autorisa quand même le visiteur à entrer.

"Tu sembles épuisé, mon chéri."

La voix de sa mère le ramena dans sa chambre, loin de son chaton et de ses petites griffes. Il observa Narcissa Malfoy s'avancer à pas feutrer vers lui, sa robe gris métallique faisait ressortir les émeraudes qui entouraient son cou gracile. C'était le cadeau que son père lui avait offert pour Noël.

Lucius Malfoy était l'homme le plus froid du monde, sauf avec sa femme. Draco jalousait un peu sa mère, il avait l'impression qu'elle lui volait également l'amour de son père.

"Que puis-je pour vous, mère?"

"Il y a des rumeurs qui circulent à ton sujet..."

"Continuez, vous savez à quel point j'aime les rumeurs." Draco ricana. Il aimait surtout les lancer in petto.

"Ton père et moi avons eu ouï dire que tu sortais avec un homme."

Draco sentit le mal de tête pointer à l'horizon. Il ferma une seconde les yeux, refoulant la violente envie de jeter un sort à Pansy Parkinson, car nul doute que c'était elle qui avait lancé la rumeur. Rumeur qui était vrai, certes, mais après que Harry eut rejeté sa demande, Draco avait réfléchis. Ce n'était peut-être pas plus mal comme ça finalement, car il n'était pas sûr que son chaton soit encore prêt pour côtoyer son monde ou rencontrer ses parents.

"Vous ne devriez pas écouter les rumeurs de Pansy, mère."

"Donc c'est faux?"

"Non... elle est exacte." Draco soupira puis se leva du canapé pour s'approcher d'une des fenêtres de sa chambre. Dehors, la nuit était tombée depuis longtemps, mais le jardin était illuminé par des lanternes qui flottaient dans les airs. "J'aurais cependant voulu attendre avant de vous le dire."

"Draco, ton père et moi on se moque de savoir si tu sors avec un garçon ou une fille. Mais..."

"Oui je sais!" Coupa Draco en se retournant furieusement vers sa mère. "Je peux être avec qui je veux, mais cette personne doit répondre à certains critères. Venir d'une bonne famille de sang pur. Avoir de l'argent. Me donner un héritier pour préserver la lignée des Malfoy!"

"Mon fils, c'est bien la première fois que je t'entends critiquer nos choix en matière de sélection. Est-ce parce que ton ami ne rentre pas dans ces critères?"

"Je ne sais pas. Je sais seulement que ses parents étaient Aurors."

"Étaient?" Demanda Narcissa, étonné par l'emploi du passé.

"Ils sont morts. Tué par un fou furieux du nom de Voldemort."

"Merlin! Est-ce que ton ami ne s'appellerait pas Harry Potter?!" S'exclama sa mère avec stupéfaction.

"Si... Vous le connaissez?"

"Juste de nom. Ton père fut interrogé durant l'enquête, car Tom Jedusor, celui que tu appelles Voldemort, faisait des affaires avec notre famille. Il était le descendant unique de Salazar. Néanmoins, ses pensées étaient obscurcies par son idée de vengeance. Son père Moldu avait abandonné sa mère et elle est morte de chagrin après l'avoir mis au monde. Tom haïssait les Moldus plus que tout et il voulait les anéantir."

"Quel rapport avec Harry?" Draco était choqué que son père ait fait affaire avec pareil individu.

"Et bien, petit à petit, Tom est monté dans les sphères du pouvoir et il a rallié pas mal de monde à sa cause. Cependant, ses actes étaient totalement interdits et le département des Aurors s'est mis contre lui. James et Lily, les parents d'Harry, comptaient parmi les meilleurs Aurors de cette époque et lorsque Tom a appris qu'ils étaient à sa poursuite et, qu'en plus, Lily était une sorcière née de parents Moldus, il s'en est pris à eux. Ton ami est tristement célèbre parmi les adultes pour être le seul et unique humain à avoir survécu au sortilège de la mort." Sa mère regardait avec amusement les émotions qui se peignaient sur le visage de son fils, puis ses yeux se posèrent sur l'horloge. "Merlin, il est déjà si tard! Je vais te laisser mon chéri."

Narcissa se dirigea vers la porte lorsqu'elle s'arrêta pour dire à Draco:

"Si tu souhaites retourner à Poudlard ce soir, je ne te retiendrais pas."

"Vraiment! Je peux?"

"Oui. Mais tu sais Draco, certaines choses ne sont pas irréversibles."

"Pardon?" Draco ne voyait pas où sa mère voulait en venir.

"Laisse. Il y a des choses que tu dois apprendre par toi même. Bonne soirée mon chéri."


Harry venait de mettre le pyjama qu'il avait piqué dans l'armoire de Draco afin d'avoir son odeur sur lui. Il se glissa sous les draps et tenta de s'endormir, mais l'excitation le tenait éveillé. Il revenait demain!

Il s'était préparé toute la semaine et il avait écrit une lettre à Draco tous les jours, racontant ce qu'il faisait, comment il se touchait et se préparait pour lui. Cependant, il n'avait pas osé les envoyer.

Il passa timidement une main sous la chemise verte, effleurant son ventre, lui procurant des frissons dans tout le corps. Sa main remonta lentement jusqu'à ses tétons qu'il taquina chacun leur tour. Il allait glisser son autre main dans son caleçon lorsque la porte de la chambre s'ouvrit brusquement.

Stupéfait, Harry ne bougea même pas. Il regarda Draco entrer dans la chambre, poser sa valise à côté de la porte, retirer son manteau, le plier soigneusement avant de le déposer sur le rebord du canapé. Il s'approcha du lit avec une démarche chaloupée qui faisait penser à un félin qui avance lentement vers sa proie. Il monta sur le matelas et se plaça au-dessus d'Harry.

Sans prévenir, Draco agrippa les pans du pantalon et tira dessus, exposant à ses yeux gris le sexe gonflé d'Harry. Il l'ignora royalement, remontant jusqu'au visage d'Harry où il plongea son regard dans les prunelles vertes.

"Ce soir, tu seras entièrement à moi." Déclara Draco en se penchant pour l'embrasser.

"ATTENDS!"

Surpris, Draco se redressa légèrement. Est-ce que son chaton ne voulait pas de lui? Harry se tortilla pour sortir du lit et récupéra son bas de pyjama. Il prit sa cape d'invisibilité et demanda à Draco de venir dessous avec lui.

"Depuis quand tu mets mes pyjamas chaton?" Susurra Draco à son oreille alors qu'ils marchaient dans les couloirs déserts.

"Depuis que tu es parti."

"Et tu te tripotes depuis que je suis partie?"

Pour toutes réponses, les joues d'Harry rougirent fortement. Heureusement, ils venaient d'arriver à destination ce qui détourna l'esprit de Draco.

"C'est la salle sur Demande."

Harry se contenta de hocher la tête et poussa la porte de la salle. Des centaines de bougies flottaient dans les airs, dégageant un doux parfum de mangue. Un miroir recouvrait tout un pan de mur et un lit avait été placé devant.

"Oh! Tu t'en es souvenu."

"Joyeux Noël Draco." Répondit Harry d'une toute petite voix.

"Merci chaton. C'est un très beau cadeau."

"C'est vrai! Tu aimes?"

Pour toute réponse, Draco l'entraina vers le lit. Il le laissa debout devant celui-ci et continua ce qu'il avait commencé dans la chambre. Il lui retira lentement la chemise, défaisant un à un les boutons, ses doigts s'amusaient à effleurer sa peau douce, lui procurant mille et un frisson plaisir.

Harry ne disait rien, il ne gémissait pas, car pour lui, l'atmosphère était trop magique pour être brisée par sa propre respiration. Paradoxalement, son coeur battait tellement fort dans sa poitrine, qu'il avait l'impression que Draco aussi pouvait l'entendre.

Une paire de lèvres fraiche se posèrent sur la peau brulante de son cou et il couina de surprise. Sa volonté de garder le silence s'écroula lorsqu'il sentit la langue de Draco remonter le long de sa jugulaire jusqu'à son oreille dont il attrapa le lobe entre ses lèvres pour le sucer.

En parallèle, sa main avait glissé sous l'élastique de son pantalon où elle caressait mollement la verge d'Harry. Ce dernier se mit à bouger des hanches pour accentuer la caresse. Le rire de Draco résonna au creux de son oreille et son autre main vint s'arrimer à ses hanches pour l'empêcher de bouger.

La main qui se trouvait dans son pantalon glissa jusqu'à ses testicules et Draco tourna Harry face à la vitre avant de venir se caler dans son dos. Ainsi, il pouvait voir son visage dans le miroir.

"Ouvre les yeux." Ordonna-t-il.

Deux émeraudes apparurent dans le reflet et Draco tomba encore une fois sous son charme. Il se demandait souvent pourquoi il n'avait jamais fait attention à Harry avant cette année. La réponse était simple.

Harry n'était pas du tout son genre.

Outre le fait qu'il soit un garçon, il ne fallait pas oublier qu'il n'avait jamais prêté un regard sur lui, car Harry était quelqu'un d'insignifiant à l'époque. En réalité, le jour où il l'avait agrippé par le col de sa robe pour l'emmener dans une salle vide, Draco s'était piégé lui même. Car c'est sans aucun doute à ce moment-là qu'il était tombé, sans s'en rendre compte, sous le charme de ce petit chaton.

Il s'agenouilla et baissa le bas de pyjama que Harry portait. Il mordilla chacun leur tour les deux globes de chaires, qui lui faisaient un fessier d'enfer, avant de les malaxer à pleine main.

Harry se sentait bien, il voulait que ce moment dure pour l'éternité et pourtant, il avait peur. Peur que tout ceci prenne fin, qu'il se réveille dans sa chambre, seul et qu'il s'aperçoive que tout ceci n'avait jamais existé.

Soudain, il se sentit bizarre de l'intérieur et quelque chose d'humide et chaud se posa sur son petit trou. Il dut s'appuyer davantage contre le miroir pour ne pas tomber.

"Draco... Qu'est-ce que... tu fais?"

"Je te prépare."

"Mais c'est sale. Arrête!"

Harry ne voulait pas du tout qu'il s'interrompe, car sa langue faisait vraiment des merveilles et pourtant, il ne souhaitait pas que Draco se salisse pour lui.

"J'ai lancé un sort de nettoyage donc tais-toi et profite." Répliqua Draco avant de revenir lécher son anus.

Harry ferma les yeux, incapable de les garder ouverts tant le désir était grand. Il se colla contre la vitre qui s'embua encore plus face à la chaleur de son corps. Sa peau ne tarda pas à se couvrir d'une fine pellicule de sueur et il avait oublié depuis longtemps son idée de ne pas faire de bruit.

Sa gorge était sèche et des gémissements en sortaient en continu. Son coeur battait la chamade dans sa poitrine, sa queue palpitait entre ses jambes, mais à chaque fois qu'il était proche de l'orgasme, Draco enserrait la base de sa verge pour faire reculer l'éjaculation. Ses jambes, quant à elles, n'arrivaient plus à supporter le poids de son corps.

"J'en peux plus..." haleta le garçon.

"Je suis pourtant loin d'en avoir fini avec toi, chaton."

Comme pour souligner ses dires, Draco remplaça sa bouche par son majeur. Il tourna lentement autour de la peau plissée afin de la détendre davantage. Sa salive avait trop vite séché et il regretta de ne pas avoir de lubrifiant sous la main.

Aussitôt demandé, aussitôt apporté.

Un tube de lubrifiant apparu sur ses genoux et tout en bénissant cette salle, Draco s'enduit généreusement les doigts du liquide gluant. Satisfait, il enfonça lentement son majeur, tout en regardant avec fascination le petit trou de Harry aspirer avec avidité son doigt.

À l'intérieur, c'était chaud et moite. Il était impatient de remplacer son doigt par sa queue et d'enculer Harry avec toute la fougue dont il était capable. Cependant, il ne voulait pas faire mal à Harry et comme il s'agissait de sa première fois, il devait bien le préparer.

"Draco... prends-moi."

Il fut surpris par la demande de Harry. Il ne l'aurait jamais cru assez confiant pour demander une telle chose.

"Pas tout de suite. Je dois te préparer."

"Je suis déjà préparé!" S'impatienta Harry. "Je me suis occupé de mon cul tous jours depuis que tu es parti comme un voleur!"

"Vraiment?" Draco était étonné, mais cette révélation l'excitait beaucoup. Il passa sous silence le "parti comme un voleur". "Et qu'est-ce que tu as fait exactement?"

Il vit, grâce au miroir, le visage d'Harry devenir aussi rouge qu'une tomate.

"Allez chaton. N'ait pas peur et dis-moi comment tu t'es fait du bien."

"J'ai... j'ai acheté des godes... de... de différentes tailles."

Draco demanda immédiatement la même chose à la salle et les montra à Harry.

"Et ensuite? Lequel tu as choisi?"

Harry lui indiqua un gode de dix centimètres de long pour deux centimètres de diamètre.

"Et ensuite, qu'est-ce que tu en as fait?"

Draco enduisit le gode de lubrifiant et fit tourner le bout autour du cul de Harry, attendant sa réponse.

"J'ai... j'ai fait ce que tout le monde fait avec un gode."

"Trop facile, j'attends plus de détails, chaton. Allez, raconte-moi."

Harry parla et Draco appliqua. Il n'avait pas trop compris au départ, mais lorsque les gestes de Draco s'étaient calqués sur ses paroles, il devina que l'autre ne lui demandait pas réellement de raconter ce qu'il avait fait, mais plutôt ce qu'il aimerait que Draco lui fasse.

Alors Harry se lâcha.

Il passa vite à un gode plus gros, mais cela ne lui suffisait pas. Il décida donc de jouer avec le feu et profita d'un moment d'inattention de la part de Draco pour se retourner et le pousser contre le sol.

"Harry, n'y pense même pas." Grogna Draco alors que l'autre homme s'assaillait à cheval sur lui.

"Trop tard."

Il avait baissé la braguette de Draco et avait tiré sur le pantalon et le boxer, libérant le sexe érigé. Sans que Draco ait le temps de réagir, Harry attrapa son sexe et s'empala dessus.

Ils gémirent tous les deux, ou plutôt, ils crièrent en même temps.

"Tu me le paieras, Potter!"

"M'en fiche... pour le moment, j'ai ce que je veux!"

Saleté de chaton! Énervé de s'être fait avoir, Draco renversa Harry et se retira. Il l'attrapa par les cheveux et le força à monter sur le lit.

"Puisque tu préfères que je te baise, plutôt que je te fasse l'amour, eh bien parfait! Je vais te donner ce que tu veux."

Il lui claqua le cul, ce qui fit gémir Harry. Ce dernier était à quatre pattes devant lui, sa croupe bien mise en valeur. Il lui agrippa fermement les hanches et l'encula d'un geste sec.

"Ah! Oui... encore!"

Son chaton aimait qu'on abuse de lui, donc il allait lui donner ce qu'il voulait. Il le lima à grands coups de rein, mais il n'avait pas oublié sa vengeance. Harry aurait pu atteindre l'orgasme au moins cinq fois si Draco ne l'en avait pas empêché.

"Arrête!" Harry était en pleur.

Draco venait encore une fois de lui refuser la délivrance. Il avait les reins en feu et tout son corps tremblait, il n'avait plus de force.

"Dis: Excuse-moi Draco d'en avoir fait qu'à ma tête et d'avoir gâché ton cadeau de Noël."

"Excuse-moi de t'offrir la meilleure baise de ta vie!"

"Oh le vilain chaton!" Siffla Draco en redoublant de vigueur ses coups de reins.

Il commençait lui aussi à fatiguer, mais il ne devait pas craquer avant Harry. Il sentit un autre orgasme prendre forme dans le corps d'Harry, mais lorsqu'il approcha sa main de sa verge, il entendit ce dernier crier:

"Je suis désolé! Je suis désolé d'avoir gâché ton cadeau de Noël!"

"Merci Merlin." Souffla Draco.

Il augmenta avec désespoir de rythme de ses va-et-vient et ils ne mirent pas longtemps à venir. Harry fut le premier. Heureusement sinon la fierté de Draco en aurait pris un sacré coup. En sentant, les parois internes de Harry se resserraient autour de lui, Draco éjacula à son tour.


Il se réveilla complètement à l'ouest. Ses membres étaient lourds et son esprit avait du mal à quitter le monde des rêves. Autour de lui, des dizaines de bougies flottantes répandaient une douce lumière et l'odeur du sexe imprégnait fortement l'air.

Il se rappela alors du cadeau qu'Harry lui avait fait la veille et un sourire béat, peu digne de lui, ourla ses lèvres. Il allait même rigoler bêtement, lorsqu'il entendit des pleurs à côté de lui. Il tourna la tête, surprit, et observa Harry.

Ce dernier était allongé sur le ventre et il avait une main posée en bas de ses reins. Draco se sentit soudain coupable, il y était allé vraiment fort pour la première fois de son chaton.

Il se pencha vers lui et déposa des petits baisers sur son épaule. Sa main avait glissé le long de son corps et massait délicatement les reins du garçon.

"Sur une échelle d'un à dix, tu situerais ta douleur à quel niveau? En sachant que, un c'est bon et dix pas du tout."

"Quinze!" Grogna Harry.

Sa réponse fit rire Draco. S'il pouvait râler c'est qu'il n'allait pas si mal que ça.

"Mais, je ne regrette rien de ce qu'il s'est passé." Poursuivit Harry.

"Je m'en veux quand même d'avoir été aussi violent."

"C'est comme ça que je t'aime, Draco. Je suis accro à toi depuis presque quatre ans alors que tu étais la raison de tous mes malheurs. Je pense que j'ai un penchant pour la soumission... mais temps que c'est toi qui me domines, je n'aurais honte de rien."

"Épouse-moi."

La demande de Draco sortait de nulle part et les surprit aussi bien l'un que l'autre. Harry parce qu'il avait oublié que Draco l'avait déjà demandé en mariage et Draco, car il s'était promis de ne pas commettre deux fois la même erreur et d'attendre.

"Tu le veux vraiment?" Demanda Harry au bout d'un moment. "Parce que si c'est le cas, alors je veux bien revenir sur mes mots et dire oui."

Dis non, Draco. Dis non! Lui hurla sa conscience.

"Oui, je le pense vraiment. Mais je veux d'abord que tu saches dans quoi tu t'engages."

"Je ne comprends pas."

"Potter, je suis l'héritier d'une grande famille de Sang pur. Le seul héritier. J'ai donc beaucoup de devoirs envers ma famille. Tu comprends?"

"Tu veux dire que je t'empêcherais d'accomplir tes devoirs familiaux?" Murmura Harry peiné.

"Mais non! Si tu deviens mon époux, tu devras parfois agir différemment. Lors de soirée, pas de bisous, pas de tutoiement, on ne se tient pas la main."

"C'est un peu vieillot, non?!"

"C'est la société, Harry." Répliqua Draco.

"Peut-être, mais on est pas toujours obligé de faire ce que la société nous demande."

"Harry, si on se marie ça sera comme ça et pas autrement."

"Très bien!"

Énervé, il se leva et s'écroula au sol, une main posée sur ses hanches.

"Pauvre chaton. Si jeune et déjà si usé!" Ricana Draco.

"La ferme!"

Harry rampa littéralement jusqu'à ses vêtements. Il voulait mettre le plus de distance entre lui et Draco. Il se sentait blessé et humilié. Alors que quelques semaines plus tôt Draco semblait le genre d'homme à ne pas avoir peur d'aller contre les règles, celui qui se trouvait désormais devant lui était un lâche et un imbécile obtus!

Harry comprenait très bien que certaines règles ne pouvaient pas être abolies du jour au lendemain, mais de là à tout faire au pied de la lettre...

"Reviens dans le lit chaton!" Draco commençait à s'énerver. "Tu es ridicule à te trainer par terre."

"Qu'est-ce que ça peut te faire! On n'est pas marié à ce que je sache."

"Tu as raison Potter, on n'est pas marié." Siffla froidement Draco.

Il se leva à son tour, s'habilla en vitesse sans tenir compte de Harry et quitta la salle sur Demande.

Une fois seul, Harry retourna avec difficulté dans le lit où il se réfugia sous les draps et pleura. Les larmes roulaient simplement sur ses joues. Il n'y avait pas de sanglots ou de reniflement. Justes des larmes.

Il ne savait même pas pour quelles raisons il pleurait.

La salle ne possédant pas de fenêtre, Harry ne vit pas le temps passé. Il entendit au loin le bruit d'une porte et il sut que c'était lui qui revenait.

"Harry..."

"Qu'est-ce que tu attends de moi exactement?" Demanda Harry d'une voix éteinte.

"Comment?"

"Que veux-tu que je fasse. Je dois me soumettre à tes moindres désirs ou au contraire te tenir tête. Je ne sais pas quel genre d'Harry tu aimes."

"Les deux. Et si demain tu devenais protecteur, je t'aimerais quand même. Si tu es bordélique ou hypocondriaque, je t'aimerais quand même. Parce que c'est toi dans ton ensemble qui me plait."

"Alors pourquoi tu veux que je sois différent?!"

"Je ne veux pas que tu sois différent. C'est le monde dans lequel je vis qui demande ça!"

"Moi je ne t'aurais jamais demandé ce genre de chose."

"Harry." Soupira Draco.

"Je ne suis pas une poupée Draco! Mets-toi à ma place et demande-toi comment tu réagirais si on te demandait de n'être qu'un objet décoratif devant les autres."

"Je ne t'ai jamais dit que tu étais un objet!"

"Tu me demandes de ne pas te toucher, de ne pas te montrer mon affection et de rester derrière toi comme si j'étais qu'un moins que rien. Où est donc passé le Draco qui m'a torturé avec des sex-toys pour que j'accepte de l'épouser? Où est passé cet homme qui m'a attrapé par le col de ma robe pour m'entrainer dans une classe vide?!"

Le ton montait dangereusement entre les deux garçons et ils en étaient bien conscients, mais comme une pierre qui dévale une pente sans pouvoir s'arrêter ils s'insultaient encore et encore. Jusqu'à ce qu'un obstacle se présente et arrête la pierre.

"Puisque tu le prends comme ça, alors ça ne sert à rien qu'on poursuive cette relation!" Déclara Draco.

"Parfait!"


"Tu es vraiment bête!" Déclara Blaise une fois que Draco lui eut raconté toute l'histoire. "Je pensais pourtant quant temps que prince des Serpentards tu aurais un peu plus de jugeotes que ça et choisirais mieux tes arguments."

"Je ne vois pas pourquoi tu dis ça! De plus, tu sais très bien que la société des Sangs purs tient énormément à ces règles et..."

"Draco." Le coupa son ami. "Je te signale que ma mère c'est mariée un nombre incalculable de fois, ce qui est pourtant interdit chez les Sangs purs et malgré tout, elle est toujours invitée aux soirées. Et tu sais pourquoi."

"Parce que ta mère sait très bien gérer ses affaires, tout le monde le sait ça!"

"Exactement! Ce qui prouve que l'important ce n'est pas tes fréquentations ou leurs pseudo règles, mais ton argent et la manière dont tu le gères. La preuve, ma mère m'a raconté durant les vacances que Mme Crux est une Sang de Bourbe."

Draco crut s'étouffer avec son verre d'eau. Il connaissait très bien cette femme, du moins de nom, car son père ne jurait que par elle depuis quelque temps.

"Quelle bande d'hypocrites!" S'exclama-t-il hors de lui, s'attirant quelques regards curieux.

Mais tu sais Draco, certaines choses ne sont pas irréversibles.

Les paroles que sa mère avait prononcées avant qu'il ne revienne à Poudlard s'imposèrent dans son esprit. Est-ce que sa mère savait déjà qu'il réagirait comme ça? Cela ne l'étonnait pas, après tout Narcissa Malfoy avait toujours su lire dans le coeur de son fils, comme dans un livre ouvert.

Il chercha des yeux Harry, mais ne le vit nulle part.

"Si tu le cherches, il est avec Hermione en ce moment."

"Hermione? Depuis quand c'est Hermione?!"

Blaise se contenta d'oser les épaules, mais Draco n'était pas dupe. Il ne dit rien cependant, sur les goûts déplorables de son ami, préférant aller s'occuper de son chaton.


"Tu es vraiment un crétin!"

"Mais Hermione. Pourquoi tu prends sa défense?!" L'accusa Harry.

"Je ne le défends pas, mais tu n'agis pas non plus comme quelqu'un d'intelligent. Accepter de rompre avec lui juste parce qu'il voit les choses sous un autre angle toi."

"Mais..."

"Il n'y a pas de mais Harry, je pensais que tu étais plus réfléchi que ça. Tu ne connais pas le dicton: il n'y a que les cons qui ne changent pas d'avis. Et je ne pense pas que Malfoy soit un idiot."

"Donc, selon toi, je devrais accepter toutes ces règles sans rien dire?!"

"Absolument pas! Ce que tu dois faire, c'est trouver un moyen pour que Malfoy aille lui même contre ces règles."

"C'est fourbe!" S'écria Harry scandalisé.

"Oh Merlin! Mais qu'est-ce que tu fais à Serpentard?! Pour l'instant, contente-toi d'aller le voir pour arranger les choses."

"Je n'ai pas envie!" Bouda Harry.

Hermione soupira, puis elle fixa un point au loin et sourit en lui disant que de toute façon il n'aurait pas vraiment le choix. Elle lui indiqua une direction du menton et profita du fait qu'il ait le dos tourné pour s'éclipser.

Harry, quant à lui, observa avec inquiétude Draco s'approcher de lui à grands pas.

"Qu'est-ce que tu veux?"

La question qui se voulait agressive ne fut qu'un murmure et Harry n'osa même pas le regarder dans les yeux. Une main s'empara de la sienne et avant qu'il ne puisse réagir, un anneau en or blanc fut passé à son annulaire.

"Oh diable les règles, je te veux alors marions-nous! Et je t'interdis de dire non!"

Pour toute réponse, Harry l'embrassa avec passion et entremêla ses doigts à ceux de Draco. Il ne savait pas trop où ils allaient, mais cela lui était égal du moment qu'ils étaient ensemble.

FIN

Bonus – La vengeance de Draco!

Il avait vécu pas mal de problème à cause de cette idiote de Pansy Parkinson et depuis le temps qu'il en rêvait, il ne s'était pas privé pour mettre à bien sa petite blague. Il insistait sur le mot petit, car ce n'était vraiment pas grand-chose contrairement à tous les autres plans diaboliques qu'il aurait pu mettre en oeuvre.

Cependant, il avait eu besoin de la cape d'invisibilité d'Harry pour mener à bien son projet et ce dernier avait accepté de lui prêter sa cape s'il lui promettait de ne rien faire de trop grave.

Draco s'était donc glissé dans la chambre des préfets durant la nuit.

C'était le matin, il prenait son petit déjeuner avec Blaise et son chaton. Son regard était fixé sur l'entrée de la Grande Salle et il attendait avec impatience que Pansy Parkinson en franchise le seuil.

Et soudain, elle apparut. Sa tête était rentrée dans ses épaules. Elle espérait surement passer inaperçue. Mais avec ses cheveux couleur caca d'oie, ses vêtements aux teintes fluo et les feux d'artifice aux messages tous plus salaces les uns que les autres qui volaient autour d'elle, la mission était impossible.

Le rire d'Harry résonna à côté de lui et si Draco resta stoïque devant le spectacle, entendre son chaton se moquer de Parkinson le fit sourire à son tour.

"Merci." Souffla Harry à son oreille.

Oui, il aimait vraiment faire plaisir à son chaton!


La fanfiction "Chantage et sentiment" et dorénavant terminé. Eh oui! Mais, ne vous en faites pas je reviendrais avec de nouvelles aventures!^^ Laissez des commentaires sur cette histoire pour que je sache ce que je dois ou ne dois pas refaire dans les prochains fics!

À bientôt,

Mower.