Titre : Cœur de Cristal

Pairing : Siegfried x Alberich

Disclamer : Bon alors rien de nouveau, les personnages et l'univers ne m'appartiennent pas. Le titre de propriété est au nom de Masami Kurumada (cherchez pas je suis vraiment aller vérifier !)

Notes de l'auteur : Bonjour à touuuuuus ! Oui je sais cette fic a été en pose très très trèèèèèès longtemps. Mais poussée par un élan de nostalgie je me suis replongée dedans. Et mon dieu mes yeux on bruler face à ce que j'ai lu. J'ai donc décidé de reprendre cette fic et de la corrigé. Je rajouterais même de nouvelle scène. En espérant que cette fic vous plaira toujours malgré le temps qui est passé. Je l'ai commencé lorsque j'avais 13 ans (peut-être 14) et c'était ma première fic. Maintenant que j'en ai 17, que je rentre en Terminal L et que j'ai du temps et de l'inspiration (noté par-là les semaines de révisions mis à ma disposition pour le bac) je la reprends. Sur ce je vous souhaite une bonne lecture !


Chapitre 1

La neige tombait, enveloppant le pays d'Asgard de son doux mentaux blanc. Tout semblait figé dans le froid et la glace. La nuit dissimulant les mystères de cette terre reculée aux yeux des Hommes. Cependant un lieu semblait échapper à ces ténèbres glaciale propre à cette contré nordique. Il s'agissait d'un palais, celui de la Princesse Hilda : le Walhala.

En ces lieux se déroulait une fête prestigieuse en l'honneur de tous les guerriers divins ressuscités par le seigneur des Enfers à la demande d'Athéna. En effet, après sa victoire, la déesse de la sagesse demanda à son oncle Hades de ramener tous les chevaliers, spectres et marinas morts durant les guerres saintes. Elle estimait que tous ces hommes et femmes d'exception avait mérité de pouvoir profiter de la vie et de leur jeunesse en ces temps de paix. Sa générosité allant même jusqu'au guerrier divin, mort à cause de l'ambition d'un de ses chevalier. Par ailleurs, Kanon de Gémeaux, vint en personne présenter ses excuses à genoux à la princesse Hilda et à chacun de ses guerriers.

Suite à cela, une grande fête avait organisé signifiant le pardon du peuple d'Asgard au second Gémeaux, mais aussi le début d'une nouvelle vie pour tous. De ce fait, tous profitaient des festivités, certains plus que d'autres. Par exemple, Mime faisait profiter l'assistance de sa musique, Cid et Bud rattrapaient le temps perdu, Hagen contait fleurette a la princesse Freya. D'autre comme Thor se contentait d'enfiler les pintes de bière en discutant joyeusement avec un Fenrir encore en retrait face à tant de monde. Bref tout le monde prenait du bon temps. Tous sauf un.

Alberich de Megrez semblait observer contentieusement le paysage éternellement enneiger d'Asgard. Personne ne pris donc la peine de s'inquiété de cette absence de cynisme qui pourtant caractérisait habituellement le guerrier divin de Delta. Mais si quelqu'un avait pris la peine de s'intéresser à cet étrange silence qui enveloppait l'être le plus intelligent d'Asgard, il aurait plutôt compris qu'en réalité il n'admirait pas les plaines d'un blanc immaculée de son pays. Non son regard était vide et l'on pouvait presque percevoir une once de tristesse, une infinie tristesse.

Au bout d'un moment Hilda de Polaris qui dialoguait cordialement avec Siegfried fini par s'apercevoir de l'absence de son guerrier de Delta et se mis à le chercher du regard. Guerrier qu'elle trouva positionné seul près de la fenêtre. Surpris de voir sa souveraine parcourir ainsi la salle du regard, Siegfried suivi donc le regard de la princesse d'Asgard avant de se poser sur le guerrier divin de Delta. A ce moment son regard devin dur et aussi froid que les plaines d'Asgard.

Alberich ce sale traître qui avait voulu profiter de l'état de la prêtresse et représentante terrestre d'Odin pour essayer de réaliser ses plan de conquête du monde. Même si les Dieux semblaient lui avoir pardonné son "écart de conduite" ce n'était pas pour autant le cas des guerriers divins ou de Hilda. Et si cette dernière continuait de l'accepter au palais c'était uniquement pour la justesse de ses conseils ...quand il avait envie de les donner. Car ces dernier temps il ne semblait pas disposé à faire partager son génie ne serait-ce que la représentante d'Odin, ce qui ajoutait un nouvel acte d'égoïsme ajouté la TRÈS longue liste de ses méfait déjà existant.

Il était tellement plonger dans ses pensées noirs sur Alberich qu'il sursauta lorsqu'il senti la princesse se déplacer pour se rapprocher de celui qui fût un traître à sa propre patrie. Soucieux de sort de sa princesse et tiraillé par la curiosité il la suivit auprès du jeune homme.

-Aberich, j'aurai besoin de tes conseils. Si tu bien entendu disposer à me les donner.

Cette unique phrase prononcé d'un ton plus froid qu'un morceau de glace suffi à sortir le guerrier de ses pensées. Il revêtit rapidement ce masque méprisant tellement familier aux yeux ses interlocuteurs.

Le rouquin se retourna lentement et afficha son sourire narquois habituel qui empli le blond de dégout et de mépris.

-Je suis toujours votre disposition pour vous les donner votre altesse mais celons vous ne serait-il pas plus sage de faire cette demande a quelqu'un de plus ...juste et noble que moi ? Prenez Siegfried il sera tout à fait apte à vous faire part de ses conseils. Les mien ne susciterai que méfiance et craintes.

Le guerrier divin d'Alfa serra les poings devant la remarque de son homologue. Cette dernière phrase avait été dite d'un ton si ironique qu'il n'était pas compliqué de comprendre le fond de sa pensée. Plus le temps passait et moins il parvenait à comprendre comment fonctionnait son homologue. Après ce qu'il c'était passé avec les chevaliers d'Athéna il devrait plutôt faire profil bas pour ne pas attiser plus de rancœur à son égard. Pourtant, malgré sa haine viscérale à l'encontre du roux, un léger détail apaisa momentanément sa colère. Pas grand-chose. Juste une faible lueur au fond de ses yeux vert. Une de lueur de…..tristesse ? Oui c'était ça, de la tristesse. Une tristesse si profonde, si intense et pourtant si bien dissimulée derrière une couche de mépris et de dédain.

Face à ce regard qu'elle ne sut décrypter, Hilda ne dissimula même pas la répugnance et la haine que lui inspirait Delta. Haine qui augmenta le sourire de ce dernier mais également la lueur de tristesse tapis dans ses yeux. Sur ce la grande prêtresse lâcha d'un ton ou l'on distinguait parfaitement sa haine.

-Soit, puisque tu t'obstine à rester sur tes positions Alberich je vais me trouver obligé de t'imposer une sanction à la hauteur de tes actes. Tant que tu refuseras de servir ton pays en mettant a profit cette intelligence dont tu tires une si grande fierté, tu seras interdis de séjours au palais. Tu ne pourras y revenir que sur autorisation spéciale. Me suis-je bien fait comprendre.

-Parfaitement votre altesse.

Encore une fois, sa voix suintait de mépris et de sarcasmes.

-C'est ta dernière chance Albérich, ne la gâche pas.

Cette fois-ci il ne pris même pas la peine de répondre se contentant de garder sou sourire et son attitude de défi.

"A croire qu'il veut se faire viré du château cet abruti!" se dit Siegfried. Mais si sa se trouve, c'est peut-être ce qu'il cherche sa expliquerai son comportement inchangé malgré les nombreux avertissements de la princesse.

Comme pour confirmer ses pensées il jeta un regard au rouquin qui était retourné dans la contemplation de la fenêtre, mais cette fois Siegfried vit parfaitement le visage triste de Delta une fois son masque d'orgueil abandonné. Ses yeux maintenant empli de cette sorte de profonde mélancolie qui adoucissait les traits de son visage, lui donnait un air plus fragile. A cette instant, sa jeunesse et son humanité transparaissaient le rendant plus accessible, moins froid, plus irréel aussi. Siegfried se surpris même à avoir envie de le consoler, de le prendre dans ses bras pour le protégé de tout ce qui pourrais le faire souffrir ou le brisé car c'était bien cette impression que le jeune guerrier de Delta donnais. Celle que si l'on ne faisait pas attention il risquait de ce briser comme le ferait une poupée de porcelaine que l'on ferait tomber.

Il se donna une baffe mentale. Mais qu'est-ce qui lui prenait de penser de tel absurdités à propos du guerrier de Delta. C'était un guerrier divin, il était par conséquent loin d'être faible et sans défense. De plus, il était de loin le plus cruel d'entre eux donc pour la poupée de porcelaine fragile on repassera. Cependant, malgré toutes ces bonnes pensées, il ne parvenait pas à détacher son regard de cette fine silhouette qui regardait le paysage glacé d'Asgard. Qui le regardait mais qui, paradoxalement, ne semblait pas vraiment le voir.

Et, à ce moment, il ne put s'empêcher de le trouver beau. Pas de cette beauté froide et cynique qui était généralement la sienne. Non celle-là était plus simple, plus douce, plus réel. Oui Albérich était beau avec sa peau presque trop pâle qui contrastait avec sa chevelure incendiaire, avec ses yeux verts si troublants et dans lesquels on a envie de se perdre. Avec son corps d'une finesse et d'une taille qui lui donnait une apparence si frêle qu'un simple coup de vent pourrait le briser. Oui il était beau, et Siegfried avait l'impression qu'il se cachait derrière son air narquois pour éloigner les autres. Mais pourquoi ?

Par peur ? Peut-être oui mais de quoi. La résidait la question. Puis il se souvint d'une conversation qu'il avait eue avec Saga des Gémeaux quelque mois plus tôt. Ce dernier lui avait avoué qu'Alberich lui faisait beaucoup penser à son frère dans sa manière d'agir avec les autres. Devant son air interloqué le grec c'était expliqué en lui disant que Kanon ne connaissait pas d'autre manière de se protéger que d'attaquer avant de souffrir. Qu'il attaquait avant que l'autre n'ai eu le temps de le faire. Qu'il attaquait lorsqu'il se sentait en danger. Comme le ferait un animal acculé. De cette manière c'était lui qui contrôlait la situation et que par conséquent il pouvait faire souffrir son adversaire autant voir plus que lui.

Sur le moment, Siegfried n'avait pas cru que les paroles du Gémeaux aient pu être exactes. Non, il le croyait quand il parlait du comportement de son frère, mais n'arrivait pas à faire le rapprochement avec celui du roux. Mais à présent, il en était capable. Aujourd'hui il était capable de voir les ressemblances entre le frère de Saga et Alberich.

Oui c'était ça, il se cachait car il ne devait pas connaître d'autre façon de se protéger. Et étant donné qu'il n'avait sans doute jamais appris à se faire apprécié des autres, qu'il n'avait jamais eu quelqu'un sur qui compter, il avait dû apprendre à se défendre seul. Siegfried se souvenais qu'enfant, Alberich n'était pas souvent avec eux, qu'il se mettait souvent à part, loin d'eux. Ils étaient jeunes et n'avaient pas su interpréter ce qui était probablement une grande timidité. Ils l'avaient donc rapidement pris en grippe, Hagen le premier. Il faut dire que son apparence fluette et délicate n'avait rien arrangé car déjà à l'époque le roux préférait la compagnie des livres et le calme à leurs jeux de guerres et d'aventures.

En repensant à cette époque, le blond se dit que s'ils n'avaient pas rejeté Alberich dès le départ, ce dernier ne serait peut-être pas devenu le jeune homme cynique et méprisant qu'il était à présent.

Là-dessus, le guerrier divin d'alfa reposa son regard sur le jeune homme toujours positionné près de la fenêtre. Toujours perdu dans son monde.

Mû par une impulsion dont il ne connaissait pas l'origine, Siegfried s'approcha de l'objet de ses pensées et posa une main sur son épaule.

Surpris par cette main amicale qui s'était posée sur son épaule droite Alberich se retourna, et quel ne fût pas sa surprise de voir que cette main appartenait au guerrier d'alfa.

Siegfried pu alors observer à loisir le visage de son homologue qui n'avait pas eu le temps de revêtir son "masque". Ce qui confirma alors que son hypothèse était probablement juste. Hypothèse qui lui disait que personne ne connaissait le véritable Alberich. Celui qui rêvait, espérait, pleurait, souffrais. Celui qui était humain. Et grand dieu que cet Alberich là était beau. Ces yeux étaient comme deux pierres de jade qui montraient toute l'âme de leur propriétaire. Mais il ne put malheureusement profiter qu'un court instant de ce magnifique spectacle. Car ce visage si beau, si vivant fut bien trop vite orné de cet immonde sourire cynique qu'il avait pris l'habitude de revêtir. Et c'est donc te cette voix méprisante et froide que le plus jeune s'adressa à lui.

-Tiens tiens tiens. Mais qui avons-nous là. Siegfried de Duhbe. Grand favori de son altesse des glaces. Alors dit-moi mon cher Siegfried, qu'est-ce qui peut bien t'amener à m'adresser la parole. Non attend laisse-moi deviner. Une autre menace musclée? Non voyons il y'a trop de monde et donc trop de témoins. Peut-être une nouvelle mise en garde de la part de ta princesse adorée ? Hum oui plus plausible déjà. Ou alors elle a décidé que je devrais plier bagage plus tôt que prévu ?

Le discours du roux plaça Siegfried dans un état d'incompréhension le plus total. Alberich pensait-il vraiment qu'il ne pouvait pas venir lui parler juste parce qu'il avait envie de le faire. Que ce n'était pas juste sur demande de la princesse. A ce moment-là, le blond ce rendit effectivement compte que jamais depuis qu'ils se connaissaient il n'avait fait le moindre pas vers le roux. Que ce soit pour nouer une relation cordiale ou juste pour simplement parler avec lui.

-Rien de tout cela, je voudrais uniquement parler avec toi quelques minutes. En privé si possible.

Le regard du roux su fit tout de suite suspicieux. Était-il donc tellement incroyable qu'il puisse simplement vouloir parler avec lui de manière cordiale? A parement oui au vu des regards tout bonnement surpris que sa réponse avait engendré dans l'assistance.

-Me parler ? Toi tu voudrais me parler ?

-Oui

-Hum…. Tu rends quand même compte que tu n'es pas très crédible. Tu ne m'apprécies pas tout le monde le sais. Je suis sûr que même le chevalier de Pégase s'en est aperçu.

-S'il te plaît je ne suis pas sûr que tu apprécies que tout le monde sache ce que je veux te dire.

Alberich sembla peser le pour et le contre durant quelque seconde. Il le comprenais, après tout il n'avait pas l'habitude que les gens l'approchent de leurs plein grès sans avoir d'arrière pensé.

-Hum… Très bien je veux bien te suivre.

A ces mots le soulagement l'envahi. Bon le plus dur était fait. Malgré tout il pouvait deviner que derrière sa nonchalance apparente l'autre demeurait méfiant. En même temps il s'agissait d'Alberich. D'aussi loin qu'il s'en souvienne il avait toujours été méfiant et prenait mille et une précaution avant d'agir. Mais il semblait semblais cependant être capable d'accorder une confiance toute relative pour le peu de temps que lui réclamais le guerrier d'Alfa. Légèrement soulagé, il se mis à avancer dans la salle en direction de la sortie, Alberich juste derrière lui, sous les regards plus ou moins discrets des autres invités. Cependant, à peine sortis de cette pièce ou l'ambiance était devenue étouffante, son homologue ne put s'empêcher de briser le silence.

-Ou allons-nous?

-A la bibliothèque.

- A la bibliothèque vraiment ? Et pourquoi donc ? Oh attend laisse tomber ! C'est vrai que te voir avec moi serait vraiment mauvais pour ta réputation. Il est donc logique que tu ais choisi un lieu que personne ne fréquente.

La phrase avait été lâchée d'un ton tellement acerbe que Siegfried ne put s'empêcher de se tendre. A ce niveau, il ne savait plus si le roux avait juste une mauvaise image de lui ou s'il pensait réellement que personne ne voudrais un jour pouvoir accepter d'être vu en sa compagnie.

- Non si je t'emmène à la bibliothèque c'est que je sais parfaitement que tu seras plus à l'aise pour écouter ce que j'ai à te dire étant dans un lieu où tu passes tes journées.

Pour le coup le fier guerrier de Delta à la langue acérée fût complètement réduit au silence par cette révélation. Trop abasourdi le petit rouquin ne trouva rien à répondre et suivit docilement le plus âgé jusqu'à la dite bibliothèque.

Une fois arrivé dans sa pièce favorite, le guerrier de Delta s'assit dans un grand fauteuil de cuir qu'il avait l'habitude d'utiliser lorsqu'il venait passer ses journées dans ce lieu tellement accueillant à ces yeux. Siegfried se félicita d'avoir choisi une pièce ou son cadet semblait être à l'aise, il était sûr que la seule salle ou Alberich se sentirait à l'aise serait cette pièce. Il le regarda donc prendre ses aises, comme un seigneur en terrain conquis. Cependant, il fût rapidement tirer de ses réflexions par Alberich.

-Bon maintenant que nous sommes confortablement installés, tu es libre de t'exprimer. Donc mon cher Siegfried, pourquoi as-tu ressenti le besoin urgent de t'entretenir avec moi ?

Son aîné soupira. Décidément le roux semblait incapable de se départir de son sarcasme. La tâche allait se révéler plus compliquer que prévue.

- Je vais aller droit au but. Pourquoi est-ce que tu t'arranger continuellement pour attirer la haine des autres?

A cette question, Alberich resta interloqué quelques secondes avant de se reprendre. Cependant, son visage avait perdu son masque sardonique pour ne laisser qu'une expression d'une neutralité glaciale.

-Je peu savoir ce qui te fait penser ça ?

Sa voix est tout aussi glaciale et aussi tranchante qu'une lame. J'entre donc en terrain miné. Cela est peut être paradoxale mais ce visage inexpressif semble plus vivant que tous ses sourires moqueurs et méprisants.

-Peu importe ce qui me fait penser ça ! Je constate seulement que tu n'as pas démenti.

Seul le silence lui répondit.

- Alberich écoute moi. Je sais que jusqu'à présent je ne t'ai donné aucune raison de me faire confiance. Je t'ai souvent raillé et mépriser…

-C'est le moins qu'on puisse dire…

-…Mais toi non plus tu dois bien admettre que tu ne nous a jamais rien fait qui puisses nous laisser penser que tu avais envie que l'on soit sympathique avec toi. Je ne suis pas là pour te critiquer alors s'il te plait laisse-moi finir. J'ai remarqué récemment que tu ne faisais rien pour arranger ton cas. Malgré toute ta ruse, ton intelligence et tes capacités d'orateur tu ne fais rien pour sauver ta place au palais. C'est même tout l'inverse. Ce que je veux comprendre c'est pourquoi.

-Et pourquoi veux-tu le savoir ? Qu'est-ce que cela peut bien t'apporter de le savoir ? Tu veux trouver une nouvelle raison à ta princesse de me chasser d'ici ?!

-Cela ne me servirait à rien Alberich. Je ne fais pas ça pour te faire du mal ou te mettre dans une quelconque position de faiblesse. Je te demande ça parce que je me rends compte que malgré toute ces années passé à tes côté, je ne te connais au final pas du tout. Et j'aimerais réparer cette erreur.

A ces mots le masque du roux se fissura, laissant filtrer de la surprise à travers ses yeux.

-Toi tu veux me connaitre ?

-Oui, je veux te connaître, je veux te comprendre, je veux se tendre cette main que je n'est pas été capable de te tendre lorsque nous étions jeune.

Ce n'est qu'une fois ses mots prononcé que Siegfried se rendis compte que prononcée ainsi, son explication ressemblait quelque peu à une déclaration d'amour.


A suivre

Voilà chapitre 1 fini ! Je dois dire que suis assez contente du résultat en espérant qu'il vous plaira ^^. N'oubliez pas de laisser des reviews pour me donner votre avis ça me fait toujours très plaisir d'en recevoir ).

Pour ce que qui est du prochain chapitre je le posterais certainement après le 29 Juillet (j'ai mon oral de français ce jour-là T-T Pauvre de moi)

Sur ce bisou à tous et à toutes !