Salut à tous! :D me revoilàààà! et avec une toute nouvelle fiction basée sur le fandom de "How To Train Your Dragon"! :D ça va me changer des 5 légendes! XD bon, j'ai mis du temps à trouver une idée d'histoire qui sortirait un peu de l'ordinaire, et j'espère que ce premier chapitre vous plaira et vous intriguera par la suite! :D je tiens à dire aussi que contrairement à mes précédentes fictions, je n'aurais pas de rythme de publication très fréquente et régulière. mais j'essaierais de ne pas vous faire attendre trop longtemps entre chaque publication! ;) sur ce, bonne lecture! :D


Chapitre 1 - Un nouveau jour se lève

L'histoire commence dans un tranquille petit village de la région d'Aquitaine, dans les années 1800. Aujourd'hui était un jour comme ceux d'avant. Ordinaire, tranquille, avec en plus la beauté et les bienfaits qu'offrait l'été sur la Terre.

Comme à chaque nouveau jour, chaque villageois et villageoise se lève au chant du coq et se prépare pour entamer une nouvelle journée de tâche quotidienne et répétitive, et aussi de dur labeur.

C'est ainsi qu'a l'extérieur du village, un maréchal-ferrant et également forgeron du village venait de se lever à son tour après avoir entendu le vieux coq chanté « l'heure du réveil ». Après c'être débarbouiller et habiller, il descendit à la cuisine de la petite maisonnette prendre le petit déjeuner que sa grande fille venait de préparer.

Souhaitant pas être en retard, il prit ses affaires pour la journée, et commença à atteler son cheval pour se rendre au village. Mais c'est au moment de partir que sa fille sortit en trombe de la maison, un outil à la main.

- PAPA ! PAPA ! attend ! t'a oublié ça ! cria-t-elle

L'homme fut surpris et se retourna vers elle. Quand il vit qu'elle tenait dans sa main un marteau, il lui adressa un sourire attendrissant et la remercia.

- Merci Adrianne.

- De rien papa. Souria t-elle

Il prit un instant pour regarder la beauté de sa fille aînée sous les lueurs du soleil. Elle avait 18 ans, et avait de longs cheveux blonds qui viraient vers le châtain clair, et qui lui arrivaient en bas du dos. Ses yeux noisette étaient pétillants et pleins de vie, et ils étaient encore plus mis en valeur avec sa petite frange légère. Les rayons du soleil reflétait avec douceur sur ses cheveux et sur sa peau légèrement rosée. Et avec sa robe-tablier marron clair et son chemisier bouffant blanc, c'est comme si sa beauté entière était totalement accordée.

Son père se disait qu'il avait de la chance d'avoir une fille si belle. De plus, elle ressemblait tellement à...

Mais ne préférant pas trop s'attarder sur un souvenir, il prit l'outil et la rangea dans sa sacoche.

- Heureusement que tu l'as remarqué ! et que je sois pas encore au loin ! dit-il avec bonne humeur

- Bah j'aurais couru pour te rattraper !

- Sans aucun doute. Bon sang... je sais pas comment j'ai pu oublier de le prendre alors que je l'avais préparé hier soir !

- Ça arrive papa, t'en fais pas.

- Je sais. Mais Gueulfor m'en aurait voulu ! lui qui me le réclame depuis une semaine !

- Ben alors évite d'emprunter les outils de tes collègues de travail. Ça évitera ce genre de problème. Suggéra-t-elle avec un autre sourire

- C'est juste parce que j'ai perdu le mien, sinon j'emprunte rarement.

- Je sais.

- Allez j'y vais. Bonne journée ma chérie ! la salua-t-il d'un geste de la main

- À toi aussi papa ! et sois prudent ! cria-t-elle

L'homme parti tranquillement au village, alors qu'Adrianne le suivait des yeux avec le sourire. Une fois qu'il fut au loin sur le sentier, elle s'en retourna à la maison et laissa sortir leur chien nommé Pataud pour qu'il aille gambader un peu. Puis elle alla réveiller son petit frère âgé de 13 ans, Jean, et ses deux petites sœurs, Rose et Violette, des jumelles âgées de 8 ans.

Après les avoir faits lever, le reste de la famille descendit prendre à leur tour leur petit déjeuner. Repas traditionnel. Lait, pain et beurre. Mais c'est avec un petit air bougon et endormis que la troupe s'installa à table, cependant que leur grande sœur les servait avec le sourire.

- Bien dormi ? demanda-t-elle

- Pas assez... râla son frère

- Comment ça « pas assez » ? tu voudrais pas dormir toute une journée entière quand même ?

- On est en vacances... alors on a le droit de dormir...

- Je sais, mais ce n'est pas le jour de la grasse matinée. C'est dans deux jours ! alors le reste de la semaine, quand ce n'est pas les 3 jours accordé par papa pour roupiller, on ne perd pas les bonnes habitudes et on se lève de bonne heure ! d'accord ? dit-elle d'un ton juste mais autoritaire tout en gardant le sourire

- D'accord...

- Et puis je ne vais pas m'occuper de la maison toute seule ! surtout si je veux jouer cet après-midi avec vous !

Le visage des trois enfants s'illumina au mot « jouer »

- Vraiment ? tu veux jouer ? fit Jean

- Évidemment !

- Oh chouette ! fit Rose avec entrain

- À quoi ? à quoi ? fit de même sa sœur jumelle

- Hum... Je sais pas, je n'ai pas encore trouvé. Mais si on s'y met tous les quatre pour que les taches ménagères soient faite et que papa ait rien à dire en rentrant du travail, je trouverais vite et on aura une belle après-midi rien qu'à nous pour jouer !

- Ouais ! firent-ils

- Alors vous êtes partant ? ajouta Adrianne

- Ouaiiiiis ! firent-ils à nouveau et avec la bouche à moitié pleine de pain beurré

- Bon. Chacun sait ce qu'il doit faire avant tout ?

- La toilette ! firent les filles en coeur

- Bien ! et ensuite ?

- S'habiller ! ajoutèrent-elles

- Mais encore ?

- Ranger notre chambre et faire notre lit. Répondit Jean avant de boire un peu de lait

- Parfait. Et au niveau travail... les filles ? vous savez ?

- Nourrir les animaux ! fit l'une

- Et passer le balai dans la maison ! fit l'autre

- C'est bien ! et toi Jean ?

- Couper du bois, m'occuper de Pataud et nettoyer la paille de la grange.

- Bravo ! 20 sur 20 à tous les trois ! quant à moi, je range et je nettoie la maison, je m'occupe du repas, et... je risquerais peut-être de faire une tarte. Souriait-elle avec malice

Elle savait que pour motiver les troupes, l'idée de faire une douceur culinaire marcher bien ! surtout avec une famille de gourmands !

- Une tarte ? à quoi dis ? demanda avec gourmandise le petit garçon

- Je sais pas. Si j'avais des mures, j'en ferais une pour le goûter après notre jeu ! mais faudrait aller en chercher... et je risque de ne pas avoir le temps avec tout ce que je dois faire...ajouta-t-elle sur un ton à demi dramatique

- On va t'en chercher après avoir nourri les lapins et les poules !

- Ok les filles ! Dès que vous avez tous fini de déjeuner, on attaque ! et moi, je vais vite chercher une idée de jeu !

- Ok ! firent-ils en coeur

oO*Oo

Au village, chacun s'atteler à sa routine. Le maréchal ferrant sorti de chez lui pour ouvrir son atelier et commencer le boulot. Bien qu'avec une main et un pied en moins suite à un regrettable accident de travail, ça ne l'empêchait pas de poursuivre son métier et de faire du bon boulot ! surtout qu'il c'était bricoler des prothèses pratiques pour lui simplifier la vie ! genre une main interchangeable qui pouvait accueillir fiablement n'importe quel outil ! un marteau, une scie, une pince, etc.

Le père d'Adrianne arriva enfin à la forge. Descendant de son cheval et l'attelant ensuite dans son enclos, il déposa sa sacoche, enfila son tablier et salua gaiement son collègue et patron.

- Salut Gueulfor !

- Oh ! Salut Christian ! bien pioncé ?

- Aaah je serais bien resté une ou deux heures de plus ! avoua-t-il d'un ton blagueur

- Pareil ! hé hé.

- Au fait ! je te rapporte ton marteau !

- Crénom di Diou ! enfin ! depuis le temps que je l'attendais ! fit-il avec un sourire en prenant son bien

- Désolé vieux. Et encore, tu peux remercier Adrianne !

- Ah ? pourquoi ça ?

- Bah elle me l'a rapporté avant que je ne parte de la maison. souriait-il

- Ah bah tu lui feras une bise de ma part pour la remercier !

- Ok. Bon, on a quoi à faire en priorité ce matin ?

- Alors... attend que je chope ma liste... euh... ah oui. Réparer pour cet après-midi les trois dernières selles des hommes du shérif, et préparer les fers à cheval pour le canasson du maire.

- Je m'occupe des fers. Et son gamin il fera quoi ?

- Les selles avec moi, fieu. Parce que si ce n'est pas prêt à temps... hin. Tu connais Alvin ? il va pousser une grosse beuglante ! et réduire la paie selon son humeur!

- Je sais. Heureusement qu'Harold est là pour filer un coup de main. Avec son génie et sa maîtrise impressionnante du métier depuis toutes ces années, il fera un bon successeur.

- J'en doute pas ! je l'ai pris comme apprenti à sa propre demande, et ce gamin m'a jamais déçu !

- T'a était un bon maître Gueulfor. C'est normal que tu sois satisfait de ce qu'il apporte à tout ça.

- Mouais, c'est sur. Brave gamin. Bon ! on va vite se mettre au boulot ! je n'ai pas envie de me faire rabaisser par Alvin ! dit-il de façon à se motiver

- Moi non plus. Aller c'est parti.

Partageant tous les deux le métier de forgeron et de maréchal-ferrant, il était facile de se répartir les tâches. Les deux amis s'activèrent donc au boulot afin d'être prêt à temps. Et connaissant le comportement et le caractère impulsif et changeant d'Alvin, valaient mieux ! D'ailleurs, le concerné venait de sortir à son tour de son bureau, afin d'effectuer, avec son lèche botte nommé Dagur, la ronde dans les rues du village. Ils avaient déjà tous deux un salle sourire sur leurs lèvres. Alvin réajusté son étoile de shérif afin que chaque citoyen ne voie qu'elle, et Dagur s'amuser à faire tourner le trousseau de clés de la prison dans ses mains. Puis ils se mirent en route vers la taverne.

Pourquoi vers la taverne ? parce que plusieurs pochtrons se trouver déjà devant la porte, à attendre que le propriétaire, Rustik, ouvre son établissement. À peine les portes ouvertes, il accueillit ses fidèles clients avec un sourire satisfait et s'en alla au bar préparer les chopes de bière, que ses serveuses allaient apporter aux assoiffés. Et Alvin savait déjà qu'il pourrait exercer son rôle d'agent autoritaire avec aisance face à quelques malheureux qui n'auront pas de quoi payer leur deuxième boisson si désirée.

Les chopes prêtes, Rustik appela ses trois serveuses. Astrid, Ingrid et une fille qu'ont appelé familièrement Kogne, parce qu'elle avait déjà cogné plusieurs clients qui avaient les mains trop baladeuses à son gout. Les filles prirent les plateaux et apportèrent les chopes aux clients.

À peine servi, ils les burent allègrement. Ils ne tarderaient pas à en demander une seconde ! les filles poursuivirent leur travail, et quand Alvin débarqua à la taverne en claquant la porte, certains habitués pâlirent légèrement, d'autres l'ignorer et Astrid s'approcha de lui avec un sourire

- Bonjour Alvin.

- Aaah voila ma serveuse préférée. Bonjour Astrid. Salua-t-il avec un sourire

- Ce sera comme d'habitude ?

- Ouais.

- Entendu. Installez-vous, j'arrive de suite. Souriait-elle

Alvin s'en alla avec Dagur à sa table favorite prés du comptoir, et qui lui permettait de garder un œil sur l'ensemble de la pièce et la porte. Astrid alla demander à Rustik deux bières. Elle revient alors vers eux et les servie avec le sourire et sans signe de peur. Parce qu'elle savait qu'Alvin l'estimait bien. Trop bien même.

- Et voilà messieurs. Bonne dégustation.

- Merci bien... souriait Dagur qui s'empressait de la boire

- Merci ma belle. Toujours aussi ravissante dès le matin hein ?

- Ooh... merci Alvin. Rougissait-elle

En effet, Astrid avait de quoi attirer les regards et obtenir des compliments. De toutes les filles du village, elle en était une des plus belles. Avec sa robe bleu foncé, son chemisier à manches courtes et bouffant rouge qui laissait voir ses bras gracieux et ses formes généreuses, mise en valeur part un simple pendentif en étoile d'argent, sa belle chevelure blonde coiffée d'une tresse sur le côté et ses beaux yeux bleus, y'avait de quoi !

- Si vous avez besoin d'autre chose, appelez-moi.

Avec le sourire, elle s'en retourna a son travail, alors qu'Alvin la suivait un instant du regard avec le sourire.

- Dommage qu'elle ne plaise pas à mon fils. Elle ferait une parfaite épouse ! Elle a tout pour plaire et satisfaire un homme... ah la la...

Il soupira et but allègrement une gorgée de sa boisson qui dégoulina sur sa barbe noire, dont il s'essuya grossièrement d'un revers de manche. Puis il reprit son inspection de la salle en quête d'une victime à blâmer.