C'est la première fois que m'infiltre sur ce fandom en tant que auteure. Je triche un peu puisque ce texte à été écrit avec d'autre perso sur un autre site mais finalement je me suis dis que ça pourrait coller pour un Sterek, d'autant plus que c'est un UA... Je vous l'accorde c'est au delà de la triche là mais j'espère que cet humble os vous plaira quand même dans ce cas ou dans le cas contraire les reviews sont là pour me le faire savoir.
Le titre vient d'une chanson du même nom par le groupe Pink Flyod, qui me l'a d'ailleurs inspirée.
Merci à Chewre pour sa correction!
Wish you where here
Tu sais, je me demande souvent si quelque part c'est pas un peu ma faute ? Le pire, tu vois, c'est de me dire que peut-être, ce soir là t'y pensais déjà, alors que tu me regardais en souriant, t'avais d'jà décidé de mettre un terme à toute cette merde.
Je me dis aussi, souvent, que j'aurais… Je sais pas, pu empêcher ça. Probablement pas, mais c'est comme une sanction que je m'inflige, tu comprends ? Dans le fond p'têtre que j'ai dit quelque chose qu'il fallait pas ou à contrario, que j'aurais dû dire un truc, n'importe quoi. Dis, est-ce que c'est moi?
Au final j'crois que j'ai pas vraiment envie de savoir.
Je suis lâche, hein ? Un peu comme toi, ou tout l'inverse. En vrai, je sais plus si t'as raison, si j'ai tort ou si on s'est trompé tous les deux. C'est con. Mais t'as tout détruit et moi je suis là, perdu. Merde !Je t'en ai voulu, tu sais ? Est-ce que tu rends compte à quel point je t'ai haï ? Et combien, parfois, je te hais encore si fort que ça me brise le souffle et me plie en deux ? Putain, je te hais autant que je t'aime, et c'est ce qui me fait si mal.
Je l'ai toujours su, que t'aimer c'était la pire des souffrances. T'es comme un poison, tu t'infiltres et ronges à l'intérieur. T'as toujours cru tout savoir, tout connaître, avoir trop vécu. Finalement c'est ta faute. Cette connerie ou ce choix, appelle-le comme tu veux, ça reste ta foutue faute.
T'as toujours été trop fier, un sacré petit con. Un foutu gosse de riche comme on en voit plus. T'as jamais su pardonner, te mettre à la place des autres, non. C'était toi, toi et encore toi. Toujours. C'est pour ça, hein ? Qu'on en est là ? Un nouveau caprice, une nouvelle façon de me torturer ?
Arrête. Je t'en supplie, arrête. Je suis à genoux.
J'peux plus, j'ai plus la force de t'aimer autant et surtout de souffrir autant. T'es qu'un putain d'égoïste, tu le savais, tu me l'as jamais caché mais je pensais pas que tu pouvais atteindre cette dernière possibilité. Le point de non-retour.
Est-ce que t'y as pensé souvent, longtemps ou juste un instant ? Aujourd'hui encore, je te comprends pas. Je devais être aveugle ou simplement trop égoïste aussi, on se ressemble tellement parfois. J'en souris car tu vois, j'ai plus l'envie de rire.
Honnêtement c'est moi, hein ? Ma faute, c'est pour ça que j'en crève. Je le mérite.
Je t'aime, tu le sais ça, non ? Tu le savais ? Je finis par en douter. De toute façon, je crois plus en rien, t'étais la lumière, et maintenant je n'ai plus que l'obscurité.
Dis, je voudrais savoir Stiles ; Est-ce que la dernière fois que tu m'as souri t'y songeais déjà, à te mettre cette balle ?