Le petit coin de Lowelie : Alala ! FANFICTION ME REVOILA ! Vous m'avez vraiment tous manqués ! Mais les TPE et les professeurs n'ont pas eu raison de moi ! Niark ! Niark ! Non, sans déconner, j'ai crus mourir plusieurs fois ! Surtout le jour de la saint valentin ! Il y avait des coeurs rouges partout ! Alors pour tuer cette journée, j'ai regardé des films d'horreur avec des amis et vous ? :D

C'est dans cet esprit remplis de coeurs roses et de petits mots mielleux qui donnent envie de vomir que je vous présente ce chapitre qui est en sommes très court encore une fois, mais moi je suis crevée vue l'heure qu'il est :D ! (23:52)

Réponses aux rewiews :

M Ac : Tu auras la surprises en lisant ce chapitre ;D ! Je pense aussi que je l'aurais traduit comme ça, mais bon, tu connais Eren n'est ce pas ?

Marie : Ce n'est pas grave, tu le lis quand tu peux mapoule, j'espère que cette suite va te plaire même si il est très court ^^'

Bref, bonne lecture mes amies T^T !


Chapitre 4 :

-Pourquoi ne m'en as tu pas parler Eren ?!

J'étais assis là, contre le mur des escaliers de secours. Mikasa devant moi ne cessait de jacasser sur ce que son merveilleux oncle lui avait dit... Merveilleux, mon cul oui ! Je vais finir par le castré au moins il ne me sautera plus dessus et, je pourrais enfin vivre une vie tranquille sans forcément avoir mal au cul à chaque fois que je le vois ! Je soupirais intérieurement.

-Eren tu m'écoutes ?!

Je relevais mes yeux, croisant son regard vraiment furieux. J'acquiesçais légèrement, essayant de lui faire gober que je l'écoutais. Elle reprit de nouveau sa longue tirade. Je vais buter ce type. Non mais sérieusement, il a que ça à foutre à tout balancer à Mikasa ?! Il ne sait pas à quel point elle peut être horrible et hyper collante... Ou sinon, il le savait depuis toujours et a voulut m'emmerder au plus profond de mon être. Je vais me venger... Et ma vengeance sera terrible... Le son d'une porte se fît soudainement entendre. Nos regards se dirigeaient vers les deux personnes qui venaient d'entrer. Ce putain de chirurgien pervers et Petra. Mes sourcils se fronçaient.

-Mikasa, commençait Petra, comme Eren reprend les cours demain, il faut que tu viennes pour qu'on réorganise ton planning.

Elle acquiesçait. Elle entamait le chemin qui la mènerait à l'intérieur de l'hôpital, mais avant que la porte ne se ferme, elle me lançait un regard qui me fît frissonner. La porte se fermait en un claquement sonore. Mon regard se dirigeais vers monsieur le chirurgien en chef, qui abordait une expression calme. Il sortait de sa poche un paquet de cigarette, des rothman... Il devait plus avoir d'argent pour s'acheter des Amsterdamer... Je me donnais une gifle mental. Mais comment je peux savoir ça moi ?! Me faire baisé par lui me donne des effets secondaires, il faut que j'arrive à me défaire de son emprise, sinon je vais trop connaître de chose sur sa vie, ça va pas le faire...

Il commençait à descendre quand mon regards s'était positionner sur autre chose : la ville et son goudron. Enfin, il y avait quand même le jardin de l'hôpital qui donner un air joyeux à la ville de Trost... Elle est devenu trop comme les autres, dire qu'avant, il y avait plus de verdure qu'autre chose. Je bâillais, me frottant les yeux en même temps. Je suis fatigué de tout ça... Comment j'ai pu résisté à ce point... Un deuxième bâillement me fît pleurer de fatigue. Enfin pleurer pleurer, seule une larme était tomber.

-Fatigué ?

Je sursautais légèrement. Il était debout à côté de moi. Je ne prenais même pas la peine de le regarder. Je n'en avais pas envie, ou tout simplement pas la force. Au fond moi, j'aurais espérer qu'il ne tienne pas sa promesse et qu'il n'aille rien dire à Mikasa. Je m'en étais persuadé, me disant qu'il n'était pas comme ça. Peut-être qu'au fond, je m'étais attaché à cette idée, me disant que ça resterait un secret entre lui et moi, un seul lien invisible qui nous unissais. Mais non. J'ai été bête. Et de toute façon, à quoi est ce que je pensais moi ?! Ce type n'est qu'un pervers ! Un pervers bordel ! Sans oublier qu'il est l'oncle de ta meilleure pote d'enfance !

-Ok ignore moi. Je comprends pas pourquoi en arriver là.

Mon poing se serrait. Laisse Eren, ce n'est qu'un pauvre type. Il a dû en baisé pas mal des types comme toi. Il a dû en persuader pas mal des naïfs comme toi. N'oublie pas que de toute façon, tu es faible. Non, que l'espèce humaine est faible. Après tout, le meilleur moyen de faire croire qu'un mensonge est la vérité, c'est d'être persuader que ce mensonge est la vérité. C'est comme ça que tu t'es fait avoir. Tu t'en es persuader tout seul mon petit Eren, tout ça c'est de ta faute. Mais ne t'inquiète pas, Mikasa va juste te faire la morale et t'obliger à... Je toussotais

Je levais mon regard vers ce chirurgien pervers qui me regardais. Ce bâtard m'a jetais sa fumée en pleine figure. Je vais me le faire, je vais me le... Mes toussotement repris. Mes sourcils se fronçaient.

-Non mais c'est pas fini ! Y'en a marre à la fin de vos conneries !

Il me regardait. Ackerman-sensei reprenait une bouffée de cette douce drogue, puis la lâchait de nouveau sur moi. Je soupirais et n'en fit plus rien. Je l'ignorais, il le vaut mieux, que se soit pour moi ou pour la survie de l'humanité. Oui. Je n'exagère jamais.

-Ma proposition tiens toujours.

Mes yeux s'écarquillaient, tandis que ma tête elle se baissait. Une vive douleur s'emparait de mon épaule. Elle n'était pas totalement guéri, mais pour moi ça suffisait. Je n'avais plus besoin de traitement ou autre. C'était comme une blessure qui devait me rappeler à chaque fois mon erreur passée. Son regard sur moi me mettais mal à l'aise, j'étais comme stressé. Mais d'un côté ça me soulageais de savoir qu'une personne autre que Mikasa ou Armin, faisait attention à moi dans cette hôpital. Je pense qu'au fond, l'attention qu'il me porte n'est autre que la pité, mais je n'en ai que faire...

-Pourquoi vous tenez tant à ce que je vienne habité chez vous ?!

Je n'en ai que faire... Non, je n'aime pas que les gens me prennent en pitié. Depuis tout petit je n'ai jamais aimé ça. Je n'en ai pas besoin. J'ai toujours eu horreur de ça. Je ne peux le supporter. Des personnes que vous connaissiez à peine venaient vous aider, juste par pitié, parce que vous leurs faisaient de la peine... Je n'aime vraiment pas ça... Ça pue l'hypocrite dans ces moments là... Mais peut-être étaient-ils moins pire que ceux qui venaient m'aider parce que mon père avait de l'argent. Oui, sûrement. C'est peut-être pour ça qu'il veut m'aider, c'est par rapport à...

-...mon père.

La fin de ma phrase fût murmuré inconsciemment à voix haute. Je vis le chirurgien en chef se stoppait dans touts ces mouvements. La cendre que sa cigarette avait accumulé, finit par tomber toute seule. Mon regard croisait le sien. Son visage abordait une expression calme, mais pourtant, ces yeux, ces yeux gris avaient l'air furieux. Comme si la seule pensée que la fin de ma phrase pouvait lui procurer, était quelque de néfaste. Il levait sa main droite, et d'un coup, il me giflait. Mes yeux s'écarquillaient. Mais mon visage ne se remit pas droit. Je n'en avait pas besoin.

J'avais compris que ce que je venais de penser en cet instant n'était pas bien. J'avais beau le détester de tout mon être, mais dans un sens, j'avais besoin de lui. C'était la seule personne qui oser me dire les choses en face. Je ne sais pourquoi, mais j'ai beau dire que je ne veux pas être près de lui, mon âme ne cesse de me demander d'aller dans ses bras. Peut-être à cause de cette promesse. Si ça avait été n'importe qui, ça aurait été pareil.

-Pourquoi. Pourquoi. Sincèrement gamin, tu ne t'es jamais poser la question ?

Me poser une question ? Je ne pense pas. A part celle de savoir si oui ou non il est pervers, je ne vois pas de quoi il parle. Il tirait une dernière fois sur sa clope, recrachant la fumée à côté de moi. Il l'écrasait au sol, et d'un geste lent, il vint prendre mon menton entre son majeur, son index et son pouce, pour le mettre en face du sien. Ses yeux étaient redevenus normaux. Devais-je le remercier pour la gifle ? Je pense que j'en avais besoin. Depuis quelque temps, je me laisse vraiment aller. L'accident de mon père n'est qu'une goutte d'eau qui à fait déborder l'océan de déception en moi. Ma vie n'a pas vraiment de sens. La seule personne que j'ai vraiment réussi à attirer c'est Mikasa... Je devrais peut-être lui dire que je l'aime aussi... Si mon père s'en sort il aimerait bien avoir des petites enfants, j'en suis sûr...

-Je t'aime Jeager.

Mes yeux s'écarquillaient de surprise. Il-il venait de dire quoi là ?! Qu'il m'aimait ?! Il ment n'est-ce pas ?! Il s'avançait vers moi et prit mes lèvres. Je le sentais accentuer la pression contre ces dernières, me faisant reculer, et cogner ma tête contre le mur. Le manque d'air le fit s'éloigner quelque secondes, mais il revenait à la charge, avec une douceur sans nom. Sa langue venait lécher ma lèvre inférieur. Je lui autorisais l'accès, je n'avais pas vraiment le choix de toute manière, si je lui dis non, il l'a prendrait de force, alors autant lui donner l'accès tout de suite...

Sa main libre vint se placer sur ma nuque, qu'il commençait à caresser doucement. Des petits bruits d'aises se faisaient entendre. Ma nuque était mon point faible. Enfin, tout mon coup même. Mais particulièrement ma nuque. Comment ce fait-il qui le connaisse ? Je ne sais pas, mais la légère pression de sa caresse me faisait me sentir bien. Mes yeux embrumaient, s'ouvrit délicatement, mais surtout légèrement. Je pouvais à peine discerner la peau blanche de mon vis à vis. Sa langue rencontra la mienne, et dans une douceur sans fin, la pris pour entamer une valse.

Je commençais à légèrement trembler. Nos salives se mélangeaient de plus en plus, je la sentais même échapper de nos bouches. Ma main gauche tremblotante cherchait à se raccrocher à quelque chose. C'est la main du chirurgien en chef qui vînt la trouver. Il entrelaçait nos doigts. Le baisé devenait de plus en plus ardent. Et malgré moi, mes bruits d'aises s'intensifiaient. Je pouvais ressentir une certaine passion dans ce baisé. Je ne pouvais le nier. Ackerman avait dit la vérité. Il m'aimait. Mais comment je devais prendre ça ? C'était l'oncle à Mikasa et je ne pense pas être homo !

Le manque d'air nous séparait. Ma respiration n'était plus. J'essayais tant bien que mal de reprendre mais bizarrement je n'y arrivais pas. Il lâchait mon menton. Ma peau me brûlait là où il m'avait touché, et là où il me touche encore d'ailleurs. Sa main n'avait pas quitté la mienne. Je n'avais pas la force de la retirer. Son front vînt se coller au miens. Mes joues devaient être rouges, je le sentais. J'avais chaud, mais je ne savais pas pourquoi. Nos yeux ne se lâchaient plus, mais pourtant, je ne sentais aucune colère entre eux cette fois ci.

-Viens habiter chez moi Eren.

Sa voix était grave était mélodieuse. Je déglutis doucement. Ma tête quittait son front pour aller se loger contre son épaule. Ma main dans la sienne serrait plus ses doigts, tandis que mon autre bras de libre vînt accrocher contre mon gré sa blouse blanche.

-Je vous hais...

Son bras libre venait d'entourer ma taille, me collant encore plus contre lui.

-Je sais.

Sa voix calme me m'étais encore plus en colère. J'avais envie de le tué. Mais pourtant, je n'en avais pas la force aujourd'hui. Ma voix intérieur de ne voulait pas.

-Je ne suis pas homo non plus !

Je le sentis sourire contre ma tête.

-Tout dépend du point de vue que tu adoptes. Viens chez moi.

Ma main serrait encore plus. Mais je ne pouvait empêcher un bruit d'approbation sortir de mes lèvres. Je ne sais pourquoi j'avais accepter, mais ce dont j'étais sûr c'est que javais besoin d'une présence comme la sienne près de moi. C'était comme ça et pas autrement. J'avais besoin d'une présence à mes côtés plus tôt, et tant pis si c'était la sienne, je ferais attention une fois chez lui...


Alors ? Alors ? Alors ? Vous en pensez quoi ?

Dites le moi dans une petite rewiew :3

Au fête, bonne année très en retard ! :D