Auteur : Sedinette

Disclaimer : Tout appartient à J.K Rowling et ses maisons d'édition, je ne touche rien pour cette fanfics, si ce n'est votre reconnaissance :p

Pairing : LV/HP

Warning : présence de relation sexuelle, vous êtes prévenus !

OoO

Harry Potter s'arrêta de danser et alla vers le bar, une fine pellicule de sueur sur son front. Il s'amusait rarement de cette façon, il avait définitivement eu une bonne idée en ne pas écoutant Ron et en allant à la soirée que les hufflepuff organisaient. Qui aurait pensé qu'un hufflepuff savait organiser une fête du tonnerre ? Il y avait de l'alcool à volonté, de la bonne musique, et plein de monde qui se fichait de qui il était. C'était génial.

Par contre, il avait un petit peu trop bu. Un gloussement lui échappa quand il s'écrasa sur le canapé. Il y fut vite rejoint par un garçon dont le nom lui échappait, mais ce n'était pas grave ; toutes les barrières s'effaçaient sous l'emprise de l'alcool.

« Dis, t'as pas l'impression parfois qu'on veut s'acharner sur toi ? » Demanda-t-il à son compagnon de beuverie.

« Ouai… Snape. » Précisa le garçon. « Et toi ? »

« Voldemort. » Répondit il, l'autre étudiant sursautant et haletant de surprise.

« Pas cool. » Dit il finalement. « Tu sais ce que je fais quand j'en ai trop marre ? » Harry secoua la tête, mais curieux, le laissa continuer. « J'écris une lettre avec touuut ce que je reproche à la personne concernée, je la relis, puis quand je suis content de moi, je la brûle. »

« Tu ne l'envoies pas ? » S'étonna Harry.

« Ca va pas ? T'imagines si j'envoyais une lettre à Snape pour lui dire que c'est un bâtard graisseux au nez crochu qui prend son pied en nous martyrisant ? Même anonyme il serait capable de me retrouver et de m'écorcher vif ! »

Ouai, forcément, vu comme ça. C'était pourtant une très bonne idée, et en étant honnête avec lui même, il avait pensé à ça quelques fois, peut être un peu plus que ça même, mais il n'avait jamais osé.

« Tu sais quoi ? C'est une bonne idée ! Merci ! » Harry sauta du canapé, tituba un peu, puis sortit de la salle commune pour se rendre à la sienne.

OoO

« Cher Voldemort,

Ah ah ! J'ai toujours rêvé de t'envoyer une lettre comme ça, juste pour rire. Je suis sûr que tu es vert de rage là tout de suite, je ne peux que imaginer ta tête, ça doit être hilarant !

Tu dois te demander pourquoi je t'envoie soudainement ce courrier. En fait, je pensais (oui, contrairement à ce que peut dire Snape, j'ai cette capacité tout à fait humaine) à toi (ce qui arrive beaucoup) et je me disais que tu es vraiment un pilier dans ma vie. J'ai l'impression que même si le monde s'écroulait, tu serais toujours là à essayer de me tuer. Tu es une véritable constante. Après tout sans toi, je ne serai pas du tout la même personne, j'aurai eu une vie normale, avec des parents, et non pas un ersatz de famille haineuse.

Tu as vraiment gâché ma vie et pourtant je ne serai rien sans toi. Qu'est-ce que serait ma vie si je n'avais pas un grand méchant Seigneur des Ténèbres pour me courir après et de vies à sauver ? Je suppose que je n'aurai pas eu ce « syndrome du héros » comme on dit.

Parfois j'ai des pensées bizarres qui m'emplissent la tête, et c'est de ta faute ! Quand tu t'intéresses à quelqu'un, j'essaie stupidement de faire des liens entre cette personne et moi, parce que je sens que ça à un lien avec moi, j'en ai envie je crois ! Après tout, c'est moi, ton obsession, non ? Tu n'as pas le droit de t'intéresser à quelqu'un d'autre que moi ! Tu es mon ennemi à moi, et c'est tout, que Dumbledore aille se faire citronner (1) autre part ! Après tout, Dumbledore ne t'a jamais trouvé intéressant ou séduisant, moi si ! Bon, aujourd'hui tu n'es plus qu'un vieux serpent tout moche, mais quand tu avais 16 ans, tu avais quand même vachement la classe et un charisme de fou… Si j'avais été un peu plus âgée quand j'ai vu le souvenir de ton journal, j'aurai probablement eu le béguin.

Oh oui, c'est bon, tu as bien lu Voldemort, j'ai le béguin pour toi à 16 ans, tes cheveux complètement noir, ondulant légèrement sur ta nuque, tes yeux plus profond que les ténèbres… Mais je m'égard. Tu es un bâtard sans coeur et sans morale, à cause de toi j'ai perdu toute ma famille et j'ai trop peur qu'il arrive quelque chose aux moindres personnes que je fréquente, et c'est de ta faute !

Je te hais ! Mais t'a pas intérêt de crever avant que je te trouve ! Sinon je te tue !

Harry Potter. »

Comment dire ? Voldemort ne s'était sûrement pas attendu à ça. Mais qu'est-ce que ce sale gamin avait dans le crâne ? Pourquoi ? Est-…Est-ce qu'il lui avait écrit qu'il le trouvait séduisant ? Il ne savait sincèrement pas s'il devait se mettre dans une rage folle, être flatté que son ennemi ne puisse pas penser à autre chose qu'à lui, ou tout simplement être consterné ?

Il passa une main dans ses cheveux (car bien sur, comme disait Potter, il ne pouvait pas garder cette apparence de serpent, il n'était pas narcissique, mais il aimait se soigner). Cette lettre l'intéressait, l'émoustillait presque.

Harry Potter... Qu'allait-il bien pouvoir faire de ça…?

OoO

Quand Harry ouvrit les yeux, le lendemain matin, une terrible douleur lui vrilla la tête. Le jeune homme gémit et s'enfouit sous les couvertures. C'est à ce moment la précis qu'il se rendit compte que quelque chose n'allait pas, mais sur le coup, il n'aurait pas su dire quoi. D'abord, il essaya de se souvenir ce qu'il avait bien pu faire pour avoir un tel mal de crâne.

Ah oui, il s'était saoulé. Puis il avait écrit une lettre et était allé se coucher. Hu... Est-ce qu'il était allé se coucher ? Il avait du mal à s'en souvenir. Déjà la lettre. Qu'est-ce qu'il avait écrit déjà ? Si, il s'en souvenait, une lettre d'insulte à Voldemort. Bon d'accord, il n'avait pas mis beaucoup d'insulte, mais Harry se sentit malgré tout sourire en se souvenant des quelques mots qu'il lui avait écrit, même le passage sur son lui de seize ans complètement bandant. Si Voldemort avait reçu cette lettre ! Un gloussement lui échappa. C'est vrai que le jeune Tom Riddle était tout à fait séduisant. Heureusement, il avait brûlé cette lettre.

... Il l'avait bien brûlé, n'est-ce pas ?

Harry ouvrit brusquement les yeux en se relevant, malgré son mal de tête. Il se souvenait clairement qu'il buvait tout en écrivant, puis qu'Hedwig était venue se poser sur son lit à côté de lui. Et là... Là il avait plié la lettre pour la brûler mais sa chouette lui avait pris et s'était envolée par la fenêtre et bien sur, lui, trop saoul pour réagir, s'était effondré sur son lit.

NON ! Voldemort avait reçu la lettre ! Non, non, non, non... Ce n'était pas possible, ça ne se pouvait pas !

« Tes pensées sont tout à fait intéressante, Harry. » Siffla une voix chaude et grave à ses côtés, qui le fit frissonner.

Oh non. Ce n'était pas son lit. Et cette voix n'appartenait certainement pas à Ron, Seamus, Dean ou Neville. Harry sortit sa tête de sous les draps, se tourna vers l'homme et eut le souffle coupé. C'était Voldemort. Ou plutôt, une version plus âgée de Tom Riddle. Son apparence était celle d'un homme mûr, entre trente et quarante ans, avec des cheveux noirs, longs, attachés en catogan, ses yeux rouges carmins si caractéristiques, une peau entièrement blanche, et des lèvres rouges attirantes. Oh Merlin...

« ...Voldemort ? Mais... » L'homme lui tendit un verre.

« Une potion pour ton mal de tête. Ce n'est pas empoisonné. »

Le jeune sorcier décida que s'il ne l'avait pas tué tout de suite, ce n'était pas pour le tuer aussi lâchement. Et il avait trop mal au crâne pour réfléchir. Il but rapidement le liquide avec une grimace mais il sentit avec satisfaction et soulagement avec la potion faire effet immédiatement.

« J'ai reçu ta lettre. J'étais particulièrement surpris, bien sûr. » Continua l'homme alors que Harry relevait la tête, le verre déposé sur le guéridon installé à côté du lit. « J'ai hésité entre plusieurs réactions. » Voldemort se leva pour venir s'asseoir sur le lit, non loin de lui. « J'ai décidé d'être flatté. »

Le Seigneur des Ténèbres leva sa main et caressa la joue du jeune homme tremblant qu'il sentit frissonner encore plus sous le contact.

« Et je le suis encore plus en écoutant tes pensées. Donc je suis « bandant », c'est bien cela ? » Harry rougit intensément et détourna vivement le regard, ne pouvant rien faire d'autre, se sentant particulièrement honteux à la pensée que Lord Voldemort ait pu entendre ce genre de pensées. « Tes pensées sont bien moins chastes que ta plume. »

« Je... Je... »

« Oui, Harry ? » Souffla l'homme près de son oreille. « Tu es si loquace habituellement. Ta chouette a-t-elle volée ta langue en même temps que ta lettre ? »

Harry n'osait plus regarder l'homme, beaucoup trop gêné par la situation, alors que le Seigneur des Ténèbres n'hésitait pas à le dévisager et à chercher ses yeux des siens. Voldemort était collé à lui, une main sur son visage et l'autre près de sa taille, prêt à l'attraper si jamais il se débattait. Pourquoi ne réagissait-il pas ?! Il était à l'origine de la mort de Sirius et... Et Merlin il se sentait tellement chaud la tout de suite !

« Peut être que je devrai partir à sa recherche. » Susurra à nouveau Voldemort à son oreille.

Cette fois-ci, Harry tourna ses yeux dans ceux de l'homme et se noya dans les iris rouges. Il se sentit déglutir.

« J'ai lu tes pensées, je connais tes fantasmes, tes désirs les plus enfouis. Je sais que toi, le champion de la Lumière, tu veux être soumis à quelqu'un d'autre, tu veux tout abandonner, être normal, aimé. » Non, il ne devait pas céder. Il n'était pas soumis, il était un Gryffindor, fier et têtu.

Voldemort se rendit compte de la lueur qui brillait dans ses yeux et sut qu'il était parti sur la mauvaise tactique. Un sourire séducteur naquit sur ses lèvres. Il avait été jeune lui aussi et il se souvenait de ses hormones bouillonnantes et de celles de ses camarades. Il avait peut être tourné le problème dans le mauvais sens en partant sur la soumission que le jeune homme souhaitait inconsciemment.

« Je pourrai te donner un plaisir que tu n'as jamais connu... » Sa voix était grave et séduisante. Sa main caressa distraitement sa taille à travers les draps de soies. « J'ai vu dans ton esprit que tu n'avais jamais connu les plaisirs de la chaire. C'est si triste Harry. »

« N-Non. » Tenta finalement de résister Harry dont la volonté s'affaiblissait rapidement sous le désir qui affluait en lui à cet instant. « Pourquoi est-ce que vous feriez ça...? » Geint-il presque. « Vous me haïssez, vous voulez me tuer. »

« Peut être que ta lettre m'a convaincu que, étant le pilier de ta vie, que je devais te laisser la vie sauve... Que je pouvais te séduire à ma cause. »

« M-Mais... Et la prophétie ? » Non ! Pourquoi est-ce qu'il disait ça ? Il devait le tuer ! Il ne devait pas flancher !

« Je n'aurai pas envie de te tuer si tu chauffes mon lit. »

Harry rougit furieusement, n'osant plus regarder l'homme à nouveau. Voldemort en profita alors pour fondre sur sa proie, le coller au matelas et presser ses lèvres contre les siennes. Comme il l'avait prévu, jeune homme se débattit pour finalement abandonner et répondre avec fougue au baiser. C'était maladroit mais passionné, remarqua-t-il, si innocent. Voldemort gronda de désir pour l'adolescent sous lui. Il se débarrassa des draps encombrant et ses mains trouvèrent la taille fine, les cuisses fermes et musclées, et il se colla à ses hanches, heureux de sentir son excitation. Oh Potter n'allait pas durer longtemps, pas entre ses mains expertes, et il allait faire en sorte de le noyer sous le plaisir. Avant que la matinée ne se termine, le garçon serait accroc au plaisir et serait irrémédiablement à lui.

De nouveau il tapa juste et Harry jouit dans un bref cri d'extase peu après qu'il est commencé à malaxer son entrejambe, souillant ses pyjamas. L'adolescent s'écroula sur le lit complètement essoufflé, haletant et le coeur cognant dans sa poitrine. Voldemort se délecta du regard vert perdu et des joues délicieusement rougies. Il était étonnant qu'il soit autant attiré par le jeune sorcier maintenant qu'il était là, dans son lit, mais ce n'était pas du tout désagréable.

« Heu... » En entendant la voix du garçon s'élever, Voldemort arrêta de le dévisager et fit plus attention à ce qu'il souhaitait lui dire. « Vous... Enfin... » Le Lord souleva un sourcil interrogatif, puis, rougissant, Harry baissa le regard sur son entrejambe toujours gonflé. « Vous n'avez pas... »

« Souhaiterais-tu le faire, Harry ? » Il se colla à nouveau à l'adolescent rougissant et prit sa main pour la poser sur son érection à travers ses pantalons. « Touche, Harry. Allez. » Morgane, que ces adolescents étaient malléables. La main tremblante du jeune homme caressa lentement la bosse déformant ses pantalons. « Bien, continue. » Murmura-t-il à son oreille, léchant son cou offert à ses soins.

Harry déglutit et geignit presque. C'était gênant, et il avait tellement honte d'aimer ça, mais il n'arrivait pas à s'arrêter. Ce n'était pas juste qu'il lui apporte du plaisir sans rien recevoir en retour... N'est-ce pas ? De toute façon, sa conscience avait arrêté de fonctionner depuis que Voldemort avait posé ses mains sur lui, d'autant plus que maintenant l'homme s'occupait de son cou et de sa nuque.

Sa main retira les boutons de son pantalon un par un puis il glissa timidement sa main dans les sous-vêtements de l'homme. Oh Merlin... Il poussa un nouveau geignement. Son sexe était... Il était... Un nouveau rougissement le prit et de nombreux frissons parcoururent son corps sensible. Ca n'avait absolument rien à voir avec les garçons dans les vestiaires du Quidditch. Harry toucha maladroitement le membre gorgé de sang et le prit timidement en main.

« Ne sois pas si timide. » Murmura Voldemort à son oreille, mais le son rauque de sa voix le rendit encore plus farouche et il eut envie soudainement d'enlever sa main et de se cacher sous les draps, loin du regard brûlant qui le couvait. « Viens là. »

Voldemort attrapa sa taille et l'assit sur ses genoux, lui coupant toute possibilité de fuite.

« Montre moi à quel point je suis important pour toi. » Sa main toujours dans le pantalon de l'autre, Harry commença à la bouger, parcourant son sexe dur de manière craintive et hésitante. Voldemort lâcha un grognement de plaisir et cette fois-ci ne se contenta pas de toucher sagement le jeune homme. Il agrippa son bas de pyjama et le tira d'un coup sec, l'enlevant en même temps que son sous vêtement souillé, puis prit son membre à nouveau tendu pour le masturber rapidement, lui montrant l'exemple. « Comme ça. » Harry poussa un cri plaintif de plaisir, sa tête rejetée en arrière, lui donnant un accès imprenable sur sa nuque légèrement halée, alors qu'il tentait de l'imiter.

Le Lord s'amusa à regarder son jeune amant faire, prenant un peu plus confiance à chaque seconde qu'il passait, jusqu'à ce qu'ils soient tous les deux collés l'un contre l'autre, leurs bouches se goûtant fougueusement, et cette fois-ci se furent ensemble qu'ils jouirent. Voldemort regarda le garçon tomber contre lui, couvert de leurs semences, à nouveau haletant.

« Comment est-ce que vous êtes entrés à Hogwarts ? » Demanda-t-il quelques longues minutes plus tard. Il sourit à la question prononcée d'une voix basse et rauque d'avoir crié.

« Je suis un sorcier puissant et l'accès à Hogwarts ne sera jamais fermé à un Héritier. » Il embrassa la joue rouge de Harry et caressa son cou attirant du bout des doigts, se retenant d'y loger à nouveau sa bouche.

« M-Mais... Si vous le pouviez alors... » Le jeune sorcier s'arrêta, mais Voldemort devina ce qu'il voulait dire. Pourquoi n'avait-il jamais tenté de le tuer lui et Dumbledore par ce moyen ? Il eut un grand sourire joueur.

« La chasse est moins bonne quand c'est trop facile. » Murmura-t-il suavement. Sa main qui caressait son cou partit sur son torse puis parcourut ses côtes comme une plume, pour enfin finir sa course sur sa cuisse. Potter était vraiment beau, même si parcourut de nombreuses cicatrices qu'il savait ne pas être lui-même à l'origine. « Je vais devoir te renvoyer à Hogwarts si je ne veux pas que le vieux Dumbledore ne s'inquiète pour son poulain. »

Harry ne comprenait plus rien. D'abord Voldemort le kidnappait comme si de rien n'était pour... Eh bien... Pour ça, et maintenant il le laissait partir ?

« Remets tes vêtements. »

« Juste-Vous... Vous allez me laissez partir après tout ça ? Je suis censé être celui qui vous amènera à votre fin et... Pas que je me plaigne ! Je ne souhaite pas mourir ! Mais ce n'est pas un peu... Étrange ? » Il remit néanmoins ses pyjamas et s'assit dans un coin du lit, rougissant.

« À bientôt, Harry. » Fit simplement le mage noir avant qu'il ne disparaisse.

Lorsque Harry reprit conscience, il était dans son lit. Est-ce que... Tout ceci avait été un rêve ?

« Hey Harry ! T'étais passé où ? Ca fait une heure qu'on te cherche ! » Cria presque Ron en le voyant.

« Heu... » Fit il seulement, incapable d'expliquer sa situation.

« Dis donc ! C'est pas un suçon ?! » Harry plaqua sa main contre son cou, à l'endroit même où Voldemort l'avait embrassé et probablement plus que ça. « T'aurai pu directement me le dire ! Alors c'est qui ? » Harry se cacha sous les draps de son lit et remarqua alors qu'il ne portait pas son sous-vêtement, probablement resté dans les appartements et dans le lit de Voldemort. « Timide, hein ? Tu peux me le dire quand tu veux ! »

Sûrement pas ! Hurla-t-il mentalement. Au grand jamais il ne dirait quoique ce soit de cette nuit à Ron, promit-il silencieusement.

À suivre ?

(1) Oui oui, je citronne, tu citronnes, il citronne, nous citronnons… Je vous laisse imaginer la suite.

Hello people ! Comment s'est passée votre rentrée ? La mienne a été plutôt tranquille :p je viens de me trouver un travail en accueil de loisir (avec les réformes scolaires ils en demandent !), j'espère que l'inspiration viendra en travaillant pour mes autres fanfics en suspend :p

Un petit one shot qui traîne dans mes fichiers depuis quelques temps, je pense faire des petites suites courtes un peu comme ce chapitre ^^

N'oubliez pas de laisser des reviews pour me faire parvenir vos avis et vos idées si vous en avez :D

Sedinette