=D

Oui, même pas de bonsoir, juste ma tronche de gogole en introduction lol

Je suis teeeeeeellement fière de vous présenter ce nouveau et dernier chapitre qui conclut cette aventure! J'vous avais dit que je mettrais pas mille ans avant de le pondre. J'vous l'avais dit ou pas?!

Alors, encore une fois, merci à Cathoushka qui corrige plus vite que l'ombre de son ombre, l'est trop génial ma bêta =D

Ensuite : MERCI MERCI MERCI à vous tous pour me lire et me soutenir, je suis tellement contente à chaque fois que vous laissez une petite (voire méga longue hein, je les préfère encore plus) review. Pfiou, v'z'êtes cool les copains.

Si j'ai pas pu RAR à certains d'entre vous, DÉSOLÉE! Je sais pas pourquoi mais Outlook et FF s'amusent à ne pas me dire que j'ai des reviews et/ou à supprimer les alertes. C'est un complot je pense.

Bref... Que dire de plus?
Ben... Bonne lecture ? =)


Épilogue

Bien sûr que non, il ne paniquait pas. Pas du tout. Non monsieur, il était serein. Plus serein, il serait mort – une petite pensée lugubre, ça faisait toujours plaisir.

Pourquoi aurait-il dû paniquer de toute façon ?

Bon, ok, il était seul avec un loup-garou, dans la chambre de ce dernier. Pièce qu'il avait quittée plus tôt dans la soirée.

Ok, le-dit loup-garou était son petit-ami dans cette réalité qu'il devait maintenant considérer comme la sienne et ils s'étaient pas mal chauffés en montant les escaliers. Pour être honnête, Derek avait laissé traîner ses mains, et Stiles ne s'était pas spécialement rebellé. Quoi ! Derek était plus grand et plus fort que lui. Qu'aurait-il dû faire ? Crier au loup ?

Ok, Derek l'avait jeté comme un malpropre sur le lit après avoir passé le seuil de la pièce, apparemment plus que pressé de... de... enfin, vous voyez quoi. Et le fait que Stiles ne se soit pas encore écrié au viol n'aidait pas à calmer le loup. Oh, oui, il allait bientôt se plaindre. Bientôt. Mais vous vous souvenez : loup-garou, plus balèze et tout... Et puis, eh ! Stiles était sous le choc, il fallait d'abord passer la surprise. Une chose à la fois !

Ok, Derek le fixait d'un regard ardent tout en enlevant lentement son tee-shirt. Dévoilant un torse encore plus musclé que dans ses souvenirs. Apparemment, c'était possible.

Et maintenant il s'avançait à pas de loup (garou) vers un Stiles qui restait figé. Pas de peur, non, il venait de le dire, il n'avait pas- bon, ok il était pas des plus à l'aise non plus.

Mais qui pourrait le lui reprocher ? Il n'était dans cette nouvelle vie que depuis une petite heure et déjà, il s'était évanoui, avait appris que son meilleur pote du passé appartenait aussi au futur, et que son présent était rythmé d'embrassades avec celui qui, quelques temps plus tôt, lui sortait par les narines – en omettant bien sûr ce passage de non-sens dans la forêt... oui, bon, passage à mettre au pluriel, il l'accordait. Bref, de l'avis de Stiles – qui, vous l'avouerez, frôlait souvent la Vérité – il lui semblait tout à fait normal, voire obligatoire, de légèrement s'affoler.

La seule chose qui lui permettait de ne pas hurler au meurtre et à l'assassin c'était le petit quelque chose, là, dans son ventre. Ce petit truc qui lui retournait l'intérieur lorsque Derek le regardait, qui gonflait son cœur lorsque Derek s'approchait. Ça, et le fait que son cerveau semblait se mettre sur pause à chaque fois que le givre des yeux de Derek rencontrait le chocolat des siens. Chocolat givré. Voilà qu'il avait faim.

« Derek... » commença-t-il, hésitant, tandis que le sus-nommé montait sur le lit pour venir le surplomber. Là, tout de suite, il n'avait rien du loup. On aurait plutôt dit une panthère s'apprêtant à choper sa proie. Au sens propre comme au figuré. Stiles déglutit. « Tu sais tout à l'heure... »

Pas de réponse, à se demander si Derek l'avait entendu : il continuait à s'approcher, jusqu'à poser ses lèvres sur les siennes en un baiser léger, dont la fraîcheur contrastait avec les vagues de chaleur qui irradiaient langoureusement de son corps pour s'enrouler autour du sien. Pour la seconde fois – ou était-ce la troisième ? – les paupières de Stiles se firent lourdes et recouvrirent ses yeux lorsqu'une des mains de son... de Derek glissa contre son flanc pour aller soulever son tee-shirt. Maintenant qu'il y pensait, c'était sûrement le tee-shirt de Derek. Les doigts chauds se mirent à caresser le bas de son torse tandis que la bouche glissait délicatement sur son menton, puis sur son cou...

Concentration Stiles !

« Derek. » tenta-t-il à nouveau, cette fois-ci avec un peu plus d'assurance. Non mais !

« Hum... ? » Répondit le loup contre son ventre, le nez glissant entre ses côtes. Son tee-shirt commençait vraiment à perdre du terrain, là, fallait faire quelque chose.

« Quand tu as souligné le fait que pour moi tu n'étais « que Derek » ».

« Hum. » Acquiesça le brun, sa langue flirtant avec la peau sensible du nombril de sa proie.

La tête de Stiles bascula vers l'arrière, sa bouche entrouverte filtrant une respiration de plus en plus courte, et il tenta de se concentrer sur ce qu'il essayait de dire. Parce que c'était super important, urgent même. C'était quoi déjà ?

Ah oui ! Sa virginité.

« Et ben, ça a pas réellement changé depuis qu'on est monté à l'étage. »

À nouveau, il n'y eut aucune réaction de la part de Derek. Du moins pendant une bonne minute. Minute durant laquelle, l'animal continua tranquillement à jouer de la langue sur la fine ligne de poils qui plongeait au-delà des frontières de son caleçon. Minute où Stiles eut quelque peu du mal à respirer. Puis, la bouche du loup emprisonna cette langue prospectrice et Derek posa son menton sur l'un des abdominaux de Stiles pour venir ancrer son regard au sien.

« « Juste Derek », c'est vrai. Tu ne te souviens pas de moi. » Il soupira, peut-être un peu vexé. Sûrement vexé. Bref, il était vexé. « C'était pas franchement le moment de fusionner avec Stanley et de plus te rappeler nos souvenirs…intimes. Bordel, ça fait une semaine qu'on s'est pas vus. Sept jours... »

« Désolé de gâcher ton plan cul. » Grommela Stiles.

Derek soupira de nouveau avant de sourire en secouant la tête, amusé – Derek, amusé... on était vraiment au-delà du réel. Puis il se releva légèrement pour encadrer le visage de Stiles, ses mains enfoncées dans le matelas.

« Tu m'as manqué. » Il se pencha pour embrasser le bout du nez de Stiles qui frissonna en rosissant. « Ton visage m'a manqué. Ton odeur m'a manqué. » Continua-t-il en laissant l'arête de son nez vagabonder sous l'oreille de Stiles qui offrit sa nuque dans un réflexe qui le surprit lui-même. « Ta voix m'a manqué. Ton corps m'a manqué. » Finit-il dans un souffle, le visage toujours plongé dans le cou de Stiles.

« Ils t'ont rendu bien bavard au Mexique dis-moi. Et essaye pas de me la faire à l'envers, on discutait, là... » tenta de plaisanter l'humain qui bataillait tant bien que mal pour brider son envie de se surélever pour obtenir davantage du corps chaud qui le surplombait, le froid envahissant les parties de lui qui avaient été en contact avec celui-ci.

Attendez... Stiles écarquilla les yeux.

« Tu étais au Mexique ! » Cette constatation lui arracha un hoquet de surprise joyeux qui déterra Derek de sa planque dans un grognement. « Je sais que tu étais au Mexique ! » Il fit une pause, les yeux plissés. « Bon, je sais pas pourquoi tu étais au Mexique, mais c'est déjà un bon début non ? »

« Ouais. » lâcha laconiquement Derek en quittant sa position pour se coucher à côté de Stiles, un bras maintenant sa tête pour continuer à le fixer.

« Tu pourrais être plus enthousiaste que ça, je me souviens de trucs, c'est plutôt cool. » S'impatienta Stiles. C'était vrai quoi, si le loup voulait faire des cochonneries avec Stiles, il ferait bien de se réjouir du retour progressif de certains souvenirs…non ? … Pas que Stiles ait envie de faire des cochonneries, hein ! C'était juste histoire de dire. « Rester à moitié amnésique, je sais pas ce que t'en penses, mais à mon sens ça le fait moyen à long terme. »

« Je vois pas pourquoi tu t'inquiètes. » Souffla Derek, reposant sa tête sur l'oreiller en regardant fixement le plafond, les mains allant se croiser sur son torse – toujours nu, et donc toujours source de perturbation neuronale. « Deaton a dit qu'un jour tu aurais une crise comme ça, où tu te rappellerais plus du passé mais que ce serait bref et que tes souvenirs reviendraient au fur et à mesure, y'a pas de quoi s'affoler. Et puis tu m'as fait comprendre que tu savais qu'on était ensemble, c'est déjà pas mal pour moi. »

Stiles se redressa et lança un regard outré au loup à ses côtés.

« C'est pas parce qu'on est hypothétiquement ensemble que je vais te laisser me tripoter ! » S'insurgea Stiles. Il ignora sciemment le regard en coin de Derek qui voulait clairement dire : « Vraiment, Stiles ? » Pour revenir sur les paroles de Derek : « Comment ça : « Deaton a dit » ? Quand ça ? »

C'est bien Stiles, tu perds pas le nord. Ça change.

« Bah y'a quelques années. Huit ans quoi. Après l'incendie. » Répliqua le brun comme si cela tombait sous le sens, que la précision était totalement inutile. Il faudrait vraiment que Stiles envoie un mémo: mettez-moi au courant de ce qui me concerne. Et de préférence avant que cela ne devienne chelou. « Quand t'as disparu et qu'il nous a ordonné de pas te chercher. » Précisa-t-il, bon prince. « Quoique Will n'ait pas franchement respecté l'instruction... » Ajouta le loup en grommelant.

« Attends, attends. » Les yeux de Stiles se plissèrent tandis que son cerveau tentait maladroitement de remplir sa fonction première – ce qui était terriblement difficile aux côtés de Derek, surtout dans cette tenue. « T'es en train de me dire... que tu sais parfaitement ce que je suis en train de vivre ? » Son ton était l'incrédulité même. « Que tu sais que je vais retrouver ma mémoire au fur et à mesure, que j'ai rien à craindre... Tu sais tout ça et tu me laisses stresser tout en me sautant dessus pour m'agresser avec ta bouche pleine de crocs et tes grandes mains ? »

« William t'a tout expliqué, je vais pas répéter non plus... » S'agaça-t-il, roulant des yeux. Devant le regard hébété de Stiles, Derek fit une grimace contrite. « Ah... Il t'a rien dit. »

« Non, Captain Obvious, il m'a dit que dalle. Je me demande bien pourquoi ? » S'interrogea faussement Stiles avant de pointer Derek d'un doigt accusateur. « Oh oui c'est vrai : parce qu'un loup-garou enragé est venu l'interrompre avant même qu'il puisse en placer une ! »

« Il te tripotait ! » Se défendit Derek avec classe. La classe d'un élève de maternelle, mais la classe quand même.

« Oh, arrête avec tes crises de jalousie débile, je sais que t'es toujours comme ça durant les pleines lunes, mais à chaque fois c'est le même cirque. William est méga tactile et adore t'emmerder avec ça, c'est tout. Tu le sais, je le sais, il le sait, tout le monde le sait ! »

« Même toi. »

« Oui, c'est ce que je viens de di- oh putain ouais, je le sais ! » S'écria Stiles, ce qui fit hausser un sourcil désespéré à Derek. Stiles lui jeta un regard agacé. « Vous vous calmez avec vos airs supérieurs, toi et ses sourcils ! »

« Tu sais ce qu'ils te disent mes sourcils ? »

« Oui, justement, je sais. Et ça me plaît moyen. »

Derek eut un rire tout en soupirs et inclina la tête vers l'arrière. Stiles l'observa quelques instants, abusant du fait que le loup ait les yeux clos pour faire glisser son regard le long de ce profil tout en angles. L'était beau quand même. Heureusement remarquez, Stiles aurait grave eu les boules si, en revenant à son époque, il s'était retrouvé en couple avec un laideron. Genre... Harris ! Il s'imagina un instant tenir la main du professeur de sciences et grimaça. Ouais, non. Derek bougea légèrement et sa main vint emprisonner la sienne sans qu'il n'ouvre les yeux, un son de contentement vrombissant dans sa gorge.

Ooooooh trop mignooooon...

…à n'en point douter, une de ses nombreuses personnalités était une fangirl amourachée de Derek. Et stupide.

Et en manque.

Hein ?

Stiles secoua la tête pour faire taire la folle qui sautillait en applaudissant dans son crâne et étouffa un bâillement. Il chercha du regard un réveil et satisfit sa curiosité lorsqu'il lut « 2h03 » sur le cadran Avengers trônant sur la table de chevet, tout près de la tête du loup. Ah ouais, quand même.

Il était encore en train de se poser un milliard de questions – pourquoi William mangeait des céréales au beau milieu de la nuit, comment Stiles avait-il réussi à convaincre Derek de garder son super réveil Marvel, comment s'appelait la fillette qui caquetait en lui... des questions existentielles donc – lorsqu'il sentit la main de Derek glisser de sa paume à sa hanche, puis de sa hanche à son ventre. Discrétos. Hop hop hop !

« Mais t'es en chaleur ma parole ! » S'exclama-t-il en donnant un coup sur les doigts du loup qui avaient continué tranquillement leur route, comme si de rien n'était, pour finir par se poser sur l'aine de Stiles. Autrement dit, bien trop proche de ses précieux bijoux de famille.

Derek soupira de nouveau sans ouvrir les yeux et sans retirer sa main non plus.

« Dois-je te rappeler que ça fait sept putains de jours qu'on s'est pas vus ? » Commença-t-il, la voix basse. « Et c'est la pleine lune. Je suis sûr que, même sans tes souvenirs, tu peux aisément deviner que ça fait pas bon ménage. »

« Objection pourrie et donc rejetée par la cour. Voulez-vous faire appel ? »

« Stiles... »

« Quoi ? Moi aussi j'ai des arguments. Deux même. »

« Ah oui... » Derek ouvrit lentement les yeux et tourna la tête vers lui. « Et je peux les voir tes arguments ? » Répliqua-t-il, un sourire coquin venant jouer sur ses lèvres.

Stiles resta d'abord comme deux ronds de flan avant d'éclater d'un rire surpris. Il n'avait absolument pas pour habitude de voir Derek sourire et faire des petites blagues. À croire que la non mort de sa famille changeait un homme... Oui, cette réflexion était parfaitement stupide, et il l'assumait. Après tout, seules les multiples personnalités que son corps abritait en avaient été témoin.

« Pas ces arguments-là, abruti. » rétorqua Stiles en tentant de réprimer ses gloussements. « Écoute... » Reprit-il plus sérieusement, « même en sachant que je vais petit à petit comprendre tout ce que je vis, je peux clairement pas faire comme si de rien n'était. » Il fit une pause pour fixer Derek qui lui rendit son regard sans broncher. « Tu comprends ce que je veux dire ? » Toujours pas de réponse. Peut-être avait-il fait un AVC sans que Stiles ne s'en rende compte. Il passa rapidement une main devant les yeux fixes. « Tour de contrôle à Major Tom ! »

Derek réagit enfin. Il claqua sa langue contre son palais et attrapa la main qui voltigeait devant son visage pour la porter à ses lèvres.

« Je t'ai entendu. Je réfléchissais. »

« Toi ? Réfléchir ? » Un léger coup sur le crâne le fit grimacer tandis que Derek reprenait la parole.

« Ok, voilà ce que je te propose. » Ses yeux vacillèrent un instant sur le corps de Stiles avant de se refixer aux prunelles marrons. « Tu me poses une question et en échange tu dois enlever un vêtement. »

Euh... C'était quoi ce plan pourrave ? Il adressa un haussement de sourcil Haliesque au loup-garou qui le lui rendit gentiment.

« Et pourquoi, par tous les Saints – Stiles n'en connaissait aucun, mais il aimait bien cette expression – devrais-je accepter ? »

« Parce que tu m'aimes. » Affirma le loup sans aucune hésitation.

« Ouais, alors, peut-être. » Stiles tenta de ne pas rougir en disant cela. Il échoua. « Mais ça, moi, j'en sais rien. » Un éclat blessé fit briller les yeux de Derek et Stiles se fustigea intérieurement. « J'veux dire, je le sais pas encore. Enfin, peut-être que je le sais, mais pas encore. Enfin tu vois, quoi... »

Derek le fixa quelques instants avant de reprendre la parole, comme si Stiles n'avait absolument pas ouvert la bouche. Ok, y'avait des choses qui n'avaient pas changé.

« On fait ça en trois rounds. Celui qui gagne fait ce qu'il veut de l'autre. »

« Euh...attends. » Paniqua Stiles alors que le buste du loup se relevait pour approcher ses jambes un peu plus près des siennes. « J'ai jamais dit que j'acceptais hein. Et même si par un hasard totalement fortuit j'acceptais, j'aimerais avoir de plus amples informations, pour bien comprendre les enjeux et les limites de ce jeu là, parce que c'est pas très clair, j'ai l'impression que tu changes les r- »

« Pose ta première question. »

« Non mais c'est pas- »

« Première question. »

« Derek ! »

« Stiles. »

« Hmpf. »

Stiles jeta un regard boudeur au loup qui n'eut pas l'air d'en avoir grand chose à faire. Puis il abdiqua, certain de ne pas être assez en forme pour tenir tête longtemps au loup. Et puis, un vêtement, c'était pas grand chose...

« Ok, ok, je marche. Je vais sûrement le regretter... » fit-il en baissant la voix « Mais voilà ma question : comment je suis arrivé ici ? Enfin, maintenant ? »

Derek prit le temps de réfléchir avant de commencer à parler d'une voix basse.

« Le jour de... de l'incendie, ça faisait apparemment trop de temps que les deux Kate étaient au même endroit. Deaton nous a dit que ça avait dû provoquer une sorte de bouleversement temporel ou un truc du genre... Bon je t'avoue que j'ai pas tout compris aux explications du doc, mais en bref c'est à cause du rapprochement des deux filles Argent que le sort s'est rompu et que t'as disparu pour revenir au présent. Le vrai présent, pas celui que tu connaissais d'avant ton retour dans le passé. Je m'embrouille, mais tu m'as compris. »

Stiles le fixa, bouche-bée.

« Quoi ? » grogna Derek, mal à l'aise devant ce regard stupide. Plus stupide que d'habitude.

« C'est la première fois que je t'entends parler autant d'affilée. Laisse moi m'en remettre ! »

« Abruti. »

« Merci. »

Ils se sourirent, clairement complices, et Stiles n'en fut presque pas surpris. Presque. Puis Derek se racla la gorge et avança sa main vers Stiles, la posant délicatement sur le col de son tee-shirt. Son pouce alla caresser sa peau à travers le vêtement et la respiration de Stiles se fit un tout petit peu plus laborieuse, comme à chaque fois qu'une partie de Derek entrait en contact avec son corps.

« J'ai répondu à ta question. » Affirma-t-il dans un murmure, ses yeux fixés sur sa clavicule.

« Ouais. »

« Ma récompense ? »

« Ouais. »

Mais Stiles ne fit pas un geste. Derek avança son visage pour embrasser délicatement la pommette de l'humain. Puis sa joue. Puis sa mâchoire.

« Aller, je vais pas te manger. »

Il ponctua sa phrase d'un léger coup de dents dans le cou de Stiles qui émit un son entre le rire et le glapissement d'une oie. Très sexy.

Stiles se dégagea de l'étreinte dangereusement accueillante du loup pour jeter un coup d'œil suspicieux au corps chaud qui semblait se coller de plus en plus au sien. Suivant son regard, Derek se recula de quelques centimètres et montra patte blanche. Stiles acquiesça avant de saisir son tee-shirt et de le passer avec difficulté au-dessus de sa tête. Se retrouvant en caleçon devant un loup au regard clairement concupiscent.

Attendez une minute...

Stiles ne portait plus qu'un seul vêtement. Et il avait en tête au moins deux questions... Ok, il s'était clairement fait avoir.

« Bien, deuxième question alors. » lança Derek, le regard fixé sur la partie basse de l'anatomie de Stiles. Que Stiles eut envie de recouvrir de ses mains. Derek pouvait-il voir à travers les vêtements ?

Il eut beau lui jeter un regard noir, le fait que Derek ne le regarde pas – du moins, dans les yeux – amoindrit légèrement la menace. Il hésita à envoyer le loup se faire foutre mais décida d'abandonner, sentant qu'il n'aurait jamais gain de cause.

« Ouais, deuxième question... » Répéta-t-il lentement.

Il fallait la jouer fine. Ne pas se tromper ou bien il était cuit. Car il paraissait totalement improbable qu'il puisse poser sa dernière question en se retrouvant à poil dans le même lit qu'un Derek libidineux... Un frisson le parcourut – c'est qu'il faisait pas chaud sans tee-shirt – et il se rapprocha quelque peu du radiateur ambulant qu'était le loup, allant jusqu'à poser sa tête sur le torse. Ouais. Stiles savait. Il jouait terriblement avec le feu, il en était conscient. Mais le problème... c'était que, justement, malgré tout ce que son cerveau pouvait lui exposer, son corps, lui, n'en voyait pas, de problème. Derek entoura sa taille d'un de ses bras et Stiles bâilla, confortablement installé.

« Ma seconde question... » reprit-t-il en papillonnant des yeux pour les garder ouverts. « Qu'est-ce-qu'il s'est passé lorsque je suis parti ? Comment tu as réussi à t'en sortir ? Et les autres ? »

« Ça fait plein de questions ça... T'as pas assez de vêtements pour toutes les payer. » remarqua Derek, un sourire palpable contre son crâne.

« Derek... » Prévint Stiles en frappant légèrement son torse.

« Ok, ok... »

Il toussa, tentant vainement d'expulser l'air imprégné de cendres qui emplissait un peu plus à chaque secondes ses poumons. Ses pas étaient hésitants malgré la situation d'urgence, son regard ne parvenant pas à passer l'épaisse barrière de fumée qui lui striait les yeux. Il n'avait dépassé la porte d'entrée que de quelques mètres mais déjà plus aucune lumière n'éclairait l'intérieur de la maison. Un bras collé contre le bas de son visage, Derek chercha la source de toute cette fumée, le foyer qui avait transformé son chez lui en un barbecue géant.

Après quelques secondes, le loup-garou réussit à mettre en sourdine son odorat sursaturé pour se concentrer sur son ouïe et parvint à percevoir des hurlements. Panique. Douleur. Terreur. Tous ces sentiments s'entremêlaient à l'intérieur des cris et pleurs, se répercutant durement en lui. Tâchant de mettre sa propre angoisse de côté, il se concentra sur les appels désespérés. En bas. Cela provenait du sous-sol.

Il poussa sur ses jambes et arriva rapidement devant la porte menant à la cave. Porte devant laquelle se disputaient furieusement deux femmes. Il reconnut aisément sa petite amie – Ex petite amie – mais bugua lorsqu'il fallut déterminer l'identité de la seconde. Il plissa les yeux mais la femme lui tournait le dos et ayant perdu son flair, son sens le plus important, il lui était impossible de savoir qui tenait compagnie à celle qui partageait encore son lit quelques nuits auparavant. Son regard se focalisa à nouveau sur Kate. Que faisait-elle ici ? Il s'ébroua. Pas le temps de jouer aux devinettes, il devait sauver les siens qui continuaient à émettre des plaintes déchirantes.

Il s'élança pour accéder à la porte mais, avant même qu'il n'ait pu atteindre celle-ci, un cri de rage s'extirpa de la gorge de Kate alors qu'elle se projetait vers la femme inconnue qui ne s'attendait apparemment pas à cet accès de violence. Le loup-garou suivit des yeux la femme qui tomba lourdement contre une meuble non loin de là. Et alors qu'elle se relevait pour apparemment se jeter, hystérique elle aussi, sur Kate, une lumière bleue éblouissante perça la pénombre, semblant provenir de l'intérieur même de la femme. Et elle disparut.

Derek cligna des deux. Deux fois. Peut-être la panique lui faisait-elle voir des choses qui n'existaient pas. Après tout, les gens ne pouvaient pas disparaître. Impossible. Et pourtant plus aucune trace de l'inconnue. Il quitta des yeux l'endroit où la femme n'était plus pour reposer son regard sur la jeune femme. Kate avait les yeux écarquillés et ne bougeait plus, sûrement trop choquée par ce qu'elle avait pu voir. Et c'est là qu'il vit. Au bout du bras pendant de la blonde, un briquet. Et des doigts recouverts d'une poudre noire qu'il connaissait bien. Les connexions se firent dans l'esprit de Derek et il rugit de colère.

Garce.

Kate sursauta, remarquant seulement maintenant la présence du loup-garou. Les yeux bleus de Derek luisirent dans l'obscurité et elle leva les mains devant elle, un regard terrifié s'inscrivant peu à peu sur ses prunelles.

« Derek. » commença-t-elle, criant presque pour se faire entendre, le feu derrière la porte semblant prendre de l'ampleur, la fumée sortant du seuil se faisant plus foncée. « Derek, c'est pas ce que tu crois. » Le loup ne l'avait jamais entendu prendre ce genre d'intonation, la voix larmoyante parsemée de suppliques. « Je t'aime Derek, fais-moi confiance, ce n'est pas moi qui ait mit le feu. Je te jure » Elle montra rapidement sa main qui tenait le briquet. « Tu vois, je l'ai encore, c'est l'autre, c'est elle qui a fait tout ça, moi je voulais pas... »

Le jeune homme grimaça de rage tandis que son visage s'émaciait et se recouvrait de poils pour laisser le contrôle à son loup. Ses ongles devinrent griffes et ses dents, crocs. Il avança d'un pas et Kate en recula de deux.

Traîtresse.

« Derek, mon amour. » Voix déchirée par la peur et le désespoir. Odeur rance de la perfidie. « Je t'en supplie. »

Une seconde plus tard, sa patte était enroulée autour du cou de son ex compagne. Encore une seconde et du sang commençait à perler de ses lèvres ouvertes dans un cri étranglé tandis qu'il serrait. Derek la souleva de terre dans l'intention manifeste de la jeter contre un mur, mais la porte qui gonflait sous la chaleur se pulvérisa à ce moment, envoyant des morceaux de bois dans toute la pièce. Derek et la blonde furent projeter en arrière sous le souffle et allèrent s'écraser contre un miroir non loin.

Il fallut quelques secondes à Derek pour reprendre ses esprits. Dans un grognement bestial, il arracha de son épaule un morceau de bois qui était venu s'y planter durant l'explosion et se releva, repoussant le corps inerte de Kate avec rudesse. Son loup gronda cruellement sa satisfaction de la vue du sang qui s'écoulait lentement d'une blessure dans le dos de la jeune femme, causée par un bout de bois d'une trentaine de centimètres fiché à l'horizontal et ressortant sûrement de l'autre côté.

Sans plus se soucier le futur cadavre, il usa de sa vitesse pour parcourir les mètres se séparant de sa famille. L'explosion avait soufflé la poudre de sorbier qui aurait dû l'empêcher de passer et il sauta en un bon par dessus l'escalier glissant d'huile enflammée pour atterrir là où la chaleur se faisait insup-

Un ronflement l'interrompit dans son récit enflammé – c'était le cas de le dire. Derek baissa les yeux pour les fixer avec consternation sur son petit ami.

« Non mais je rêve ! »

Il s'était endormi. Stiles s'était purement et simplement endormi, la tête reposant douillettement contre son torse et un bras entourant avec possessivité son abdomen. Sa bouche entrouverte laissait filtrer une respiration rauque et profonde, bien que très basse, entrecoupée de petits ronflements. Derek hésita quelques secondes à se mettre en colère. Ne le jugez pas, mais bordel, devait-il encore rappeler qu'il était putain de frustré, là, tout de suite ? Et que, en plus, il acceptait avec bonté de passer outre son envie de Stiles pour accéder à sa demande, et l'autre là, il s'endormait. Inacceptable.

Il leva la main pour aller le secouer – hors de question qu'il le laisse en plan ! - puis il entendit son compagnon gémir de contentement dans son sommeil, tel un gros chat, et son semblant d'énervement s'évanouit aussi vite qu'il était apparu. Il jeta un rapide coup d'œil au réveil – stupide chose que Stiles l'avait forcé à garder – près de sa tête et soupira. Bon, il lui laissait une nuit de répit. Mais juste parce qu'il semblait épuisé, et que Derek était miséricordieux. Foi de Hale, il aurait ce qu'il voulait le lendemain. En attendant... Et bien en attendant il tendit le bras pour saisir le drap dont il recouvra leurs corps enlacés, éteignit la petite lumière qui luisait doucement près d'eux et se colla un peu plus à son presqu'amant. Stiles émit à nouveau un petit gémissement et Derek sourit avant de fermer les yeux, parfaitement à sa place.


« Stiles, téléphone ! »

En bas des escaliers, William tendit l'oreille. Pas de réponse. Un rapide coup d'œil à sa montre lui permis de savoir qu'il était bien assez tard pour aller le réveiller. Après tout, qui dormait encore à 8h30 un dimanche ? ...De toute manière, si l'alpha était debout, il était inacceptable que ses loups – et leurs compagnons, par extension – dorment encore. Voilà. C'était une logique imparable. Il colla le micro du téléphone contre son torse et monta les marches rapidement pour se retrouver devant la porte que l'ancien voyageur du futur partageait avec son cousin. Il entrouvrit la porte et chuchota fortement à travers l'obscurité :

« Stiles... téléphone... »

Froissement de draps et grognement agacé lui répondirent et il ricana. Qu'il était vilain. Il voulut s'avancer d'un pas à l'intérieur de la pièce mais une main armée d'une brosse à dents surgit de derrière lui pour saisir la poignée et l'empêcher d'aller plus loin. La paume traîtresse profita de sa surprise pour fermer délicatement la porte dans un bruit feutré.

« Hey ! » protesta Will, une moue boudeuse sur les lèvres. Il se retourna et ne fut que peu étonné de se retrouver à fixer des prunelles brunes agacées. Après tout, il aurait pu reconnaître entre mille le parfum qui lui chatouillait les narines, surtout quand celui-ci sortait de la douche comme ses cheveux mouillés tirés vers l'arrière le laissaient deviner.

« Laisse le tranquille. » lui lança Scott à voix basse. Il lui saisit le biceps de sa main libre et l'éloigna de quelques mètres de la chambre « Après la nuit qu'il vient de passer, il a bien besoin de dormir. Et Derek aussi. » Will lui adressa un haussement de sourcil circonspect. « T'as fait chier Stiles cette nuit, tu te souviens ? » Scott ne lui laissa pas en caser une. « Et Derek revient d'une semaine au Mexique, à cause de tes conneries. Il doit être crevé. »

« Oui bah j'aurais très bien pu y aller à sa place ! » protesta William dans un roulement d'yeux typiquement de famille. « Faut pas oublier que c'est lui qui s'est porté volontaire, le petit martyr. Moi je voulais bien y aller à la base ! »

« Tu rigoles ? » Scott ricana jaune et croisa ses bras devant lui, le scannant le de la tête aux pieds. « Toi, aller parlementer avec une meute rivale ? Ça aurait été une catastrophe, t'as aucun sens de la diplomatie. Derek, oui. »

« Arrête de défendre constamment Derek, c'est agaçant à la fin. »

« J'y peux rien si t'as toujours tort. » remarqua très justement Scott.

« Je te rappelle que je suis ton alpha. »

« Je vois pas le rapport »

« T'es censé me respecter ! » soupira-t-il, agacé. Il fit flasher ses yeux d'un éclat rouge pour appuyer ses dires. Malheureusement, vu l'air ennuyé que portait le visage de Scott, cela n'eut pas l'effet escompté. Il usa alors d'une autre technique. A savoir, les yeux de chiots. « Aller, respecte moi quoi... En souvenir du bon vieux temps. »

« Quel bon vieux temps ? » demanda le bêta, méfiant.

Oh quelle belle perche il lui tendait ! A croire qu'il le faisait exprès. William sourit de toutes ses dents, tel le prédateur sans fois ni loi qu'il était. Enfin, presque.

« Celui où il était question de toi... moi... d'une planque et de pas mal de boue... »

Le regard affolé de Scott parla pour lui. Il lança un coup d'œil derrière lui, le corps tendu, avant de s'avancer de quelques pas vers le chef de meute pour l'acculer au mur. Ses yeux se firent menaçant et William pu nettement entendre son cœur s'accélérer.

« Je t'ai déjà dit de ne pas reparler de ça. »

« De ça quoi ? » demanda Will, son sourire devenant innocemment innocent. « Tu peux être plus précis ? »

« Arrête, William. » Il s'avança de quelques millimètres supplémentaires. « On a dit que c'était une erreur. »

« Oulà non, je t'arrête tout de suite ! » William se décala d'un pas sur le côté et s'appuya d'une épaule sur le mur. « Tu as dit que c'était une erreur. Moi j'ai pas eu mon mot à dire. »

« Ça revient au même. » contra Scott, agacé que William ait toujours réponse à tout.

« Non. » lança l'alpha catégorique. « Il me semble... » reprit-il lentement. « Il me semble bien qu'on était deux ce jour là. Ça me paraît logique qu'on soit deux aussi pour décider si oui ou non c'était une erreur, tu penses pas ? »

Scott ne répondit pas, préférant fixer avec colère son alpha qui, au moment présent, n'avait à ses yeux de chef que le nom. Ses pupilles fouillèrent celles de William pendant une longue minute. Minute durant laquelle un sourire amusé continuait à danser sur les lèvres de ce dernier, ravi de la tournure de la situation.

« Donc... » William haussa un sourcil en se rapprochant de son bêta qui hésita à reculer. Hésita seulement car, comme Will l'avait compris durant ces quelques mois où il avait rejoint sa meute, il était hors de question pour Scott de montrer son infériorité devant celui qui l'avait mordu. Ce qui plaisait grandement à William, il devait l'avouer. « Ce que je pense, c'est qu'on devrait prendre le temps de discuter de tout ça... Seuls... Avec le moins de vêtement poss- »

« Qu'est-ce-que vous foutez ? » l'interrompit brutalement une voix ensommeillée.

Ils tournèrent la tête dans un parfait accord vers l'origine du son et tombèrent sur une Cora vêtue en tout et pour tout d'une brassière de sport et d'une culotte qui avait vu des jours meilleurs, les yeux bouffis et les cheveux en pagaille.

« Il est à peine neuf heure du mat' les mecs, allez vous foutre la gueule dehors et laissez les bonnes gens dormir. »

Sur ces mots d'une grande sagesse, la jeune louve se détourna et se traîna jusqu'à sa chambre où Scott et William purent l'entendre se vautrer avec grâce sur son lit et retomber dans le sommeil du juste. Scott profita de cet interlude pour jeter un dernier regard agressif à l'alpha avant de fourrer sa brosse à dents barbouillée de dentifrice dans sa bouche et de se détourner pour repartir de là où il venait à savoir, la salle d'eau.

Bon. Encore raté. Pas comme s'il n'était pas coutumier de cet état de fait. Soupirant, William profita du départ de son bêta pour laisser glisser son regard sur les deux lobes de chair moulés dans son bas de pyjama, qu'il avait un jour pu admirer parées de son plus bel atour. A savoir, rien. Sans se retourner, Scott grogna et lança un « Arrête cha tout d'chuite où che te fais mancher tes chieux. ». William eut un sourire en coin, assorti à un regard un peu niais mais joueur. Puis il se rappela qu'il avait un téléphone dans la main.

« Claudia ? Oui, désolé de vous avoir fait attendre. Stiles dort encore. […] Oui., c'est sûr. […] Pas de soucis, je lui dirais. Au revoir Mme Stilinski ! »

Il raccrocha et lança un dernier coup d'œil vers la chambre où dormaient Stiles et Derek avant de faire quelques pas hésitants en direction de la salle de bain. Il s'arrêta, semblant peser le pour et le contre, puis fit demi-tour en secouant la tête. Tout venait à point à qui savait attendre, après tout. Et le loup qui sommeillait en William était plutôt doué pour guetter ses proies.

Fin.


Mama mia! (oui, petite exclamation italienne inutile, ça me fait plaisir)

Les gens. C'est grave. C'est la fin. THE END quoi. Tellement la fin que j'ai même mis un point à fin. De la folie. Bon, on sait jamais, si par hasard vous avez des suggestion de bonus, il se peut, IL SE PEUT, que j'écrive encore sur ces persos... Mais je promets rien! Et puis vous en avez peut-être marre xD

C'est la 2e fic à chapitre que je termine, et je suis super contente et quand même un peu triste de quitter mes personnages.
Surtout William lol c'est que je l'aime ce perso! Et je suis pas la seule vu tout ce que je peux lire dans les reviews xD

J'espère vraiment que vous avez apprécié cette fin autant que les chapitres précédents, j'ai eu du mal à l'écrire mais finalement, après relecture, elle me plait plutôt pas mal. C'est exactement le but que je m'étais fixé y'a.. euh.. deux ans? =)

Des petits cadeaux quand même dans ce chapitre :
- D'une pierre, plus de Kate!
- Un petit Scilliam (il le fallait, je sais que vous le savez)
- Une maman Stilinski en pleine forme (ouais, on me l'a demandé si gentiment avec une tête tellement choupi que j'ai pas eu le choix lol)

Si vous avez des questions, n'hésitez pas, je me ferais une joie de répondre =D

Dernière petite chose : comme j'ai fini BIT (lol, même l'abréviation de cette histoire montre à quel point je suis gogole xD), ben j'ai repris M-59. IL ÉTAIT TEMPS! me diront certains. VOUI! je répondrai. J'aime énormément cette histoire, et même si je mettrai des lustres à la terminer, je le ferai. Si vous la lisez, vous êtes prévenus. Sinon... Ben voous savez quoi faire après avoir laissé un petit mot de fin ;)

Bisou bisou les gens, je vous aime à l'infini et au delà =D

Peace

'Lys