Bonsoir à tous !

Alors, j'avais l'intention de faire plusieurs chapitres, mais puisque j'ai pris beaucoup de temps pour faire la fin, j'ai décidé de vous faire un seul chapitre pour tout.

Et voilà.

Entre vie et amour touche à sa fin. J'avais aussi l'intention de faire un épilogue, mais je pense que je vais sauter cela, je suis assez contente de cette fin.

Je tenais à vous remercier, vous tous, pour tous les merveilleux commentaires dont vous m'avez fait grâce. Je ne saurais jamais vous dire à quel point cela a été merveilleux pour moi. Vous avez été vraiment super et j'en ai les larmes aux yeux de voir que c'est la fin de cette fiction.

Adenoide : Oui, en effet c'était elle

Brigitte26 : Il faut dire que les preuves étaient irréfutables !

Lololitaoe : Je dois avouer que je n'ai absolument pas pris en compte le côté Draco et Ombrage pour le coup, peut-être si je fais un épilogue, mais pas dans ce chapitre !

Zeugma412 : J'espère que tu aimeras la fin de cette fiction…

Pouika : Merci pour tes commentaires, j'espère que malgré mes erreurs dû au temps que j'ai pris pour suivre les chapitres, tu as su aimer la fiction Merci pour tout !

Malucia BLACK 666 : Eh bien voilà la fin donc plus de frustration !

Harry Severus Potter Snape : Je me suis excusée pour les erreurs que j'ai faites et ce chapitre sera concentré sur Harry et Severus

Clara : Ooups. J'ai totalement oublié la répartition xD Pardon, je rectifierai ce genre de chose si je la réécris. Merci de ta présence

Et voilà, la fin des commentaires, les derniers auxquels j'aurai répondu pour cette fiction. Je suis triste, mais heureuse aussi.

Peut-être qu'il y aura un épilogue. Ou pas. Je verrai. Si oui, je parlerai du futur de tous les personnages et si non, libre à vous de l'imaginer.

À vos yeux ?

Bonne lecture !

HPSS x HPSS x HPSS x HPSS x HPSS

Indication : 8 mars

Chapitre 58 : la naissance d'une nouvelle ère, d'une nouvelle vie

Tout s'était passé très vite, Harry s'était réveillé et s'était mis à hurler avant que Severus ne puisse comprendre quoique ce soit.

-S-Severus !

L'homme s'était levé le plus rapidement possible et avait appelé un elfe pour faire le sac alors qu'il s'habillait en quatrième vitesse.

C'était aujourd'hui.

Le moment tant attendu par eux deux se passait maintenant. Leur fille venait au monde !

Severus porta alors Harry jusqu'à l'infirmerie en hurlant après Poppy qui dormait dans une pièce à côté. Elle arriva heureusement et fut prête en quelques instants avant que Harry ne lui hurle encore une fois.

-Severus !

Lorsqu'il tourna sa tête vers lui, ce qu'il vit le cloua au sol sous la stupeur et l'effroi. Son amant était arqué sur le lit, ses jambes écartée, prêt à donner naissance. Jusque-là, à la limite, rien de bien anormal. Ce qui l'était, c'était cette marée de sang qui venait de jaillir de la grande balafre de son ventre.

-H-Harry, par Merlin !

-Seeev !

Il ne pouvait détacher son regard de son fiancé qui se vidait de son sang alors que Pomfresh tentait de réduire l'écoulement de liquide s'échappant de son corps et qui tentait également de sauver leur petite fille qui n'allait pas survivre, s'étouffant dans toute cette hémoglobine.

Le sorcier attrapa la main de son jeune compagnon donnant naissance alors que celui-ci plongeait son regard dans le sien.

-Se…verus… ! Severus ! Putain !

-Je te… promets…

-Elle est morte, Severus. Votre fille est morte.

Dans une litanie, les « Severus » et la phrase de Pomfresh se répétèrent en boucle, le faisant devenir fou. La voix de Harry se fit plus forte à ses oreilles.

-SEVERUS !

D'un coup, l'homme ouvrit les yeux et se redressa… dans leur lit, les doigts de son fiancé enfoncés dans son bras, des larmes de peur et de douleur dans ses yeux.

-M-Merlin, tu es… Réveillé… Severus… Du… J'ai mal… J'ai…

Un nouveau cri empli la pièce, bien réel cette fois, avant que Severus ne se réveille totalement et qu'il se redresse. Avant qu'il n'ait le temps de faire quoi que ce soit, Harry tomba dans les pommes sous la douleur, faisant blêmir son compagnon. L'homme écarta les couvertures et manqua de lâcher, s'il n'avait pas été maître de ses émotions, un cri. En effet, comme dans son rêve, une tâche de sang était désormais présente sur les draps blancs de leur lit commun, mais heureusement, elle était nettement plus petite.

Et même si ce n'était absolument pas le moment puisque Harry ne devait pas accoucher avant plusieurs mois, Severus savait que c'était aujourd'hui que leur avenir se jouerait.

Il appela deux elfes en prenant son compagnon dans ses bras, le portant contre son torse, et leur ordonna plusieurs choses À l'un, il lui dit de prévenir en urgence Pomfresh, les médicomages de Sainte Mangouste qui traitaient Harry, ses parrains, ses meilleurs amis et Albus. À l'autre, il lui ordonna de préparer tout ce qu'il fallait pour que l'accouchement se passe le mieux possible, c'est-à-dire des bassins d'eau, du linge propre et des potions en tout genre, le tout en traversant les couloirs du château le plus rapidement possible.

Il savait que Harry aurait voulu donner la vie dans leur cocon, chez eux, mais ils savaient tous les deux les risques que présentaient cette grossesse. Ils le savaient depuis le début, mais ils voulaient tenter cette chance.

Et si Harry… ?

Severus serra plus fortement le corps du jeune homme dans ses bras. Il refusait de croire cela. Harry lui avait fait promettre de sauver leur fille en premier, mais il refusait toujours cela. Des enfants, ils pourront encore en avoir plein. Des Harry, il n'y en avait qu'un seul. Et Harry Potter lui était plus précieux que tout.

-Severus ! Un elfe m'a dit que le travail avait déjà commencé ? Elle s'arrêta en remarquant l'air blanc du professeur. Que se passe-t-il ?

-Il saigne, c'est trop tôt Poppy, c'est beaucoup trop tôt !

Voilà, ce que craignait la médicomage était arrivé. Harry avait un problème avec sa grossesse et, d'après ce que lui disait son collègue, ce n'était pas quelque chose d'anodin. En fait, perdre du sang durant la grossesse, que ce soit au début, pendant ou vers la fin, n'était jamais un bon présage. Et puisqu'ici il y avait encore plus de risques puisque Harry était un homme…

D'un geste, la femme les conduisit jusqu'à l'infirmerie où les deux elfes avaient déjà fait l'ensemble de leur travail. Tous les attendaient, ne manquait plus que Harry et Severus. Ce dernier se dirigea vers le lit qu'on lui montrait et déposa doucement son compagnon, refusant malgré tout de s'écarter.

-Severus, commença Pomfresh en le tournant vers lui. Je sais que tu veux absolument rester avec lui, mais ta présence ne ferait que nous déranger. Harry sait que tu es là pour lui et pour votre fille, mais si tu veux nous laisser la moindre chance, car cela s'annonce pas forcément bien pour aucun des deux, je préfère être sincère avec toi, alors fais ce que je te dis. Je te donnerai les informations en temps voulu.

Sans même lui laisser le temps de répliquer quoi que ce soit, elle se retira et tira le rideau qui protégerait son patient de la vue des autres.

C'est là que le calvaire de Severus commença.

Pendant des heures qui lui semblèrent être une longue éternité, il y eut d'abord un silence pesant qui se changea bientôt en cris. Harry sembla se réveiller pendant quelques instants avant que Pomfresh où un des médicomages ne l'endorme dans un coma magique afin de lui empêcher la moindre douleur supplémentaire.

Et puis, dans les bruits de sorts murmurés ou dit à haute voix et les sons des objets médicaux utilisés sur son pauvre amour, Severus distingua un « putain ! » clairement dit. C'était un homme, donc un des médecins, qui venait de le crier presque, avant que des sorts qu'il reconnut comme étant de ceux pour aider le sang à continuer de prendre son trajet habituel ainsi que celui pour recoudre les tissus internes soient utilisés. Ses mains se crispèrent sur le tissu du lit sur lequel il était assis et la porte s'ouvrit.

Il tourna la tête vers Albus qui venait d'entrer, accompagné par les parrains du survivant. De toute évidence, Albus les avaient retenus afin qu'ils laissent Severus un peu seul. En plongeant son regard dans celui du vieil homme, l'ancien mangemort vit qu'il n'avait plus rien de l'homme joyeux qu'il avait l'habitude de voir depuis de nombreuses années.

-Quelles sont les nouvelles, comment va-t-il ?! fit Sirius sans remarquer l'air de sa Némésis de toujours.

-Il… Ils sont en train de le sauver… de les sauver… Je me suis réveillé peu avant que Harry ne tombe dans les pommes. Il perdait du sang…

Remus posa une main sur l'épaule de son compagnon, lui témoignant ainsi son soutient en même temps que démontrant son inquiétude. C'était son louveteau qui risquait sa vie.

Et jusqu'à l'arrivée de Ron et de Hermione, des grimoires sous les bras et des cernes sous les yeux, Severus et les autres restèrent là, sans bouger ou en arpentant la pièce en long en large et en travers.

–Miss Granger, Monsieur Weasley, vous êtes… Miss Granger, que faites-vous avec ces vieux livres de… médecine ? commença Albus avant de montrer sa surprise.

Néanmoins, une sorte d'étincelle perça son regard et, étrangement, Hermione ne répondit pas. Elle posa ses livres sur l'un des lits et commença sa lecture. Lisait-elle en diagonale ? Parce qu'elle tournait rapidement les pages et sa plume à note – une dérivée de la plume à papote, qui servait à prendre des notes sur ce qu'on lisait – ne cessait jamais d'écrire.

–Si ça continue, souffla Albus à l'oreille de Severus qui se foutait bien de savoir ce que son élève faisait, la plume va faire brûler le parchemin !

–Qu'est-ce que j'en ai à foutre, Albus ?! s'emporta immédiatement le potioniste en se tournant vers son mentor. Mon compagnon est sur le point de mourir et vous vous me parlez d'une putain de plume ?!

Le directeur voulu répondre quelque chose, sans doute pour dire qu'il disait cela pour qu'il change quelques-unes de ses idées, mais la jeune et brillante élève se leva avec ses notes et se permis de se rendre de l'autre côté, là où se trouvait son meilleur ami et les médicomages s'occupant de lui. Elle s'approcha de Pomfresh et lui expliqua tout ce qu'elle avait trouvé pour faire en sorte que Harry et leur enfant survivent. C'était risqué, mais si ça continuait comme cela, alors ils risquaient tous les deux la mort et ce n'était absolument pas envisageable.

Poppy prit le temps de considérer la chose, même si ce temps était des plus précieux, ce qu'avait trouvé son élève était brillant. Mais comme dans chaque chose brillante, il y avait un risque crucial.

–Laissez-moi seulement quelques secondes pour… vous savez.

–Vous savez ce que vous faites, Miss Granger ?

C'était loin d'être sa manière de faire, et c'était même contraire à sa politique, mais elle avait un bon feeling sur la situation.

Étrangement, elle savait que tout irait bien… Après tout, il avait toujours survécu à tout.

Mais… Il existait toujours l'exception à la règle et qui bousillait toujours les meilleures des explications. Et c'était cette fameuse exception qui faisait peur à Pomfresh.

Si elle acceptait, elle était la responsable de la mort de la jeune fille et elle ne pourrait plus jamais se regarder en face.

Si elle refusait et que Harry survivait ainsi que sa fille, ça irait… Mais si elle refusait et que Harry mourrait…

Elle ne préférait pas y songer, alors elle laissa son subconscient répondre à sa place, après que Hermione lui ait assuré qu'elle savait parfaitement ce qu'elle faisait.

–…Alors, allez-y.

Severus releva la tête en voyant le jeune fille revenir dans l'autre moitié de la pièce et se redressa à moitié en voyant son air à la fois triste et déterminé.

Il n'avait jamais aimé cet air-là… Et pour cause.

–Je sais à votre visage que ce que vous avez en tête est une très… très mauvaise idée.

–Vous avez déjà entendu parler du rituel de Translatio Vitae ?

Albus ne réagit pas vraiment et mis à part l'homme en noir qui fronça d'abord les sourcils avant de prononcer un profond « Vous ne pouvez pas faire cela ! », personne dans la demi-pièce ne compris.

–Harry ne voudrait jamais que vous fassiez cela !

–Ma décision est déjà prise, Severus, et vous savez que j'irai jusqu'au bout.

–Quoi ? Qu'est-ce qui se passe ici ?

–C'est quoi ce sort ?

–Mione quoi ?! Que veux-tu faire ?

Ladite « Mione » se dirigea vers Sirius et Remus qu'elle embrassa tous les deux sur la joue sous leur regard ahuri avant de les dépasser et de s'approcher de son copain. Elle lui prit la main et le regarda dans les yeux quelques secondes.

–Tu dois seulement savoir que… Ce que tu m'as offert ces derniers mois, notre relation… Tu m'as rendu bien plus heureuse que personne n'a jamais pu le faire et ne le fera jamais. Je ne te l'ai jamais dit jusqu'à présent, mais… Je suis amoureuse de toi, Ronald Weasley. Et quoi qu'il nous arrive dans les prochaines heures, je veux que tu retiennes ces derniers mots et que tu ne songes à rien d'autre que cela.

Après ces quelques paroles, Hermione s'approcha plus encore et prit le visage de son petit-ami entre ses mains afin de venir l'embrasser avec douceur.

–Hermione, commença Severus alors que la jeune femme lâchait les lèvres de son copain. Vous ne pouvez pas faire cela. Je me répète, mais Harry vous en voudra s'il…

–Tant qu'il vit, tant qu'ils vivent, c'est le principal…

Le potioniste n'eut pas le temps de répliquer quelque chose d'autre que la voix, véritablement pressée, de Poppy s'élevait.

–Miss Granger, si vous tenez à le faire, c'est maintenant ou jamais car à ce rythme… !

–J'arrive, Madame Pomfresh !

Hermione se recula de Ron qui n'avait toujours pas compris ce qui se passait, mais il avait lui aussi l'impression que tout irait bien, et se dirigea vers les feux de l'action.

Les heures suivantes furent pareille à une torture comme jamais personne, pas même Severus, n'avait connu jusqu'à présent. Personne n'avait de nouvelle ni de la jeune femme ni de l'homme en train de donner naissance. Et alors que le couple était arrivé à l'infirmerie très tôt le matin, vers 6 heures au moins, ce ne fut que tard, 11 heures après exactement, que, enfin, tout s'arrêta.

Plus un son.

Plus un bruit.

Plus un cri.

Plus de lamentation.

Sirius, Remus, Severus et Albus s'arrêtèrent de respirer avant qu'un cri ne retentisse dans la pièce.

Un cri de bébé.

L'homme en noir se redressa lentement et se défit de la poigne du directeur.

–Severus tu ne devrais...

Mais il était trop tard, l'ancien mangemort venait de passer derrière le rideau et ce qu'il vit laissa en lui plusieurs sentiments contradictoires.

La joie.

Sa fille venait de naitre et vu les cris qu'elle poussait, elle semblait aller en pleine forme. C'est surtout lorsque les nouveau-nés ne pleurent pas qu'il faut s'inquiéter.

L'incompréhension.

Pourquoi Poppy ne l'avait-elle pas appelé directement ? Pourquoi Hermione était-elle couchée sur un lit, aussi pâle que la mort ? Pourquoi y avait-il tant de « pourquoi » sans réponse ?

–Comment… Harry… ?

La gorge du nouveau père était rêche et ses jambes lourdes, mais il continuait de s'avancer lentement.

Quelque part, il savait. Si Hermione était dans cet état, cela pouvait donner lieu à plusieurs options. Mais laquelle voulait-il entendre ? Laquelle voulait-il garder en lui comme était la véritable vérité ?

Au moins quelqu'un était mort ce soir. Et il ne voulait pas savoir qui. Pas maintenant.

Tout ce qu'il voulait, pour l'instant c'était comment allait son compagnon. Son futur époux.

Poppy se tourna vers lui sans répondre pendant un moment avant d'ouvrir – enfin – la bouche.

–Miss Granger a fait ce qu'elle a pu. Et elle vit encore.

La liste des options se réduisait.

–Comment… Harry… ?

Et enfin, elle dit.

–Il vit également. Je ne sais pas comment expliquer ce qui vient de se passer, mais… Cette « chose » nous a dit de vous dire, je cite… « Maintenant, il est entièrement libre. Je voulais lui sauver la vie pour vous remercier tous les deux d'avoir expié la mienne. »

Une larme coula sur la joue de Severus alors qu'il murmurait, sous le regard rempli d'incompréhension de Pomfresh.

–Merci, l'Horcruxe… Comme quoi, même les ténèbres ont leur part de lumière… Merci infiniment…

.

Plus tard, lorsque Harry ouvrit les yeux, il ne put s'empêcher de sourire en voyant la plus belle des visions qu'il aurait pu imaginer au monde : Severus était assis à ses côtés, leur petite fille dans ses bras.

–Sev… en papa… C'est… merveilleux….

Sa voix n'était qu'un murmure, mais il suffit pour faire sursauter l'homme à ses côtés qui leva immédiatement la tête vers lui avant qu'un doux sourire emplit de soulagement ne se pose sur ses lèvres.

–Harry… Plus jamais tu ne me fais peur de la sorte, d'accord ? Sinon je te tue moi-même !

Le jeune homme aurait voulu rire, mais il n'en avait pas la encore la force. Il se contenta de murmurer.

–Horny… Il m'a parlé… Il m'a dit qu'il voulait nous remercier une dernière fois avant de disparaitre entièrement.

–Je sais, Poppy l'a entendu également. Peut-être qu'au final, tu avais hérité de la plus gentille part du Seigneur des Ténèbres, mais nous pourrons parler de cela plus tard. En attendant, veux-tu prendre ta fille dans tes bras ?

Severus se leva et vint s'asseoir sur le lit avant de poser doucement leur fille contre son torse, la soutenant car il savait qu'il était encore faible.

–Notre fille, Severus…

L'homme se pencha et vint embrasser avec une infinie douceur les lèvres de son futur époux. C'est à cet instant précis qu'un flash les aveugla tous et Severus gronda un peu avant de se tourner vers le fauteur de troubles qui se trouvait être Albus.

–J'ai la première photo de votre album de mariage, les enfants !

Le professeur soupira et Harry murmura quelque chose à son oreille, ce à quoi Sev' hocha la tête.

–Albus… Et si vous veniez bénir notre fille, Leila Snape-Potter ?

Le vieil homme sourit en se disant que c'était un prénom plein de promesse et il s'approcha d'eux alors que, plusieurs mètres plus tard, Ron tirait Hermione dans un coin afin de l'embrasser et qu'il lui murmurait : « Je n'ai toujours pas compris l'utilité de ce sort, Mione, mais moi aussi, je t'aime… ».

HPSS x HPSS x HPSS x HPSS x HPSS

Et si maintenant, on leur fichait un peu la paix ?

Qu'ils profitent de leur bonheur, tous là où ils sont, et que personne ne les sépare.

Plus jamais.

HPSS x HPSS x HPSS x HPSS x HPSS

J'espère que vous êtes satisfait de cette fin et que vous allez me donner un maaaaximum de reviews, faites exploser mes notifications !

Je vous aime les amours !

Alors, une dernière fois…

Une petite review ? =3