Interminable absence, je sais. Mais ce chapitre final peinait à prendre forme, et mettre un terme définitif à l'aventure qu'était cette fic me rebutait. Manque de temps, passages à vide et autres péripéties, telles sont mes excuses pour ne rien avoir publié depuis plusieurs mois.


-Putain de sa race, putain de sa race, putain de sa race, scandait sans relâche Ellen à voix basse, à la façon d'une incantation rituelle.

S'empêcher de tordre ses doigts dans tous les sens était peine perdue, elle s'adonna finalement à les faire craquer. Evidemment elle stressait. De ce simple constat elle ne tira pas grand chose, hormis la certitude qu'elle était quelqu'un de trop anxieux et qu'une petite infusion de camomille serait la bienvenue.

Je pense comme une vieille, ricana-t-elle intérieurement sans perdre de vue le fait que cette affirmation n'était pas dans le vrai. Elle allait sur ses vingt-quatre ans et ses actes en tant qu'adulte responsable restaient rare. L'avis de recherche qui la signalait aux quatre coins du monde était effectivement entravant. Mais elle se complaisait surtout dans cette vie en marge du système habituel. Pas de travail à proprement parler, un cercle d'amis restreint à l'extrême... Son parcours ressemblait de moins en moins au modèle de réussite plébiscité par les masses, mais elle restait confiante quant à son avenir.

Enfin là, tout de suite, beaucoup moins.

Qu'est-ce qu'il fout ?

Le mois dernier, L lui avait fait une proposition étrange. Pas si étrange en fait, mais venant de lui c'était quand même inattendu. Ce moment là, elle en gardait un souvenir bien net.

C'était une soirée tiède, un mois plus tôt donc, il était tard et elle commençait à s'endormir. Elle mangeait des nouilles sur le canapé, vêtue son pyjama . Son ordinateur portable tenait dans un équilibre précaire sur ses genoux. Debout derrière elle car venant d'arriver dans la pièce, L demanda subitement, de son ton le plus neutre :

-Tu aimerais qu'on se marie ?

Ellen se figea, fourchette pleine à mi-chemin entre l'assiette et sa bouche. Elle la reposa ensuite dans l'assiette en la fixant avec attention.

-Tu regardes cette fourchette comme si c'était elle qui venait de parler, constata le détective.

Elle déglutit, se décida après quelques hésitations à se débarrasser de son assiette qu'elle menaçait de renverser à tout moment. En conséquence ce fut son ordinateur qu'elle fit tomber sous l'air observateur de L.

Elle se retourna vers lui sans arriver à répondre, un peu perturbée.

-Tu es pâle, constata-t-il en posant sa main sur son front.

-Je vais bien.

-Tu réagis de façon étrange, est-ce que c'est un refus ?

Elle lui sourit un peu confusément, attrapa sa main à la fois pour démentir et avoir un point d'appui. Ça n'eut pas l'air de suffire, il continuait de la fixer en attendant une réponse orale.

-Est-ce que c'est sérieux ? Parvint-elle finalement à formuler d'une voix un peu faiblarde.

-Oui.

Son visage passa du blanc au rouge quand elle se décida à lui donner une réponse positive. Elle dut se faire violence pour enfin affirmer :

-Hm. Oui.

Devant son expression toujours impassible et son regard scrutateur, elle se sentit obligée d'ajouter :

-Oui, si tu veux qu'on se marie je n'y vois pas d'opposition.

Il martela le sommet de sa tête du bout de son index.

-Ton comportement est surprenant, je ne pensais pas que tu attachais autant d'importance au mariage.

Elle roula des yeux agacés et s'aplatit sur le canapé, se sentant légèrement nauséeuse. S'il n'était pas si imprévisible, aussi, peut être aurait-elle pu travailler son jeu d'actrice. Là, forcément, prise au dépourvu, évidemment qu'elle se trahissait.

-C'est hautement symbolique, mais je n'y attache pas vraiment d'importance à titre personnel.

Il se pencha au dessus d'elle.

-Je ne te crois pas.

Elle se redressa et essaya de le déséquilibrer en l'étreignant. Ce qui échoua.

-En ce qui concerne la cérémonie, les papiers, ce genre de choses, Watari s'est arrangé pour programmer ça le mois prochain.

Le fait que tout ait été prévu sans son accord était tellement habituel avec L qu'Ellen sourcilla à peine.

-Où, quand exactement, sous quelles identités ?

Il eut un sourire.

-Sois prête d'ici trente jours.

Et elle ne put rien savoir de plus. Elle eut beau user de tous les subterfuges possibles et imaginables, impossible de connaître les projets du détective.

-Salut tête de pioche, minauda-t-elle en le voyant enfin apparaître.

Elle l'aurait parié, L avait fait exprès d'avoir du retard, c'était aussi certain que les sourds n'entendaient pas.

-Pas la peine de me dire des mots doux pour détourner mon attention, j'ai remarqué ton stress depuis une semaine, avec cependant une remarquable aggravation ces trois derniers jours et le paroxysme atteint ce matin.

Il lisait en elle comme dans un livre ouvert, annoté et commenté, le tout avec des passages importants surlignés, ce qui ne manquait pas de la surprendre même après tout ce temps. Sûrement du au fait qu'il était le seul à avoir pu cerner son caractère ombrageux ; tout ce qui était enfoui sous une jovialité apparente, empêchant la plupart de jamais pouvoir la percer à jour.

Elle aussi à présent savait décrypter la morne plaine qu'était le faciès peu expressif de celui qu'elle aimait. Parce qu'elle l'aimait. Elle était bien de ces quiches qui s'émerveillaient chaque jour de la joie d'être en présence de l'être aimé. L'un pour l'autre ils étaient tout. Rien de plus cliché mais rien de plus vrai.

-Tu es songeuse. Sais-tu que tu as tout de ces héroïnes à l'eau de rose quand tu prends cet air vague ?

Elle frissonna de protestation.

-Tu cherches à m'insulter ? La seule héroïne de littérature que je puisse être serait à la rigueur une impératrice, plaisanta-t-elle.

Il lui sourit mesquinement, la blancheur de ses dents rivalisant avec celle de sa peau.

-On ne choisit pas son rôle, Mademoiselle Horvath.
Elle rit franchement.

-Dit celui qui n'a de cesse de changer d'identité.

-Je suis celui qui distribue les cartes, rappela-t-il en se penchant dangereusement au-dessus de l'être peu impressionnable qu'il surplombait de sa hauteur.

Ellen l'embrassa comme on défie, léchant sa lèvre inférieure pour lui rappeler que si elle le voulait elle pouvait le faire plier.

Deviner sa perte de contenance à peine perceptible était un exercice auquel elle se livrait volontiers. Souligner qu'il était humain était source de satisfaction. Mais gare aux représailles.

Ils prirent l'avion pour une destination connue de L et seulement lui. Ellen, frustrée et terriblement mal à l'aise, passait son temps à l'embêtait pour tromper ses craintes. Assise sur son siège, elle commença à taper un rythme sur ses genoux. Un sourire s'esquissa sur ses lèvres alors qu'elle commençait à chanter :

I'm so happy because today

I've found my friends

They're in my head

I'm so ugly, but that's okay, cause so are you

We've broken our mirrors

Lithium, de Nirvana, qu'elle se permettait d'emprunter à Curt Cobain. L lui sourit, sans relever qu'elle venait de le traiter indirectement de laideron. Il avait forcément compris le clin d'oeil.

-On arrive.

Ils atterrirent au milieu de nulle part, dans un paysage qui rappelait l'Europe à Ellen, mais en bien plus rude. Les arbres étaient parés d'or, et tout n'était que plaines boisées, vierges de toute présence humaine.

Elle voulut lui demander où ils se trouvaient, mais il la devança et lui dit tout de go :

-La cérémonie se déroule d'ici une heure, on se retrouve à l'église.

Puis il la laissa abasourdie entre les mains d'une femme d'apparence slave qui la traîna dans une maison traditionnelle apparemment... Russe ? Oui ce devait être ça, ils étaient en Russie. Ellen reconnaissait la façade boisée, le style coloré et cossu de la Mère Patrie. Elles étaient à peine entrées dans la datcha que la femme lui sortit une longue robe blanche et lui fit comprendre à grands renforts de mime et de mots inintelligibles qu'elle devait l'enfiler. Ellen passa donc la robe dans la pièce d'à côté, un grand salon dont les murs étaient recouverts de tapis brodés. La robe avait un jupon encombrant, mais assez chaud pour qu'elle supporte la cérémonie sans grelotter. La cérémonie. Ce n'était donc pas une blague, elle allait se marier. De quoi avoir le tournis.
Le bustier était magnifiquement brodé, bien que lourd il restait très élégant, accompagné qu'il était de belles manches trois-quart elles aussi cousues d'or et de perles minuscules tant et si bien qu'elle en étaient rigides. La robe en elle-même avait un aspect ancien, chargé, mais cela allait à la perfection à Ellen, qui ressemblait déjà à une mariée très en beauté.

Toute affairée avec moult voiles et parures dans les bras, la matriona refit son apparition. Elle marmonnait des courts charabias en regardant la française, puis son attirail, puis de nouveau la française. Elle finit par poser le tout sur une table basse en bois massif sculpté, puis farfouilla avant de trouver un imposant collier qui n'était qu'or et perles.

-Je ne peux pas mettre ça, s'opposa Ellen en le voyant.

La matriona ne comprit pas ou l'ignora, elle lui attacha le lourd collier au cou et finit de la parer en lui mettant les boucles d'oreilles et les bracelets assortis sans tenir compte du désaccord de la plus jeune.

Elle fut ensuite maquillée, ses cheveux longuement brossés et coiffés en un ensemble compliqué de tresses. L'appréhension ne faisait que croitre, surtout qu'elle ne pouvait pas vérifier ce que la slave trafiquait avec son apparence. Dans les nattes elle pouvait sentir de petites perles disséminées un peu partout. Quel massacre ça allait être ?

L'autre la tira finalement vers un grand miroir en pied, Ellen détourna un peu le regard avant d'oser constater l'ampleur des dégâts.

-Oh.

Ce n'était pas si moche. Le tout était harmonieux, en fait ; imposant mais d'un rendu à couper le souffle. D'ailleurs le collier était si pesant qu'elle sentait sa poitrine se soulever difficilement, et ses déplacements étaient considérablement ralentis par la tenue. Elle avait les joues roses, des yeux mis en valeur par un peu de maquillage, et le rouge à lèvres carmin était parfait. Sa chevelure encadrait son visage d'une façon ravissante, et les perles rappelaient les broderies de la robe.

Le chemin qui menait à la petite chapelle croulant sous le lierre lui parut interminable, elle haletait sous l'apparat. Elle déboula dans l'église avec un peu de peine, son regard tombant directement sur L. Elle rit un peu. Il avait mit un costume, et c'était la première fois qu'elle le voyait si bien habillé. Remontant l'allée centrale sous les regards du prêtre et de son futur époux, elle retint difficilement ses larmes. C'était peut être ridicule, mais elle était vraiment heureuse. Il n'y a avait pas de marche nuptiale, pas de spectateurs. C'était mieux ainsi. Juste le bruit de ses pas sur les dalles dans le silence humide. Elle gravit les marches, arrivant enfin face à l'autel.

L'échange des alliances et des phrases de convenance se passèrent comme dans un songe. Elle ne lâchait pas L du regard, n'écoutant qu'à peine le prêtre et ses sermons. Ils finirent par s'embrasser, elle pleurait franchement à présent. Il la prit dans ses bras, tous deux restèrent un moment ainsi.

Le reste de l'après-midi s'écoula tout aussi rapidement ; entre les quelques photos, les rires, la balade dans le bois moiré qui avait revêtu son apparat automnal, c'était comme s'ils vivaient un film en accéléré. Le crépuscule tomba et ils durent rentrer à la datcha. Son mari à présent, Lawliet qu'elle appelait plus volontiers L ou Ryûzaki, lui promit une surprise. Il avait pris son ordinateur portable et lança une vidéo reprenant le format et le ton de celles diffusées par le détective mondialement reconnu.

"Ici L. Je publie aujourd'hui le résultat final de mon investigation sur l'affaire Kira et déclare qu'Ellen De Kirza, accusée par la police japonaise d'être impliquée, est innocente. Interpol est invité à cesser les recherches à son encontre. "

-Ce sera diffusé sur la majorité des chaînes d'informations ce soir. Court mais suffisant.

Ellen avait du mal à comprendre.

-Mais ils vont faire des recherches du côté de L maintenant, c'est louche ce message !

Il haussa les épaules.

-Je ne suis plus L.

Elle voulut balbutier quelque chose, sans grand succès.

-J'ai légué ce pseudonyme à Near et Mello l'an dernier. Toutes les affaires que nous avons résolues depuis l'ont été sous le pseudonyme de Gil Imaga. Je croyais que tu remarquerais ce détail.

-Mais.. Mais Near et Mello ? Ils-

-Tout est convenu avec eux. Ils savent qu'Ellen De Kirza est innocente, Sarah-san.

Elle leva les yeux aux ciel en l'entendant utiliser sa couverture.

-Et bien, merci Ryûzaki.

Voyant qu'il avait l'air un peu boudeur, elle se reprit :

-Merci sincèrement. J'arrive pas encore à y croire, j'ai vraiment des chances d'être blanchie ?

-Tu es déjà blanchie. Tu es Sarah Horvath. Le mieux que je puisse faire, c'est faire en sorte que la surveillance soit relâchée afin que tu puisses de nouveau voir tes proches et te déplacer comme bon te semble. Mais tu ne pourra probablement jamais retrouver ton identité, c'est trop risqué.

-C'est déjà énorme.

Elle le prit dans ses bras et le serra le plus fort qu'elle put.


Me revoilà :) Concernant les points à éclaircir au niveau de l'histoire :

-J'ai imaginé la mort de Light dans une optique de rédemption. Il a succombé au feu, symbole purificateur dans de nombreuses cultures, plus particulièrement la culture judéo-chrétienne dont tout le manga est graphiquement imprégné. Ensuite, il est mort en sauvant son padre. J'aurais pu le faire crever en salaud fini (surtout que ce personnage me débecte) mais j'aime jouer sur les nuances et montrer du bon dans le méchant.

-La scène sur le toit de l'immeuble a dérouté pas mal d'entre vous car elle rappelait celle précédant la mort de L dans l'anime. C'était un clin d'oeil, je voulais montrer que mon OC ne dénaturait pas totalement l'histoire mais faisait juste dévier son cours. Ma hantise était de voir Ellen altérer l'ambiance très particulière de DN, je voulais au contraire qu'elle s'y intègre. D'ailleurs c'est pour cette raison que j'ai hésité à mettre un happy-ending : DN s'y prête peu. Ça ne coïncidait pas avec le ton.

-Concernant directement mon OC, j'ai eu quelques surprises. Alors que je m'étais basée sur mon caractère tout en gardant une petite ressemblance physique avec moi (pas tant que ça Ellen est plus jolie quand même hein xD), elle s'est progressivement forgé son propre caractère au fil de son périple. Tant et si bien que je ne me reconnais presque plus en elle ! Ellen est bien moins torturée, chiante et caractérielle même si elle reste quelqu'un d'impétueux :p

-Il y a de nombreux éléments de l'histoire qui sont du vécu ! Je ne vais pas tout vous révéler mais par exemple la toute première apparition d'Ellen, quand elle fait sonner l'alarme intrusion, sachez que votre brave petite Cepphei a fait de même x) La situation générale était différente mais pas beaucoup moins compromettante. Jeunesse mouvementée avec double dose de bêtise :') Enfin bon, démêlez le réel du fictif si vous le voulez, mais ce ne sera pas tâche facile à mon avis.

-Le génie d'Ellen... Étonnant parait-il ? Bon j'admets que j'ai assez peu développé ce côté du personnage, mais il me semblait perpétuellement présent. Pourquoi ? Et bien Ellen tient tête à L, et dans ce dans le moindre de leurs échanges. Ils sont au même niveau, elle ne le contredit pas pour s'affirmer ou pour le défier (bon un peu quand même lol) mais de façon intelligente, parce qu'elle est en mesure de cerner ses défauts et de les corriger. Je trouve L et Ellen très complémentaires sur le plan du raisonnement, car même s'ils ont des visions différentes leurs conclusions se rejoignent souvent. Malgré l'intelligence plus rationnelle de L et la réflexion originale et "littéraire" d'Ellen, ils sont tous deux sur la même longueur d'ondes. Ma théorie : leurs QI sont à peu près les mêmes (je sais que le QI est un indicateur assez trompeur, mais vous voyez ce que je veux dire). Ils raisonnent aussi vite l'un que l'autre même si leur chemin de pensée est radicalement différent.

Réponses aux reviews

Waouh, merci beaucoup à toutes celles qui ont eu le courage de commenter ma fiction tout au long de la publication des chapitres. 100 reviews :O c'est génial, merci à vous ! Merci également à celles qui m'ont ajoutée à leurs auteurs favoris, qui ont favorisé mon histoire et l'ont followé ! Merci de tout coeur, c'est grâce à vous que j'ai continué cette fic, je n'aurais pas eu le courage sans vous.

Guest : Bon les guests, trouvez vous un pseudo parce que je ne peux pas vous différencier :'( bref, merci à toi d'avoir commenté, vivent les licornes et merci d'avance pour ce review long et tout et tout :p

Erina : C'est vrai que ça fait longtemps que tu suis l'histoire, merci à toi :D Si la fin t'as plu, je suis super contente, et merci vraiment de l'avoir lue dans son intégralité.

RENOxTIFA : Merci ! Très heureuse de te voir si enthousiaste, merci pour les compliments :p Hum... Tu veux que je trouve ton année de naissance sans calculatrice ? C'est de la torture. Bon je tente le coup. 2015-21 = ... 1994 ? :D Mon cerveau a failli exploser là xO

Ana : Bijour toi :3 Ma fidèle revieweuse, tu mérites un prix ! Et oui, je n'ai rien d'autre à t'offrir que ce Happy-ending, bien mérité après toutes ces supplications ;) Merci pour ces titres, mon royaume de bisounours se porte toujours bien à ce jour, nous sommes en surabondance de guimauve je peux t'en lancer de là où je suis (heaven, of course). Dans ce chapitre, plus de précisions sur la "réabilitation" de notre cher Ellen la tueuse au Death Note ;) J'aurais en effet pu décrire la réaction de ses proches, mais il y a pour moi une telle coupure après l'affaire Kira que bon ça me semblait forcément nécessaire (oui j'ai la flemme... T.T). J'ai jamais vraiment parlé des proches d'Ellen c'est vrai... Bon ce sera la faiblesse de cette fic ! J'aurais volontiers fait une petite scène avec Near et Mello mais à ma décharge... J'ai arrêté DN avant de voir L mourir (insupportable pour la fangirl que je suis) donc je n'estime pas connaître suffisamment les lascars pour t'offrir un paragraphe de qualité. J'aurais pas voulu te décevoir :/ Et oui en effet j'ai terminé la fic un peu abruptement, j'en suis parfaitement consciente, mais ayant d'autres projets et moins le foi qu'avant de bosser là dessus, je préfère écourter plutôt que de baisser en qualité.

Guest : Hey :) je ne compte malheureusement pas écrire plus en détail les aventures de nos deux détectives, parce que je n'ai tout simplement plus l'inspiration pour cette fic. Merci du review et désolée :(

Wow19 : chose promise chose due, voici l'épilogue. Un peu court, très synthétique, mais là encore je manque de volonté et je ne voulais pas vous faire poireauter plus longtemps.. En espérant que cela te plaise tout de même :)

Merci, merci, merci ! Des bisous à la barbe à papa et au sucre candi, encore merci !

Note à Diamly : Milles excuses. Je n'ai pas fait le moment avec le lancer de bonbons sur les mariés, pas de fontaine de chocolat, pas de Matsuda qui mange de la barbe à papa.. :'( gomen nasais, et à nos rêves brisés !


Petite annonce/coup de pub : je commence une fiction sur le fandom d'Harry Potter en collaboration avec une amie, n'hésitez pas à passer sur mon profil prochainement, j'aurais peut être publié le prologue :) Elle sera sur le trio Bellatrix/Narcissa/Andromeda, les trois soeurs black donc (enfin plus particulièrement sur Meda et Cissy) et j'espère qu'elle plaira autant que cette fiction même si son genre sera radicalement différent !

Bisous chères lectrices, bonnes vacances et portez-vous bien !