Et voilà. Nous sommes au bout de cette aventure. Ce chapitre est le dernier. Je ne sais pas si Cecania13 reprendra cette histoire un jour, d'après ce qu'elle m'a dit, elle n'en a pas l'intention pour l'instant. Vous le comprendrez en lisant sa note à la fin.

Merci à tous ceux qui ont lu et laissé un petit commentaire pour ces histoires : loveday-412, AsdeCoeur, aliena wyvern, Neiflheim, Smilinginlove, LilieMoonlightchild, sacrok, Akira Oakenshield, manelor.

Un merci particulier à Axire qui m'a entraînée dans son univers et permis de découvrir les joies du forum RP (le nom de son site est sur ma présentation.).

J'ai aimé les traduire ses histoires et j'ai été contente de voir que vous avez apprécié de les lires.

Réponse au SCF (Sans Compte Fixe) :

Fantome : Merci pour ta review. J'ai fait de mon mieux pour respecter le style et le texte d'origine, même si je dois reconnaître que, vu le contexte, ça n'a pas toujours été évident. Je ne pense pas qu'il y ait trop de différence avec le texte d'origine, juste quelques tournures de phrases un peu différentes.

Et je suis désolée, mais comme tu l'auras vu dans l'intro, le chapitre que je publie aujourd'hui est le dernier…

Mais, je travaille sur une autre traduction, qui je pense, pourrait plaire à celles qui ont apprécié cette histoire. Je pense mettre le premier chapitre en ligne en fin de semaine.


Personnellement, j'ai beaucoup aimé ce chapitre. Je le trouve particulièrement mignon, on y découvre que Kili peut être un père attentionné et un époux passionné.

Résumé :

La journée avait été longue mais ton mari avait des projets pour la soirée.


Roulant des épaules, tu essayas de ne pas soupirer. Elles te faisaient mal et c'était désagréable. Tu ne savais pas ce qui avait possédé ces enfants aujourd'hui, mais aucun d'entre eux n'avait voulu marcher. Alors tu avais trimbalé ses bambins chamailleurs partout dans la montagne. Tu avais tenté d'être ferme et de refuser, mais ça n'avait pas marché. Ils savaient exactement quoi faire pour te convaincre. Grosses colères, yeux sombres et lèvre inférieure tremblante et tu étais faite.

Tu te demandais qui leur avait appris ces tours.

Tu roulas tes yeux et libéra tes cheveux. Si ce n'était parce qu'il allait utiliser les mêmes tours, tu aurais rouspété après leur père pour leur apprendre des méthodes aussi sournoises. Parfois tu te demandais s'il grandirait un jour, mais tu savais aussi que la lueur malicieuse en lui était une des choses que tu aimais le plus chez lui.

Des hurlements sourds en provenance de la pièce d'à côté te firent regarder la porte qui menait à leur salle de jeu. Elle était entrouverte et c'était plus que suffisant pour que tu entendes les voix claires et haut perchées des enfants et le grondement sourd de celle de leur père. Il était tôt, tu ne t'attendais pas à ce qu'il revienne déjà.

Tu marchas vers la porte, et jeta un coup d'oeil dans l'ouverture. Trois bambins escaladaient et tournaient autour du nain assis sur le sol. Il riait de plaisir, les encourageant à chacun de ses éclats de rire. Il était encore dans ses habits de cours, mais ne semblait pas se soucier que les petites bottes laissent des empreintes poussiéreuses sur lui.

Tu appuyas ton épaule contre le montant de la porte, et un sourire étira ta bouche. C'était une vision adorable qui fit fondre ton coeur dans un soupir. C'était des moments comme celui-là qui te faisaient oublier quel genre de royales terreurs ces enfants pouvaient êtres. Mais, là ils étaient d'adorables enfants excités de jouer avec leur père.

Ses yeux sombres se relevèrent soudains et rencontrèrent les tiens. Il te jeta un sourire paresseux et un geste équivoque malgré les bambins. Ça fit se recourber tes orteils dans tes chaussures juste au souvenir des autres fois où il l'avait fait.

Tu lui retournas son signe mais avant que tu n'ais pu entre dans la pièce, il secoua légèrement la tête. Fronçant les sourcils tu penchas la tienne d'un air interrogatif.

Il hocha le menton en direction de la porte, te demandant de ne pas entrer.

Tes épaules s'affaissèrent. Oui, tu étais fatiguée mais tu aurais voulu passer un peu de temps avec lui et vos enfants.

Quand il t'envoya un baiser, tu en pris ton parti et quitta l'embrasure de la porte. Tu fermas la porte derrière toi et te glissas dans la chambre. Maintenant qu'allais-tu faire ? Soupirant, tu te dirigea vers le lit et t'y laissa tomber. Ça ne t'aida pas vraiment. Peut-être que si tu faisais un petit somme il t'autoriserait à jouer avec ta famille ?

Frottant ta joue contre le doux couvre-lit, tu commenças à te détendre. Un petit somme te ferais le plus grand bien. Peut-être que quand tu te réveillerais ton mari ne te refuserai pas le plaisir de passer du temps avec ta famille.

Tu te réveillas en sentant quelqu'un t'ôter tes bottes. "Kili ?" marmonnas-tu, te relevant un peu.

"Shh, mon amour," t'apaisa-t-il d'une voix profonde. "Ce n'est que moi."

Regardant par dessus ton épaule, tu le vis accroupi à côté du lit, ses mains occupées à libérer les lacets autour de tes chevilles. Quand il t'enleva la seconde botte, tu soupiras et agitas tes orteils.

"Longue journée ?"

"Mm, comme d'habitude. Lorsqu'ils ont autant d'énergie, c'est au delà de mes capacités."

Il rit et un soupir gémissant t'échappa quand ses doigts forts commencèrent à frotter la plante de tes pieds. "Maman disait la même chose à propos de nous. Ne pense pas qu'elle ait jamais trouvé de réponse, et ne penses pas que tu la trouveras toi non plus."

Tu soupiras profondément et t'étendit sur le ventre dans le lit. Tu ne voulais pas une réponse, tu voulais juste un jour où tu n'aurais pas à courir après trois enfants qui agissaient comme s'ils avaient mangés trop de sucreries. "Hey" murmuras-tu quand sa caresse remonta, te chatouillant.

"Détends-toi, mon amour" murmura-tu, ses doigts bougeant sur tes mollets.

Enfonçant ta tête dans tes bras, tu sentis que tu commençais à te détendre sous son massage. Sa caresse était ferme et savante alors qu'il travaillait et ça te berçait, te conduisant au seuil du sommeil. "Mm, Kili, arrête" te forças-tu à dire.

"Pourquoi est-ce que j'arrêterais ?"

"Les enfants doivent être mis au lit" Tu voulais vraiment rester au lit et te noyer dans les caresses de Kili. Mais tu savais ce qui devait être fait et si Kili les avaient énervés ils seraient difficiles à endormir.

"Non, c'est bon" insista-t-il, te repoussant quand tu essayas de te lever.

"On ne peut pas les autoriser à rester debout toute la nuit."

"Je les ai couchés plus tôt."

Clignant des yeux, tu regardas par dessus ton épaule à nouveau. "Tu quoi ?"

"Tu dormais" dit-il en haussant les épaules. "J'ai pensé que si tu était aussi fatiguée, je devais t'offrir un break et m'occuper de ça.

"Ils font semblant de dormir."

"Non" rit-il. "Il m'a fallu cinq histoires mais ils sont tous endormis."

Tu fis un bruit qui était entre incrédulité et irritation. Il t'en fallait habituellement le double pour y parvenir. Apparemment, quand papa racontait les histoires ça marchait mieux que quand c'était maman.

"Ne soit pas comme ça" dit-il d'un ton apaisant, ses mains glissant sur le derrière de tes cuisses. "On m'a dit que mes histoires étaient bonne, mais que mes voix étaient mauvaises."

Reniflant, tu te recouchas. "J'en doute".

Ses mains te quittèrent et tu sentis les liens dans le dos de ta robe se tendre et se détendre. "Maman fait la voix plus haute papa." Dit-il, imitant une petite voix haut perchée. "Maman ne raconte pas ça comme ça, Papa. Dit le comme il faut."

Un rire reniflant t'échappa. "N'empêche, il ne t'en a fallu que cinq". Marmonnas-tu, bougeant pour l'aider à t'enlever la robe.

"Nous avons d'abord joué pendant un couple heures pour qu'ils soient fatigués."

Tu hochas la tête avant de sursauter. "Un couple d'heures ?! Combien de temps ai-je dormis ? Demandas-tu.

"Un couple d'heures."

"J'ai…."

La tête de Kili tomba sur le côté alors qu'il te regardait. "Qu'est-ce que ça peut faire ? Tu avais besoin de repos, mon amour, et c'était bien d'avoir une soirée avec les enfants." Il poussa doucement tes sous-vêtements et pressa un baiser sur ton dos. "Ça n'arrive pas aussi souvent que je le voudrait."

Non, vraiment tu ne pouvais pas lui en vouloir pour ça. Un petit soupir t'échappa quand il commença à te frotter le dos. "Kili" marmonnas-tu.

"Laisse moi faire ça pour toi."

Te de détendis complètement alors qu'il chassait la tension de ton dos. Il y avait longtemps que vous n'aviez pas eu un peu de temps tous les deux sans les enfants jouant autour de vous. Des frissons éclatèrent quand sa caresse se fit plus appuyée. "Tu le fais exprès" l'accusas-tu.

Il embrassa à nouveau ton dos et tu sentis son sourire. "Je ne ferais jamais ça" protesta-t-il.

"Bien sur que si."

"Peut-être".

Souriant au rire dans sa voix, tu te cambras un peu quand ses pouces frottèrent le bas de ton dos. Un léger ronronnement t'échappa alors que le massage chassait les élancements et la douleur de ton dos.

Quand ses mains glissèrent simplement sur ta peau, tu te sentais toute molle de bonheur. Tes paupières étaient lourdes alors que le sommeil t'attirait à nouveau. Tu marmonnas faiblement quand le lit bougea alors qu'il en descendait.

"Tu ne vas pas t'endormir sur moi, n'est-ce pas ?"

Ta réponse fut douce et évasive.

"C'est ma faute je suppose" rit-il et tu entendis le murmure de ses vêtements alors qu'il se déshabillait. "Cependant, je ne m'attendais pas à ce que tu sois aussi fatiguée."

"Mm, pourquoi ? Tu avais des projets ?" soupiras-tu, parfaitement heureuse d'être enroulée dans les couvertures et blottie dans les bras de ton mari pour le reste de la nuit.

"Oh, je sais pas," dit Kili, d'un air songeur. "Les enfants sont tranquilles pour la nuit, profondément endormis et ma charmante épouse est nue dans notre lit. Qu'est-ce que j'aurais pu prévoir ?"

Clignant des yeux, tu te redressas pour le regarder. Sa tunique s'était envolée et son pantalon tombait sur ses hanches. Tu ne pus t'empêcher de te lécher les lèvres quand ton regard suivi la ligne de poils sombres sous son nombril qui disparaissait sous les liens de son pantalon. Tes yeux remontèrent doucement, suivant amoureusement le tracé sur sa poitrine jusqu'à ce que tu rencontres son regard. "Oh" chuchotas-tu.

Il leva un sourcil "Oh ?" demanda-t-il, ses doigts se crochetant sous la ceinture de son pantalon. "Tu as changé d'avis ?"

Tu baissas les yeux une seconde avant de les relever. "Je ne sais pas, je ne suis plus fatiguée" murmuras-tu.

"Tu est sure ? Tu t'es effondrée de fatigue et tu étais presque endormie il n'y a pas cinq minutes.

"Kili, rentre dans ce lit" dis-tu fermement.

Il sourit doucement et rampa sur le lit. Quand tu essayas de te retourner, il t'arrêta, une main sur ton épaule. "Ne bouge pas, mon amour."

"Mais…"

Se penchant, il attrapa ton menton et t'embrassa lentement. Tu gémis doucement quand ses dents coururent sur ta lèvre inférieure, mordant gentiment la chair gonflée. Quand il se redressa, tu laissas échapper un soupir et tu rencontras son regard. La lueur malicieuse que tu y vis fit se contracter délicieusement ton corps. "Reste comme ça, mon amour" dit-il doucement.

Le désir se réveilla en toi et tu te laissas aller contre les couvertures. Tes yeux se fermèrent quand il pressa des baiser sur ton épaule et la douce caresse de ses cheveux sur ta peau te fit frissonner. Il t'embrassa à nouveau et glissa doucement sur ton dos. Tu bougeais sous lui, tes doux balancements te faisant frotter contre lui.

Kili émit un bourdonnement sourd qui fit fondre tes os. Tu retins ta respiration quand ses mains se posèrent lourdement sur ton cul et le serrèrent. Ses pouces couraient en petit cercles à l'endroit où tes jambes rejoignaient ton corps, se déplaçant vers l'intérieur. Tes jambes s'écartèrent sans que tu y penses alors qu'il te massait et tu sursautas quand il te mordit.

Tes mains s'agrippèrent à la couverture quand il planta des morsures et des baiser sur ta chair dodue. Ta respiration se fit tremblante quand ses doigts glissèrent sur le derrière de tes cuisses, tu te tortillas d'impatience de ce qui allait arriver. "Enfoiré" chuchotas-tu quand il commença à embrasser tes cuisses.

Son rire profond fit se tendre tes muscles et une chaude humidité envahie l'intérieur de tes cuisses. "Et tu dis que je n'ai aucune patience."

Enfonçant ton visage dans le matelas, tu essayas de ne pas faire de bruits alors qu'il embrassait et frottait un chemin descendant sur tes jambes. Chaque effleurement de ses lèvres te faisait pétrir les couvertures. Ses doigts vigoureux et savants rendait ton sexe glissant alors que tu pensait à ce que tu ressentirais quand ils arriveraient finalement entre tes cuisses. Tes orteils se courbèrent quand ses doigts effleurèrent tes chevilles et tu sursautas quand il caressa le dessus de ton pied.

"Tellement sensible" souffla-t-il, embrassant le derrière de ton genou "Et impatiente. Je vois combien tu est humide pour moi."

Tu ne fus pas gênée, tu étais avec lui depuis trop longtemps, mais tes jambes tentèrent de se refermer à ses mots.

"Ah" dit-il, attrapant tes genoux pour les empêcher de se rejoindre. "Ne te dérobe pas à ma vue".

Maintenant tu étais embarrassée. Tu pouvais le voir, ou plutôt le deviner. Ses mains étaient enroulées autour de tes genoux alors qu'il était couché sur le ventre entre tes jambes écartées. Il ne faisait aucun doute qu'il regardait le haut des tes cuisses en le disant, cela ne fit que te rendre encore plus humide. "Kili" marmonnas-tu.

Ses lèvres touchèrent l'intérieur de ta cuisse. "C'est que ça fait trop longtemps si tu es prête pour moi si facilement" dit-il calmement, embrassant un peu plus haut.

Tu ne voulais pas penser à la dernière fois que tu avais eu ton mari. Tout ce que tu voulais, c'était l'avoir maintenant. Une respiration lente t'échappa quand il frotta son nez contre toi, remontant le long de ta cuisse. Ses lèvres suivirent, des baiser aussi léger que des papillons effleurant ta peau.

Tu tressaillis quand son souffle caressa ta chair humide, tu essayas de ne pas reculer pour qu'il te touche. Tes dents coururent sur ta lèvre alors qu'il te faisait languir te faisant te contracter un peu plus. Ses mains étaient immobiles sur toi, sa peau presque brûlante contre la tienne. Mais il ne fit rien d'autre.

Tu te tortillas, le désir et l'impatience grandissant à chaque seconde qui passait. Qu'est-ce qu'il faisait ? C'était lui qui avait commencé après tout. Pourquoi ne faisait-il rien ?

Un cri strident t'échappa quand sa langue glissa sur toi. Ses mains atterrirent sur ton cul à nouveau et te repoussèrent sur le lit. "Tu es dégoulinante pour moi" dit-il d'une voix rauque "C'est comme du miel sur ma langue."

"Kili" gémis-tu doucement quand il s'éloigna de toi.

"Sur les genoux, mon amour".

Ces mots rugueux te firent prendre feu et tes membres étaient tremblant alors que tu te soulevais lentement. Tu soupiras quand ses mains trouvèrent tes hanches, t'aidant à te stabiliser. Quand il se serra contre toi, ta tête se pressa contre son épaule et ses caresses glissèrent autour de ton corps. Il caressa furtivement tes seins avant que sa paume ne presse au milieu de ta poitrine.

"Viens ici" grogna-t-il dans ton oreille.

Tu haletas quand il poussa sur le lit et t'emmena avec lui, tu frissonnas quand il tint ta cuisse contre lui. Quand tu fus debout sur tes genoux, la main sur ta poitrine glissa et empoigna tes plis veloutés. Ta tête tomba en arrière quand ses lèvres chuchotèrent sur ton cou et tes épaules, ses doigts glissaient doucement sur toi.

"Non" gémis-tu quand sa main bougea, tes hanches se contorsionnant à cette perte.

Kili bougea derrière toi et le sentir pousser entre tes jambes vous fit frissonner tous les deux. Sa main pressaient contre ton estomac te gardant immobile alors qu'il se balançait doucement.

Un gémissement étranglé t'échappa quand la tête gonflée de sa bite frotta contre ton clitoris. De petits balancements était tout ce que tu pouvais faire alors qu'il te tenait, t'excitant encore plus en te retenant prisonnière contre lui. Quand sa bouche effleura ton oreille, tu laissas échapper un gémissement alors que le plaisir te frappait. "Kili".

"Mets moi en toi, mon amour" ronronna-t-il, ses lèvres bougeant sur ton cou à nouveau.

Tu serras les paupières, tes mains tremblaient alors que tu les glissais vers le bas et qu'il continuait à frotter. "Ah" haletas-tu quand une main glissa entre tes jambes et le pressa fermement contre toi.

Kili grogna quand tes doigts poussèrent sur lui, le guidant en toi. "Oui" siffla-t-il doucement, donnant une courte poussée.

Tu gémis quand il poussa superficiellement, ta main resta entre tes jambes, le caressant à chacun de ses mouvements. Une de ses mains empoigna ta poitrine, la pétrissant doucement et te gardant debout alors qu'il commençait à pousser plus fort. Tu lanças une main en arrière pour agripper ses cheveux quand il pressa son visage dans ton cou.

Tu roulais des hanches, rencontrant chacune de ses poussé alors qu'il bougeait plus vite. Tes doigts se déplacèrent juste assez pour frotter contre ton clitoris. Kili jura quand tu te contractas autour de lui, tes muscles se serrant assez pour rejeter ses poussées. Tu frissonnas quand il pinça ton mamelon.

"Tu l'as fait exprès" t'accusa-t-il d'une voix rauque.

"Je ne ferais jamais ça" soupiras-tu, tes doigts frottant sur et autour de ton clitoris.

Kili poussa durement en toi "Menteuse."

Souriant faiblement, tu ronronnas profondément quand il pompa en toi. Le sourire s'effaça rapidement alors qu'il te prenait, halètement et gémissements glissant de tes lèvres. Tu fermas les yeux quand des étoiles éclatèrent sous ta peau. Il t'embrassait et te mordait à nouveau, ravageant soigneusement ton cou.

Tu poussa contre lui, le conduisant plus profond. Un gémissement craquelé t'échappa avant que tu ne cris quand ton orgasme te réclama. Tremblante dans sa poigne, tes doigts ralentirent sur ton clitoris et tes hanches tressautèrent contre lui. Tout ce que tu voulais était t'effondrer sur le lit, mais il te gardait contre lui et continua de pousser.

"Kili" haletas-tu, ayant la sensation qu'il te poussait trop loin.

Il grogna contre toi et tu crias à nouveau quand il te renversa sur le lit. Tu étais allongée sur le coté et encore serré contre lui. "Je sais" dit-il d'une voix rauque" que tu peux m'en donner plus d'un."

Le plaisir brilla en toi quand tu réalisas qu'il était encore profondément enfoncé en toi. Tu gémis quand ses mains se crochetèrent sur tes jambes et les tirèrent contre lui. "Oh" haletas-tu, agrippant les couvertures quand il recommença à pousser.

Il embrassa ton épaule, et sa langue glissa sur toi. "Tu es tellement étroite" souffla-t-il "Tu me serre encore plus après être venue."

"Non" haletas-tu

"Alors donne moi ta bouche, mon amour."

Tu te tournas autant que tu le pus et il vint à sa rencontre, sa bouche réclama la tienne. Ta main revient se crisper sur ses cheveux quand sa langue glissa entre tes lèvres. Tu faillis le mordre quant des doigts agiles trouvèrent ton clitoris, tes ongles griffèrent son crâne. Sa langue s'enroulait autour de la tienne, allant et venant entre tes lèvres, imitant ses poussées.

Tes jambes poussaient contre lui, tes muscles tremblaient. Il cognait dur en toi, te balançant contre lui sur le lit. Il allait plus profond, ne laissant rien intouché. Ses doigts étaient toujours sur toi, frottant, encerclant, pinçant et agaçant rendant le plaisir douloureux en toi.

"Tu te resserres" murmura-t-il contre tes lèvres.

Ta tête tomba sur le lit, tu gémissait et te serrais autour de lui.

"Oui" grogna-t-il cognant encore plus en toi. "Comme ça."

Tu mordis les couvertures et crias quand il t'envoya ailleurs.

Kil grogna quand tes muscles contractés firent qu'il eut du mal à continuer de te prendre comme il voulait. Sa main bougea pour agripper ta hanche et il frappa contre toi, te tirant à chacune de ses poussées. Il jura durement avant de claquer et de frotter contre toi quand son propre orgasme le cueillit.

Tu cherchais à reprendre ton souffle alors qu'il haletait contre ton cou. Ton coeur cognait et le bonheur te submergeait te rendant faible. Tu miaulas faiblement quand il enroula ses bras autour de toi et te sentis fondre quand il caressa légèrement ton estomac.

"Mon amour" soupira-t-il, frottant sa joue contre la tienne.

Tu tressaillis quand sa barbe racla contre la peau qu'il avait mordue plus tôt.

Il l'embrassa pour s'excuser "Tu sembles un peu rouge" murmura-t-il

"Hmm, on se demande pourquoi."

Kili rit et te donna un autre baiser. "Qu'en dis-tu, allons nous passer le reste de la nuit en suivant ce que j'ai prévu ?"

"Kili, je peux pas bouger" ris-tu faiblement.

"Mm, je te donne une minute pour reprendre ton souffle" murmura-t-il à ton oreille "et après nous verrons si tu as changé d'avis."

Frissonnante, tu dus admettre que s'il continuait à te caresser et à t'embrasser de cette manière, ça serait probablement le cas.


Notes de l'auteur

Bien, je me suis un peu éloigné du sujet, mais il était plutôt vaste puisqu'il s'agissait d'une simple image. C'était une image des deux frères, et je n'allais pas laisser passé une occasion d'écrire sur mon nain préféré. Pour les enfants, j'ai vu quelqu'un il y a quelques temps qui avait écrit que Kili avait trois enfants, deux garçons et une petite fille, ça m'a marquée et j'ai décidé d'utiliser l'idée pour cette Histoire. Merci encore une fois à tous pour avoir lu.

Maintenant, la partie un peu déplaisante. (…), Je vais faire un break avec « Pour vous servir ». J'ai perdu le plaisir que j'y prenais et j'ai besoin de prendre un peu de recul pour me concentrer. Je ne vais pas abandonner, mais j'espère que ça m'aidera parce que maintenant, écrire ses histoire est une partie difficile de mes semaines et ça ne devrait pas l'être.