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Harassment

Epilogue

On y est, cet épilogue conclura Harassment. Merci d'avoir suivi jusque-là !

Fudo releva les yeux vers son reflet dans le miroir.

Tellement de temps s'était écoulé, tellement de choses étaient arrivées depuis... Pourtant c'était aujourd'hui, et il le tiendrait peut-être enfin. La glace lui renvoyait l'image d'un homme au visage sombre, fatigué, aux cheveux un peu longs, à la peau un peu pâle. Et encore et toujours, au centre de sa vision, le sceau du fer rouge.

Il fallait qu'il fasse le point: il avait 20 ans.

Il y a un an, il avait porté plainte pour agression sexuelle. Ça avait été un grand moment de solitude. Il avait serré la main de Kido très fort alors que l'officier qui prenait la plainte lui posait les questions nécessaires. Quand est survenue l'agression ? Connaissiez-vous l'agresseur ? Pouvez-vous le décrire ? Et aussi, décrire l'agression ? Fudo déglutit en se rappelant de ça. Le ton habitué sur lequel avait parlé le policier l'avait comme harponné. Il avait balbutié, incapable de répondre à sa dernière question.

«Respire.» lui avait dit Kido en le regardant tendrement.

Il regrettait presque de l'avoir écouté. Enfin, d'avoir décidé suite à une discussion avec lui, qu'il porterait plainte. Il n'avait pas imaginé qu'on lui demanderait ça. Finalement, on lui avait apporté un verre d'eau et il avait réussi à décrire, tremblant comme une feuille, les évènements de ce soir-là. Il avait parlé de Tomoho, d'Angelo, une boule dans la gorge et une main acérée empoignant son estomac. Il s'était senti tellement angoissé, tellement seul qu'il s'était demandé encore une fois si rester chez lui n'aurait pas été une meilleure solution. C'était un peu comme une lame dans son torse, qu'il n'aurait pas dû remuer. Kido lui avait dit que ça le soulagerait. C'était tellement faux ! Le reste de la semaine et le début de la suivante, Fudo n'était pas sorti de son lit. Comme s'il n'avait plus eu conscience du monde autour de lui. C'est un soir, alors qu'il s'était levé pour aller aux toilettes, qu'il avait entendu Kido pleurer dans la cuisine, dans le noir. Il avait eu comme une décharge à cet instant, et il avait réussi à prendre le dessus sur sa peur, sa haine, sa profonde et abominable mélancolie. Il s'était approché du châtain, qui avait tenté de sécher ses larmes en le voyant, et l'avait enlacé en s'excusant.

Le dossier était enfin parvenu à un enquêteur de police, qui avait alors ouvert l'enquête. Il avait fallu identifier l'agresseur, et les témoins. Pour Tomoho, ça n'avait pas été compliqué. Mais pour le reste... Angelo, qui en plus d'avoir été victime, avait pu être témoin de l'agression, était retourné en Italie. La police avait tenté de le contacter mais Angelo avait refusé de dire quoi que ce soit. Il ne voulait plus entendre parler de ça. Fudo se souvenait du pincement au cœur qu'il avait eu lorsque, tentant de convaincre le blond, il avait pris le téléphone. Il se souvenait de la réponse larmoyante de l'étranger, en italien, avant que son père ne prenne l'appareil pour crier aux officiers de laisser leur famille en paix. Angelo à cet instant, avait refusé, et de témoigner, et d'appuyer la plainte du brun en déposant la sienne. Première défaite après le coup dure de la plainte. Et comme un coup de couteau lorsque l'enquêteur avait annoncé que, sans preuves suffisantes, l'enquête serait suspendue et le processus judiciaire également.

Le jeune homme se souvenait de cette indignation mêlée de désespoir qui l'avait envahi en entendant ça. Toute cette torture n'avait donc servi à rien ?! Il avait cru se mettre à pleurer et avait amèrement regretté d'être venu: ça n'avait fait que rouvrir des blessures, et blesser d'autres personnes. Tout cet espoir qui avait coulé de la douleur, finement réduit à poussière par la simple phrase de l'enquêteur:

«Désolé, preuves insuffisantes.»

Pourtant cinq mois plus tard, alors qu'il se remettait de son premier échec dans les bras de son compagnon, persuadé qu'il n'y aurait pas suite, il avait reçu un appel. C'était la police. L'enquêteur qui n'avait rien pu faire cinq mois plus tôt avait appelé fièrement, pour annoncer qu'une victime avait appuyé la plainte. Sa plainte. Quelqu'un se soulevait avec lui contre Tomoho. Et en plus de la plainte, un témoignage. Il avait souri à cet instant, pas parce que l'enquête allait reprendre, mais plus parce que cette victime/témoin ne pouvait être que Angelo. Et qu'en étant parvenu jusque-là... Il avait franchi un grand cap. L'ange s'était redressé fièrement.

À leur double-plainte s'était ajoutée celle d'une certaine Taki, qui en plus avait amené une preuve tangible; un certificat médical. Apparemment, Taki était tombée enceinte suite à une agression sexuelle, et elle accusait Tomoho elle aussi. Elle avait fait une fausse couche au bout d'un mois et demi. Fudo se souvenait de Taki; c'était une déléguée dans la classe d'Angelo au lycée. Et Kido la connaissait aussi. Le brun se stoppa un instant dans sa réflexion pour se demander comment avait pu se sentir Kido en voyant qu'autant de personnes autour de lui avaient été victime de Tomoho sans qu'il n'en voit rien.

L'enquêteur avait confié l'affaire au procureur, qui avait voulu un délai pour vérifier que le dossier portait suffisamment de preuves. Dans le cas contraire, la poursuite n'aurait pas eu lieu. Soulagement donc pour Fudo lorsqu'on avait fait comparaître le professeur. Et même un semblant de joie lorsque, refusant de comparaître, Tomoho avait été arrêté au lycée. Bien fait pour lui. Il avait subi un interrogatoire durant lequel il avait fermement démenti, et, compte tenu du type d'accusation dont il s'agissait, il avait été remis en liberté mais consigné chez lui. Fudo, qui avait beaucoup appréhendé le procès jusque-là, s'était senti faiblir. Allait-il être capable d'y aller ? Rien n'obligeait la victime à être présente lors de la comparution. Et il n'avait pas envie de revoir le visage du professeur, trop persuadé qu'il n'hésiterait pas à le déshabiller du regard. Kido lui avait dit qu'il n'était pas obligé d'y aller et le brun avait hoché la tête.

L'accusé avait plaidé non coupable. Le tribunal l'avait libéré sous conditions strictes en attendant l'ouverture de l'enquête préliminaire que Tomoho avait réclamée. Rien qu'un moyen de retarder le procès selon Fudo, qui avait dû attendre que l'enquête soit close pour que le procès soit ouvert. Fudo avait demandé au procureur aux poursuites criminelles de demander à ce qu'on garde l'enseignant détenu. A coups de risque de récidive, de sécurité publique, il avait finalement fait fléchir le tribunal et Tomoho avait été gardé jusqu'à l'ouverture du procès, un mois et demi plus tard.

Le procureur aux poursuites criminelles l'avait rencontré pour établir son témoignage. Il lui avait fallu raconter en détails ce qui lui était arrivé ce soir-là, et même s'il n'avait rien à dire à propos du viol -puisqu'il avait été inconscient-, il avait senti son cœur et son ventre se tordre dans tous les sens. Et sa cicatrice, qui s'était estompé, avait commencé à brûler comme la mèche d'une bombe. En réalité, Fudo n'avait pas eu mal physiquement; c'était la colère et le dégoût qui avait consumé ses poumons, jusqu'à ce qu'il s'étouffe.

«Tu es prêt ?»

Le brun sortit de ses pensées comme on tombe d'une chaise. Il leva son regard un peu perdu vers son compagnon, qui soupira calmement et sortit une chemise du placard à vêtement. Il s'approcha de Fudo assis sur le lit, et s'accroupit à sa hauteur:

«Tu ne veux plus y aller ?» demanda le châtain tout tendrement.

Il plongea son regard dans les perles bleues troublées de l'ex huit, tentant de voir à quoi il pensait. Le brun secoua négativement la tête et sourit pour rassurer son petit ami.

«Je ne changerai pas d'avis.»

L'autre lui rendit son sourire et posa doucement ses lèvres sur le haut de son front. Il enfouit son nez dans ses cheveux décoiffés et passa ses mains de chaque côté des joues de son compagnon. Le regard de Fudo se dirigea à nouveau vers le miroir. Sa cicatrice ne se voyait presque plus, pourtant, lui ne voyait que ça. Tout le contraire de Kido. Le brun se souvenait encore de leur première fois ensemble, un ou deux mois après sa première sortie de l'hôpital. Vivre normalement sa vie après un tel choc, ça ne semblait pas possible, pourtant, il s'y appliquait. Et Kido aussi. L'ancien ailier gauche s'était laissé déshabiller, notant les efforts de son partenaire pour ne pas le brusquer. Il avait senti son cœur se serrer lorsque le châtain avait soulevé son t-shirt, la peur, la honte et la tristesse revenant à l'assaut. Mais l'ex stratège titulaire n'avait rien dit, n'avait même pas regardé la cicatrice, comme si elle n'existait pas; il l'avait embrassé amoureusement et Fudo avait passé une nuit merveilleuse. Et depuis, jamais le châtain n'avait dit quoi que ce soit à propos de sa blessure, vraiment comme s'il ne la voyait pas. Fudo s'était parfois surpris à jouer le jeu, à croire qu'il n'avait jamais été blessé. Il finissait pourtant par atterrir, et dans un murmure sincère, il remerciait son compagnon pour ce voyage loin de la réalité.

«Mais avant de partir, il faut que je trouve quelque chose.» souffla Fudo.

Le châtain releva des yeux curieux vers lui, puis semblant comprendre, il se redressa et sourit.

«On est pas pressé.» répondit-il.

«L'accusé est déclaré coupable.»

Cette phrase tournait dans la tête de Fudo, en boucle depuis que le juré l'avait annoncé. En quelques mots, il l'avait délivré d'une chaîne qui l'entravait depuis des années. Il avait pleuré, serré Kido dans ses bras, et sa mère, qui était venue pour la délibération en jurant qu'elle massacrerait la salle si Tomoho était relâché. Il avait croisé regard d'Angelo, son regard bleu, briller d'émotion. Et pour une fois, ce n'étaient des larmes de souffrance qui dévalaient ses joues et se cachaient dans les épaules de ses proches. Mais la journée était loin d'être finie, et en descendant les marches du tribunal, Fudo serra sa main autour d'un objet, dans le creux de sa poche. En fin de compte, un nombre incroyable de plaintes avaient été déposées suite à la sienne, et plus de 10 anciens élèves avaient assisté au procès en temps de victime. Mais il en manquait une, et c'est à elle qu'ils allaient consacrer leur après-midi.

Une sorte de brise vint balayer son visage, et elle sembla emporter avec elle tous ses tracas. Ne restait qu'une légèreté mélancolique, une sorte de vide triste et pourtant doublé de bonheur. Il sentit la main de Kido serrer la sienne, amoureusement, et son regard calme se nicher dans le creux de son cou.

«Fudo.»

L'interpelé se tourna vers la source de la voix et crut que son cœur s'était arrêté de battre quelques secondes.

«Angelo...» laissa-t-il échapper, ému.

Le blond le rejoignait doucement, accompagné d'une jolie brune au regard sage; une japonaise. Il sourit, comme reconnaissant et reprit:

«Ça fait longtemps...»

«Trop longtemps.» fit le brun.

«Tu as raison.»

Ils se fixèrent un instant, sans pouvoir réprimer leurs sourires. Puis, retrouvant un peu son sérieux, l'italien et son adorable accent reprirent:

«Vous allez à l'enterrement ?»

«Oui. Et vous aussi...»

Le blond acquiesça.

«J'étais très proche de Taki...» murmura-t-il mélancoliquement.

Et alors qu'il enlaçait ses doigts à ceux de sa compagne, il continua:

«Et puis, c'était ma belle-sœur.»

Fudo et Kido sourirent. Sur les annulaires enlacés du couple, scintillaient deux jolis anneaux dorés. La brunette, Fudo la connaissait; c'était la sœur de Taki. La pauvre déléguée n'avait jamais pu surmonter le choc de son agression. Elle se traînait comme un torchon depuis des années, lorsqu'elle avait décidé de porter plainte. Sa famille avait cru à un rétablissement, avait pensé qu'elle allait enfin remonter la pente. Grosse erreur. Jamais Taki n'avait été au plus bas. Dans une lettre, elle avait expliqué son choix de «montrer la voix». Elle avait porté plainte pour encourager d'autres à le faire, et s'était pendue. Sa sœur et Angelo sortaient ensembles depuis quelques temps. Il faut dire qu'ils se tournaient autour depuis longtemps. Déjà au lycée, Taki lui avait présenté sa sœur et ils s'étaient tout de suite très bien entendus. Ils semblaient taillés pour vivre ensemble, et au final, après toutes ces épreuves, ils se trouvaient enfin.

«Alors c'est officiel ? Félicitations.» fit Fudo en souriant, heureux pour son ami.

«On est fiancés; on se mariera quelque part en juin.» dit fièrement l'étranger.

«On sait tous que la vie est cruelle.» sourit la jeune femme. «On veut profiter de ce qu'elle nous offre.»

«Et ça vaut aussi pour vous les gars.» ajouta Angelo avec un clin d'œil.

Fudo sourit, rougit un peu, et sentit les doigts de son compagnon enlacer le siens plus fort encore.

«J'y pense, Angelo.» répondit Kido d'un ton mystérieux. «J'y pense.»

Le blond lâcha un rire amusé. Le brun avait fait comme s'il n'avait pas entendu; il voulait qu'on lui fasse la surprise. Mais alors sa main se serra autour de ce quelque chose au fond de sa poche et son sourire se fit triste. Sous le regard interrogateur de l'italien, il sortit, enroulé autour de ses doigts, sa cravate. La cravate d'Angelo. Son expression de joie se fana, comme une fleur qui a trop chaud, tandis qu'il prenait, du bout des doigts l'objet que Fudo gardait depuis si longtemps. Il avait son odeur désormais. Il sembla se plonger dans une sorte de contemplation, et alors que sa compagne se serrait plus fort contre lui, il releva ses yeux humides vers le brun. L'ancien huit sourit affectueusement, et lui tendit un briquet.

«Mets fin au cauchemar, Angelo.» demanda Fudo, du bout des lèvres.

Le blond se pinça les lèvres. Les mains tremblantes, il saisit le briquet et l'alluma. La flamme vacilla, puis sembla renifler la cravate avant de la mordre profondément. Le feu gagna le tissus rouge et bleu marine, le dévora progressivement comme s'il le savourait. Angelo lâcha la cravate, qui continua de se consumer au sol. Du coin de l'œil, Fudo vit Tomoho sortir du tribunal, menotté et encadré. Il ne se retourna pas, les autres non plus, pourtant il était certain que tous l'avaient vu. Ils se contentaient de fixer le tout petit feu prendre la cravate au sol. Le passé, tout ça. Angelo ne parvint pas à retenir ses larmes, alors que les flammes rongeantes s'éteignaient sur le cadavre calciné de leur enfer, il laissa les sanglots envahir son visage. Fudo réprima les siens, prit le jeune italien dans ses bras.

«Les ailes, Angelo, ça repousse.» chuchota Fudo, laissant un sourire ému étirer ses lèvres.

Le concerné lâcha un rire sanglotant, resserra sa prise sur la chemise du brun.

«Les crocs et les griffes aussi, Fudo.» répondit-il en riant, la voix encore tremblante.

Quelque chose comme de l'espoir, beaucoup d'espoir et de l'amour aussi, vint balayer le cœur et les cheveux du brun. Il sourit face à la brise, et un vent printanier se leva sur Inazuma, emportant vers les cieux les rires larmoyants d'Angelo.

Et voilà, la fin de Harassment. J'espère que l'épilogue vous aura plu ! C'est vrai que je n'étais pas obligée de faire une fin fin, mais je devais mettre Tomoho en prison pour tout ce qu'il avait fait.

J'ai déjà plus ou moins dit pourquoi je m'étais lancée dans cette fiction au chapitre dernier alors je ne vais pas m'éterniser. Je voulais juste donner un aperçu de l'enfer judiciaire qu'entraîne une plainte pour agression sexuelle. Et encore, je suppose sûre c'est encore plus sinueux et compliqué que ça. Statistiquement, seul 11% des victimes porte plainte.

Aussi, je voulais souligner que l'agression / harcèlement sexuel est une expérience très traumatisante, et que malheureusement, tout le monde ne s'en sort pas aussi bien que Fudo. J'espère vous avoir ouvert les yeux : les violences sexuelles sont un sujet grave !

C'est tout J

Merci d'avoir suivi jusqu'au bout, je vous donne rendez-vous samedi prochain pour le prologue de ma nouvelle fiction *croise les doigts pour que ça plaise*

Les reviews sont les bienvenues, bisous les amis :D

Gaia : Merci merci ! Mais maintenant que tu es inscrite, je vais pouvoir répondre à tes reviews par MP ) Bisouus !

Jaiperdumonmdp : Ah, je t'ai fait pleurer ! *cours partout* Pardon ! _ Merci de te connecter tous les mardis pour mes fictions ** Tu n'imagines pas comment ça me fait plaisir de lire ça de la part d'une lectrice –je suis toute émue ! Merci d'avoir été aussi fidèle, je t'applaudis très fort, et j'espère sincèrement te retrouver les samedis à présent ) Bisous !

Delph (merci d'avoir changé de user parce que je rougissais comme une dingue quand je devais écrire ton précédent xD) : Donc derieeen ! En fait, c'est moi qui devrais te remercier de mettre une review ! Ça fait toujours super plaisir quand on sait que son travail est lu et qu'en prime, on prend la peine de laisser une sorte de « critique ». Ah oui, en effet, je fais souvent des réponses de 3km (il faut dire que ta review n'était pas super courte aussi xD). Tu fais lire mes fictions à une amie *court dans tous les sens en agitant les bras* Je sais pas quoi dire xD C'est tellement génial de savoir que des gens partagent sur mes histoires (bon, ça aurait été mieux si ça avait pas été sur le viol de Fudo mais on peut pas non plus tout avoir x) Donc si ton amie passe par là, je la remercie aussi –salut ! xD- J'espère que ma prochaine fiction te plaira en tout cas ! Merci beaucoup pour tes reviews, j'en pleurerai si je pouvais (mais je ne voudrai pas inonder mon ordinateur, tu comprends). Bisoous à toi, à très bientôt !

Rose : Merci pour ce compliment. Ce n'est pas vraiment « beau » mais j'ai compris ce que tu entendais par là, et ça me fait vraiment plaisir de sentir que tu as compris l'enjeu de cette fiction. Je te remercie donc profondément et souhaite de tout cœur te retrouver pour mes prochains écrits. Merci !

Et à toi, qui lis cette fiction, merci beaucoup. Prendre du temps pour ce que je fais, c'est vraiment super, merci beaucoup –je vais vraiment pleurer si ça continue x)-

Ja ne