Soyons honnêtes, je n'ai que trop rarement eu l'occasion de lire un chef d'oeuvre pareil. Mais je t'en dirai plus en MP, je ne veux pas spoiler un ou une malheureuse qui lirait les reviews !
Assez-t-il-tout-étant que c'était fabuleux, je te tire mon cahpeau bien bas, Beaudelaire ! (On se retrouve en MP j'espère, la bise.)

OKAY

Nous voilà donc au chapitre qui m’a définitivement convaincu. Contexte : nous étions dimanche soir. J’étais confortablement installée dans mon lit, bien décidée à passer une agréable soirée. Ma fenêtre ouverte me faisais parvenir quelques brises fraîches. Et pourtant… ça ne m’a pas empêché de crever de chaud sous la puissance de tes mots, de ce chapitre, de cette scène de…. agheodelzds JOHN !

Il y a véritablement quelque chose de très fort dans tes descriptions, dans les mots que tu emplois, la manière dont tu les utilises, c’est à la fois très imagé et tellement parlant. « Retire ta chemise, commence simplement le détective et cette fois, John sais qu’ils ont fini par sauter dans le vide. ». J’aime ! J’aime tellement !

Aussi, une autre chose que j’aime énormément, toutes les manières que tu as de détailler les sourires. Ça m’avait marqué dès le chapitre un, avec cette phrase que j’adore « C’est un de ces sourires où il n’y a que le coin gauche de sa bouche qui se redresse, se bloque dans un rictus et créé une légère fossette où toute la bonne volonté oh-très-virile de John semble se perdre [...] ». Ce sourire, JE LE VOIS. Clairement. Il apparaît dans ma tête (bon j’ai un esprit très imagé il faut dire, mais tout de même!). Puis chacun des autres sourires, surtout ceux de Sherlock je dirais, me sautent aux yeux. Et tous leurs petits échanges souriants me font battre le cœur.

Ensuite, avant de revenir pour de bon à ce chapitre, je voudrais juste rappeler une chose que j’adore (encore une haha, on ne s’étonne plus maintenant !) : tu écris Sherlock et John presque à l’exactitude de ce qu’ils sont dans la série. Certaines choses changent bien sûr, sinon il n’y aurait pas de fiction, soyons claires ! Mais dans l’ensemble ils ont l’air si vrais, ils sont si cohérents, que le résultat (avec un chapitre comme celui-ci, par exemple…) est tout bonnement délicieux.

Bon, trêve de blabla, passons aux choses sérieuses : le sexe.

Soyons honnêtes, on attendait tous que ça haha. Et là où, à nouveau, tu combles pleinement mes désirs exigeants de lectrice éternelle insatisfaite, c’est que tu ne vas pas trop vite en besogne ! Oui, cette phrase pourrait paraître contradictoire… Je m’explique ! J’aime l’attente. J’aime toute cette phase de séduction, de flirte, d’appréhension, de questionnement, d’envie, et de désir inassouvi. Mais dès que ça survient enfin, la suite est souvent bien fade. Et j’imagine que tu le sais toi-même très bien, alors tu nous délectes avec cette première scène bien citronné, mais sans en faire trop ! ET ! Là où c’est magique, c’est que tu n’en fais pas trop, mais avec beaucoup ! Ohoh, c’est compliqué tout ce qu’il se passe dans ma tête hein… Ne nous étalons pas, avançons !

John Watson et Sherlock Holmes vont faire des choses. Oh oui. Sherlock le voulait depuis le longtemps, et maintenant, John le veut aussi, c’est parfait. DE PLUS, on sait que Sherlock veut le dominer, et on sait que John est D’ACCORD avec ça ! John veut que Sherlock le domine ! J’en perd mon souffle, mes aïeux… Mon petit cœur bat si vite, encore maintenant quand j’y repense ! (Il a battu des records de vitesses et d’endurance, durant ce chapitre… oui, oui).

Ça commence un peu timidement, normal, moi aussi j’étais toute stressée ! (En fait, je crois que je ressens tout exactement comme John…). Le « Voilà. Voilà, voilà. » m’a bien fait rire haha. Mais Sherlock entame vite les choses… Passons la phase d’effeuillage et d’inspection du corps de John par notre détective préféré (qui, soit dit-en passant, posait les bases d’une relation plus intime entre eux, et qui n’aurait pas pu être mieux écrite. Il y a tout, la gêne de John, son désir grandissant, son appréhension, la contenance qu’il tente de garder, et la présence imposante de Sherlock, son calme, son assurance, son envie, et la manière dont il montre à John qu’il peut avoir confiance en lui, en touchant sa cicatrice notamment…).

Et puis John est nu. Et puis il est allongé. Et Sherlock est à quatre pattes au dessus de lui. Et j’ai chaud, nom d’une pipe ! Mais à ce moment là, ce n’est rien comparé à la vague de chaleur qui s’est propagé dans tout mon corps lorsque j’ai lu John prononcer « Sh-Sherlock... ». FOUAH ! De l’air, de l’air. Sherlock le touche, et John prononce son prénom. Je n’ai aucune foutue idée de pourquoi ça me fait autant d’effet, mais voilà, j’étais à nouveau happée par ton récit, et en apnée totale.

Et puis… Et puis il y a ça. Et là je me dis, okay, tu dois définitivement écrire à cette auteure et lui dire Ô combien tu aimes ce qu’elle écrit. Et ça, c’est « […] mais, pour rien qu’une seconde, il se permet de fermer la porte de tout ce qui le fait être cet ancien capitaine dépressif, médecin par dépit, fils accablé et frère découragé qu’il a toujours, putain, toujours été. ». Là, j’ai fermé les yeux et j’ai dis OUI, punaise, bordel, OUI. Ohlala, qu’est-ce que j’aime ça, ce genre de petites phrases qu’on retrouve tout au long d’un récit, qu’on reprend, qu’on modifie, et qui, à elles seules, veulent tout dire. Cette phrase c’est John, dans toute sa complexité, dans tout son malheur, dans toute sa force. Bravo.

« leur respiration se fait plus profonde, plus incontrôlable, terriblement plus bruyante. ». C’est tellement puissant. On ressent un sentiment d’urgence, un besoin primaire, et c’est pile ce qu’il fallait à ce moment là ! Et ça continue, et ils ne s’arrêtent plus. Et vraiment, je te jure, à la fin, j’étais toute retournée. J’ai dû lire les dernières phrases de ton chapitre dans un brouillard un peu confus. Puis j’ai vu l’heure, et j’ai remarqué que j’avais mi un temps fou à tout lire ! Je l’ai dégusté ce chapitre, comme un délicieux met qui nous transporte, et dont on ne veux surtout pas voir l’assiette déjà vide. Mais j’étais comblée, vraiment, et je n’ai pas eu la force d’entamer la suite juste après.

Donc je vais m’arrêter là pour cette review déjà bien trop longue (je me fatigue, vraiment, à écrire toujours autant, mais c’est plus fort que moi), et je te dis à très bientôt pour la suite ! Parce qu’il y a une enquête à résoudre, nom d’une chouette !

Encore merci.

Maggot Apricot

Bonjour à toi, chère auteure !

Je ne sais absolument pas comment commencer ce commentaire, alors je vais tenter de simplement laisser taper mes doigts, au fur et à mesure que mes pensées me viennent.

Tout d'abord, une chose : je lis cette fiction aujourd'hui, je sais qu'elle date de 2014 (ce qui fait un sacré bail !), mais je ne sais pas si tu es encore active sur ce site. Alors je poste mon commentaire en me disant que, peut-être, tu es encore présente et tu le liras, et il te fera plaisir.

Parce que oui, j'écris un commentaire (ou review, comme on dit ici) ! J'étais auteure et revieweuse il y a bien longtemps, très très assidue ! Puis j'ai complètement laissé le monde des fanfictions pour me consacrer à d'autres choses. Petit-à-petit, je me suis remise à lire des fictions sur plein de fandom divers, dès que l'envie m'en prenais. Je n'ai fais que lire de-ci, de-là, de temps en temps. Jusqu'à il y a cinq minutes, avec ta fiction...

Mais reprenons du début ! (Ah oui, un truc à savoir avec moi, j'écris BEAUCOUP. Donc pose toi un instant, parce que ça risque d'être un tantinet long).
J'ai découvert ta fiction il y a une semaine environ. Je me refais les épisodes de cette si remarquable et fabuleuse au ô combien prenante série qu'est Sherlock, et puis les innombrables allusions au LockJohn ont fini par avoir raison de mes petits penchants pour le yaoi qui viennent brouiller mon cerveau intempestivement depuis déjà tant d'années. Alors, j'ai eu envie d'en lire quelques fanfictions. Mais je suis exigeante. TROP exigeante (pour mon propre bien).

J'ai lu quelques trucs, qui ne me plaisaient pas plus que cela, puis je lis le résumé de Si Brave et Si Tranquille, perdu au milieu de tant d'autres, mais quelque chose m'arrête. Il semble y avoir dans ce résumé tous les ingrédients que je recherche pour lire LA fanfictions que je recherchais. Alors je me lance. Et là, tu réussis le prodige de capter mon attention dès le premier chapitre. Non, dès les premières lignes même ! Je t'assure, c'est très rare pour moi, mais ton récit happe toute mon attention, et je ne fais que m'émerveiller, phrase après phrase, de ce talent que tu as pour l'écriture. Sincèrement, je trouve que tu écris divinement bien !

À chaque nouvelle tournure de phrase, je trouve toujours tout très bien dosé. Tu n'en fais ni trop, ni pas assez. Il y a peut-être un poil d'insistance sur certains détails qui n'en nécessiteraient pas, parfois, mais cette idée est bien vite balayée par le paragraphe suivant qui me subjugue encore plus. Et puis, si je ne me trompe pas, cette fiction date d'au moins 2014, et j'imagine que ton écriture a encore dû s'améliorer avec le temps !

Bref, revenons à nos moutons. John. « Cet homme, médecin de formation militaire, fils exemplaire et frère sans reproche, ex-soldant droit, courageux et fiable qu’il a toujours, toujours été. » OUI. Merci, mille merci à toi d’écrire de si belles choses ! J’ai toujours adoré John Watson dans cette série, et tu le repeins si bien dans ta fiction. Tu repeins aussi extrêmement bien Sherlock, soit dit en passant, et c’est probablement ça qui permet à mon corps de m’envoyer autant de frissons et de produire autant de chaleur à chaque nouveau rapprochement entre les deux hommes.

Tout a commencé avec la scène de l’armoire. DAMN. C’était terriblement bien joué. Je crois qu’à cet instant, j’étouffais autant que John, haha. « Il entrelace leurs doigts dans un geste possessif et l’odeur qui les englobe est une confusion de lessive, de parfum et de peau masculine... » Ohoh, là c’était foutu pour moi, il m’en fallait diablement plus.

Alors j’ai lu, sans pouvoir m’arrêter, jusqu’à la séquence d’après la fête d’anniversaire de Sherlock. Et c’est là, à cet instant, que je me suis dit « tu ne peux juste pas, ne pas dire à cette auteure tout ce que tu penses de sa fiction ». Alors j’ai voulu t’écrire un commentaire. Je ne sais pas bien pourquoi, exactement, mais peut-être est-ce parce que ta fanfiction est un condensé de tout ce que je voulais lire, de tout ce que je recherchais, et en plus de ça, un condensé fichtrement bien écrit !

Alors nous en sommes là, et je suis revenu au chapitre où tout à commencé entre John et Sherlock, pour entamer ma suite de reviews (bien sûr qu’il y en aura d’autres ! Que croyais-tu ! Je vais éplucher tous les chapitres restants, hahaha !). Et tout commence avec « Est-ce que tu me laisserais t’attacher les poignets ? » J’étais en apnée à partir de là. Et puis… « Emh...ph ? » Oui John, je pense exactement comme toi ! Mais alors… « Je vais t’embrasser maintenant ». Mais dam OUI mon petit ! Oh que oui ! Alors j’ai pensé exactement comme John (limite si je n’ai pas ouvert ma bouche moi aussi…), et je le voulais ce putain de baiser. Mais c’est là où tu fais fort. Sherlock ne l’embrasse pas, et c’est juste parfait. Et je suis éblouie face à cet échange qui se poursuit et qui se termine par « Ta chambre. », « Maintenant ? », « Maintenant. ». Tu penses bien que j’ai couru jusqu’au chapitre suivant sans attendre ! Mais mes réactions à ce qui suit seront dans une prochaine review ! (Si j’écrivais tout maintenant, mon commentaire deviendrais une fanfiction à lui seul…)

Enfin, tu l’auras compris, j’adore ta manière d’écrire, j’adore cette fanfiction, j’adore ce que tu fais quoi. Enfin, faisais, puisque ça date… Et j’espère te savoir encore active sur ce site pour que tu puisses lire ma review et que tu puisses savoir comme c’est fabuleux, ce que tu écris !
J’espère aussi que ces quelques lignes de fangirlism total t’auront fait plaisir, et sourire. Je ne sais que trop bien à quel points les commentaires des lecteurs sont importants !
Sur-ce, je te dis à très bientôt, pour la suite des aventures !

Et parce que je ne sais plus si je l’ai déjà dit : Merci.

Maggot Apricot

Je n'ai pas encore fini cette fanfiction mais je me dois de commenter un texte aussi délectable! L'enquête est vraiment passionnante et l'évolution et la relation de Sherlock et John est extrêmement bien menée et émouvante. J'aime beaucoup ta façon d'écrire et d'animer toute cette histoire, chaque personnage, même présents pendant quelques lignes, réussissent à prendre vie sous ta plume.
Merci d'avoir partagé une telle histoire!

Hello ! J'ai adoré ton histoire. Ton style est épatant ! La relation qui se tissé entre John et Sherlock est d'autant plus fascinante et crédible que tu la dépeins avec une patience d'impressionniste, petites touches par petites touches. Et malgré quelques légères incohérences dans la rencontre avec Moriarty, le turning point final est génial ! L'invisible, le sous-estimé sauvé la situation ! Comme quoi "un seul grain de riz peut faire pencher la balance en notre faveur !"
Merci pour ce travail fantastique ! Et félicitations pour ton roman ! J'ai été l'acheter et laisserai un commentaire quand je l'aurai lu !

J'ai adoré le moment de poursuite entre Mycroft, Sherlock et John. Ton écriture est agréable et tu nous entraine petit à petit dans leur histoire, en mettant une tension sans aller trop vite. J'avais hâte de voir comment cela allait tourner.

Même s'il y a une légère touche de dom/sub (je suis un peu curieuse à propos de ces relations) , il y a un fond de romance touchante et non vulgaire. C'est assez intéressant de voir John lâcher prise et de voir un Sherlock qui sait ce qu'il veut (ce qui colle bien à son personnage).

J'ai adoré les personnages de Benjamin ainsi que de Sheri. Tu touches à d'autres sujets comme le handicap en y mêlant aussi d'autres tels que la différence d'âge, l'immigration... Je trouve que c'était une très bonne idée ! :)

Merci beaucoup pour cette fanfiction !

Coucou !
Je viens juste de me remettre par curiosité à ce fandom, puis je suis tombé sur ton histoire. Quelle claque ça alors ! Magnifiquement bien écrit mais on a déjà du te le dire plusieurs fois...
Les rapports dominants/soumis m'ont toujours intrigués et tentés et je pense que grâce à toi je vais songer à m'y mettre sérieusement.
Donc merci d'avoir écrit un si beau texte, merci pour les belles leçons de vie qu'il contient, et merci encore.
(J'irai jeter un coup d'œil à ton livre ! Ça m'intrigue beaucoup et félicitation)
Bonne continuation !

Ta fic était magnifique. Ta manière d amener les choses tout en douceur et sans vulgarité m a époustouflé. Merci pour cette lecture

Trop fatiguée hier soir pour laisser le dernier com donc je m’en occupe aujourd’hui. Vraiment merci pour cette histoire, c’était un plaisir à lire. J’ai adoré voir l’évolution de leur relation et la manière dont Sherlock a tissé sa toile. Vraiment une bonne histoire, je vais la conseiller à mes amies. ;)

Pourquoi glisse-t-il ses doigts sous son col roulé ? Un collier ? Noooon...

Hariet a des côtés franchement horripilants ...

Sherlock est incroyable dans sa manière de prendre soin de lui. Le coup des chrysanthèmes était vraiment drôle. Mais, c’est moi ou il a embrassé John juste pour arrêter la dispute ? Le malin !

Alors ça je ne l’ai pas vu venir !

Je n’étais pas pressée de le revoir celui-là !

Les connaissances de ce Andy tombaient vraiment fort à propos...
Je ne sais pas pourquoi, mais je me disais bien que les fleurs, ce n'était pas le genre de Sherlock.