« Folies Nocturnes »


Résumé : Suite de minis One Shot dont le thème récurant sera les diverses occupations nocturnes de Zoro et Sanji, plus ou moins coquines, selon l'idée… x)

Disclaimer : Zoro et Sanji sont toujours à Eiichiro Oda et l'autel sacrificiel est toujours en service ! Alors prenez bien garde à vous !

Note : Toutes les histoires qui suivront, n'ont aucun rapport les unes avec les autres, ce n'est qu'une suite illogique d'idées jeter sur le papier, ne m'en voulez pas si ça n'a ni queue, ni tête, c'est juste du tout moi xD

La publication de cette série sera surement TRES étalée dans le temps, alors ne vous étonnez pas de n'y voir aucune régularité x)

Note 2 : Comme pour mon dernier OS « Une énième prise de bec… », l'illustration est de moi, alors ne vous étonnez pas non plus de sa « qualité »… xD

Sur ce, bonne lecture ! ^^


« Así que bailar conmigo… »*

Il pleuvait, le ciel nocturne était dense, la rue pavée seulement éclairée par quelques lumières ici et là.

Zoro et Sanji étaient les derniers de l'équipage à rentrer au Sunny après une soirée plus que bien arrosée.

Le cuistot, tenant mal l'alcool, titubait, trébuchant tous les deux mètres, rattrapé par le bretteur qui veillait au grain sans en avoir l'air et rallant après le blond qui avait fortement abusé du rhum.

Sanji, dont la boisson mettait la sensibilité à fleur de peau, affichait une expression boudeuse.

« T'façon, je l'vois bien… Tu m'aimes plus ! »

Zoro fut tellement pris au dépourvu par cette réaction, plus qu'enfantine, qu'il resta un instant bouche bée avant de se reprendre.

« Oï ! Mais putain Cook ! Arrête de dire des conneries plus grosses que Laboon, bordel ! »

Sanji s'était figé en plein milieu du chemin. Soudain très sérieux et dégageant une sensualité à toute épreuve, il tendit une main vers Zoro.

« Alors, danse avec moi… »

Le bretteur aurait voulu répliquer qu'il faisait nuit noire… Qu'il pleuvait… Qu'ils étaient au beau milieu du passage… Qu'il était hors de question qu'il danse ! Mais son corps, pris d'une multitude de sensations à cette demande, semblait s'être animé contre sa propre volonté.

Alors il s'approcha du cuistot, les yeux rivés, ancrés dans les siens, prit sa main dans la sienne, se serra tout contre lui et, dans un geste autoritaire et assuré, déposa fermement la deuxième au creux de la taille fine qui s'offrait à lui…

Tango !...

XxXxX

*Alors danse avec moi…