Chapitre 17. Fin.

Je me sentais désarmé pendant un long moment. Mon cœur tambourinait vivement dans ma poitrine, je voyais flou, mes oreilles sifflaient légèrement, je n'avais jamais aimé utiliser le bifrost. Je sentais la main de Thor sur ma hanche me soutenant.

« […] vous arrête pour le meurtre d'un asgardien. »

Mes yeux se perdirent devant moi. Quoi ? Mon cerveau se remit en marche alors que je voyais Heimdal, son épée plantée au centre du bifrost, devant nous plusieurs gardes… Odin lui-même… Quelques membres du conseil. Nous étions là depuis plusieurs longues minutes apparemment.

Un hoquet de stupeur sortit de ma bouche alors que je me redressais de toute ma hauteur. Thor tenait fermement Mjöllnir le visage contracté dans une expression de défis.

« Père. » Dit-il durement.

Odin s'avança, et mes yeux se mirent à briller dangereusement, mes prunelles devenant aussi verte que ma magie qui inondait mes mains. Instinctivement, ma magie se mit à se mouvoir pour entourer Thor. Alors qu'un grondement furieux sortait de ma bouche.

Le père de toutes choses se stoppa, me regardant en fronçant légèrement les sourcils. Thor prit doucement ma main dans la sienne en lâchant ma hanche, la serrant.

« Je me porte garant de la liberté de Loki, il restera à mes côtés. Père, liez nous.» Déclara durement Thor en relevant nos deux mains jointes vers lui alors que je tournais la tête pour le fixer.

Pardon ? Je ne comprenais pas ce qu'il se passait… Mais Thor venait bien de dire qu'il se lier à moi. Un sourire sournois se porta sur mes lèvres à la vue du regard d'Odin et de tous les soldats, hommes présents. Ils étaient tous horrifiés car ils savaient tous que se lier était quelque chose que bien plus fort qu'une simple chaîne. C'était un lien magique qui unissait le cœur des deux personnes, marquant leur corps, enchaînant leurs âmes ensemble. Si l'un trahissait, l'autre en souffrait, si l'un mourrait, l'autre mourrait. Odin gronda sombrement.

« Il en est hors de question Thor. »

Il avança nos mains d'une façon brusque vers Odin, le regard sombre. Je ne disais rien, me contentant de sourire sournoisement. J'étais d'accord avec le choix de Thor, aussi soudain soit-il, je préférais vivre l'éternité enchaîné à son âme, bercé par son odeur sauvage, que je remettre les pieds dans une prison. Je ne voulais plus souffrir. La voix de Thor me fit vibrer de la tête au pied.

« Je préfère mourir que de revoir Loki enfermé ! Faites-le ! Maintenant. » Tonna t-il alors que des arcs électriques se formaient a l'intérieur même de la pièce.

Les membres du conseil se jaugèrent quelques minutes en voyant Odin s'avancer calmement vers nous, et je perdis mon sourire quelques instants en voyant un sourire fugace traverser le sien. La colère du Dieu blond descendit d'un cran. Odin jouait la comédie ? Il posa sa main sur nos mains jointent alors que plusieurs chuchotements traversèrent la pièce. Un peur sombre me prit les tripes. Il allait vraiment nous lier ? J'allais vraiment être lié à Thor… ? Vivre avec lui. Sentir encore ses lèvres sur les miennes. Mon regard croisa le sien un instant, juste un instant de doute flotta. Thor m'en demandait beaucoup… Mais avant que je ne puisse penser à plus de chose, je portais vivement ma main à mon cœur en ouvrant la bouche dans un cri silencieux. Thor eu le même mouvement. Une douleur sourde, lancinante traversa celui-ci, et je ne pus retenir un cri de douleur qui fit trembler Odin alors que mon regard haineux le regardait de travers. Ça faisait si mal. Mon corps se mit à trembler alors que celui de Thor s'effondrait au sol, mais Odin gardait toujours nos mains jointent dans les siennes, une aura bleutée entourant celles-ci. Je pensais qu'on m'arrachait le cœur, qu'on me broyait chaque partie de mon corps. Tout n'était que douleur. Des chaînes fantomatiques entourèrent nos bras, glissant telle des serpents, pour se planter dans nos abdomens, alors que je reprenais de l'air au même instant ouvrant la bouche, Thor fit de même avant que les chaînes ne rentrent dans nos corps… Odin lâcha nos mains et je relâchais précipitamment la main du blond comme si ce contact me brûlait, reculant de plusieurs pas, affolé par la douleur que j'avais ressentit. Thor releva la tête vers moi. Son regard accrocha le mien. Un sombre sifflement lui répondit. Il n'était pas prés de reposer la main sur moi pour le moment. J'avais mal. La voix d'Odin me fit sortir de mes pensées.

« Vous êtes liés. Loki. Tu es libre de circuler à Asgard. Thor est ton garant. »

Je tournais la tête vers Odin, le regard sombre avant de fuir comme un lâche devant tous les regards qui me troublaient tant. Je disparu de leur champ de vision me téléportant. Alors que j'entendais Thor dire mon nom…

Plusieurs jours passèrent sans que je ne croise Thor et pour cause je me terrais dans mes quartiers. Je me téléportais la plupart du temps pour l'éviter. Je ne savais pas pourquoi… J'étais perdu à vrai dire. Mes certitudes s'étaient effondrées en sentant toute cette douleur. Je ne voulais pas me renfoncer dans cette noirceur… Je voulais le voir. Mais par fierté je ne voulais pas faire le premier pas. Alors quand cette nuit là réveillé par mes propres cris et pleurs, j'entendis la porte s'ouvrir, je fus soulagé. Tellement heureux de le voir se glisser dans mes draps. Dans mes bras. Me serrer contre lui. Dans une étreinte rassurante et forte.

Son corps épousait le mien, calmant mes larmes, calmant mon esprit. J'avais honte. J'avais si honte de pleurer dans ses bras. Il ne disait rien. Et je me sentis obligé de lui demander :

« Comment as-tu su ? »

Ma voix enrouée par mes propres cris et larmes me paraissait si faible… Thor glissa sa main sur mon ventre dans un geste intime et réconfortant. Son corps se pressa dans mon dos, son souffle chaud caressa mon cou, m'électrisant. Je ne croisais pas ses yeux, j'en étais heureux, j'avais peur de m'y perdre.

« J'ai sentis. Le lien. »

C'était évident. Le lien qui nous unissait était bien plus fort à présent, je le sentais moi aussi. Sa détresse était une évidence. Son cœur saignait de mon comportement. Alors ma voix se fit douce. Sa main me faisant frissonner.

« Excuse-moi. Ça m'a fait peur… »

Il se tut, le silence prit place. Puis il fut troublé par un froissement de drap, Thor me retourna dans le lit avec une douceur hors du commun, plongeant ses yeux dans les miens, dans l'obscurité toute relative de la pièce. Son regard valait bien toutes les paroles du monde. Thor. Ce bleu. Je m'y perdais. J'en devenais addict. Une drogue si puissante que j'en étais honteux. Il caressa mon visage, doucement, presque calmement, alors que ses yeux me disaient beaucoup d'autres choses, ses yeux aussi tourmentés que l'océan, je ne pus m'empêcher de sourire malicieusement. Thor ne changerai jamais, malgré toute la douceur dont il faisait preuve, malgré son corps étrangement calme contre le mien, je voyais, je voyais même très bien, cette envie au fond de son regard. Il s'approcha de mon visage le souffle court mais étrangement calme. Quant il m'embrassa, son amour me frappa de plein fouet, tellement que j'en eu peur sur le moment, sa main chaude remonta le haut de mon habit de nuit, lentement, passionnément, d'une façon sensuelle. Mon corps se figea, sa bouche sur la mienne se fit plus dure et bestiale… Thor qu'étions-nous en train de faire ? La peur traversa mon corps et un gémissement mourut contre ses lèvres si dures et tendres à la fois. Le souffle me manquait rapidement. Mes mains tremblantes vinrent se poser sur sa nuque, griffant celle-ci avec passion. Mon corps se colla à lui, échauffé par ce baiser ardent.

Thor me livrait là, la preuve de son amour.

Mais la peur me vrillait les entrailles, laissant mon corps fou tremblant. Le dieu blond lâcha mes lèvres posant son front contre le mien, ses yeux plongèrent dans les miens, il effaça rapidement les larmes qui menaçait encore de couler de mes yeux en collant son nez au mien. Il savait, il le savait que j'avais peur. Mais il le voulait, je le voulais. Je le voulais tellement. Lui prouver, qu'a travers tout ce que j'avais fait, mes sentiments étaient toujours intacts, toujours là pour lui.

Mes mains glissèrent sur son torse, aventureuses, tentatrices, alors qu'il me regardait en haussant un sourcil, je passais alors ma langue sur ses lèvres, fébrile en grondant doucement, le mordant par pur provocation. Car je le savais, j'étais provocant. Ce qui mènera Thor a sa perte à mon plus grand plaisir. Un sourire taquin vola sur mes lèvres alors que je sentais son corps réagir contre le mien. La peur se réveilla un instant, avant que je ne la fasse taire, elle et mes indécisions.

Ma bouche se perdait dans son cou alors qu'il glissait ses mains sur mes hanches, me faisant basculer sur lui, éveillant mes instincts bestiaux farouchement enfouis. Sa voix rauque souffla mon prénom alors que mes dents marquaient sa peau à différent endroit. Il était à moi. Thor était à moi et à personne d'autre, j'aurais pu tuer pour lui… J'avais tué pour lui. Mon cœur rata un battement quand il se mit à caresser mon corps d'une façon enflammé, laissant ses mains me rendre brûlant, mes joues se mirent à me brûler alors que je lâchais sa peau pour émettre un son indécemment aigu. Avec hâte je vins lui retirer son haut et il fit de même avec le mien qui se perdirent sur le sol de ma chambre. Son regard brûla ma peau, puis se fut ses lèvres sur mon cou sur mon torse quand il me retourna sur le lit à son tour, laissant nos hanches s'entre choquer douloureusement, mes jambes se relevèrent par automatisme et mon corps s'arqua dans un gémissement silencieux. Sa langue traçant un sillon enflammé sur mon torse… Me brûlant le cœur, l'âme me laissant vide de sens. Je le voulais. Et je l'avais. Il descendit le long de mon corps, jouant de ses mains que je ne savais pas si habiles, si expertes. J'étais jaloux de toutes celles qui en avaient profité avant moi… Ma pensée fut interrompue par ses mains qui ôtèrent mon bas de nuit. Mon souffle se stoppa alors qu'il s'appliquait à le retirer en douceur… Ma peur revint à la charge, et un sifflement ronronnant dans ma gorge, mal à l'aise devant ma propre nudité. Thor releva son regard pour ancrer dans le mien, hésitant. Il remonta le long de mon corps alors que mon sifflement s'intensifiait encore et encore, tel un serpent à sonnette prêt à l'attaque. Il s'avança doucement de mes lèvres m'embrassant avec toute sa tendresse, alors que mon corps figé sous le sien se mit naturellement à onduler comme hypnotisé par ce baiser. Sa main descendit, flattant ma hanche avant d'effleurer mon sexe masculin, le caressant des doigts. Mes lèvres lâchèrent les siennes pour que je puisse laisser sortir un gémissement outré. Mes mains tremblantes agrippèrent sauvagement son dos. Ses doigts glissèrent dessus, l'empoignant doucement, lui infligeant une douce torture dans un mouvement de va et vient. Mes paupières se soudèrent de suite alors que ma bouche osait murmurer son prénom dans un gémissement indécent.

Ses mains étaient si douces, elles me torturaient avec passion. Il rendit rapidement mon corps tremblant et gémissant, frustré et complètement dépendant de ses caresses douloureusement irrésistibles. Sa bouche descendit le long de mon torse, je me cambrais en sentant cela. Son souffle passa sur ma virilité avant de descendre plus bas sur mon sexe féminin, qui n'aurait jamais du être présent au vu de mon apparence masculine. Et c'est littéralement un cri de surprise qui résonna dans la pièce quand il passa sa langue chaude dessus, dedans, autour de celui-ci, continuant de sa main ses mouvements sur mon autre sexe. Un gémissement rauque s'échappa de ma gorge, plus un autre et encore plus quand il continua plus fort. Mon corps se transformant en volcan. Jamais je n'aurais pu un seul instant imaginer ça. Jamais. Ma main se perdit dans ses cheveux alors qu'il s'appliquait à me faire gémir plus fort… Et je me fichais pas mal à cet instant qu'Odin ou toutes autres personnes soient au courant de ma vie sexuelle. Au milieu de tout cela, il glissa un doigt en moi sous sa langue, doucement. Mon corps se figea et une plainte douloureuse franchit mes lèvres alors que j'arquais mon corps pour lui échapper, l'angoisse rongeant mes tripes. J'avais peur de souffrir… J'avais peur mais sa main et sa langue redoublèrent d'effort pour me faire oublier, pour me dire qu'il n'était là que pour moi, que pour me faire oublier cet épisode douloureux de ma vie.

Il fini par glisser son doigt en moi, et il me fallut un temps considérable pour comprendre, que ce n'était pas de la souffrance qui me faisait gémir de plus en plus fort, de plus en plus intensément. Mon corps se tordant sous lui, ma main revenant dans ses cheveux quand il s'appliquait à torturer ce petit morceau de chair tellement féminin entre mes jambes.

J'étais un dieu, mais par Odin, je n'allais pas tenir longtemps, j'en étais sûr. Etait-il expert dans la chose ? Sans doute… Sa langue râpa une autre fois, plus fort, son doigt toucha ce point au même moment et mes yeux souvinrent en grand alors que je criais subitement son prénom dans un gémissement de jouissance me libérant dans sa main, mon vagin de contractant sur son doigt si violemment qu'il en resta un instant prisonnier sous l'étroitesse de l'endroit. La sensation me laissa sans voix, les yeux grands ouvert, alors qu'il m'essuyait avec les draps, tant pis pour eux, puis il remonta sur mon corps un sourire aux lèvres. Mes pupilles dilatées par ce plaisir intense n'arrivaient pas a distinguer ses traits correctement, mon souffle erratique et sifflant résonnait dans la pièce et il glissa tout prêt de mon oreille.

« Je crois que la moitié du royaume t'as entendu Loki. »

Il m'embrassa fougueusement, alors que je sentais son bassin frotter sur le mien. Un sourire satisfait plana un instant sur mon visage avant de comprendre qu'il voulait plus en sentant sa virilité étroitement prisonnière de son pantalon. Mes mains tremblantes l'ôtèrent avec empressement. Je voulais Thor en moi, maintenant, même si la peur, les souvenirs revenaient, me hantaient, je voulais qu'il efface tout. Je voulais qu'il fasse de ce cauchemar, un rêve. Son regard désireux croisa le mien et sa question me fit trembler un peu plus mais d'envie cette fois.

« Tu es sûr ? »

Je lui fis un signe de tête et il se redressa. Le froid de la séparation de son corps sur le mien me fit frissonner alors qu'une plainte indigné sortait de ma bouche. Il se hâta dans la tache, avant de libérer sa virilité avec un soupir presque douloureux, je n'osais pas vraiment regarder son corps… Pourtant mes yeux le balayaient par réflexes, me faisant presque rougir, il était beau. Thor était beau, musclé. Mes yeux dérivèrent encore plus bas et j'eus du mal à déglutir. Et bien monté… Son petit sourire, ne réussit pas vraiment à me détendre lorsqu'il se repositionna entre mes jambes, mes hanches se redressent par automatisme, mes jambes se soulevant, mes yeux perdus dans les siens. La terre cessa de tourner. Lui et moi. Nous deux. Mon corps tremblait, mes mains touchèrent son visage alors qu'une langue taquine lui effleura la lèvre. J'appréhendais, oui. Mais je ne voulais pas qu'il arrête. Il m'embrassa, et je le sentis se fondre doucement en moi, une grimace de douleur figea mon visage, il s'arrêta inquiet alors que mes ongles se crispaient sur ses épaules. Il embrassa son visage, ma mâchoire, mes yeux clos, ma bouche, mes pommettes, n'omettant aucune parcelle en venant un peu plus profondément en moi. Un grondement rauque sortit de sa bouche quand enfin il fut entièrement en moi. Le son qu'il venait de produire me chamboula, m'électrisant, mes hanches se mirent à onduler, hypnotisé par ce son que je voulais encore qu'il produise.

Il n'était plus Thor, je n'étais plus Loki, nous étions deux amants, amoureux, se livrant nos corps vibrants de désir.

Il laissa échapper un autre son, presque guttural en tremblant, je le sentais se contenir. Il me fit basculer sur lui en roulant sur le dos. Je restais un instant pantelant les mains sur son torse droit comme un i. Son regard sauvage me fit réagir. Un sourire sournois prit place sur le mien alors que j'ôtais ses mains de mes hanches d'une façon aguicheuse, produisant une rotation de mes hanches qui lui arracha un râle aussi puissant qu'inattendu. Son membre cognait sauvagement en moi contre mes parois et je me mordis la lèvre en me cambrant, ouvrant la bouche dans un gémissement silencieux. Je repris ma danse sur son corps, ondulant, le chevauchant presque honteusement, nos cris remplissant la pièce, faisant monter de plus en plus cette tension, ce sentiment de lien, cette attraction entre nous. Il caressa mon sexe masculin de sa main alors qu'il était à l'abandon, me donnant encore plus de sensation, plus fort et plus profondément en lui. Je sentais son sexe durcir encore et cogner toujours plus fortement sur ce petit point qu'il trouvait si facilement… Brutalement il me retourna sur le lit, et je ne pus qu'abandonner en serrant les draps entre mes doigts les déchirant presque sous l'intensité de ses assauts toujours plus forts et plus violents. Il perdit sa tête dans mon cou, ses lèvres, ses dents me marquant comme je le l'avais moi-même fait. Il gronda à mon oreille alors que mes hanches suivaient ses mouvements dans le sens inverses. Montant, montant, montant tout en haut mes ongles se plantèrent dans son dos, le griffant une plainte étouffé sortit de ma bouche alors que je jouissais pour la seconde fois resserrant son membre si fort dans son violent va et vient qu'il se libéra dans un gémissement rauque en déchirant presque les draps. Mes yeux papillonnèrent un instant alors que son corps s'écrasait sur le mien. Un simple feulement outré lui fit comprendre qu'il était lourd et son sourire s'agrandit en voyant mon visage rougit par ce que nous venions de faire, je savais que mes cheveux en bataille lui plaisait encore plus. Il se glissa sur le côté, se retirant de moi, je fis tout le même une grimace quand un liquide poisseux sortit lentement de mon entrejambe. Son regard me troubla. Un regard amoureux, satisfait. Il caressa mon visage et c'est un ronronnement qui lui répondit par automatisme. Un petit rire sortit de ma bouche.

« Tu es tellement beau. » Glissa t-il dans un chuchotement.

Je me penchais alors sur lui, l'embrassant doucement. Et glissant à son oreille entre deux ronronnements.

« Je t'aime. »

Il frissonna et me prit dans ses bras laissant ma tête reposer dans son cou. Il couvrit nos corps nus du drap et je sentis qu'il l'avait chassé. Oui il l'avait chassé ce cauchemar. Je fermais les yeux doucement laissant le sommeil me terrasser.

Nous étions deux dieux. Deux hommes. Deux âmes enchaînées pour l'éternité. Prisonnière d'un doux rêve. Une larme roula sur ma joue.

Thor.

TADAAAAM ...
Hm. C'est la fin. Oui, vous êtes triste ? Moi aussi !
Alors peut-être qu'un autre chapitre s'ajoutera.

Ceci est le premier vrai lemon que j'écris... Donnez moi vos avis

Je vous dis à très très bientôt car des projets, j'en ai pleins la tête mes Nyans