Coucouuuuu! Yep, c'est moi! (le moral dans les chaussettes mais bon... j'suis en pleine cure de Bisounoursitude, ça va aller mieux) (traduction, on s'est maté Raiponce, Shrek et l'Âge de glace tout en bouffant des pâtisseries avec des potes et en racontant des blagues à deux balles) (ça fait un bien fou mine de rien...) La vie c'est de la merde mais quand même, ça vaut le coup. Alors bon, j'm'accroche! The show must go on, comme dit le philosophe!

*enfile sa tenue de guerrier viking invincible*

Et je vous aime. Toutes. CÂLINNNNN! Voilà ^^

-Bah moi... Je te déteste! Connasse d'humaine!

Ouhlolo... Oui, effectivement, Lulu a plutôt mal pris le fait que je lui réclame un câlin. Depuis hier, il boude.

-Mais putain, comprends moi aussi! *au bord des lèvres* Je suis SATAN, je suis le Maître des Enfers, l'incarnation même du MAL! Et tu me fais faire un câlin...!

Il prend très mal le fait d'avoir fait quelque chose de "bien", ça nique un peu son image démoniaque. Allez Lulu, fait pas la gueule, Zerikya propose qu'on te rebaptise Divinité des Enfers, c'po cool ça?

-*sèche ses larmes* Sgnirf. Ouais, j'avoue, ça claque...

réponse aux reviews! (promis, je vous réponds TOUTES par MP bien pétés digne de ma bargitude habituelle!) Taraimpératrice: Yep! Je trouve que je n'ai pas fait assez intervenir les zanpakutos alors qu'ils m'éclatent (aaah, Kayu, sa délicatesse et sa poésie...) Et voui, les pétasses peuvent avoir leur utilité... Ça fait un bien fou de taper dessus, sérieux (une seule méthode: le coup d'boule!) ("-Conseil, arrache lui la langue... ça pisse le sang, c'est très rigolo et ça fait super mal") (quoi? me regarde pas comme ça, c'est Lulu qui s'est tapé l'incruste! Lucifer = Grand Maître ès tortures immondes) (y fait PEUR!) . Mais sinon, elles servent surtout à se désoler sur la connerie et la vacuité humaine. Ou alors à ce qu'on se foute de leur gueule. Enfin bref... de l'utilité des pétasses ^^ Et voui, Ulquiqui et Sôrayel, c'est un peu mon côté romantique fleu-fleurs qui s'expriment. Y sont trop mimis ^^ Et oui, Sôrayel et ses 70 kg et quelques se sont écrasés sur Papa Grimmy qui a essayé de rattraper sa fille avant qu'elle termine en compote sur le sol de Las Noches. Dur, dur d'être père XD Aaaah, pour la raison du titre de ce chapitre... Raté, c'est pas ça (en même temps, vu le peu d'indices que je vous ai filés... et personne a trouvé, logique) Mais c'est troooooop touchant ton idée pour Gin! Je craque...! (bref, j'ai envie de l'écrire... hem) Et nan, c'est pas non plus Szayel qui fait ses trucs chelous... Mais un perso pas encore vu dans la fic (juste évoqué au premier chapitre quand elle parle de son pouvoir) Juste, pour la fic de Naruto, tu peux me filer l'auteur passque j'suis pas sûre d'avoir trouvé la bonne stp...? Voilà!

Discalibur (passqu'il faut pas perdre les bonnes habitudes ^^) Bleach appartient à Kubo (merciiiiiiiiiii Tiiiiiite, je t'aime-eeeeuuuuuuh!) Seuls Sôrayel et sa capacité à se foutre toute seule dans la merde sont à moi!

Sous vos yeux ébahis, Sôra qui arrache la mèche d'Aizen et la lui fait bouffer avec la dose mortelle de wasabi! (je déconne...)


9. Dans le noir.


.

Folle de rage, elle frappa. Tout ce que Sôrayel voulait, c'était faire mal, lui faire mal et ce, le plus possible. Elle ne pouvait pas supporter son arrogance, c'était au dessus de ses forces. Comment osait-il sourire ainsi après ce qu'il avait fait à son père, après l'avoir fait hurler ainsi de douleur? Totalement hors d'elle, la jeune fille envoya à pleine vitesse son poing si crispé que ses jointures en étaient devenues blanches, direction la tête de cette enflure qui la regardait toujours de son air supérieur.

Mais avant même qu'elle ne puisse seulement espérer le toucher, Grimmjow se jeta sur elle et la plaqua violemment au sol, son dos fin heurtant brusquement le sol froid de Las Noches. Sous ses yeux turquoises écarquillés par la rage et la surprise, elle vit passer à une vitesse folle une lame acérée et meurtrière, à quelques centimètres à peine du bout de son nez.

-Tôsen... gronda un Grimmjow prêt à sauter à la gorge de l'aveugle.

Effectivement, c'était bel et bien l'âme damnée d'Aizen qui venait d'intervenir, prêt à défendre le roi du Hueco Mundo à n'importe quel prix. À peine Sôrayel avait-elle bondit sur lui pour le frapper que Tôsen en shunpo avait dégainé Suzumushi dans un objectif très simple : la décapiter en plein vol avant qu'elle ne puisse le toucher. Heureusement pour la gamine, son père Espada avait repéré l'ex-capitaine en shunpo et avait à peine eut le temps de sauter sur sa fille pour la plaquer de justesse au sol.

Amusé par la situation, Aizen ne bougea pas, observant avec délectation ses pions qui s'affrontaient. Tôsen raffermit sa prise sur le manche de Suzumushi et fit effectuer au sabre un mouvement vif, se mettant rapidement en garde face à Grimmjow. Face à lui et tenant sa fille derrière lui d'une main ferme pour ne pas qu'elle bouge, l'Espada dégaina tout aussi vivement Panthera dans un grincement métallique, réfléchissant à toute vitesse. Parce que là, ils étaient dans une merde sans fond.

L'ancien shinigami attaqua brusquement, étonnamment vif et visant la gorge de Sôrayel de la pointe de son sabre. La jeune fille esquiva de justesse par pur réflexe tandis que son père relevait rapidement son sabre dans un grand mouvement du bras pour dégager Suzumushi avec force.

Et cette fois, Sôrayel tremblait littéralement de peur, ses dents s'entrechoquant sans qu'elle ne puisse s'en empêcher. Parce que juste devant elle, cet homme impassible à la peau si étrange essayait bel et bien de la tuer, aucun doute là-dessus. Il attaquait de manière très vive et précise, abattant un ou deux coups extrêmement véloces que son père devant elle paraît du mieux qu'il pouvait de la lame acérée de Panthera puis se retirait à quelques pas, fixant sur ses futures victimes son regard vide. Seulement, Grimmjow savait très bien qu'au bout d'un moment, il s'agacerait de ne pas y arriver et attaquerait d'un coup ultra rapide et meurtrier. Et celui là, il aurait du mal à l'arrêter.

Entre deux parades rapides à coups de zanpakuto acéré, il se remémora rapidement la fois où l'aveugle avait tranché dans son hierro d'un seul coup, tranchant son bras dans une gerbe de sang. L'Espada mourrait d'envie d'attaquer mais il n'était pas sûr non plus que ce soit une bonne idée avec sa fille derrière lui à protéger. En même temps, il ne voyait pas non plus comment se sortir de cette situation. Sa fille pétrifiée de peur par un psychopathe psychorigide qui tentait de l'égorger, le maître absolu de ces lieux qui regardait la situation de son éternel air amusé... Aucun échappatoire.

Soudain, Tôsen sembla en avoir assez que Grimmjow place ainsi Panthera en travers de ses coups, l'empêchant de tuer cette impudente. Avec une force décuplée, Suzumushi fendit l'air d'un seul coup. Surpris, l'Espada contra à la toute dernière seconde le coup qui visait la gorge de sa fille mais la force et l'impact furent tels qu'il fut éjecté violemment à plusieurs mètres de là, laissant sa fille à découvert. Grimmjow percuta brusquement un des murs immaculés et s'écroula au sol comme une masse, assommé.

Tremblante de peur, Sôrayel ne put que resserrer ses longs doigts fins sur la garde élancée de Kage no Akayuki qu'elle avait libéré dans une dérisoire tentative de se défendre. Face à elle, l'aveugle ne broncha pas et il leva lentement son sabre, préparant avec soin le coup qui lui permettrait de la décapiter d'un seul mouvement ample. La jeune fille déglutit.

-Putain, putain, putain, putain, putain... lâcha la voix paniquée de Kayu.

Soudain, quelque chose fusa à toute vitesse, passant sous ses yeux si vite qu'elle ne put distinguer qu'une vague forme allongé ultra-rapide.

Sôra cligna des yeux.

Cette chose allongée n'était autre que Shinzô.

La jeune fille tourna vivement la tête, faisant voler ses longues mèches d'un turquoise argenté surnaturel.

Affaibli, le corps meurtri, les vêtements couverts de sang et adossé à un mur pour ne pas tomber au sol, Gin tenait pourtant fermement de sa main crispée la garde bleu clair de son sabre. La lame claire s'était allongée de telle sorte que sa pointe avait formé un impact violent dans le mur percuté de l'autre côté de ce couloir et passait juste sous la gorge de Tôsen, laissant sur sa peau sombre une longue estafilade sanglante. Son regard était froid, sombre, meurtrier... dangereux.

-Pas de ça Kaname. gronda son ancien collègue, d'une voix faible mais pourtant suffisamment menaçante.

Le message était on ne peut plus clair. Tu bouges ne serait-ce que d'un millimètre et, d'un infime mouvement de mon poignet, Shinzô t'égorge.

Aizen soupira. Ce n'était plus drôle du tout. Ça l'amusait beaucoup de voir Grimmjow tenter pathétiquement de protéger sa fille planquée dans son dos. M'enfin, maintenant que Gin était là, il ne pouvait pas laisser Tôsen décapiter la gamine... Gin se «laissait faire», c'était tout ce qu'il voulait. Seulement, en échange de ça, sa fille devait rester en vie. Ou au moins, il valait mieux éviter que sa progéniture ne se fasse pas tuer par son zélé subordonné juste sous les yeux de l'albinos, il risquait de plutôt mal le prendre.

Bon, si Tôsen l'avait tuée, il se serait débrouillé pour mentir à Gin, le manipulant, lui faisant croire qu'elle était encore bien vivante, que ce n'était qu'un de ses nouveaux jeux que de l'empêcher de la voir. Hypnose totale... Quelle merveilleuse faculté. En tout cas, il fallait qu'il trouve une solution à cette situation. Et il en avait une.


.

.

-Sosuke, ne fais pas ça... supplia Gin, plusieurs mètres plus bas.

Assis sur son trône dans cette salle immense de Las Noches, Aizen se délectait d'entendre la peur dans la voix tremblante de son jouet.

-Enfin, Gin, sois raisonnable. s'amusa t-il. Elle a attaqué mon subordonné...

«C'est surtout lui qui a essayé de la buter, ouais!» songea Grimmjow, amer et debout juste à côté de Gin, lui aussi anxieux et surtout très mal en point et pas du tout remis de ses blessures.

-... qui ne faisait que me défendre.

«Comme si t'en avais besoin! Ma fille pourrait même pas t'en coller une, enculé!»

Le maître de Las Noches s'adossa de manière un peu plus confortable à son siège blanc neige qui faisait office de trône légèrement futuriste.

-Il est donc juste qu'elle soit punie pour son insubordination. conclut Aizen comme si c'était l'évidence même, s'amusant de voir les têtes que faisaient les deux géniteurs.

«Mais c'est qu'une gosse bordel!» s'indigna Grimmjow en lui même, vraiment mal à l'aise à l'idée de ce qui allait arriver à sa fille.

Au centre de la pièce, Sôrayel se tenait debout et pas vraiment rassurée, voire pas rassurée du tout. Aucun de ses pères n'avait eut le temps de lui parler quand ils avaient été amenés de force ici pour assister au «spectacle». Les deux hommes, debout près des murs soit à plus d'une trentaine de mètres d'elle, ne pouvaient que regarder, impuissants. Si l'un d'eux avait le malheur d'intervenir pour tenter d'aider leur fille, Aizen se ferait une joie d'aggraver la sanction.

Avec un grand sourire, le-dit psychopathe s'adressa à l'aveugle qui faisait face à Sôrayel, imperturbable.

-Kaname... Fais donc ce que je t'ai demandé. Je te prie.

L'ex-capitaine dégaina rapidement son sabre et Sôrayel fit aussitôt de même, beaucoup plus nerveuse. Un combat contre le bras droit d'Aizen? Tellement facile... Au secours.

-Sôra! appela soudain la voix éreintée de Gin. Utilise Tsukitora!

À peine Aizen eut-il le temps de lancer un regard sombre de promesses douloureuses que Tôsen prit la parole de sa voix grave.

-Bankai. fit-il simplement. Suzumushi Tsuikishi. Enma Kôrogi.


.

Noir. Tout était... noir. Indécise, Sôrayel cligna des yeux puis plissa ses paupières. Elle ne voyait rien. Rien du tout. Elle passa ses longs doigts juste devant ses pupilles turquoises. Elle ne voyait rien non plus.

-Mais qu'est-ce que... commença t-elle avant de s'arrêter brusquement.

Putain... La jeune fille réessaya de parler mais rien à faire, elle n'entendait rien. Elle sentait bien sa gorge vibrer donc elle devait bien parvenir à produire des sons mais... Elle n'entendait rien. Sourde et aveugle. De plus en plus inquiète et son rythme cardiaque s'accélérant encore, elle claqua des doigts juste à côté de ses oreilles. Pas un bruit. Sa respiration s'accéléra.

Elle ne pouvait rien voir. Rien voir du tout. Et dans cet obscurité, ce silence et ce néant se cachait son adversaire. Elle était complètement à sa merci.

-Reste calme.

-Super conseil! Bordel, comment veux tu que je reste calme dans ce putain de... AÏE!

Quelque chose venait de trancher la chair délicate de son bras gauche, libérant aussitôt des flots de sang épais. Sous la douleur et la surprise, elle ne put retenir un cri aigu de douleur.

-Libère moi! rugit de sa voix inquiète Tsukitora. Tout de suite!

Paniquée, Sôrayel n'entendit que vaguement la voix du fauve lui parvenir mais elle parvint finalement à reconnecter ses neurones. Heureusement qu'il lui restait le sens du toucher. Et son père avait bien eut raison de lui dire de prendre Tsukitora. D'un coup sec, elle ravala Kayu avant de recracher son sabre d'Arrancar. Mais avant qu'elle ne puisse même esquisser le geste de dégainer l'arme, Tôsen attaqua à nouveau. Et cette fois ci, la lame transperça net la peau de son avant-bras gauche avant de se retirer brusquement, provoquant chez la jeune fille un nouveau long cri douloureux.

À l'extérieur du bankai, Gin et Grimmjow entendaient parfaitement leur fille. Ils l'entendaient on ne peut mieux souffrir, hurler et crier de peur. Et ils ne pouvaient rien faire. Gin était blême et tenait à peine debout, faible et tremblant, soutenu par un Grimmjow qui serrait ses poings si fort que ses ongles entraient dans sa peau et que du sang écarlate coulait de chacune de ses mains crispées. Il mourait d'envie de détruire tout ce qu'il avait sous les yeux et la douleur qu'il ressentait au niveau de ses paumes lui rappelait qu'il ne devait à aucun prix bouger si il voulait que la situation de sa fille ne s'aggrave pas.

Puis de l'immense ballon noir leur parvint, entre deux cris suraigus insupportables la voix claire la voix de leur fille prononcer l'invocation de sa libération avant que la déferlante de son reiatsu métis ne leur parvienne.

Jamais elle ne pourrait vaincre l'aveugle. Mais au moins, lui ne pourrait pas la tuer. La protection que lui conférait sa libération valait 100 fois le hiero de son père. Suzumushi ne pourrait la percer.


.

-Je ne sens aucun reiatsu!

-Panique pas! On est dans la merde putain!

-Kayu, tu m'aides pas là!

La lame de Suzumushi heurta violemment son abdomen, ripant sur sa carapace blanche et lui coupant le souffle et l'envoya bouler à plusieurs mètres de là, percutant à plusieurs reprises le carrelage froid. Malgré la douleur que provoquait chacun de ses coups surpuissants et qui engourdissaient ses membres, Sôrayel se redressa à toute vitesse et bondit le plus loin possible pour tenter de se mettre hors d'atteinte.

Sous sa forme libérée, la jeune fille disposait de deux atouts. Certes, elle était quasi inefficace en attaque mais ces atouts compensaient largement. Il s'agissait de sa carapace blanche ultra-résistante et de ses jambes. Avec ses trois articulations et leurs muscles sur-développés, elle pouvait déployer une vitesse impressionnante. Mue par la peur panique et l'adrénaline que son corps libérait en masse, elle se mit à bondir le plus vite possible d'un endroit à un autre dans des mouvements le plus aléatoire qu'elle puisse pour que Tôsen ne puisse pas la rattraper. Et ce, même si elle était incapable de voir, tout simplement parce qu'elle avait beaucoup, beaucoup, beaucoup plus peur de l'aveugle que de ce néant absolu qui lui faisait face.

Seulement, contrairement à lui, la jeune fille ne disposait que du sens du toucher pour se repérer. Et de rien d'autre.

Soudain, quelque chose attrapa ses longs cheveux immaculés qui flottaient dans son dos et la tira violemment en arrière. Incapable de se mouvoir dans les airs, Tôsen n'eut qu'à viser proprement pour que sa lame se glisse violemment entre les plaques de ses carapaces et ne transperce son abdomen fragile d'un seul coup. Puis il relâcha sa prise sur ses longs cheveux blancs et la laissa tomber au sol. Le long cri déchirant qu'elle poussa de toute la force de ses poumons d'enfant résonna de la manière la plus atroce qui soit aux oreilles de ses parents impuissants.

Une main plaquée contre sa plaie sanguinolente, les joues recouvertes de larmes et la douleur vrillant son cerveau, une violente décharge d'adrénaline dans ses veines la fit repartir à toute vitesse, fuyant comme une folle et bondissant à l'aveugle en tous sens pour tenter d'échapper à ce sabre meurtrier. Sôrayel était morte de peur.

Sans repères, une telle vitesse peut être extrêmement dangereuse, surtout avec sa peur qui la handicapait ainsi et l'empêchait de réfléchir correctement. Et cette vitesse, malgré le ralentissement incontrôlé qu'avait sur elle sa cécité subite. Ce qui devait arriver arriva. Sôrayel se réceptionna mal et ce qui devait arriver arriva. La jeune fille se réceptionna mal, très mal, et les articulations fragiles de sa jambe droite ne tinrent pas le choc. Les os se brisèrent.

Elle hurla de toute la force de ses poumons et la douleur fut telle qu'elle ne put exprimer la moindre pensée cohérente, le moindre mouvement, allongée sur ce sol froid. Paniquée, Sôrayel cligna une nouvelle fois des yeux, les joues pleines de larmes et les traits déformés par sa douleur. Incapable de repérer son bourreau. Elle ne voyait rien, rien du tout! La jeune fille était tout bonnement incapable de savoir où se trouvait son adversaire, invisible.

Tôsen s'approcha, toujours aussi mécanique. Oh, il n'allait pas la tuer, ce n'était pas dans ses ordres. Brusquement, il appuya son pied sur le pectoral de la jeune fille, pile entre la naissance de sa gorge et son immense trou de hollow, l'empêchant totalement de lui échapper, même en rampant. De peur, elle hurla de toutes ses forces. Elle se mit à se débattre comme une folle, tapant comme elle pouvait de ses petits poings contre son mollet et tentant de l'atteindre en battant l'air de sa longue jambe encore valide.

Seulement, vu le nombre de blessures qu'il lui avait infligé et le sang qui s'écoulait de son abdomen, son avant bras et son épaule, elle était incapable de lui faire le moin dre mal. Bloquée au sol, impuissante, blessée et paniquée, Sôrayel se mit à hurler comme une folle, appelant ses pères à l'aide, ne raisonnant plus, proférant des menaces sans queue ni tête, suppliant son bourreau et le ciel...

Elle ne voyait rien, elle ne sentait rien, elle ne percevait rien. C'était comme si elle était seule au monde, comme si personne n'était là pour elle. Elle était dans le noir, seule.


.

Amusé au plus haut point par la souffrance sans nom dans les yeux de son jouet, Aizen mit à cette sanction, à son jeu puis observa d'un air moqueur et supérieur les deux parents se précipiter vers le corps blanc meurtri et en sang de leur fille terrorisée..

.


Eeeeeet voilà, cette fois, c'est bel et bien terminé. BOUIIIIIIIIIIIIIIIIINNNN!

Hem. *reprend contenance*

À propos de cet extrait (qui est le plus gros de ce recueil, héhé)... Je ne l'aime pas du tout en fait, je trouve que l'action rend vraiment très mal. En fait, je voulais surtout traiter du bankai de Tôsen. Je kiffe ce perso... (le nom de son bankai est TROP classe! "Ultime cérémonie des grillons, criquets du seigneur des Enfers"! kyaaaa!) ("des enfers"...? c'est un pote à Lulu!) Voui, il fait très Captain Justice et dans cet extrait il n'a pas un super rôle mais je trouve qu'on ne le voit que très peu dans le manga et c'est super dommage! Enfin bref...

Voilà, merci à toutes (oui passque visiblement, vous êtes toutes des gonzesses...) de continuer à me suivre, Hauyne, Saakie-chan, Taraimpératrice, Zerikya, vous êtes toujours aussi géniales, et merci aussi aux ptites nouvelles Loupiote, Lussynlight, Maryanne et Myon (my-only-words)

Je vous aime toutes et MERCIIIIIIII, ça me motive encore plus pour la suite! BOUHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA! (oui j'suis folle, vous aviez pas encore crâmé...?)

.

Ciao et à mercredi prochain! C'était Benitsuki Tora la pétée:!

-Et en direct de mes magnifiques Enfers à moi, Lucifer la Divinité des Enfers!

Surnom adopté à ce que je vois...

-Silence, humaine.

BAZOOKA HEADSHOOOOOOOOT!