« Tu m'observes, je sent tes magnifiques yeux bleu me détailler. C'est toujours comme ça, tu joue avec moi. Tu as un regard de prédateur, un regard qui me ferais rougir si je le pouvais. Tu passes ta langue sur tes lèvres et je n'attend que ça. Ce contact, tes lèvres douces contre moi. Ce contact dure longtemps, mais en même temps, pas assez. J'en veux plus, toi aussi, on le sais tout les deux. Nous sommes fait l'un pour l'autre, ne le nie pas.
Tu soupires de bien être, tu gémis même lors ce que je touche ta langue.
Mais tu attend que nous soyons seuls pour t'abandonner à ce plaisir. Parce que tu ne veux pas que les autres le sache, tu ne veux pas qu'ils le voient. Et d'un coté, c'est un peu comme ne pas respecter la règle n°12. Mais tu aimes ça, j'aime ça. Tu re lèche tes lèvres, tu ne veux rien perdre de notre contact. Tu ne peut pas t'en passer, tu es accroc à moi.
Et oui, l'Agent Gibbs est complètement fou de moi. Personne n'y peut rien, c'est comme ça.
L'ascenseur s'ouvre, tu t'avances. Ils te regardent, tu n'y fait pas attention et prend place à ton bureau. Tu me poses à coté de ton dossier en cours, ils t'observent toujours. Tu leur lance un regard noir, ils se remettent au travail. Tu soupires et le téléphone sonne. Une nouvelle affaire.
Tu dois me laisser, parce que c'est fini. Mais tu reviendra vers moi, ne t'en fait pas. »
L'Agent Gibbs jeta le gobelet en carton à la poubelle. Il repense à ce qu'il s'est passé dans l'ascenseur, personne ne doit savoir ce qu'il s'y est passé, personne.
En même temps, personne n'aurait pu imaginer qu'entre Gibbs et le café, c'était à ce point.