Hello!

Me voici pour une Fanfiction, et mon premier Johnlock.

J'espère qu'elle vous plaira :D

Oui je crois que j'ai un problème avec les gays, il m'obsèdent mais ils sont si mignons! Ils sont ma principales inspiration :p

Disclaimers : Les personnages ne m'appartiennent pas ( malheureusement ) , ils appartiennent à Arthur Conan Doyle, reprit par ma religion, ma foi, la BBC et ses dieux : Steven Moffat (le diabolique ) et Mark Gatiss ( l'enigmatique )... Je les préviens juste que si je les vois dans la rue je les kidnappe, les menotte et euh... Stop :3

Reviews : J'espère en avoir pleins plein pleins !

J'essaierais de publier régulièrement mais ne me taper pas si je suis looooongue!

Bref bonne lecture et enjoy!

Ennuyeuse.

Voilà le mot qui caractérisait actuellement la vie d'un certain détective consultant, rectification, le seul détective consultant au monde.

Comment les gens pouvaient-ils être aussi banals par ces temps ? Il y avait son camarade de jeux en liberté qui se manifesterait bientôt, comment toutes ces âmes ne pouvaient elles pas sentir le démon s'approcher ?... Oh oui quant il se manifesterait sa vie changera du tout au tout jusqu'à la prochaine partie , elle aura enfin un petit attrait et il avait hâte... Oh oui Sherlock Holmes n'en pouvait plus d'attendre le jour J , l'heure H , la minute...

« Sherlock ! Lestrade en bas de l'appartement, il te demande pour une affaire et...

-Stop John, te rends tu compte que tu m'as une fois de plus couper dans mes réflexions, lâcha sèchement le détective, je te l'ai dit combien de fois au juste ? Lorsque je suis retranché dans mon palais mental tu ne me dérange sous aucun prétexte entendu ? »

Il appuya sa déclaration d'un regard gris acier qui aurait glacé n'importe quelle personne de la vie de tout les jours, mais John Watson n'était pas n'importe quelle personne, alors au lieu de se retirer, l'ancien soldat se redressa histoire d'essayer de surplomber pour une fois le détective qui avouons le, faisait deux bonnes têtes de plus que le médecin et, reprenant contenance, déclara avec, il l'espérait conviction :

« Sherlock, tu es un sale gosse pourris gâté ! Tu sais pourquoi ? Je te suis fidèle, je te suis partout, je me met en danger pour toi et je laisse de coté ma vie sentimentale puis par dessus tout je te supporte ! Mais là c'est trop, tu t'ennuie, tu vas donc aller voir Lestrade et lui dire que tu prends l'affaire et au moins tu seras occupé pour dix bonnes minutes minimum que risque tu après tout ?

- Je risque de me lever pour rien John... Il poussa un soupir agacé. Tu sais bien que je ne sors jamais pour les affaires qui méritent moins d'un six sur dix on s'étaient entendus sur ce point là et ici, l'affaire doit valoir moins d'un cinq puisque Lestrade n'est pas venu me le demander lui-même.

-Alors là... Sherlock lève toi avant que je ne m'énerve vraiment !

-John... Tu m'importune, pousse-toi de là tu m'empêche de réfléchir, je n'ai pas besoins de toi.

-Tu.. Tu te rends compte de ce que tu viens de dire ? Et puis ce ton condescendent... Arrête de l'utiliser des que tu me parle ! Je … Je n'en peux plus Sherlock, tu n'as donc aucuns sentiments ? Tu n'est pas humain ?

-Tais-toi John... Il fit un geste dédaigneux de la main, invitant John à quitter la pièce.

-Sherlock... C'est trop ! Je sors... JE SORS ! Tu m'écoutes même pas … C'est dégradant! Ne me joins pas car je ne rappliquerais pas comme d'habitude, tu te débrouillera tout seul. »

Sur ces mots, le médecin sortit et claqua la porte derrière lui.

John, respira un grand coup et s'appuya contre le mur … Pourquoi fallait-il toujours que leurs discussions finissent comme ça ?

Il renifla sentant une larme traîtresse descendre le long de sa joue, contournant ses yeux cernés par la fatigue qu'engendrais Sherlock et s'arrêtant au coin de ses lèvres charnus.

« John, John... Que fais-tu ? Se souffla t-il a lui même, depuis quand pleurs-tu, tout seul dans un couloir sombre ? » La réponse est simple.

Depuis lui.

Oui c'est vrai depuis qu'il avait rencontré Sherlock ses nerfs étaient à fleur de peau, c'était normal avec tout le danger qu'ils rencontraient qu'il relâche la pression de temps en temps non ?

Il essuya les dernières traces de pleurs d'un coup de manche sur ses yeux, du moins il l'espérait, et descendit la volée de marches qui lui restait avant d'arriver sur le perron.

« Ah, John ! L'interpella Lestrade, Alors ? Il accepte ?

-A ton avis Greg ? Le médecin souffla légèrement et fit la moue.

-Dis-moi, ça va ? Tu as les yeux rouges...Tu t'es disputé avec Sherlock? Encore.

-Hmm...Le médecin eu l'air mal à l'aise , oui...Mais tu sais ce que c'est, c'est la pression. Juste je décompresse de temps en temps...

-Oui, la pression, bien sur John.

-Qu'insinue-tu Greg ?

-Rien, rien, balbutia le DI, Juste que...Non rien, écoutes oublies ça et vas te détendre. D'accord ? Lestrade appuya sa déclaration d'un sourire compréhensif.

Sur ce, Anderson arriva et lança à l'ancien soldat :

-Oh non Watson, ne me dites pas que vous pleurez ? C'est tellement M.I.G.N.O.N !

Attendez... Laissez moi deviner, dispute conjugale ?

Le légiste se fit foudroyer du regard par John.

-Oh c'est ça ! Reprit-il! Je le savais, alors dites-moi, qui joue la femme ? Vous, je parie,toujours soumis et au petits soins...

-Anderson ?

-Oui ?

-Ta gueule, je ne t'ai pas parlé. » Cracha Watson qui fut lui même choqué par sa vulgarité.

Lestrade voulait que Sherlock s'occupe de son enquête ? Il n'avait qu'a lui demander lui même !

C'est vrai quoi, après tout John en avait marre d'être toujours celui qui devait être serviable, toujours là pour tout le monde... Lui aussi avait des besoins mais par contre personne ne se souciaient de ce qu'il voulait vraiment.

« Qu'est-ce que j'ai besoin actuellement ? Pensa t-il, la réponse vint d'elle même. J'ai besoin d'un bon verre. »

Il avait besoin de sortir, mais Sherlock ne voudrait jamais se lever de son canapé pour l'accompagner... Au diable Sherlock, le médecin trouverait quelqu'un d'autre pour lui tenir compagnie ce soir... Le problème restait là, qui voudrait sortir avec lui ?

Sarah ? Non, la jeune femme ne voulait plus le revoir depuis qu'il l'avait laissé tomber... Après l'épisode Reichenbach l'ancien soldat était tombé dans une sorte de léthargie dont rien ne pouvait le sortir à par Sherlock...

Grégory Lestrade l'avait assisté tout au long de cette période jusqu'au retour du détective consultant et le DI Lestrade ne préférait pas penser à ce qu'il serait advenu de son ami sans son aide. C'était ensuivit de longues disputes entre John et Sherlock, des crises de nerfs et même une fois de larmes... Mais ça, aucun d'eux deux n'en avait reparlé après la réconciliation.

Malgré tout, Watson en gardait un souvenir très amer... Il avait été si mal pendant ce temps sans le jeune homme aux boucles brunes et au regard de glace. Il y avait eu tellement de non-dits durant leurs longues discussions mais John ne voulait pas accabler son ami même si il le méritait après tout pour ce qu'il lui avait fait subir...

Heureusement Grégory avait été là pour lui.

Lestrade.

Oui il irait boire un verre avec le DI ce soir.

« Greg, dis-moi, tu fais rien ce soir ? Demanda t-il timidement.

-Non je n'ai rien prévu, tu veux boire un verre pour te changer les idées ? En prononçant cette phrase Lestrade sourit franchement.

-Ok ça me dit ! Très bien où veux tu qu'on aille ?

-Je connais un bar Irlandais sympa suis moi ! »

Il accompagna ces mots d'un clin d'œil que John ne savais pas s'il fallait le définir d'amical ou de séducteur.

Il se sentit rougir idiotement tout à coup... Heureusement que son ami ne le remarqua pas... Du moins il l'espérait vraiment.

Le bar que Lestrade avait choisis était vraiment appréciable, ils étaient assis à leurs table au fond de la salle depuis plus de deux heures et la discussions avait dépassait les limites d'un échange strictement professionnel.

À la première pinte de bière, nos deux amis c'étaient mis à parler d'une ancienne enquête.

À la deuxième, le sujet de Sherlock avait été abordé et avec son don de déduction.

À la troisième, les blagues sur le détective allaient bon train.

Et enfin, à la quatrième Lestrade et Watson parlaient des déboires de leur vie sentimentale.

« Tu te rends compte John ? Trois ans que je suis divorcé et je ne m'en remet toujours pas... Ça craint plutôt pour un quarantenaire non ? Toute ma vie sentimentale à était un vrai désastre ! Le DI but une gorgé de la boisson puis allongea sa tête sur ses bras croisés, il se racla la gorge. Et toi avec Sherlock ?

-Quoi avec Sherlock ? Non, ne me dit pas que tu crois à toutes ces rumeurs ? C'est pas vrai ! Non il n'y à rien entre nous ensuite je ne suis pas gay et puis plus sérieusement, Sherlock avec une relation amoureuse ? John commença à rire. Tu crois vraiment que ce sociopathe pourrait en avoir une ? Non, il n'a pas de sentiments. Jamais. Je me demande mais souvent si il me considère comme son ami... Tu sais ce qu'il me répète : John je n'ai pas d'amis. Le médecin eu un sourire triste.

-T'inquiète pas je suis sure qu'il ne pense pas ça quand il le dit... Lestrade leva ses yeux vers Watson.

-Je n'en suis pas si certain... Il faudrait que je rentre Greg merci pour la soirée.

-C'est vrai qu'il est déjà une heure du matin... Je te ramène ? Il sourit franchement à son amis.

-Non, non Greg merci je vais retrouver mon chemin tout seul... On se revoit bientôt ? De toutes façons on se refera une soirée comme ça... Avec notre chance en amour et en amitié !

-Ok,ok... À la prochaine John. » Cette fois-ci son sourire était triste et sans conviction.

Dans la rue John déambulait seul à la lumière des réverbères, il n'avait pas envie de rentrer tout de suite.

*Bip*

Son téléphone sonna dans sa poche, qui pouvait bien le contacter a une heure pareille ? Ah oui. Lui .

L'ancien soldat regarda le sms :

-John, rentre SH.

« Quoi ? Il plaisante là ? Pensa t-il, Je lui ai dit moi même que je ne rentrerais pas pour lui ! »

*Bip*

-Je voudrais que tu rentre maintenant, il est tard SH.

*Bip*

-S'il te plaît. SH

« Bon... C'est demandé gentiment, c'est pas l'année prochaine que je verrais Sherlock si poli avec moi... »

En rentrant au 221B Baker Street, John trouva Sherlock allongé sur son canapé... Il n'avait donc pas bougé de la journée ?

Quant il s'approcha, le blond remarqua que le détective consultant était en fait endormit, Le médecin sourit malgré lui... C'était si rare de le voir comme ça, et cela valait le coup, l'ancien soldat eu la vision d'un ange endormit, entouré de jolies boucles brunes, il était si paisible … Si beau ?

John eu honte de cette pensée.

Sherlock eu un frisson.

Le blond le remarqua et remonta doucement le plaid jusqu'au menton de son colocataire.

« Bonne nuit Sherlock ».