Saluuuuuuuut...
*arrive avec de gros sanglots dans la voix* *renifle un bon coup parce que faudrait pas non plus qu'elle se mette à chialer maintenant*
-Ah si, ah si... Pleure toutes les larmes de ton corps. Pleure que je me marre un bon coup. Vas-y, lâche toi je vais bien pouvoir me foutre de ta tronche de sale humaine casse-couille. Ça va être ma-gni-fi-que. Héhé. *grand sourire sadique du Maître des Enfers*
YAHAHAAAAA! TA GUEULE DUSCHNOCK, J'TE LAISSERAIS PAS ME POURRIR CE DERNIER CHAPITRE!
*coup d'boule*
*décès brutal de Lucifer alias Lulu-le-naze*
Haa, je l'aime ce Lucifer... Toujours là pour le remonter le moral! (*le cadavre tente de marmonner une vague insulte indistincte*) (BAZOOKAAAAA!) Donc!
Voilà la fin de cette fic. Ça fait bizarre... Enfin vous, je ne sais pas, mais moi ça me fait tout bizarre. Genre, j'ai vraiment publié tout ça? Moi, Benitsuki Tora qui ait toujours planqué mes textes comme une psychopathe en gueulant "TOUCHE PAS À MES TEXTES, TROUDUC INTERSIDÉRAAAAAAAL!" dès que quelqu'un s'en approchait? C'est mon texte que j'ai osé faire lire à des lecteurs? Wow. Dingue.
Bon, on se revoit à la toute fin pour touuuuuus mes remerciements et touuuut ce que j'ai à dire! (j'ai résumé parce qu'à la base, ça faisait la taille des Misérables héhé ^^')
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Au fait les gens! J'suis majeure, wouhouhoouuuu! Par contre, mon cerveau est toujours bloqué à cinq ans et quelques et dès que je vois la moindre pâtisserie, les deux neurones qui me restent disjonctent carrément... Donc ça va pas changer grand chose. Ah si, j'peux faire des dons maintenant, donner mon sang, tout ça, tout ça... Et je vais pouvoir VOTER, MOUHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA!
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réponse aux reviews (la dernière fois que je ferais ça pour cette fic!) and it is ze return of ze wonderful Taraimpératrice (coucouuu! wééééééé!) (comment ça, j'me tape un kiff toute seule...? héhé, juste un peu! m'en fout, c'est le dernier chapitre alors je fais ce que je veux! na! pis d'abord, je suis l'auteur, j'ai tous les droits...!) (comment ça, j'ai deux ans d'âge mental...?) Pleure po! *dis celle qui a carrément de la morve au nez et les joues en mode Atlantide* Haha, j't'aime vraiment toi! D'autres fics...? Héhé, rendez vous touuuuut en bas, j'vous dis tout pour la suite! Et... désolée mais Gin va rester au fond de sa tombe. Il est mouru et je veux bien que Mayuri soit un génie mais nan, Gin ressuscitera pas. T'imagines un Gin-zombie? Wow, le délire XD! Et pas de bankai non plus pour notre ptite Sôrayel ^^' (*pas tapeeeeeeeeeeeer!*)
Discalibur: Bleach n'est pas à moi, jusque là rien de nouveau sous la pollution parisienne hein je vais pas essayer pitoyablement de vous faire croire que Kubo n'est plus le créateur de ce manga parce que sinon je vais encore me faire pulvériser. Par contre, Sôrayel et son talent pour pulvériser les portes de la 6ème division baaah... mouhéhéhéhéhé, c'est rien qu'à moi! Yesss!
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Allez... Voilà la fin de cette fic! C'est tout beau, tout mignon... (arg).Chapitre le plus LONG DE TOUS! Profitez en bien ^^
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15. Épilogue. Sous ce ciel bleu.
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Les mois passèrent, les jours raccourcirent et le temps s'écoula. L'automne céda doucement sa place à la froideur hivernale. Peu à peu, le Seireitei s'habitua à la présence de ces trois Arrancars, la jovialité et la douceur de la belle Nelliel compensant de beaucoup le côté grosse brute épaisse de Grimmjow et la froideur parfois flippante d'Ulquiorra. D'ailleurs, dans le dos de ce dernier beaucoup l'appelaient Mister Frigo, rapport à son impassibilité désormais quasiment aussi légendaire que celle du capitaine de la 6ème. La 6ème était devenue dans les conversations de bar après quelques coupelles de saké «la division des Frigides en puissance» malgré les nombreuses tentatives de Renji Abarai, vexé de cette appellation, pour y remédier. Tout ce que le vice-capitaine avait réussit à obtenir c'était de se faire engueuler par son capitaine et récupérer suffisamment de paperasse à terminer pour lui pourrir toutes ses soirées saké pour plusieurs dizaines d'années.
Après moult réflexions très bureaucratiques, les 46 bureaux du Chuo avaient fini par accepter la présence de ces Arrancars et ex-Espadas, en échange de quoi ceux-ci mettaient leurs talents à l'entière disposition du Gotei 13. Du coup, l'ex-tercera avait rejoint la division d'un Kenpachi Zaraki heureux comme si c'était Noël. Pour l'instant, la jeune femme laissait à Grimmjow le soin d'affronter son capitaine comme deux grosses brutes assoiffées de sang et celui-ci ne se faisait pas prier, appréciant toujours autant de se bastonner contre un adversaire aussi puissant.
Par contre, la belle jeune femme, ancienne Espada, avait collé une branlée monumentale à un Ikkaku Madarame absolument incapable de se concentrer ailleurs que sur son incroyable décolleté étrenné pour l'occasion, histoire de donner à son nouveau capitaine une idée de son niveau. Kenpachi Zaraki en avait bavé de plus belle.
Grimmjow était désormais chargé de la formation des recrues à son grand bonheur. Il avait déjà entraîné sa propre fille et s'était aperçu que ça lui plaisait bien pour une fois de ne pas tout détruire. La destruction c'était sympa bien sûr et il s'éclatait toujours autant à pulvériser du Hollow mais ça, ça lui plaisait aussi. Au contraire, il se sentait utile à leur apprendre à se battre et surtout, à se défendre. Mais bon, Grimmjow restant Grimmjow, il prenait un malin plaisir à terroriser ces petites recrues gaulées comme des crevettes fraîchement sorties de l'académie, jouant allègrement sur les nombreuses rumeurs à son sujet qui circulaient allègrement à l'Académie Shin'O. La plupart donnaient envie de se jeter dans les bras de Mayuri Kurotsuchi et son goût maladif pour les expériences glauques au possible plutôt que de passer entre les mains de l'Arrancar.
Franchement, ça le faisait bien rigoler et il adorait les voir trembler de tous leurs membres devant lui et son incroyable sourire carnassier. Mais l'ancien sexta avait un autre objectif en tête que de torturer ces bébés shinigamis: la conquête de Nelliel Tu Odervschank. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que cela amusait beaucoup la belle Arrancar qui le faisait languir. Mais personne n'était vraiment dupe et les paris étaient ouverts. En tout cas, les nombreuses techniques de drague plus ou moins maladroites de Grimmjow alimentaient de beaucoup les potins du Seireitei.
Potins dont raffolait d'ailleurs la vice-capitaine de la 10ème. Pour Rangiku, la situation n'avait guère changée: toujours son petit taicho qu'elle adorait faire tourner en bourrique, toujours la paperasse qu'elle esquivait non-stop, toujours ses soirées de cuites monumentales entre amis... À quelques détails près.
Désormais, ces soirées hautement alcoolisées dans divers bars plus ou moins bien famés voyaient se dérouler des concours effrénés de beuverie entre Rangiku et Grimmjow sous l'œil amusé et impressionné de leurs amis. Et au grand désespoir de l'Arrancar et malgré ses efforts, la jeune femme gagnait de manière quasi systématique haut la main. Résultat, il finissait régulièrement avec une gueule de bois pas possible après avoir roulé sous la table comme une merde. Par contre, Nelliel ne tenait pas du tout l'alcool. Mais alors pas du tout. Un soir, et sous l'impulsion des autres curieux de voir à quoi la jeune femme plantureuse pouvait ressembler une fois bourrée, elle avait entamé un strip-tease intégral après quelques verres de saké pour le plus grand bonheur du public masculin. Sur le coup, Grimmjow en avait assommé la moitié pour ne pas qu'ils profitent du spectacle avant de faire fuir le reste à toutes jambes avec son regard fou furieux psychopathe qui traduisait bien son envie de se tricoter un pull avec leurs tripes.
Dès qu'elle le pouvait, la belle blonde passait un peu de temps avec «sa» fille, Sôrayel. Depuis que Koyuki, cet insolent petit gamin blanc qui passait son temps à faire tourner en bourrique sa maîtresse adorée, était apparu dans la vie de la jeune fille, tous ces problèmes qui la hantaient auparavant semblaient bien loin. Elle était désormais un peu plus calme, ne cherchant plus à tout prix à vivre à cent à l'heure. Pour une fois, elle pouvait vivre à son rythme, sans se dire que son espérance de vie serait minuscule voire quasiment inexistante.
La belle et plantureuse shinigami tentait toujours de la faire boire en douce malgré l'indignation de Kira, mais c'était sans compter sur son papa-poule de père, ni patient, ni diplomate. Pas d'alcool avant sa majorité ou Rangiku boufferait Panthera en pleine poire. Clair, net et précis. Paternel qui répugnait d'ailleurs à partager sa fille avec la shinigamie totalement délurée. Par contre, Grimmjow n'avait rien pu faire pour empêcher ladite délurée de faire découvrir à Sôrayel les joies du lèche-vitrine. Manque de pot, sa fille adorait. Ce qui lui donnait envie de se taper le crâne contre un mur, n'importe lequel. Il était maudit.
Shuuhei lui, continuait à se chamailler des heures durant avec celle qu'il avait surnommée «la morveuse» malgré les reproches de son blond adoré. D'après le tatoué, ce surnom lui allait à merveille même si Kira le soupçonnait fortement de se venger pour le Shushu. Par contre, il n'avait pas encore osé appeler la jeune fille comme ça avec son père dans les parages. Pas fou le Shuuhei. Le shinigami de la 9ème avait surpris beaucoup de gens en se chargeant personnellement de l'entraînement de Sôrayel, même si la jeune fille restait bien un membre de la 7ème division. Du coup, à chaque séance, il avait le droit à un chapelet de mises en garde qui ressemblaient un peu trop à des insultes à son goût de la part d'un Grimmjow Jaggerjack prêt à lui sauter dessus et à lui arracher la tête avec les dents au moindre geste suspect.
Depuis six mois que Sôra avait commencé à suivre l'entraînement de Shuuhei sous les encouragements et les conseils incessants de son capitaine-peluche géante Komamura, elle progressait peu à peu. Les progrès étaient lents, très lents et elle ne pourrait probablement jamais atteindre le niveau d'un troisième siège. Le bankai? Autant ne pas y penser malgré les encouragements limites hystériques de Koyuki. Mais c'était sans importance aucune pour la jeune fille. L'enfant blanc et elle s'harmonisaient de plus en plus, c'était le principal. Avec le temps, elle progresserait. Avec le temps...
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Sôrayel n'avait jamais vraiment su ce qu'elle représentait aux yeux d'Ulquiorra. Lorsqu'elle avait enfin pu sortir de sa chambre-prison dans les souterrains froids de Las Noches, la jeune fille s'était précipitée vers lui, guidée par les traces infimes de son reiatsu qui disparaissait rapidement. Elle n'avait pas réfléchi aux conséquences de ses actes en demandant à Kage no Akayuki de le «réparer», elle l'avait fait, c'est tout. Elle pouvait le sauver, pourquoi aurait-elle réfléchi? Jamais la jeune fille n'aurait pu le laisser mourir.
Cela pouvait sembler étrange mais sur le coup, à ses yeux, ç'avait été une évidence. Juste une évidence. Rien qu'une évidence. Ulquiorra était le seul être à s'intéresser à elle. Ses pères aussi, mais eux, c'était justement parce qu'elle était leur fille. Lui... c'était différent. Sôrayel aurait dû ne rien représenter aux yeux de l'Arrancar.
Il n'avait aucun lien avec elle et n'aurait jamais dû la rencontrer. Seulement, un jour, il avait perçu cet étrange reiatsu. La première fois, il n'y avait pas prêté attention. Mais, plusieurs fois et sans qu'il puisse se l'expliquer, il s'était surpris à songer à cette énergie spirituelle si étrange, ni tout à fait shinigamie, ni tout à fait Arrancar. Alors, un jour, il s'était décidé à descendre ces longs escaliers en colimaçon, ne sachant pas trop ce qu'il faisait, agissant comme sur un coup de tête.
Et il avait entendu cette voix, cette voix si claire qui lui demandait qui il était... Cette voix qui appartenait sûrement à une jeune fille ne lui demandait pas seulement son nom, comme quelqu'un qui aurait juste voulu pouvoir mettre un nom sur un adversaire. Non, cette voix lui parlait, tout simplement, essayait de savoir qui il était, le questionnant de manière curieuse. Qui aurait pu vouloir savoir qui il était sous l'unique rôle qu'on lui avait donné, servir aveuglément d'arme à Aizen? Pourquoi s'intéresser à lui, à sa vie? Il n'était pourtant personne, il n'était pourtant qu'une arme.
Il ne répondait pas souvent, par monosyllabe la plupart du temps, parfois par une phrase courte. Mais, petit à petit, au fur et à mesure de ses visites, il s'était rendu compte que le son de cette voix l'apaisait et qu'il n'aimait pas l'entendre teintée de tristesse. Il aimait bien cette voix. Il n'aurait pas pu dire pourquoi, mais entendre ce son clair, cette voix qui chantait de l'autre côté de la porte immaculée le faisait se sentir lui même un peu plus léger, moins... inutile.
Alors, peu à peu, il avait commencé à répondre à ses questions par des questions. Il avait voulu la connaître, connaître cette voix, ce son, ce chant, cette merveille, la comprendre... Pourquoi s'intéressait-elle à lui? Qui était cette personne qui s'intéressait à son existence sans but ni intérêt?
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Elle dormait. Elle dormait doucement, ses lèvres entrouvertes laissant passer un léger filet d'air, abaissant et soulevant lentement son torse fin. Les paupières closes et son corps longiligne enveloppé dans cette couette épaisse, Sôrayel dormait paisiblement à l'abri de tout. Bercée de ce sommeil tranquille, ses traits étaient incroyablement détendus.
Dans un coin de la pièce plongée dans l'obscurité nocturne trônait un portrait de Gin devant lequel sa fille déposait chaque jour une fleur. Pour l'instant des tulipes roses d'hiver qu'elle avait chapardées dans la serre du capitaine Kuchiki ainsi que quelques fleurs séchées sauvages d'un bleu délicat étaient posées devant la photo, juste à côté d'un yoyo et d'une assiette de kaki séchés. Pas loin de l'autel en question, Koyuki traînait négligemment, posé sur un portique que lui avait refilé Kisuke, dans son fourreau blanchâtre sur lequel jouait la lumière blafarde d'un froid soleil d'un matin de décembre, immobile.
Un jour, la jeune fille avait surpris le cuarta à genoux devant le portrait et priant les mains jointes pour son père. Lorsqu'elle avait posé sur lui ce regard ému et décontenancé, le questionnant silencieusement, il lui avait simplement répondu qu'il le remerciait. «Le remercier?» avait-elle demandé, étonnée. «Le remercier pour quoi?» «Pour t'avoir donné la vie». Il lui avait dit ça d'un ton candide, comme si c'était une évidence. Elle s'était jetée sur lui en riant de bonheur pour le serrer dans ses bras et l'étouffer à moitié.
Le soleil brillait doucement devant ce petit appartement de la 7ème d'une lueur froide révélatrice d'un matin froid de décembre. Quelques rayons de lumière pâle passaient à travers les shogi, donnant une légère tonte irréelle à la pièce. Le jour s'était levé depuis un peu plus d'une heure et il aurait déjà du la réveiller. Mais ce n'était pas si grave. Elle pouvait bien continuer à dormir un peu, Komamura ne lui en voudrait pas. Enfin, Ulquiorra espérait que cela serait le cas.
La soirée de la veille, passée dans un bar du Seireitei avec son père, Nell, Rangiku, Kira et Shuuhei avait duré jusque tard dans la nuit et l'avait plutôt épuisée. Il avait même dû la porter, sous l'œil peu confiant d'un Grimmjow prêt à lui passer Panthera au travers de son corps tout le long du retour jusqu'à ses appartements de la 7ème. À peine rentrée, Sôrayel s'était laissée tomber sur son futon, s'était enroulée pâteusement dans sa couette puis s'était endormie aussi sec avant de commencer à ronfler doucement. Alors bon, le capitaine Komamura pouvait bien accepter qu'elle arrive un peu en retard. Sous ses airs de grand capitaine intransigeant et imposant se trouvait, Sôrayel avait appris à mieux le connaître, un renard géant au cœur d'or.
N'empêche qu'il aurait dû la réveiller. C'était toujours lui qui la réveillait et il ne laissait ce privilège à personne, pas même à un Grimmjow vexé comme un pou. Devant ce spectacle attendrissant, il n'arrivait pas à s'y résoudre. Il aurait pu passer des heures, simplement assis, à la regarder dormir ainsi. Assis dans la pénombre et son grand corps immobile, ses grandes pupilles vertes posées sur ce spectacle, Ulquiorra aurait pu rester longtemps comme ça, savourant sa simple présence à ses côtés.
Il soupira. Puis, du bout des doigts, aussi blancs que sa peau, il tapota doucement sa joue pour la tirer de son sommeil. La jeune fille grommela et enfonça un peu plus la tête dans son oreiller, tellement moelleux. Un petit sourire amusé lui échappa. Ulquiorra ne souriait jamais en public. Pas son truc. Parfois, il la laissait voir ce sourire mais c'était rare.
Il ne parvenait pas à savoir ce qu'il ressentait pour elle. Rangiku, qui avait fait le pari de le bourrer d'ici Noël et qui était bien déterminée à réussir, lui avait dit en s'enfilant une énième bouteille de saké cul-sec lorsqu'il était allé demander conseil auprès de la «maman» de Sôrayel que les humains appelaient cela aimer. «Aimer» avait-elle dit... Et franchement, ça ne l'avançait pas plus que ça. Mais alors pas du tout.
Très doucement, comme par peur de briser ce qu'il restait de son sommeil délicat, il glissa un bras sous ses genoux et un autre derrière ses épaules pour la soulever, toujours emmitouflée dans les plis chauds de sa couette, dans ses bras fins mais fermes. Ils ne vivaient pas ensemble. Lui logeait dans sa division, la 6ème, où il travaillait aux archives. Division qui avait désormais été rebaptisée la D.F.I. ou Division des Frigos Impassibles. Faut dire qu'entre lui et le capitaine Kuchiki... Peu à peu, à force d'entraînements il recouvrait sa faculté d'utiliser son reiatsu. Bientôt, sa force atteindrait de nouveau celle d'un capitaine...
L'Arrancar aurait voulu vivre avec elle, pouvoir être toujours avec elle. Mais ça viendrait, il savait être patient.
La jeune fille ouvrit un œil pâteux:
-Salut... marmonna t-elle de sa voix endormie.
-Bonjour. répondit-il.
-J'savais pas que t'étais entré...
-Tu dormais.
Elle rigola doucement.
-Et que me vaux l'honneur d'être dans tes bras, messire Ulquiorra? fit-elle un sourire en coin et encore un peu endormie. Pas trop lourde? demanda t-elle soudain inquiète.
-Non. la rassura t-il de sa voix calme. Ferme les yeux.
La jeune fille haussa un sourcil, étonnée, mais obtempéra sagement. Elle entendit le bruit d'une porte qui s'ouvrait en coulissant puis elle sentit le froid de décembre mordre sa peau.
-Que...?! Ça caille! s'écria t-elle en se recroquevillant aussitôt dans sa couverture, se collant le plus possible contre le corps chaud de l'ex-Espada.
-Hier soir, je suis le seul à ne t'avoir rien offert. dit-il de sa voix froide. Alors ouvre les yeux. Voilà ton cadeau...
Intriguée par l'attitude de son Arrancar, Sôrayel ouvrit timidement les yeux, recroquevillée dans ses bras pour ne pas avoir trop froid. Ses grands cils se soulevèrent doucement derrière quelques mèches de cheveux ébouriffées, révélant ses deux grands yeux turquoise.
Devant le spectacle qui s'offrit à ses yeux, sa bouche s'ouvrit en grand dans un son silencieux, trop surprise pour dire quoi que ce soit. Ses deux grands yeux s'écarquillèrent au possible pour capter le moindre détail de ce qu'elle pouvait voir. Le ciel était blanc, recouvert de nuages pâles et de cette voûte immaculée tombaient de petits morceaux de glace agglomérée selon d'improbables motifs féeriques, flottant doucement dans l'air froid. C'était magnifique, tout simplement. Sôrayel n'avait jamais vu spectacle aussi beau, mais elle savait exactement ce que c'était tant on lui en avait parlé. C'était de la neige. Et c'était la première fois qu'elle en voyait.
-Joyeux anniversaire. fit Ulquiorra, le son de sa voix la sortant un instant de son émerveillement.
Hier, cela avait fait pile deux ans qu'Aizen l'avait présentée à Gin, le jour où l'ex-capitaine avait appris qu'il était père. Cela avait fait pile deux ans que son shinigami de père avait appris son existence, elle, Sôrayel Ichimaru Jaggerjack, sa fille. Pour la jeune fille, c'était ce jour là celui de sa naissance, et pas un autre. C'était ce jour là qu'elle était née, pas celui où Szayel avait obéit à son seigneur et maître en la faisant naître dans une cuve sordide. Et effectivement, c'était bien son anniversaire qu'ils avaient fêté hier soir dans ce bar du premier district du Rukongai.
Ç'avait été la première fois de sa vie qu'elle fêtait un anniversaire et même si Sôrayel avait trouvé absolument ridicules et un peu vexantes les deux bougies toutes seules sur son gâteau, cette soirée avait été magnifique, tout simplement parce qu'elle était entourée de ceux qui l'aimaient et qu'elle aimait en retour. Et puis bon, le principe des cadeaux, c'était plutôt sympa.
Quand la jeune fille avait comprit qu'Ulquiorra n'avait rien prévu pour l'occasion, elle n'avait rien dit. Bien sûr, elle était un peu déçue mais au fond, elle s'y attendait un peu. C'était Ulquiorra après tout! Ce n'était pas si surprenant que ça. Franchement, à quoi s'était elle attendue? Elle était ridicule... Pourquoi l'Espada lui aurait-il offert quoi que ce soit?
Alors, de voir qu'en fait il avait pensé à elle, cela la rendait tout simplement folle de joie et c'était le plus beau cadeau qu'il aurait jamais pu lui offrir. Elle se colla un peu plus à son corps chaud tandis que la neige continuait à tomber à gros flocons. Sôrayel n'avait jamais vraiment eut le moyen de savoir ce qu'elle représentait pour lui. Après tout, lorsqu'elle l'avait enfermé dans son monde intérieur, elle ne lui avait pas trop laissé le choix. Toutefois, quand l'Arrancar avait débarqué à la 9ème division en plein pendant un de ses entraînements avec Shuuhei, il y avait déjà quelques mois de ça, la jeune fille avait compris que pour l'Arrancar aux magnifiques yeux verts, elle représentait bel et bien quelque chose. Elle ne savait pas quoi exactement, mais au moins, elle représentait quelque chose pour Ulquiorra.
Il était venu, toujours aussi stoïque, et avait fixé son regard le plus flippant qui soit sur l'infortuné shinigami, le mettant vraiment mal à l'aise et ne l'avait pas quitté de son immense regard vert avant que Sôrayel ne s'éloigne de lui. Assis dans un coin, il avait dégainé Murciélago dans un chuintement métallique grinçant plutôt inquiétant et l'avait planté d'un coup sec dans le sol, brisant net le carrelage. Ça, plus son immense regard vert et glacial posé sur lui, Shuuhei avait été à deux doigts de la crise de nerfs, chose rare. Elle représentait quelque chose à ses yeux, mais quoi? Elle ne parvenait pas à savoir, elle avait tellement peur de se tromper...
L'Arrancar la serra doucement dans ses bras, comme s'il ne voulait plus jamais la voir s'éloigner de lui. Parler n'avait jamais été son fort, ni les émotions. Alors dire ce qu'il ressentait... Mais il se remémora ce que lui avait dit une Rangiku un peu éméchée mais encore un minimum lucide sur un ton de reproche. S'il ne disait rien, celle qu'il serrait dans ses bras ne le devinerait jamais et un jour «elle te laissera tout seul dans ta meeeeeerde».
Sur le coup, il n'avait pas compris le lien entre le fait de parler et le fait que Sôrayel reste avec lui mais Ulquiorra avait fini par se dire que cela n'avait pas d'importance, parce que ce qui comptait, c'est qu'il puisse toujours entendre cette voix qui l'avait tiré de son existence morne, qui lui avait donné un sens. Alors il s'était dit que même si ça lui paraissait stupide, il allait suivre le conseil de la pulpeuse fukutaicho, toute bourrée qu'elle soit.
Il posa ses grands yeux verts sur elle, toujours émerveillée de voir la neige tomber et recouvrir peu à peu le paysage d'une fine couche d'un blanc cristallin. Ses lèvres si fines et si souvent closes s'ouvrirent:
-Je veux rester avec toi. Le plus longtemps possible.
Il avait dit ça d'une traite, assez rapidement, comme s'il avait peur de ne pas arriver à terminer sa phrase. Le cœur de Sôrayel manqua un battement. Il venait de dire quoi, là? Elle releva son regard turquoise vers cet Arrancar qu'elle aimait tant. Lui ne comprenait pas pourquoi elle rougissait autant. Mais il aimait bien cette couleur chaude qui teintait ses joues pâles.
-Aha... Et pourquoi cela? lui demanda t-elle taquine avec un grand sourire, une fois remise et ramenant son visage à la hauteur du sien en s'appuyant sur ses épaules musclées.
-Je... fit il surpris, ses deux grands yeux verts plongés dans ses hypnotisantes orbes bleues. Je ne sais pas.
La jeune fille éclata d'un petit rire clair faisant voleter quelques flocons qui s'étaient accrochés dans ses longs cheveux. Typique d'Ulquiorra ça!
-J'en ai envie, c'est tout... expliqua t-il.
Elle fit mine de réfléchir quelques instants, un doigt sur le bout de sa lèvre inférieure.
-Mmm, j'sais pas...
Les grands yeux verts de l'Arrancar s'écarquillèrent de peur. La jeune fille colla son front au sien, juste sous son masque.
-Eh, du calme mon beau. T'as vécu aussi longtemps en moi, à percevoir tout ce que moi je ressentais et tu t'poses encore des questions? Tss, tss... Moi aussi j'veux rester avec toi. Tu sais, t'es un mec étrange. Mais je m'en fous. Depuis que tu es venu me parler alors que j'étais toute seule, je veux te voir sourire et ne plus jamais entendre ce vide dans ta voix. Clair?
-Et donc? demanda t-il, un peu perdu, les bras toujours serrés autour de son corps fin.
-T'es vraiment génial toi... Donc, banane, je t'aime.
Du bout du doigt, la jeune fille caressa doucement le contour de son visage.
-Ce que tu ressens, c'est ça. Ça s'appelle de l'amour mon beau.
-Tu crois?
-Mmm... J'en suis sûre.
Et elle posa doucement ses lèvre sur les siennes, l'embrassant tendrement au milieu des flocons qui tombaient lentement, dansant autour d'eux.
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FIN
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BOUIIIIIIIIIIIIIIIIINNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN! *perd absolument tout sens de l'honneur et fond en larmes*
-Wow, du calme, tu me pètes les tympans là...
SGNIRF! *renifle d'un coup* (qui a dit que c'était carrément pas sexy...?) *Lucifer lui tend une tasse de café fumant*
Ouhlà... *regard soupçonneux* Y'a de l'arsenic dedans c'est ça?
-Nan. C'est du café. Tu es en train de me pulvériser les tympans, j'ai pas envie de finir sourd alors calme toi et ferme ta grande gueule.
Tu me files du café pour me calmer...?
*Lucifer jette un œil à sa tasse* ... café = excitant. Oh merde-euh...
WÉÉÉÉÉÉÉÉÉ, CAFÉ! *saute littéralement sur le Maître, Infernal pour lui faire un gros câlin* CAFÉÉÉÉÉIIIIIIIIIIIIIIIIIIINE-EUUUUUUUUH!
Donc. Je me calme *avale une looooongue gorgée de café*
J'ai cette scène finale de Sôra dans les bras d'Ulquiorra avec la neige qui tombe autour depuis le début de cette fic. J'l'aime beaucoup. Pis vous aussi j'vous aime (aucun rapport mais c'est pas grave...)
-Je rêve ou tu ronronnes là...? *bazooka-shot dans la face de Lulu* mouhéhéhé.
Voilà donc la fin de cette fic, commencée en septembre. Ce qui nous faiiiiiit... Quinze chapitres, 10 favoris, 16 followers, 83 reviews, des lecteurs dans 20 pays, 3 067 vues et 54 901 mots, la mort de p'tit Laiko sur la conscience si je publiais pas la suite ainsi que des promesses de torture jusqu'à ma mort si Sôrayel mourrait et une bombe atomique en plein sur ma tronche, Zerikya a faillit me buter une deuxième fois, couteau et kit de torture plus invasion de lapins mutants géants chez Hauyne, menaces à coups de tronçonneuse chez Sakiie-chan, des envies de meurtres avec les yeux du Chat potté dans la même review de la part de Taraimpératrice et des couteaux à lancer chez Mélusine28... Vous les aimez hein mes suspens pourraves ? *trop fière d'elle-même*
Et j'ai survécu. Just call me Terminator. Et vive les Enfers!
Tiens d'ailleurs, Lucifer a débarqué au chapitre 7. et en 8 chapitres je lui ai piqué son Bazooka infernal, je lui ai collé la droite du siècle (et il a fait trois fois le tour de son slip sans toucher l'élastique), ainsi qu'une bonne demie douzaine de coup de boule. Il a pris cher hein...? M'en fout, je l'aime bien, j'vais continuer à l'emmerder.
Ah, Internet et le monde... J'ai des lecteurs en Belgique (je VEUX voir votre musée de la bédééééé!), au Canada (y'a des grizzly chez vous ou pas...? m'avez pas dit ^^), en Algérie (saluuuut! un jour, j'débarque chez vous!), en Suisse (chocolaaaat! comment ça, c'est un gros cliché...?), au Pérou (sérieux? O.O fan d'histoire et des incaaas!),au Royaume-Uni (j'débarque cet été, serrez les fesses mouhahaha!), en Guadeloupe (vous avez Teddy Rinner, j'vous aime, obligé!) en Espagne (vous aussi j'vous aime, vous avez Dali. genre Salvador Dali et sa moustache les gens), en Pologne (gnaaaaa, Roman Polanskiiiii!), en Allemagne (vous me trouvez dingue? mouhahaha, vous ne m'avez pas vu lors d'un match avec la Mannschaft!), aux États-Unis (j'arrive Hollywood, j'arrive!), en Finlande (j'arrive les gars, j'adore les pays scandinaves, bougez paaaaas!), au Brésil (O.O genre, le Brésil...? Foot, le Maracanâ, tout ça, tout ça...? *s'évanouit de bonheur*), en Islande (sources chaauuuuuuuuuuuuuudes!), en Malaisie (c'est où sur la carte...? nulle en géo... U.U' wah, c'est LOIN!) en Norvège (KYAAAAAAAH! Oslo! les fjoooooords! j'aime ce payyyys!), en Tunisie (un de ces quatre, j'débarque, Carthaaaaaaage!), en Italie (pââââââtes, glaaaaaces, pizzaaaaaaaaa!) (méga cliché...), en Guinée (une pote a prévu de me kidnapper pour m'emmener à Conakry...), au Sénégal (grande fanatique d'histoire et de l'empire Songhaï alors va falloir que j'aille faire un tour par chez vous un de ces quatre!), au Luxembourg (euh... salut les riches? faut que j'arrête avec les clichés moi, sérieux!), aux Philippines (putain, courage les gens... j'ai envoyé un peu d'argent vu que ça fait quatre jours que je suis majeure, j'espère que les dons vous aideront un tant soit peu)
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REMERCIEMENTS: parce que sans vous, je crois que j'en serais pas là. Sans, par ordre alphabétique:
-Akemi-sempai, voui, les parents de Sôra... c'est what the fuck ^^
-Blue Pyro, et ses remarques toujours pertinentes, merciiiii, ça m'a vraiment aidé
-Byaku , alors, verdict *.*?
-Cogitatio, et son OS (archi barré) pour la 30ème review
-Le Cousin qui m'a fait parvenir quand même son avis
-Guest, t'as vu, j'ai pas buté Grimmjow ^^
-Hauyne, qui m'a laissé sa toute première review sur ce site et ses lapins mutants géants psychopathes incorruptibles à la carotte
-Lisou-Aure et revoilà Ulqui-chou!
-Lottie, la fic est terminée, tu me donnes ton avis *.*?
-Lywalia qui joue au tennis avec Dieu
-Mélusine28, tadadiiin, v'là la suite!
-Sakiie-chan, ma toute première revieweuse et qui continue à me donner son avis
-Taraimpératrice toujours présente et fidèle au rendez vous à chaque chapitre
-Zerikya (allez jeter un œil à sa fic Pulsions, elle déchire!) et nos loooooongs délires par MP
Sans vous et tous mes lecteurs anonymes, ceux qui me suivent (Anima-ignis, Erebe, jyurei, missymanga, Juishi, Oceliane, Roxy A.S., Steakinette, YumeNoGensou et la p'tite taupe) eh bien je pense que les fanfics se seraient arrêtées ici pour moi. Je suis quelqu'un qui... "a un humour pourri" oui, ok mais c'est pas ça que je voulais dire, je suis... "une auteur sadique" LULU TA GUEULE, LAISSE MOI CAUSER!
Donc! Je suis quelqu'un qui n'a que très peu de confiance en soi malgré la grande gueule que je me tape (bon, je crois que "nique la logique" va devenir ma devise...) alors en postant ce texte, bah j'avais une trouille monstre. Je m'attendais à une review tous les deux chapitres et pas du tout! FÊTE DU SLIIIP! Blague à part, j'avais du mal à y croire et voir que ce que j'écrivais pouvais plaire à des gens, vous ne pouvez pas savoir à quel point ça m'a fait chaud au cœur. À chaque chapitre j'attendais vos reviews avec impatience, morte de trouille à l'idée de vous décevoir et impatiente de savoir ce que vous en pensiez, si mes explications étaient claires... Surtout que je me rend compte que ces reviews m'aident à améliorer mes textes en voyant ce qui plait ou pas. Donc je vous aime pour m'avoir suivie tout au long de cette histoire et d'accompagner Sôrayel et ses papas et je peux vous annoncer que ça ne s'arrêtera pas là!
L'enfant blanc continue bien, je publierai chaque mercredi et il reste trois extraits, un sympa et deux plus trash (Gin's come back et ça seras pas rigolo!). Après les vacances et ma semaine de partiels (si jamais j'arrive à survivre... heeeelp!) donc d'ici un peu plus de trois semaines je commencerais la publication du Regard de l'aveugle (qu'il faut que je termine et que je tape, hiiiiii...!). Et j'ai le plaisir de vous annoncer que le barbare aux cheveux rouges et la psychopathe métamorphe, alias Benitsuki et Tora de Il faut buter Mary-Sue! et leur monstrueuse capacité à se foutre toutes seules dans la merde reviennent dans une loooooooooongue fic dans trois semaines également! Ça va être du GROS n'importe quoi, mouhéhéhé... Bon, je n'ai pas encore le titre mais je vous tiendrais au courant via mon profil.
Et rassurez vous, j'ai encore quinze milles idées dans mon p'tit crâne... L'empire des sables arrive, de même qu'un Byakuya / Gin bien trash et gore (traduction, torture, psychopathe et viol au programme...) (je sais, vous m'aimez... vous allez en bouffer des suspens à la con, mouhahahahahahahahaha! *rire sadique*)
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MERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII, MAIS VRAIMENT UN IMMENSE MERCI, MERCI DE TOUT CŒUR, VOUS ÊTES TOUS GÉNIAUX, JE VOUS AIME-EUUUUUUUUUH!
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C'était Benitsuki Tora en direct de son cerveau défoncé au Nesquik et sous l'emprise de la caféine, en exclusivité sur vos écrans!
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Sôrayel: Bah? C'est fini? *regarde à droite, à gauche*
Koyuki: *sarcastique* Bah écoute, y'a marqué fin donc à mon avis, c'est terminé. Simple supposition hein.
Sôrayel: Hin hin, trop drôle.
Koyuki: Bon allez, on va s'entraîner, faut que t'atteigne le bankai! *grand sourire félin*
Sôrayel: HEIIIIIIIN?! *s'étouffe à moitié*
Koyuki: Oh attends, j'ai une idée! *lueur vicieuse dans le regard*
Sôrayel: Oooh, je le sens pas du tout ton truc moi...
Koyuki: Eh! Eh l'auteur!
Benitsuki Tora: *relevant la tête de son paquet de mouchoir* Sgnirf! *trop sexy* Quoi...?
Koyuki: File nous le bankai!
Benitsuki Tora: C'est beau l'espoir. *grand sourire commercial*
Koyuki: Eeeeh! Mais c'est dégueulasse!
Benitsuki Tora: Bah nan, c'es une question de crédibilité. *auteur sadique pawa*
Sôrayel: Mais... Mais... *gros sanglots dans la voix* Mais alors tu as tué mon père parce qu'il n'était pas crédible...? Mais... C'est cruel! *fond en larmes*
Benitsuki Tora: *tout d'un coup mal à l'aise* Ma Sôrayeeeeeel! Ma ptite créature que j'aime-euuuuh! Ne pleure pas!
Sôrayel: OUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIIINNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN!
Koyuki: Auteur indigne! Faire pleurer ma maîtresse adorée!
/ Koyuki: *chuchotant* Bien joué, j'savais pas que tu pouvais pleurer sur commande!
Sôrayel: *chuchotant* Ta gueule, elle va craquer! /
Benitsuki Tora: *complètement paniquée* Ne pleure pas, ne pleure pas...! Tiens, regarde!
Gin: Coucou ma puce.
Sôrayel et Koyuki: !
Grimmjow: *héberlué* Que?! Putain, t'étais pas mort toi? Dégage!
Sôrayel: POOOAAAAAAAAPAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA! *se jette dans les bras de son père* *sauf que maintenant, elle fait 1,70m et 65kg* *BAOUM*
Rangiku: Bah qu'est-ce qui se passe ici? Que...! GIIIIIIIIIIIIIIN! *BAFFE!*
*Gin prend une grosse baffe de la part d'une fukutaicho bien furax*
Rangiku: J't'avais pas dit que t'avais pas le droit de mourir toi?!
Gin: *déglutit. Ran-chan fait peur* Baaaah, c't'à dire queee... Po ma faute? *tentative pathétique*
*Ran-chan s'approche, poings sur les hanches*
*Ran-chan lui roule la pelle du siècle en essayant de l'avaler en commençant par la bouche*
Kira: Ichimaru-taicho?
Gin: *grand sourire de psychopathe* *enfin comme d'hab quoi* Coucou mon petit Izuru.
Kira: *en larmes* ICHIMARU-TAICHOOOOOO!
Benitsuki Tora: *essuie une petite larme au coin de son œil* Snif. C'est trop émouvant.
Grimmjow: *menaçant* Toi... Ta gueule. Sérieux, ta gueule.
Benitsuki Tora: *inconsciente* Hin hin. Bah quoi, t'es jaloux de plus avoir ta petite fi-fille pour toi tout seul? C'est meugnon!
Gin: *à moitié étouffé sous sa fille en pleur, la femme de sa vie qui l'embrasse fougueusement à pleine bouche et un ancien vice-capitaine qui lui fait un gros câlin, parvient à adresser à l'Arrancar un sourire goguenard*
Grimmjow: *pète un câble* J'VAIS T'BUTER, SHINIGAMI DE MES COUILLES!
Benitsuki Tora: *suicidaire* Eeeeh! Nan! Arrête tes conneries!
Grimmjow: Toi l'auteur, TA GUEULE!
Benitsuki Tora: Woh, comment il me parle l'autre!
*sort son Bazooka Infernal avec un grand sourire*
Benitsuki Tora: BAZOOOOOOKAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!
*baoum*
*a pu Grimmjow*
*gros nuage de fumée*
Grimmjow: Grince, Panthera
Benitsuki Tora: Gyaaaah!
Grimmjow: J'vais t'bouffer, auteur stupide! POURQUOI T'AS RESSUSCITÉ CE CONNARD DE SHINIGAMI!?
Benitsuki Tora: *pique une boulette en hurlant comme une folle*
Grimmjow: *pète un câble (encore) et poursuit l'auteur pour la buter* REVIENS ICI, CONNASSE!
Sôrayel: P'pa! Tu fous quoi!?
Gin: *goguenard* Jalousie ma p'tite puce, t'inquiètes pas. Rien de grave.
Rangiku: Ouais, enfin, ça fait peur là quand même...
Kira: *plissant les yeux* C'est moi où elle essaye de l'attaquer à coups de lance-flamme...?
Shuuhei: C'est son bazooka infernal, nan...? Balaise le machin.
Ensemble des lecteurs de la fic: Ouaiiiiiiiiiiiiis, vas-y, fonce et venge nous pour toutes ces saloperies de suspense!
Benitsuki Tora: OSKOUUUUUUUUR!
Grimmjow: J'VAIS T'PULVÉRISER!
Renji: *fataliste* Elle est foutue.
Gin: Elle avait qu'a pas me tuer, na.
Nell: *inquiète pour la survie de l'auteur* Faudrait pas aller l'aider?
Kira: Je pense que oui quand même... Qui est le suicidaire qui s'y tente?
*recul général de tous les personnages*
Nell: J'm'en occupe!
Grimmjow: VIENS LÀ, SALOPERIE! J'VAIS TE MASSACRER, AUTEUR DE MEEEEEEEERDE!
Benitsuki Tora: MAMAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN!
Nell: *beugle soudain* GRIMMJOW JAGGERJACK! GRIMMY! STOOOOOP!
Grimmjow: Oups.
Benitsuki Tora: Pfioou... Nell, je t'aime-euh!
Grimmjow: *grondant* Pas touche.
Benitsuki Tora: *chuchotant* Jalooouuuuuuuuux...
Ulquiorra: Qu'est-ce que c'est que tout ce vacarme...?
Benitsuki Tora: Ulquiqui...?! Kess tu fous là?! Barre toi, vite!
Sôrayel: *en prenant tendrement la main de son Espada rien qu'à elle* Bah pourquoi il devrait pas être là..?
Grimmjow: *soupçonneux d'un coup* Ulquiorra... Pourquoi tu tiens la main de MA fille là...?!
Benitsuki Tora: Et c'est r'partiiiiii...
Grimmjow: TOUCHE PAS À MA FILLE, CONNAAAAAAARD!
Benitsuki Tora: *grand sourire* Cours Ulquiqui. Cours. Fuis pour sauver ta vie, mouhahahahaha! *sadique jusqu'au bout*
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