Bonjour/Bonsoir.
Mettant inscrite au concours de l'incroyable Nathdawn, il fallait bien que je poste à un moment ou à un autre... . Donc me voilà ! *je veux entendre des cris de joie*
Je pensais avoir respecté les règles mais maintenant que je les ai relu, je n'en suis plus très sur... (un gros gros doute plane). Si ce n'est pas le cas, frappez-moi maitresse ! (j'ai des tendances étranges, je sais u_u)
Petite chose à ne pas oublier cependant, 5 mots imposés : Blessure, douleur, bateau, sang, fièvre. (ils peuvent être remaniés, par exemple fiévreux) OUF !
Note : C'est le point de vue de Sanji, si jamais cela ne vous saute pas aux yeux.
Je crois que c'est tout, donc Enjoy !
Rien n'est logique.
Je pensais que rien ne pouvait me toucher.
Je pensais que ma cuirasse était assez épaisse pour tout supporter.
Je pensais que personne n'aurait pu toucher mon cœur.
Je pensais…, que seule une femme aurait pu faire fondre cette carapace.
Je pensais ne jamais basculer.
Je pensais ne jamais tomber.
Je pensais ne jamais déraper.
Je pensais…, que rien ne m'aurait fait chuter.
Je pensais que tu étais un sociopathe.
Je pensais que tu étais un psychopathe.
Je pensais que tu étais un animal.
Je pensais…, que tu aimais ta solitude plus qu'autre chose.
Je pensais être le dernier à te succomber.
Je pensais ne jamais faiblir face à toi.
Je pensais rester stoïque face à tes manigances.
Je pensais…, que je ne trébucherais pas si facilement.
Je pensais beaucoup de chose mais, je me suis complètement fourvoyé parce que toi, d'un revers de main, tu as balayé toutes mes croyances.
Maintenant, je dois me rendre à l'évidence, tu as réussi à m'affecter sans me frôler et même si j'ai été surpris, rien n'a été désagréable.
Je sais que je te déteste.
Je sais que tu m'irrites.
Je sais que tu m'agaces comme personne.
Je sais…, qu'il n'y a que toi qui puisses me mettre dans cet état.
Je sais que tu m'as blessé.
Je sais que je t'ai fait chuter.
Je sais qu'on se fait du mal.
Je sais…, que les femmes sont belles mais que toi tu irradies.
Je sais que je suis emmerdant et connard.
Je sais que tu es sanguin et salopard.
Je sais que tes mimiques me font sourires.
Je sais…, que tu apprécies mes sourires et mes crises de folies.
Je sais que tu ne sais pas utilisé les mots.
Je sais que tes gestes parlent pour toi.
Je sais que tu souffres quand je te rejette.
Je sais…, que tu veux bien partager ta solitude avec moi.
Je sais de nouvelle chose depuis que je t'ai laissé approcher et parce que ces nouvelles choses me font frémir, je continue d'en demander davantage.
Et sur ce bateau, dans notre maison, j'attends toujours avec impatience un couloir sombre pour sentir tes mains rugueuses et tes lèvres charnues.
Je sais aussi que la douleur de te perdre serait trop grande pour être ignoré. Et parce que je ne veux jamais la ressentir, je contourne les obstacles et te rattrapes.
Maintenant, je ne fais que garder chaque souvenir précieusement et relève chaque petite chose que tu me donnes. C'est mon nouveau passe-temps, ma nouvelle lubie, mon nouveau caprice.
Je t'entends marmonner un désir mélancolique,
Et cette voix à mes oreilles, reste mystérieusement là.
Je sens mes yeux graver ton visage sur ma rétine,
Et je sens mes prunelles incapables de se détourner de toi rien qu'un instant.
Je frémis quand tu me caresses sans même me toucher,
Et je frémis quand je sens mon palpitant battre douloureusement.
Je me retiens quand mon corps aimerait venir à ta rescousse,
Et je retiens certains mots qui aimeraient s'échapper sans mon consentement.
J'ai peur quand tu te lances tête baissée dans le combat,
Et j'ai peur que mes pensées s'oublient si elles ne te voient plus.
Je souhaite ta mort quand tu m'ignores et rabaisses ma passion,
Et je souhaite ma mort de souhaiter la tienne.
J'aurais aimé calmer mon cœur à ton approche,
Et j'aurais aimé qu'il ne batte jamais pour toi.
J'aurais aimé désirer une femme plus que n'importe quoi,
Et je me dis que c'est tout bonnement impossible de désirer une femme plus que toi.
Je te dis détester toutes ces choses qu'on fait ensemble alors que je ne me débats jamais réellement ou seulement pour avoir le dessus.
Tu ne me lances que des insultes à la figure mais, quand on est deux, tes insultes changent et deviennent des chuchotements agréables, des caresses fiévreuses et désireuses.
Sur le Sunny ou sur une quelconque île, quand nous sommes deux, nos différences s'arrangent ensemble, elles se mêlent et deviennent de douces mélodies sauvages.
Depuis que mon être te connait, il est devenu plus impulsif et teigneux mais, aussi plus sensible et à l'écoute de tes désirs.
Tu hais mon côté « gentleman » et « propre », Moi je hais ton côté taciturne et hautain mais, je trouve que d'une certaines manières ces traits de caractères s'associent parfaitement ensemble.
On se hait, on se déteste cordialement mais, une fois ensemble, le chien que tu es et le chat que je suis, trouvent un terrain d'entente.
Je te hais quand tu me fais rire,
Et ta façon de me parler.
Je hais ta façon d'avoir raison,
Et ce que tu devines sur moi.
Je te déteste de tout mon cœur Zoro Roronoa.
Et je t'exaspère comme personne.
Je te tuerais de mes propres mains si tu me brises.
Et tu m'égorgeras si je te laisse tomber.
J'en mourrais s'il t'arrivait quelque chose.
Et tu te sacrifieras s'il doit m'arriver quelque chose.
Je me détesterais si je te laissais d'échapper.
Et tu me poursuivras si je m'échappe.
Mais j'arrive à dompter ton côté sauvage,
Et tu calmes mes ardeurs.
J'arrive à bousculer ta sagesse cachée,
Et tu apaises mes pensées.
Et là, j'en viens à me dire que j'aime m'égarer à tes côtés et que les seuls mots que tu m'entendras dire sont « Je te déteste » parce qu'eux seuls résumes entièrement notre vie.
Alors, même si je doute de la suite de notre histoire, j'y fais attention et prend grand soin de ce « nous » à peine construit, de ce « nous » qui se démolit quand le soleil se lève à l'horizon.
[…]
Terminé.
C'est court, c'est minuscule mais j'aime ! Alors c'est le plus important non !? -Bon j'avoue que si d'autres personnes aiment, ça serait quand même mieux-
J'ai réussi à le poster avant le 31 Aout ! Je me félicite, je m'auto-congratule !*vous pouvez m'applaudir aussi*
Pis j'arrête de parler sinon, je vais écrire plus que l'OS en lui-même ;)
Merci d'avoir lu jusqu'au bout ou simplement d'avoir survolé.
L.