Bonjour bonjour ! (Ya encore quelqu'un ici ?)
Je vous présente très respectueusement mes plus sincères excuses.
Je n'ai pas de réelles excuses à vous donner si ce n'est qu'entre mon boulot et le manque d'inspiration (ainsi qu'une petite sortie fort sympathique à GEEKOPOLIS), ça n'a franchement pas été simple. J'ai vraiment fait de gros effort pour ce chapitre dans le sens où il était en cours d'écriture depuis des mois. Cela dit, maintenant le chapitre est bel et bien là, la trame est bien claire dans mon esprit donc tout va bien. J'espère que vous ne m'en voudrez pas trop pour cette longue attente et surtout que ce chapitre sera à la hauteur de vos espérances puisque j'ai cru comprendre que certaines personnes étaient un peu en mode : « Oh mon Dieu ! »
DONC : Je tiens à remercier cette chère Harritsu alias Louve. On ne dirait pas comme ça mais tes commentaires me sont d'un grand soutient, ça n'a peut-être pas l'air de grand-chose mais très franchement, moi ça me touche beaucoup. J'ai eu des moments où je me suis dis que j'allais tout simplement arrêter et quand je relisais ces petits reviews…ça me redonnait du baume au cœur. Donc MERCI LOUVE 3
Bien je pense que je vais m'arrêter ici et vous souhaiter une bonne lecture, je vous invite à me faire part de vos impressions/frustrations/joies très vite. Pleins de bises !
« J…Comment…Hijikata ? Comm…
-Bonjour, Chizuru. »
Dire que je suis stupéfaite est un euphémisme. Je suis littéralement paralysée par le trop plein d'émotions qui m'envahie. Je suis perdue. Comment peut-il être devant moi quand je sens encore la sensation de ses cendres entre mes doigts. Suis-je en train de devenir folle ? Ou bien suis-je en train de rêver tout cela ? Je reprends ma contemplation et me rends compte qu'il n'a pas changé d'un pouce, son charisme et sa prestance n'ont pas faiblis. Il porte le même uniforme occidental que dans mes souvenirs. Il est le même, mais cette fois-ci, il est bel et bien vivant. Il est vivant. Ces mots sonnent étrangement dans mon esprit, comme s'ils ne pouvaient être associés.
Alors que je sors de mes pensées je sens leurs regards pointés sur moi. Sans m'en apercevoir je me suis approchée de lui. Incrédule face à mon propre comportement je me recule et cherche le regard de Saito. Il est probablement aussi choqué que moi. Qui aurait bien pu prévoir une chose pareille. Pourquoi ma vie semble-t-elle se jouer de moi ? J'avais enfin trouvé la paix. Je me sentais prête à vivre. Et le voilà. Remettant en cause toutes mes nouvelles certitudes.
Je ne peux m'empêcher de fermer les yeux sous le poids de mon ressenti. Je me sens manquer d'air, ma tête devient douloureuse tandis que mon cœur meurtri se serre.
« J…J'ai besoin d'air.»
Et sans un mot de plus, je pars me réfugier dans ma chambre en claquant la porte dans un bruit sec.
*o*o*o*o*o*o*o*o*o*o*o*o*o*
Le soleil n'est pas encore levé lorsque je me réveille. Le sommeil m'a lâchement fuie durant une partie de la nuit et j'en ressens les effets. Mes yeux ne veulent pas s'ouvrir et doivent être rougis et gonflés alors que la faim commence à me tirailler. L'air frai me fera sans doute du bien. Et je ne me suis pas trompé, je me sens moins endormie grâce aux picotements du froid ; le soulagement est physique cependant je ne peux pas m'empêcher de penser à la journée de la veille.
La joie ressentie quand Saito s'était finalement déclaré, son inquiétude lorsqu'il m'a demandé de l'accompagner à Tokyo. En étais-je capable ? Pourrais-je quitter ce que j'avais construit ici, ce pourquoi je m'étais battue depuis mon retour ? Beaucoup de choses entraient en ligne de compte. Je m'étais tellement investie pour sortir la tête de l'eau. J'avais tenté de mettre la moindre émotion personnelle de côté pour me consacrer au mieux à mon projet. C'est là que Saito avait été d'une grande aide, sa diplomatie naturelle ainsi que son esprit guerrier avait été un réel avantage pour convaincre les grands de la ville mais aussi pour la mise en place de l'organisation du Makoto. Alors je me rends compte que ma réponse aurait été oui. Instinctivement.
L'arrivée d'Heisuke avait été déterminante, s'il était arrivé quelques minutes plus tard, j'aurais été officiellement fiancée. J'aurais dû organiser mon départ pour la grande ville. Et voilà que désormais, il rentrait dans l'équation. Il en avait toujours fait partie. C'était indéniable, il était toujours quelque part dans un coin de mon esprit mais de façon plus subtile, je le savais, Saito aussi. Sans doute.
Je me retrouve rapidement avec une tasse de thé sur les marches, enroulée dans un châle et observant le jardin. Non loin de moi, je sens sa présence, son odeur. Il ne bouge pas, respire à peine et pourtant, je sais qu'il est là, qu'il veut me parler. Dois-je l'encourager ? Ou bien l'ignorer ? Je prends une goulée d'air avant de finalement de tourner la tête vers lui, imperceptiblement. Il prend mon geste pour une invitation et s'approche doucement. Je sens dans sa démarche la crainte, sans doute due à ma réaction de la veille. Il s'assied à mes côtés, fixant lui aussi le décor. Je profite de cet instant de calme en me recentrant sur mon thé fumant. Je sais qu'il va finir par parler. La question : est en suis-je capable ? Toujours cette même interrogation, comme si son retour avait affecté ma façon de voir chaque chose, à commencer par mes capacités. Je n'ose toujours pas le regarder. Ce serait comme admettre qu'il est bel et bien là, de retour. Une journée particulière me revient en mémoire. C'était peu de temps après mon retour, je travaillais déjà à la remise en état des lieux et je m'épuisais chaque jour. Soudain j'avais cru le voir, s'en était suivi une belle crise d'hystérie lorsque je m'étais rendue compte que mon esprit m'avait joué des tours. J'avais tellement espéré que je me réveillerais d'un mauvais rêve. Aujourd'hui j'étais dans une toute autre situation. Et elle n'était pas plus aisée.
« Tu es toujours aussi matinale. »
Nous y étions. Il avait finalement commencé à parler. Le sujet est anodin. Ca me convient tout à fait.
« - J'aime me lever tôt. J'ai toujours beaucoup de choses à faire. Et puis tout est calme à cette heure-là, c'est agréable.
- Je suis bien placé pour le savoir. J'ai su tout ce que tu avais fait ici. Je suis très impressionné.
- Et bien disons que je n'avais pas trop le choix.
- C'est tout de même étonnant ce que tu as réussi à faire de cet endroit. C'est à la fois semblable et très différent. On m'a expliqué que tu tenais tout ceci d'une main de maître.
- Je suis beaucoup aidé, depuis le début à vrai dire. Je n'ai pas été seule très longtemps.
- Chizuru, comment vas-tu ?
- Et bien, je crois que je peux dire que je vais bien. Je dirais même que j'ai de la chance. Tout n'est pas simple tous les jours mais comme je te l'ai dit, je suis beaucoup aidé. Plus encore depuis que les garçons sont revenus.
- Je suis content, dans ce cas. C'est bien que tu ais pu te reposer sur eux. Je dois dire que ça me rassure un peu, tu as beau être une femme d'Edo, tu restes une femme et il a dû être compliqué de te faire entendre.
- J'ai simplement fait ce que la vie attendait de moi : avancer et vivre. Quoi que dans un premier temps, il s'agissait plus de survivre qu'autre chose…
- Chizuru…
- Non laisses moi parler. Quand tu es mort, j'étais littéralement anéantie. Tous ceux que j'avais connu et auxquels je tenais n'étaient plus de ce monde. J'étais seule. Mais je me suis relevé. Je ne voulais pas que chacun soit mort en vain. Je ne sais pas pourquoi, j'ai développé une sorte de culpabilité d'être en vie mais je ne voulais rien lâcher. J'en ai été tenté mais je ne pouvais pas. Parce que je t'en voulais de m'avoir laissé. De t'être battu, d'avoir voulu défendre ton honneur. Tu n'as pas idée comme j'étais furieuse après toi. Ça m'a donné de la force, et comme par magie, ils sont réapparus. Les uns après les autres ils étaient de retour. Saito m'a bien plus aidé que je ne pourrais jamais le remercier. Doucement, tout s'est mis en place. J'ai chassé certains de mes démons, j'ai commencé à vivre pour moi. Et te voilà. Assis à côté de moi alors que je croyais devoir renoncer à te revoir un jour. Alors que je pensais être certaine de ce que je voulais. Tu remets tout en question. Absolument tout.
- J'en suis désolé. Saches que j'ai parlé avec Saito hier.
- Il t'a parlé ?
- Oui, et il m'a expliqué à quel point il avait veillé sur toi, comment votre relation avait évolué…Je ne peux pas t'en vouloir. J'étais mort. Mais saches que de mon côté je n'ai jamais pensé qu'à autre chose qu'à toi. Lorsque j'ai su que j'allais revenir j'étais comme un tigre en cage, je savais que je devais te trouver. Et lorsque je t'ai vu hier, avec ton air préoccupé et sérieux à la fois…J'ai vu à quel point tu étais différente. Tu n'es plus l'enfant que j'ai connu. Tu es aujourd'hui une vraie femme. Alors avec Saito nous sommes arrivés sur un terrain d'entente, car ni lui, ni moi n'abandonnerons l'idée de t'avoir à nos côtés tant que tu n'auras pas pris une décision.
- Un terrain d'entente sur quoi ?
- Nous allons nous battre pour toi. De façon loyale, chacun tentera de gagner ton cœur.
- Comment avez-vous pu parler d'une telle chose sans moi ? Vous n'êtes pas des animaux, et je pense avoir mon mot à dire dans cette histoire, parce que je suis la principale intéressée il me semble !
- Chizuru…
- Non ! Vous voulez jouer ? Et bien vous jouerez seuls !
- Si tu crois que je suis revenu d'entre les morts pour jouer tu te trompes. Tout ce que je sais c'est que tu m'aimes et que tu l'aimes aussi. Alors nous n'allons rien faire de plus que te donner matière à réflexion.
- Et qui te dit que ce choix n'est pas déjà fait ? Saito m'a fait sa demande hier, et si Heisuke n'était pas arrivé, j'aurais dit oui !
- Mais il est arrivé, et maintenant tu vas devoir faire avec le fait que je suis de retour. Et sache que je n'ai pas l'intention de partir… »
*o*o*o*o*o*o*o*o*o*o*o*o*o*
Cette conversation m'a retourné bien malgré moi. Je ne peux m'empêcher de repenser à chaque mot qu'il a prononcé. Je me retrouve à la fois contrarié, soucieuse…et satisfaite de ses paroles. Dans d'autres circonstances j'aurais été la plus heureuse, mais maintenant tout est tellement plus compliqué. Il faut que je me ressaisisse, la réunion va bientôt commencer. Aujourd'hui, nous avons une tâche particulière à accomplir.
Tous mes hommes sont assis devant moi dans la grande salle. Silencieux, ils attendent les ordres. Ils savent qu'aujourd'hui est un jour particulier, ils ont travaillé dur pour que tout ce passe comme prévu. De part et d'autre de moi, mes amis sont également présents. Ils ont prévu l'opération avec moi depuis le départ. Nous sommes tous prêts. Il ne manque plus que mon signal. Je prends donc la parole.
« Il y a quelques semaines, j'ai demandé à chacun d'entre vous de fournir de grands efforts. Et vous avez tous travaillé dur lors de vos entrainements. Aujourd'hui, je vais enfin vous en donner la raison. Il y a quelques mois, des évènements inquiétants nous ont été rapportés par différentes personnes. Dans le plus grand secret nous avons donc enquêté et il en est ressorti que depuis l'an passé, des hommes dangereux terrorisent la population et s'y attaquent délibérément. Nous avons donc décidé d'agir, et ce avec l'autorisation de Mr Nobu bien entendu. Nous avons carte blanche. Vous serez donc séparé en quatre groupes, la section une ira avec moi au Nord du lieu de rendez-vous. La seconde ira avec Saito Hajime au Sud. Soyez vigilants, ils s'attendent à quelque chose mais pas aussi vite, ils seront donc surpris mais organisés. Enfin la section 3 prendra la face Est avec Soji, pour la quatrième section, c'est à l'Ouest que vous irez, avec Sanosuke et Shinpachi. Votre rôle est de sécuriser les lieux, éliminez si nécessaires, mais essayer de garder des prisonniers, nous devons en savoir plus. C'est primordial. Nous ignorons encore tout de leurs motivations, de qui ils sont et ce dont ils sont capables. Je vous demande donc d'être prudent. Vous appartenez au Mokoto, et vous faites partie d'une grande famille, vous devez donc aussi prendre soin des uns des autres. Je vous donne l'ordre de tous revenir en un seul morceau. »
Je vis alors certains visage se tendre, d'autres semblaient emplis de fierté ou de défis, mais chez tous les hommes, dans chaque rang, il y une chose qui leur fait défaut. La peur. Et c'est bien ce qui m'inquiète.
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La tension monte d'un cran. Mes hommes sont en rang, prêts à partir pour la première vague. L'un d'entre eux restera en retrait pour donner les directives au second groupe, celui de Saito. Je suis complètement raide, il nous manque tellement d'informations. Nous ne savons même pas s'ils ont un nom. Est-ce un mouvement isolé ou une réelle menace ? Combien sont-ils au juste ? Quel est leur but ? Toute cette nervosité n'est pas bonne. Je suis trop inquiète, trop préoccupée. Je vais devoir redoubler de vigilance. Il ne s'agit plus de s'entraîner désormais. Je ressens le besoin de m'isoler un instant avant le départ. Il faut que je me ressaisisse quoi qu'il arrive. Mes paupières sont closes. Je prends une grande inspiration avant de recracher l'air de mes poumons, une fois, deux fois, trois fois…Mes muscles commencent à se détendre doucement. Deux bras forts m'encerclent et finissent de m'achever. Je suis parfaitement sereine à présent dans les bras de Saito.
Mon dos repose contre son torse et je sens sa chaleur irradier. Je me sens bien, à ma place. J'en oublierais presque ce qui va bientôt se produire. Je veux profiter pleinement de cet instant de tranquillité et me retourne pour lui faire face et le détailler. Son regard est grave, sombre. Je devine trop facilement son inquiétude. Prise d'une soudaine audace je serre mes poings autour des pans de sa veste pour le tirer vers moi avant de sceller nos lèvres. Le contact est doux mais l'urgence du moment se fait sentir tandis que ses mains me rapprochent de lui et que les miennes partent dans sa nuque. Trop vite à mon goût, il met fin à notre baiser. Nous sommes là, essoufflés, reprenant conscience du monde extérieur.
Soudain, une chose me saute aux yeux, je ne lui ai toujours pas donné ma réponse. Trop de choses sont arrivées depuis sa demande. Pour ne pas briser ce moment je décide de lui chuchoter :
« Sois patient, encore un peu. Et reviens vivant. C'est un ordre. »
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C'est de la torture pure et simple. Voir celle que l'on aime prendre la tête d'une troupe d'homme pour aller se battre. Je comprends maintenant ce qu'elle a dû ressentir chaque fois que je partais. Le courage dont elle devait faire preuve dans ces moments m'était étranger. Je me sens impuissant et dépassé par les évènements. Il a été décidé à l'insu de Chizuru que je partirais en même temps que Saito. Je suis incapable de ne pas mettre mon épée au service du Mokoto, et de la laisser se battre tandis que moi je serais là à attendre qu'ils rentrent tous. Sannan veillera sur les éventuels blessés. Il y en aura très certainement.
Saito me fait signe, il est l'heure. Malgré notre situation, nous n'en sommes pas moins amis. Il est bon de pouvoir compter sur lui en toute circonstance. Le trajet se fait calmement. Chacun sait ce qu'il a à faire et se concentre au mieux en attendant les ordres.
L'adrénaline monte au fur et à mesure que les nouvelles des différentes troupes nous parviennent. Que fait-elle ? A quoi pense-t-elle ? Quand va-t-elle lancer l'attaque ?
Soudain, il est l'heure. Le plus silencieusement possible chacun se met en place. Repérer. Se déplacer. Attaquer. Mon instinct se met en marche et j'oublie l'homme que je suis. Je ne suis qu'un sabre prêt à en découdre s'il le faut. Ceux qui sont supposé être des guets ont été éliminés. De toute façon ils ne savent rien, sinon ils auraient fait partie de la réunion.
Alors que nous progressons rapidement, l'alerte est donnée. Nous avons été repérés plus vite que prévu. Le silence de la nuit est alors brisé par des hurlements d'hommes et des bruits de sabres. S'il restait une once d'humanité à cet instant, elle a désormais disparu. C'est chacun pour soi. Autour de moi, les hommes se battent pour leurs vies et leurs convictions. Les deux camps sont très facilement identifiables. Les hommes d'un côté, et les rasetsu de l'autre. Ces créatures, je ne pensais pas revoir un jour. Leurs traits sont déformés par la soif et la folie qui les habite. Comment sont-ils arrivés ici ? De qui suivent-ils les ordres ?
Mon questionnement est vite interrompu par la vison de Chizuru se battant férocement. Où est donc passé ce petit bout de femme que je me faisais un devoir de protéger ? La douceur a totalement disparue de son visage pour laisser place à une détermination sans faille. Je vois cependant qu'elle se questionne aussi sur l'origine des créatures qui autrefois furent des hommes, avec une maison, un foyer…
Ils sont désormais en proie à la folie et le paieront de leur vie d'ici peu, soit par la violence, soit parce que leur temps sera écoulé. Comme ce fut le cas pour ceux d'entre nous et qui sont revenus. Le chaos, le sang, les cris…c'est à la limite du supportable. Je vois chaque geste avec une précision déconcertante, je sens chaque souffle, ressens chaque émotion…Un peu plus loin, mes compagnons nous ont rejoint et commencent une avancée pour capturer les commanditaires de la réunion qui a lieu à l'étage. Saito est des leurs.
Et puis tout va très vite. Un rasetsu tente d'attaquer Saito par derrière alors qu'il s'apprête à monter les escaliers. Mais Chizuru s'interpose et croise le fer avant de l'éliminer d'un coup décisif. Elle jette un rapide coup d'œil à mon ami et ne voit pas arriver le rasetsu qui l'embroche d'un coup à l'abdmen avant de s'enfuir.
BON ! Alors comment vous dire que j'ai pleinement conscience que vous allez probablement m'en vouloir pour ce sale petit coup, mais croyez moi que c'est important pour la suite, certaines choses vont en découler et vous ne serez pas déçue du voyage =)
Sur ce j'attends vos avis avec impatience !
XOXO
