Et voilà, le dernier chapitre est là. C'est toujours émouvant de terminer une histoire, aussi courte soit elle.
Je réponds ici à Aseleny : Merci énormément pour ta review. Je suis vraiment touchée par tes compliments, et ravie que tu écoutes les chansons en lisant, car je les écoutais moi-même en écrivant. L'auteur de Let him go est Passengers. Je pensais l'avoir mentionné, mais j'ai peut-être oublié, effectivement. En tout cas, merci encore.
Bonne lecture.
Chapitre 9 : Because I'm in love with you, you idiot… Because I love you and I couldn't stand losing you.
_Posez vos stylos.
Harry s'exécuta, à moitié satisfait de sa copie. L'épreuve d'histoire était celle qu'il appréhendait le plus. Il attendit que les correcteurs ramassent toutes les copies, jetant de fréquents coups d'œil vers sa droite. Draco semblait serein, mais cela ne l'étonnait même pas. Il était d'une intelligence supérieure et avait sûrement réussis toutes ses épreuves avec brio.
Ce ne fut que quand il arriva devant le lycée qu'il réalisa qu'ils étaient en vacances. Hermione sauta dans ses bras, soulagée que tout soit terminé. Ses amis arboraient de larges sourires.
Il sentit une présence dans son dos. Quelques secondes plus tard, Draco le tenait dans ses bras, son torse collé à son propre dos.
Le visage du blond se nicha dans son cou. Harry fut surpris par son comportement. Draco n'était habituellement pas aussi démonstratif en public.
Il profita de l'instant et ferma les yeux, faisant fi des quelques regards dégoûtés qu'ils récoltaient.
_Quoi, t'as un problème ? Retentit la voix de Ron.
Il sourit, touché que ses amis les défendent. Mais son sourire se fana quand il sentit que son épaule devenait humide. Il essaya de se retourner pour faire face à Draco, mais ce dernier raffermit son emprise, empêchant tout mouvement.
_Il s'est endormi ou quoi ? Rigola Dean en parlant de Draco.
Harry essaya de rester naturel, mais quand un homme aussi fier que Draco était en train de pleurer dans votre cou, c'était un peu difficile.
_ça doit être l'émotion, sourit-il.
Il vit Hermione froncer les sourcils, lui adressant un regard interrogateur. Il la dissuada de parler d'un signe de tête.
_Tu veux qu'on rentre ? Murmura-t-il au blond.
Il le sentit hocher la tête et se redresser, se mettant immédiatement dos aux autres.
_On vous rejoint ce soir, d'accord ?
Ils acquiescèrent, ne comprenant pas réellement ce qu'il se passait. Une grande fête avait été organisée par le lycée Hogwarts. Toutes les terminales y étaient invités afin de fêter la fin du baccalauréat.
Les deux amants s'éloignèrent vers le parking et se dépêchèrent de rouler jusqu'à la maison d'Harry.
H&D
Une fois dans la cuisine, Harry leur prépara du café.
_Je suis désolé.
La voix de Draco claqua dans l'air.
_J'ai craqué, ça ne me ressemble pas.
Il paraissait épuisé.
_Le temps passe trop vite…
Ils n'avaient pas abordé le sujet tabou depuis qu'ils avaient eu leur conversation au mois de mai. Nous étions fin juin, et les résultats des candidatures allaient arriver très bientôt. Dans quinze jours, ils auraient leurs résultats du bac et ils allaient devoir commencer leurs inscriptions.
_J'ai reçu une lettre de l'Institut d'Etudes Politiques de Paris ce matin.
Harry se statufia.
_Alors ?
_Je suis pris.
_Félicitations Draco. Je n'en doutais pas, de toute façon.
_Tu n'as pas eu de réponses ?
_Les réponses d'université arrivent plus tard.
_Je suis effrayé.
_Arrête de t'inquiéter. Je suis sûre que tu feras le meilleur Président français homo de tous les temps !
_Je ne suis pas effrayé pour ça Harry, lui répondit-il.
_Pourquoi, alors ?
_Parce que je t'aime, idiot. Parce que je t'aime et que je ne pourrais pas supporter de te perdre.
Les mains d'Harry tremblèrent. Draco ne lui avait jamais prononcé ces paroles. Pas une seule fois en l'espace de plusieurs mois. Il s'en doutait déjà, mais les entendre fut un choc.
Il s'assit à califourchon sur ses jambes et l'embrassa passionnément.
H&D
Draco coupa le contact et prit une grande inspiration. Un seul regard lui suffit pour repérer ses amis, assis à leur endroit habituel. Hermione n'en menait pas large. Elle faisait des allers retours devant eux, se tordant les mains. Pour la première fois de sa vie, Ron, Seamus et Dean avaient abandonnés leurs nonchalances légendaires, en proie à la même angoisse qu'Hermione.
Daphné avait déjà regardé sa montre cinq ou six fois depuis qu'il s'était garé, et Théo avait jeté le même nombre de coup d'œil vers l'entrée du lycée.
S'il avait fait attention à tous les autres élèves, il se serait rendu compte que la nervosité qui entachait l'atmosphère d'Hogwarts était générale. Il jeta cette fois-ci un regard à a personne qui l'intéressait le plus.
Harry fumait sa cigarette, assis dans l'herbe. Il jetait des regards courroucés à son amie. Connaissant le brun, il n'appréciait sûrement pas de la voir gesticuler dans tous les sens.
Il se décida à quitter son habitacle, frappé par la tension qui le gagna malgré lui. Plus il progressait vers ses amis, plus les visages anxieux des lycéens ou des parents le mirent mal à l'aise.
Personne ne lui prêta attention lorsqu'il s'assit à côté d'Harry, mais il n'en tint pas compte. Son amant se contenta de glisser sa main dans la sienne et Draco devina qu'il tremblait.
Ce ne fut qu'une dizaine de minutes plus tard que les portes du lycée s'ouvrirent. Albus Dumbledore apparut, souriant.
_Avant que notre très cher hall soit pris d'assaut, je tiens à tous vous féliciter. Pour ceux qui auront réussi, profitez de ce moment de joie. Rien n'est plus enivrant que la réussite personnelle !
Les yeux du vieux directeur brillaient. Il semblait s'amuser comme un fou.
_Quant à ceux qui, malheureusement, auront échoué. Je tiens à vous répéter cette phrase que j'ai souvent entendue : un échec est un succès si on en retient quelque chose ! Bon courage à tous !
Draco n'était pas sûr que les paroles du directeur soient d'un quelconque réconfort. Harry raffermit son emprise sur sa main, alors qu'une foule d'élèves se précipitait vers le bâtiment.
Plus ils s'approchaient du tableau des admis, plus les cris de joie et les pleurs retentissaient à leurs oreilles. Harry n'avait pas lâché son emprise sur la main de Draco.
Quand ils furent enfin confrontés aux nombreux noms, Draco crut défaillir. La mention « Très bien » était inscrite noir sur blanc, juste à côté de « Malefoy ». Il dû s'y reprendre à trois fois, vérifiant que l'inscription se trouvait sur la bonne ligne et qu'il ne s'était pas trompé.
Enfin certain, il fit glisser son regard sur la feuille. Lorsqu'il y vit le nom d'Harry, son cœur se gonfla de bonheur. Il se tourna vers le brun, mais ce dernier était coincé dans les bras d'Hermione et de Ron. Seamus, Dean et Théo avaient disparus, et Daphné était trop occupée à tapoter sur son téléphone portable, un grand sourire aux lèvres.
H&D
_Je n'arrive pas à y croire… retentit la voix d'Hermione, rêveuse. Mention très bien ! C'est génial !
Il vit Ron et Harry lever les yeux au ciel. Seuls Draco et Hermione avaient obtenus cette mention, avec respectivement 16,2 et 17,5 de moyennes. Dean, Seamus et Ron étaient passés de justesse. Théo avait obtenu la mention Bien, avec une moyenne de 14,5. Daphné et Harry avaient, quant à eux, réussis à décrocher la mention assez bien. L'important était que tous avaient obtenus leur baccalauréat, et que les portes de l'avenir s'ouvraient à présent devant eux.
Ils avaient décidé de se retrouver chez Harry. Sirius et Rémus avaient organisés une petite surprise pour son filleul et ses amis dans la matinée. Quand ils étaient arrivés dans la maison, une énorme banderole pendait du plafond avec « Félicitations », écrit à la main. La surprise passée, Harry s'était retrouvé coincé dans les bras de son parrain. Même si ce dernier ne voulait pas le montrer, il était ému.
Sirius et Rémus avaient exceptionnellement fermé la boucherie pour la journée et avaient rassemblés tous les parents des amis du brun. Le groupe d'amis fut choqué d'apercevoir leur famille dans le jardin, rigolant ensemble.
Mais s'ils furent choqués, Draco fut pétrifié. Sa mère se tenait avec le groupe d'adultes, bien qu'un peu à l'écart. Elle parlait à une femme rousse, un peu rondelette, qu'il devina être la mère de Ron.
_Eh bien… Pour une surprise, rigola nerveusement Harry à ses côtés.
Draco se dirigea vers sa mère qui l'accueillit avec un sourire tendre. Elle l'enlaça légèrement.
_Je suis fière de toi, Draco.
Il ne sut comment réagir. Il allait bafouiller un vague merci, lorsque Harry les rejoint, souriant. Il serra respectueusement la main de Narcissa et échangèrent quelques banalités.
Sirius arriva quelques instants plus tard et demanda à sa cousine de le suivre à l'écart.
_Je pense qu'ils ont des choses à se dire, murmura Harry à l'oreille de Draco.
En début d'après-midi, ils avaient tous le ventre bien rempli. Draco avait eu le bonheur de faire la connaissance des parents de Théo et de Daphné. C'étaient des personnes très enrichissantes, malgré le côté pompeux qui lui faisaient un peu trop penser à son propre père.
Les parents de Dean étaient bourrés d'humour. Ils avaient passés une bonne partie du repas à raconter les frasques de leur fils et de son meilleur ami Seamus lorsqu'ils étaient enfants. La mère de Seamus s'était mêlée à leur conversation, faisant rougir son fils de honte.
Les parents d'Hermione étaient des gens charmants et très intelligents, à l'instar de leur fille. Ils avaient avoué à Draco qu'Hermione leur avait beaucoup parlé de lui. Elle considérait beaucoup son nouvel ami et leur avait souvent dit qu'il était très intelligent. Draco fut touché par ces paroles, et se promit de garder contact avec la jeune femme, quoi qu'il arrive.
Mais la plus belle rencontre qu'il fit ce jour-là fut la mère de Ron, Molly Weasley.
Il n'avait jamais rencontré une femme qui avait autant d'amour à revendre. Toute l'affection qu'elle ressentait pour son fils, ainsi que pour Harry et Hermione qu'elle aimait comme ses propres enfants, était presque palpable.
Lorsqu'elle l'avait serrée dans ses bras pour lui dire bonjour, il s'était senti serein. Pourtant, il n'avait jamais vu cette femme de sa vie !
_J'ai tellement entendu parler de toi, mon chéri.
Harry lui avait sourit, et il avait senti son cœur s'apaiser, profitant de l'étreinte affectueuse inattendue.
Plus tard dans l'après-midi, les parents avaient disparus. Ils étaient restés au soleil, profitant du sentiment de satisfaction qu'ils ressentaient. Ils avaient parlé de leurs projets futurs, comme prévu. Dean avait été accepté dans une école de dessin. Hermione avait prévue d'intégrer la faculté de médecine la plus proche. Seamus avait postulé à l'université voisine, à l'instar de Ron, pour intégrer une licence d'économie-gestion. Daphné avait été reçue à la faculté d'histoire et Théo à celle de droit.
Tous restaient dans le coin et envisageaient déjà d'avancer ensemble. Ils allaient devoir s'installer sur le campus, Godric's Hollow étant assez éloigné des grandes villes. Ils s'imaginèrent les soirées auxquelles ils allaient pouvoir assister, les concerts qu'ils allaient pouvoir donner ensemble. Draco resta silencieux, étant le seul à partir loin d'ici.
Il observa Harry qui se leva et s'éloigna vers la maison. Alors que leurs amis continuaient de spéculer, il décida de le rejoindre.
Avant même qu'il le vit, assis sur son lit, Draco sentit que ce qu'il allait entendre n'allait pas lui plaire.
Le brun tenait un petit paquet fin dans sa main. Il s'assit en face de lui et attendit qu'il ne parle.
_Tiens, c'est pour toi.
Le blond tendit la main et s'empara du paquet. I l'ouvrit lentement, sous le regard nerveux de son petit-ami.
_Je les ai reçu ce matin.
Il tenait un album dans sa main. L'album qu'ils avaient enregistré avant les épreuves du bac. Il le fit tourner entre ses doigts, parcourant des yeux la liste des chansons. Il fut surpris de voir que la plupart étaient des chansons qu'il avait écrites pour lui.
_Merci, Harry.
_J'ai eu les réponses.
Draco se tendit immédiatement.
_J'ai été accepté un peu partout en fait…
Harry rit nerveusement et passa sa main dans ses cheveux.
_ça ne m'a pas facilité la tâche.
Le blond restait silencieux.
_Je crois que… Il soupira. Je crois que je ne suis pas prêt à partir pour Paris.
Draco ferma les yeux. Il l'avait vu venir, mais il ne pensait pas que cela serait si douloureux. Il inspira fortement, se préparant à ce qui allait suivre. Il sentit une main s'emparer de la sienne. Quand il ouvrit les yeux, Harry le regardait si intensément qu'il aurait pu fondre.
_Je ne suis pas prêt à partir, Draco. Mais je veux qu'on continue.
Avant que Draco n'ait pu dire quoique ce soit, Harry l'arrêta d'un geste de la main.
_Je suis conscient de tout ce que je t'ai dit la dernière fois… On est jeunes, c'est vrai, et il y a des risques pour que ça ne fonctionne pas. Mais je ne peux pas me résoudre à laisser tomber ce qu'on est en train de vivre. Dès que je t'ai aperçu, le jour où tu as débarqué au Lycée avec tes parents, j'ai su que si on apprenait à se connaître, je tomberais immédiatement amoureux de toi. Je sens que si on se sépare, je le regretterais toute ma vie.
Le blond se sentit revivre. Il fondit sur ses lèvres, l'embrassant avec tout l'amour qu'il ressentait en cet instant précis. Il aurait certes préféré qu'Harry le suive à Paris, mais il était heureux qu'il reste de l'espoir pour eux deux.
Draco avait confiance en l'avenir, il avait confiance en eux.
H&D
_Tu es sûr que tu dois partir ? S'indigna Harry, lové contre Draco.
Ils étaient entrelacés dans le lit du brun, nus et encore étourdis par leur plaisir encore récent.
_Mon train est à 17h.
_Je ne peux pas venir avec toi ?
_Je ne pense pas que mon père apprécie. Il a accepté l'idée que je sois homosexuel depuis que j'ai été reçu à l'IEP, mais je ne pense pas qu'il se transforme en fervent défenseur des droits homosexuels du jour au lendemain.
_C'est juste pour meubler ton appartement…
_Harry…
_Tu vas me manquer.
_Toi aussi. Mais je reviens dans trois jours.
_Il ne reste que deux semaines avant la reprise des cours.
_Je sais.
H&D
Draco attendait nerveusement une tête brune parmi la foule. Son train partait dans vingt minutes, et Harry était en retard. Il pesta contre son amant. Comment pouvait-il seulement être en retard alors qu'ils ne se reverraient pas plusieurs semaines ?
Il écoutait à peine les conseils de sa mère. Son père se trouvait déjà à Paris pour son travail et venait le chercher à la gare de Lyon. Il embrassa Narcissa sur la joue, se résolvant à monter dans son train. Le départ était à présent prévu pour dans dix minutes, et Harry n'était visible nul part.
_Il va venir, ne t'inquiète pas. Lui sourit sa mère tendrement.
Il ouvrit grand les yeux, étonné par ses paroles.
Enfin, il l'aperçu au loin. Soulagé, il se dépêcha de poser sa valise dans la soute du TGV et vint l'attendre. Le brun lui souriait, insouciant. Draco l'aurait bien insulté s'il n'était pas aussi heureux de le voir enfin arriver.
Il vit son petit-ami saluer sa mère chaleureusement, ce qui le stupéfia. Depuis quand s'entendaient-ils si bien ? Il n'avait pas de souvenirs de les avoir déjà vu ensemble, mis à part durant la St-Valentin lorsqu'il était venu livrer les fleurs. Il y avait également eu la petite fête après les résultats du baccalauréat, mais ils ne s'étaient pas beaucoup parlés, si ?
C'est à cet instant qu'il remarqua que quelque chose clochait.
Une valise.
Harry tirait une valise derrière lui.
Trop choqué pour dire quoique ce soit, il laissa le brun l'embrasser. Ce dernier ne parla pas non plus, se contentant de lui tendre une fine enveloppe blanche.
Draco s'en saisit et se dépêcha de déplier la lettre qui se trouvait à l'intérieur.
M. Potter,
Nous avons le plaisir de vous informer que nous avons bien réceptionnés les documents nous permettant de finaliser votre inscription en Licence 1 Economie et Gestion. La rentrée pédagogique se fera le 20 Septembre. Vous pourrez à cette date, recevoir votre emploi du temps et faire les démarches nécessaires afin d'obtenir votre carte d'étudiant.
Cordialement,
Minerva McGonagall, Responsable Licence Economie Gestion
Université Paris X
Il finit sa lecture, son cœur battant frénétiquement dans sa poitrine. Quand il replia la lettre, il remarqua que ses mains tremblaient.
Ses yeux vinrent se verrouiller à ceux d'Harry. Ses orbes émeraude brillaient d'excitation.
_Pourquoi ? Se surprit-il à demander au brun, trop heureux pour y croire.
_Parce que je t'aime, idiot.
Draco rigola. Cela faisait des mois qu'il ne s'était pas senti aussi détendu. Il observa sa mère, en retrait, et lui sourit franchement. Elle lui adressa un clin d'œil et s'éloigna.
Harry lui prit le bras et le tira dans le train.
Il avait l'impression d'être dans un rêve. Harry était assis à côté de lui, sa tête reposant sur son épaule. Il voulait lui poser mille questions, mais décida de profiter de l'instant.
_Au fait, tu as de la place pour moi dans ton appartement en attendant que je me trouve un logement étudiant ?
C'en était trop. Il prit la bouche d'Harry sauvagement, passant ses mains dans ses cheveux.
_T'auras pas besoin de partir. Je te veux avec moi. Lui dit-il, possessif.
_J'espérais que tu dirais ça.
Le sourire d'Harry lui réchauffa le cœur.
Tandis que les paysages défilaient et qu'ils s'approchaient de la capitale, Draco eut une pensée pour son père. Il ferait sûrement une crise cardiaque en voyant arriver son fils au bras d'Harry. C'était ironique, dans le fond. Il l'avait enlevé de l'internat de Londres et amené à Godric's Hollow pour qu'il revienne dans le droit chemin. Au final, il allait emménager avec son petit-ami qui voulait faire carrière dans l'industrie du rock.
Blaise ne s'en remettrait jamais.
FIN
Trois lettres qui provoquent toujours un pincement au cœur… J'ai dans l'idée d'écrire une séquelle (une sorte de recueil de Drabbles ou d'OS pour montrer ce qu'ils sont tous devenus). Mais je dois pour le moment écrire la suite d'Insaisissable (Il serait temps)
En tout cas merci infiniment à tous ceux m'ayant suivi sur cette histoire, m'ayant laissé des avis, des alertes et mis en favoris. Certaines personnes ont été là du début à la fin et ça m'a fait chaud au cœur. (NANOLA ET ARCHIMEDE : JE VOUS BOUDE) Et évidemment, merci à ma bêta llena-moon (j'espère que ton oral de bac s'est bien passé!)
Quoi qu'il en soit, on se retrouve bientôt, que ce soit pour une séquelle d'Hogwarts ou une autre histoire.
Je vous embrasse,
Leylah.