Parce que je suis une grosse cochonne et que j'ai même po peur, un petit OS X-Men (les films, pas les comics), sur le couple Logan/Malicia.
Pourquoi ? Parce que ça crève les yeux qu'elle en pince pour lui.
La difficulté ? Logan est bien plus âgé, tourmenté par ses démons intérieurs et sa morale. Le tout était de ne pas tomber dans le truc glauque et limite dérangeant moralement vu leur différence d'âge (quoique, j'ai vu passer de ces trucs sur FF, je pense que c'est pas mon OS qui va tout bouleverser xD )
Donc, j'annonce la couleur : c'est un lemon, un vrai, un qui donne chaud. Pour les élucubrations philosophiques, merci de changer de fic v_v
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Sur ce, je rappelle bien sûr que tous les personnages appartiennent à Marvel et que je ne fais que les emprunter pour jouer avec eux.
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L'histoire se déroule peu de temps après les évènements du film X-Men 3 : l'Affrontement Final. Malicia s'est fait inoculer le vaccin qui annihile les effets de la mutation.
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Yatta !
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If you wait for me then I'll come for you
Although I've travelled far
I always hold a place for you in my heart
If you think of me, If you miss me once in awhile
Then I'll return to you
I'll return and fill that space in your heart…
Tracy Chapman, The Promise
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Comme elle s'en doutait, la jeune femme trouva l'homme qu'elle cherchait dans la cuisine, en train de fouiner dans le réfrigérateur, sans doute à la recherche d'une canette de bière.
Il referma la porte, sa boisson à la main, quand il avisa la brune qui se tenait dans l'entrée.
« Eh gamine. Tu viens casser la croûte ? » Demanda-t-il d'un ton calme.
Difficile de rester serein cependant, car ladite gamine arborait pour tout vêtement un mini short et un débardeur noirs. Sympathique pyjama. Elle se tenait droite, nonchalamment appuyée contre le chambranle de la porte tandis que l'homme alla se caler contre l'évier en inox.
« Je te cherchait. Comme tu n'étais pas dans ta chambre, j'en ai conclu que tu serais ici. » Répondit la jeune femme.
« Je peux savoir ce que tu fichais dans ma chambre ? » interrogea l'homme, les sourcils froncés.
« Je te l'ai dit : je te cherchais. » se contenta de répéter la brune.
« Et bien tu m'as trouvé. Contente ? » Lança-t-il avant de décapsuler sa canette et d'en descendre un tiers en une seule gorgée. « Qu'est-ce que tu veux Malicia ? » la questionna-t-il.
« Je vous ai entendu, ce soir. Tornade et toi. Il parait que tu veux à nouveau partir. »
« C'est pas bien d'écouter aux portes gamine. Mais oui, j'ai besoin de prendre un peu l'air. »
Malicia s'approcha de la table de la cuisine, tira une chaise et pris place, face à l'homme.
« Je peux venir avec toi ? » demanda-t-elle doucement.
« Hors de question. » répliqua l'homme en continuant de descendre sa bière.
La jeune femme afficha un air peiné et refreina la douleur qui venait de lui serrer la poitrine.
« Logan, moi aussi j'ai besoin de prendre un peu l'air. Je ne me sens plus trop à ma place à l'Institut… C'est vrai, après tout je ne suis plus une Mutante, je suis devenue… normale. »
« C'était ton choix gamine. Personne ne t'y a obligé. »
Elle releva la tête vers lui, plongeant ses yeux dans les siens. Il déglutit et baissa le regard en premier, se maudissant intérieurement d'être troublé par sa présence.
« C'était mon choix et je ne le regrette pas. J'ai enfin une vie normale, je n'ai plus besoin de cacher la moindre parcelle de ma peau sous du tissu pour ne pas risquer de tuer quelqu'un… Mais justement. Plus rien ne me retient ici. » Affirma-t-elle d'un ton ferme.
« Et ton bonhomme de neige ? » questionna-t-il en voulant faire de l'humour. Elle grimaça.
« Nous avons décidé de rester amis. » répondit Malicia. Son interlocuteur laissa échapper un ricanement cynique.
« Maintenant que vous pouvez vous tripoter, il te jette comme une vieille chaussette ? Ce gosse est encore plus con que je ne le pensais. »
« Logan ! C'était d'un commun accord. Il ne m'a pas… jeté. »
« Mouais… » Maugréa-t-il, en finissant sa canette. Il venait de la déposer dans l'évier quand il entendit la jeune femme repousser sa chaise. Relevant la tête, il retint un sursaut de surprise : elle se trouvait devant lui, très proche. Trop proche. Comme il la dépassait d'une bonne tête, elle dut relever la sienne pour pouvoir le regarder dans les yeux.
« Malicia, ton regard de chien battu ne fonctionnera pas cette fois. Je ne t'emmènerais pas avec moi. Tu as bien mieux à faire que de traîner sur les routes. Finir tes études par exemple. Ecoute la parole du grand frère que je suis sensé être dans cette baraque. » Affirma-t-il, fier de sa maîtrise de soi.
« Foutaises… Depuis quand Frère Wolverine tient-il des propos de pédagogie ? » Ricana la jeune femme qui ne semblait pas souffrir de leur proximité.
« Il paraît que je dois me comporter en adulte. »
« Ça me va. » affirma Malicia, rougissante en posant une main sur son torse. Logan retint son souffle un instant avant de se ressaisir.
« Moi, ça me va moins bien… J'aimerais que tu… » Il n'acheva pas sa phrase, le souffle coupé par son audace alors que sa seconde main venait de se poser fermement sur son entrejambe. C'est à ce moment qu'il réalisa que si mentalement il parvenait à rester calme malgré leur grande proximité, le contenu de son pantalon en avait visiblement décidé autrement.
« Malicia, enlève ta main de là tout de suite, ou il va t'arriver des bricoles. » réussit-il à articuler d'un ton qu'il voulait ferme.
La jeune femme, le visage écarlate et les yeux baissés, lui adressa un sourire innocent.
Sale gosse !
« Pour un grand frère, je te trouve un peu… tendu par ma présence. » murmura-t-elle. « Quel genre de bricoles ? » ajouta-t-elle.
Depuis quand cette gamine était devenue aussi mutine et audacieuse ? Logan pris une inspiration, les deux mains crispées sur le rebord de l'évier derrière lui. Si elle ne se décidait pas à obtempérer, alors que ses doigts s'amusaient avec les crans de sa braguette, il n'allait pas pouvoir rester maître de lui bien longtemps.
« Des bricoles. Dégages ta main. » Se contenta-t-il de répéter, se forçant au calme.
« Enlèves-là toi-même… » Lui susurra la jeune femme d'un air cynique.
Logan ferma brièvement les yeux et posa d'autorité sa main droite sur la sienne, bien décidé à la lui ôter de là. Et de lui botter le cul pour la ramener jusqu'à sa chambre pour l'étouffer dans sa couette, là où elle devrait être à cette heure tardive.
Seulement sa main refusait de lui obéir et il resta là, immobile, ses doigts posés sur ceux de la jeune femme, qui jouaient toujours paresseusement avec le métal de son pantalon.
« Je croyais que cette… affaire était réglée, on en a déjà discuté dans le passé gamine… »
« Bien des choses ont changé depuis la dernière fois. » répondit la jeune femme en osant relever les yeux.
« Malicia, arrêtes tes conneries ! Je pourrais être ton père… »
« Mais tu ne l'es pas. Et puis mes conneries valent bien les tiennes. Tu ne sais même pas quel âge tu as ! » Répliqua la jeune fille, un air mutin sur le visage. « Je suis adulte, majeure et je te jure que je n'ai pas bu, je sais ce que je veux. Et mes sentiments n'ont pas changé. »
« Les miens non plus. » affirma Logan, se voulant ferme mais se sentant faiblir alors que le contenu de son pantalon, au contraire, ne faisait que prendre le chemin opposé et en réclamer plus.
« Tu ne m'aimes pas ? Tu ne me trouves pas attirante ? » Questionna la jeune femme, adoptant une moue blessée.
« Bien sûr que si ! Je veux dire… Tu es attirante gamine, sincèrement. Mais ce n'est pas… convenable. Là. Maintenant, enlèves ta main parce que ça va mal finir. » Gronda-t-il.
« Tu seras gentil de ne pas me planter tes griffes dans le ventre. Je n'ai plus la possibilité d'absorber ton pouvoir de guérison pour ne pas mourir… » Éluda-t-elle, ses doigts baladeurs toujours fermement posés sur son entrejambe, ceux de Logan également posés sur les siens, immobiles.
La chaleur de sa paume sur le dos de sa main, la satisfaction de la masse durcie qu'elle sentait sous ses doigts, la proximité intense entre leurs corps, son cœur qu'elle sentait palpiter à travers le tissu de son tshirt sous son autre main toujours collée à lui, lui procurait une vague de frissons qui ne devait rien à la fraîcheur de la pièce et elle sentit son bas-ventre s'embraser.
« Je sais me maîtriser depuis longtemps. Aucun risque que je te coupe en tranches, même si là, tout de suite, tu le mériterais. » Répondit Logan d'un ton bourru. Il ne pu retenir un mouvement de surprise lorsque la jeune femme ôta subitement sa main de l'endroit sensible et celle sur son torse, pour le serrer dans ses bras, enfouissant sa tête contre sa poitrine. Pris au dépourvu, Logan lâcha l'évier derrière lui et après un instant d'hésitation, referma ses bras sur elle, inclinant la tête pour humer l'odeur boisée qui émanait de ses cheveux bruns, un peu en bataille à cette heure de la nuit.
« Allez gamine… Je ne partirais pas longtemps, je te promets que je reviendrais bientôt. Rien que pour toi, ça te va ? » Murmura-t-il tout en lui frottant doucement le dos.
« Emmènes-moi avec toi… » Lui répondit la voix étouffée de Malicia. Il sentit son souffle chaud au travers du tissu sur son torse et un frisson lui hérissa les poils de la nuque.
« Malicia, je peux pas te… » Commença-t-il.
« Je t'aime. » murmura la jeune femme, toujours immobile et le visage enfoui contre sa poitrine.
Les mots qu'elle venait de prononcer le prirent au dépourvu et il cessa tout mouvement. Sans qu'il ne l'ait voulu, cette simple phrase lui fendit le cœur, lui qui se vantait d'en avoir un à l'épreuve de tout. Ces quelques lettres firent leur chemin dans ses veines, tourbillonnèrent dans son esprit, l'embrumant un peu plus. Pourtant, il ne se souvenait pas d'avoir fait quoi que ce soit pour mériter ça.
Elle l'aimait. Et lui, l'aimait-il ?
« J'aurais du te laisser crever de froid sous ta bâche dans la remorque ce jour là, au lieu de te faire monter dans le pick-up… » Murmura-t-il, la bouche toujours perdue dans ses cheveux.
Il ferma les yeux, se détendant un peu, se surprenant à apprécier les bras fins noués autour de sa taille et la sensation de douceur qui émanait d'elle.
En soupirant, Logan relâcha son étreinte et posa une main sur la joue de la jeune femme, qui releva la tête, ses yeux brillants de ce qu'il devinait être de futures larmes ne demandant qu'à se déverser sur ses joues rondes. Saleté !
Et puis, sans plus se poser de questions, il inclina la tête vers son visage et l'embrassa avec une douceur surprenante pour un homme tel que lui. La brune se laissa faire, avant de se montrer plus entreprenante et d'approfondir le baiser. De chaste, celui-ci devint plus fougueux. Logan sentit les dernières barrières de sa bonne conscience s'envoler lorsqu'elle risqua ses mains fraîches sous son tshirt, au contact direct de sa peau.
Et puis, subitement, il la repoussa vers la table. Surprise, les lèvres gonflées et les joues rouges, Malicia le regardait, hésitante. Sans un mot ni un regard, il sortit de la cuisine.
Stupéfaite, la jeune femme se lança à sa suite dans les couloirs sombres et déserts du Manoir. Elle n'osait pas lui adresser la parole et il ne se tourna pas un seul instant pour voir si elle le suivait. Il prenait le chemin de sa chambre, dans laquelle il entra, laissant la porte ouverte, lui tournant toujours le dos.
Avec prudence, la jeune femme entra à son tour dans la pièce et referma la porte derrière elle, ne sachant pas vraiment quelle conduite adopter. Elle le vit incliner la tête et il laissa échapper un petit soupir amusé avant de faire volte-face pour la dévisager.
« Je t'avais prévenu qu'il allait t'arriver des bricoles, gamine. Alors tu as le choix. Soit tu retournes sagement te coucher dans ta chambre, soit je ne peux pas te certifier que tout va bien se passer pour toi si tu restes ici. »
Malicia afficha enfin un sourire amusé en rougissant de plus belle, comblant la distance qui les séparait en quelques pas.
« Je n'ai pas sommeil. » affirma-t-elle effrontément avant de poser à nouveau une main sur son torse en baissant les yeux.
Logan posa sa propre main sur la sienne pendant un instant, avant de la saisir par le bras pour la coller à lui. La jeune femme releva la tête et il cueillit ses lèvres au vol, en un baiser fougueux qui ne laissait guère d'imagination quant à ce qui allait suivre.
Après tout, si c'est ce qu'elle voulait… Le pire, c'est qu'il le voulait aussi. Malgré toute sa bonne volonté et tout en se traitant de vieux pervers salace, Logan ne parvenait pas à mettre fin à cette connerie. La gamine était entrepreneuse et semblait déterminée.
Peut-être pourrait-il la laisser faire, jouer son jeu jusqu'à ce qu'elle finisse par vouloir mettre fin à cette situation délicate quand sa pudeur reprendra le dessus ? Si bien sûr il avait la force de tenir jusque là. Et si elle s'arrêtait. Ce qu'elle ne semblait pas du tout décidé à faire. Ses mains se promenaient timidement sur la peau de son torse et de ses bras alors que les siennes, plus possessives et moins farouches, passaient sans vergogne de ses épaules à ses hanches pour se poser calmement sur ses fesses, avant de remonter dans son dos. Ils s'embrassaient toujours et la jeune femme mettait tant de fougue et d'ardeur dans son geste que Logan sentit son cœur s'embraser.
Elle avait dit qu'elle l'aimait. Bien sûr qu'elle l'aimait. Il le savait depuis des années, depuis le jour où il s'était retrouvé à l'Institut, après qu'ils aient failli être tués. Depuis le soir où, en hurlant, elle l'avait prévenu qu'on allait l'attaquer d'un coup de couteau, dans ce bar miteux. Ce soir de terreur à Liberty Island, quand il l'avait cru morte et n'avait pas hésité à plaquer sa peau contre la sienne dans l'espoir de la ramener.
Et ce soir, elle le lui avait dit. Après tout ce temps, elle le pensait toujours, malgré son histoire avec l'autre glaçon de Bobby qui l'avait jeté. Malgré son propre amour pour Jean, même s'il avait été à sens unique. Troublé au plus profond de lui-même, il mis un frein à ses ardeurs pour plus de douceur et prendre le temps de savourer ce moment. Elle l'aimait. Et lui ? Il avait de l'affection pour elle, c'était certain. Parmi tous les gamins et autres mutants présents à l'Institut ou en dehors, c'était la seule pour qui il avait risqué sa vie, à plusieurs reprises, sans l'ombre d'une hésitation. Elle, et Jean. Mais Jean était morte. Malicia était vivante.
La jeune femme sentit un changement dans son attitude et cessa de l'embrasser pour le dévisager.
« Tu as changé d'avis. » affirma-t-elle doucement, comme résignée et déçue.
« Non. Je t'ai promis qu'il allait t'arriver des bricoles. Tu me connais, je suis pas du genre à me défiler. Mais je ne suis pas obligé de te violer sur place non plus. » Répondit-il, amusé alors qu'elle rougissait à nouveau. Peut-être qu'elle allait prendre conscience de son empressement et changer d'avis pour retourner dans sa chambre ? Une main toujours dans son dos, il posa l'autre sur sa joue pour lui faire relever la tête.
« Tu as encore le choix gamine. Je t'oblige à rien et je ne veux pas que tu te sentes obligée de faire quoi que ce soit. Profites que tu ais foutu la merde dans ma tête avant que je change d'avis. »
Malicia releva les yeux sur lui.
« J'ai attendu ce moment pendant des mois. Si tu crois que je vais aller retourner me coucher bien sagement, c'est que tu es plus idiot que je ne le pensais. » Affirma la jeune femme d'un ton posé où perçait l'ironie.
« Où est passée la gosse timide et prude que je connaissais ? »
« Si tu avais fait attention, tu aurais remarqué qu'elle a disparu depuis longtemps. » répondit la brune.
Il eut un rictus et l'embrassa de nouveau tout en la poussant vers le lit. Et merde à tous ses principes. Après tout, c'est pas comme s'il la forçait, c'était pas faute de l'avoir remise à sa place à plusieurs reprises.
Malicia sentit ses jambes buter contre le cadre en bois et se laissa tomber sur les fesses en riant, ne lâchant pas le cou de Logan où elle avait nouées ses mains, l'entraînant avec elle dans sa chute. Il se retrouva sur elle, prenant néanmoins soin de ne pas l'écraser sous son poids en se mettant en appui sur ses coudes, l'observant pensivement pendant un instant alors qu'elle avait glissé ses doigts dans sa tignasse de cheveux bruns.
« T'es mignonne gamine. Tu es intelligente, jolie, tu as plein de qualités. Alors pourquoi t'accrocher à un vieux con comme moi, avec mon caractère de merde, alors que des tas de garçons de ton âge doivent mouiller leurs frocs en pensant à toi ? » Demanda-t-il doucement.
« C'est ton pantalon à toi que je veux voir mouiller en pensant à moi. » répondit la jeune femme en rougissant.
« p'tite conne va… » Grogna Logan, amusé et flatté à la fois, en l'embrassant sur le front. Sa bouche décrivit une ligne sur son nez, sa bouche, son menton avant de revenir sur sa bouche et de l'embrasser, doucement d'abord, puis avec plus de passion. Il sentait qu'elle se détendait et l'homme osa laisser s'aventurer ses mains sur sa poitrine, au travers du tissu de son débardeur. Il était deux heures du matin et comme il s'agissait de son pyjama, elle ne portait rien dessous et il pu constater l'effet qu'il lui faisait en sentant ses seins durcir sous son contact, alors qu'elle se laissait aller à un gémissement de satisfaction. La jeune femme prit sur elle de poser timidement une main sur ses fesses, tandis qu'elle sentait la dureté de son désir entre ses cuisses, au travers du pantalon.
« Tu es trop habillé. » décida Logan dans un grognement, avant de lui ôter son débardeur sans lui demander son avis d'un seul geste, dont elle se garda bien de l'empêcher. La jeune femme sentit ses joues s'embraser alors qu'il s'autorisait un instant pour la contempler, avant de dévier sa bouche, jusqu'à présent posée dans son cou, jusqu'à ses seins tendus qu'il entreprit de mordiller et de lécher, déclenchant une série de gémissements de plaisir de la part de la jeune femme.
A cause de sa mutation, qu'elle avait toujours considérée comme une malédiction, personne n'avait pu l'approcher physiquement jusqu'à présent. Les sensations que lui procurait Logan étaient si délicieuses qu'elle sentit une bouffée de haine contre son passé, et ne regretta absolument pas d'avoir pris l'antidote. Elle resserra sa prise sur ses cheveux alors que ses mains baladeuses se dirigeaient vers l'élastique de son short.
« Tu es trop habillé aussi. » réussit-elle à articuler alors qu'il continuait à torturer ses seins. Logan releva brièvement la tête, une expression de luxure peinte sur le visage, se redressa et enleva son tshirt d'un seul mouvement avant de retourner s'affairer sur la poitrine de la jeune femme qui se tortillait de plaisir sous ses assauts. Il osa aventurer un doigt sous l'élastique de son short, caressant sa peau nue et elle se figea un instant. Logan redressa la tête.
« Tu veux que je te laisse tranquille ? »
« Rêve ! » répondit-t-elle avec véhémence en appuyant sa tête vers ses seins tendus, dont il repris la torture de sa bouche alors qu'il glissait sa main toute entière dans son short, caressant son intimité. Ses gémissements se transformèrent en hoquets et elle laissa échapper un « oh mon dieu… » Alors qu'il venait de toucher un point sensible du bout des doigts.
S'installant plus confortablement à ses cotés et sans retirer sa main, sa bouche remonta le long de sa poitrine vers son cou, pour se souder à ses lèvres.
« Je suppose que tu n'as jamais… » Hasarda-t-il, plein de sous-entendus.
« Et comment j'aurais fait ? » ricana nerveusement la jeune femme qui hoquetait alors que ses doigts continuaient leur exploration sur son intimité plus qu'accueillante.
« Je ne sais pas si c'est raisonnable… » Continua Logan, sans pour autant stopper ses attouchements.
« Si tu me laisses comme ça, je te jures que je te tues. » grogna-t-elle, les joues rouges, en s'attaquant à la ceinture de son jeans de ses mains tremblantes.
Il ricana, et l'aida dans son affaire en ôtant sa ceinture, puis son pantalon. La jeune femme n'osa pas baisser les yeux pour contempler l'effet qu'elle lui faisait et soupira de plus belle lorsqu'il l'attira contre lui, sans cesser ses caresses de plus en plus osées.
Quand il risqua un doigt dans son intimité chaude et humide, elle ne pu retenir un petit cri de surprise et de plaisir, avant de se coller plus étroitement contre lui. La jeune femme tendit la main pour le toucher à son tour, et pu constater qu'en effet, il semblait très excité. Hum.
Elle croisa son regard alors qu'elle venait de prendre son courage à deux mains, à proprement parler, pour lui intimer d'enlever le dernier rempart entre leurs deux peaux. Ses yeux sombres brillaient d'un feu intense et elle lut tout le désir qu'il ressentait pour elle à cet instant. C'est à ce moment qu'il atteignit un point particulièrement sensible dans son short et elle se tortilla de plaisir en gémissant de plus belle alors qu'il étouffait son gémissement en l'embrassant.
« Logan, s'il te plait… » Gémit-elle, sentant des vagues de plaisir la secouer, ses doigts crispés sur le membre rigide de son compagnon qui sentait la sueur perler à son front. Elle entama timidement des mouvements de va-et-vient, et il sentit qu'il allait perdre le peu de contrôle qu'il lui restait.
Savourant la caresse, il l'embrassa de plus belle avant de se déplacer à nouveau pour la surplomber et lui enleva son short d'une main.
Relevant les yeux sur son visage rougi par le plaisir et la pudeur, il s'accorda un instant pour la regarder. Sa main remonta jusque sur sa joue, qu'il caressa doucement et elle ferma les yeux de bien être. Il se dévêtit de son dernier vêtement sans cesser de la caresser et jeta négligemment la main vers sa table de nuit et après un tâtonnement de quelques secondes, dégaina un préservatif qu'il s'empressa de dérouler sur son membre douloureusement dur, sans jamais cesser d'embrasser la jeune femme. Il se positionna au dessus d'elle en écartant doucement ses jambes, qu'elle enroula autour de sa taille. Elle resserra son étreinte derrière sa nuque et il l'embrassa dans le cou tout en entrant en elle le plus délicatement possible. Son état d'excitation était tel qu'il n'eut aucune difficulté pour progresser plus intimement en elle, tout doucement, avant de buter contre sa virginité. Il risqua un regard sur son visage mais elle enfouit la tête dans son cou en resserrant l'étreinte de ses jambes autour de ses hanches pour l'inciter à continuer. L'homme donna un bref mouvement de poussée et franchit l'obstacle de chair. Il sentit la jeune femme se crisper et laisser échapper un souffle crispé. Il cessa tout mouvement, le temps qu'elle s'acclimate à ce changement, avant de reprendre tout doucement un mouvement de va-et-vient.
« Si tu as trop mal, tu attends pas pour me le dire. » souffla-t-il à son oreille.
« T'occupes pas de ça… » Répondit-elle dans un souffle.
Il accentua tout doucement son rythme, sans cesser de caresser ses cheveux, ses épaules, d'embrasser son cou. La jeune femme finit par se détendre même s'il sentait, au tremblement de ses jambes serrées autour de sa taille, que le moment n'était pas aussi confortable qu'il n'y paraissait pour elle. On se rattrapera plus tard, songea-t-il tout en étant attentif au moindre changement et en se concentrant pour rester maître de lui. Logan se permit une légère accélération toujours en douceur, mais la jeune femme ne l'entendait pas de cette oreille.
« Tu as le droit de… d'y aller plus fort, tu sais… » Murmura Malicia.
« Je ne veux pas te faire mal. » répondit-il, le souffle court.
« Tu ne me fais pas mal. C'est supportable. »
Capitulant, il se laissa aller un peu plus et força son allure tandis que les mains de la jeune femme caressaient les muscles saillants de ses omoplates.
Gardant vaguement à l'esprit qu'il devait se contrôler pour ne pas lui faire mal, Logan se perdit dans un nuage de sensations et de plaisir, savourant le moment intense qu'ils vivaient, et finit par atteindre l'orgasme en une dernière poussée. Il verrait plus tard pour la nuit de folie, surtout après tant de mois d'abstinence… Il laissa lourdement reposer sa tête dans le cou de la jeune femme, qui s'était détendue et continuait à caresser son dos du bout des doigts.
Délicatement, il se retira d'elle et se laissa tomber sur le côté, passa un bras possessif autour de sa taille pour la ramener contre son torse tout en rabattant le drap sur eux. La jeune femme se laissa faire, au summum du bonheur malgré une sensation de légère brûlure au creux des reins et se tourna contre lui pour blottir sa tête dans son cou. Il embrassa sa tempe et caressait distraitement ses cheveux, éparpillés sur l'oreiller.
« Voilà, t'es contente ? Maintenant je vais culpabiliser si je te laisse ici en partant sans toi… » Grommela-t-il.
« C'était le but. » lui répondit-elle dans un petit rire, en glissant un bras sous le sien pour se serrer plus étroitement contre lui.
« Tu n'es qu'une sale gosse manipulatrice. »
« Est-ce que ça t'as déplu ? » questionna-t-elle.
Il s'accorda un temps de réflexion avant de répondre.
« Non. Mais à toi, si. »
Malicia redressa la tête pour plonger les yeux dans les siens.
« Absolument pas. » riposta-t-elle.
« Je t'ai fait mal. » se contenta-t-il de répondre, tout en caressant toujours ses cheveux. Elle soupira, et plongea à nouveau son visage dans son cou.
« C'était inévitable. Je ne regrette rien, c'était ce que je voulais. Et avec toi. » Murmura-t-elle. « Et puis… tu auras l'occasion de te rattraper très vite… » Ajouta la jeune femme sur un ton mutin.
« Et si je te laissais dormir et que je me cassais demain matin ? »
« Alors tu serais un beau salaud, et je sais que tu ne le feras pas. »
« Tu me connais trop bien. C'est craignoss. » Grogna Logan, amusé, en embrassant son front.
« On recommence quand ? » questionna-t-elle d'un ton amusé.
« On vient de finir ! »
« J'ai envie de recommencer. »
« T'es qu'une sale nymphomane. »
« Alors ? »
« Dors ! Tu verras bien. » Grogna-t-il pour toute réponse, son petit rire léger lui chatouillant le cou.
Pour la première fois depuis trop longtemps, Logan se sentait bien. Apaisé. A sa place, avec la gamine dans ses bras. Il ne parvint même pas à ressentir un soupçon de culpabilité ou de regret. Satisfait, il ferma les yeux, et sombra rapidement dans le sommeil.
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Malicia se tenait debout, au milieu de la foule, sur la place ensoleillée. Elle reconnaissait le parc, tout près du centre commercial où les étudiants de l'Institut avaient l'habitude d'aller faire du shopping lorsqu'ils avaient des permissions de sortie. Elle reconnut d'ailleurs plusieurs visages familiers dans la foule, dont le celui, rassurant et souriant, du Professeur Xavier.
C'est à ce moment qu'elle su qu'elle rêvait. En effet le Professeur se tenait debout, parfaitement droit sur ses deux jambes, sans plus aucun effet de sa tragique paraplégie. Et visiblement parfaitement vivant. La jeune femme s'avança vers lui, en confiance. Le vieil homme chauve lui souriait sereinement et lui tendit son bras, dont elle se saisit, tandis qu'ils déambulaient tranquillement dans les allées de gravier blanc. Un rayon de soleil traversa la frondaison des arbres pour venir lui chatouiller le nez et illuminer sa mèche de cheveux décolorés.
« Tu sais, c'était inévitable. » lui affirma doucement le Professeur. Intriguée, Malicia tourna la tête vers lui.
« Quoi donc, Professeur ? » Elle constata qu'elle ne s'était même pas étonnée de sa subite résurrection et du fait qu'il marchait à ses côtés.
« Les effets limités dans le temps de l'antidote. » répondit l'homme. La jeune femme se sentit soudainement nerveuse.
« Mais enfin Professeur, je vais parfaitement bien… Ma mutation a disparu à partir du moment où j'ai reçu l'injection. Je peux enfin mener une vie normale, sans risquer la vie de mes camarades… »
« Il s'agit plus d'une sorte de rétrovirus que d'un antidote. » poursuivit le Professeur sans se formaliser des paroles de sa compagne de promenade. « La mutation, peu importe l'aspect qu'elle revêt, trouve sa source dans les gènes. Au cœur de notre génome. La modification d'un génome pré-établi est déjà en soi une mutation. Et même si cet aspect est réalisable, elle ne se fait que de deux façons principales : la mutation induite par la radiation nucléaire, et la manipulation in-vitro. Or, cet antidote n'agit pas comme une… contre-mutation. Il s'agirait plutôt d'un inhibiteur. Ses principes actifs se fixent sur les gènes responsables de la mutation pour en bloquer l'action. Bloquer, Marie. Pas effacer. » Conclut-il en s'asseyant sur un banc public, la jeune femme toujours accrochée à son bras. Celle-ci semblait plus que jamais troublée.
« Vous… vous voulez dire que… que ça ne durera pas dans le temps ? Que je vais redevenir comme avant ? » S'écria-t-elle, angoissée.
Le Professeur lui accorda un regard plein de compassion.
« C'est inévitable, j'en ai bien peur mon enfant. Les scientifiques qui ont mis au point cet antidote, en se basant d'ailleurs de façon tout à fait illicite sur les travaux d'un de mes vieux amis, n'ont pas pris le temps de tester l'efficacité de cette substance dans la durée. Ils se sont assurés de l'absence d'effets secondaires notables majeurs, dans un premier temps. Mais pas de la stabilisation des effets sur une longue durée, trop pressés de le mettre en circulation. »
Malicia se sentait désemparée.
« Que dois-je faire ? Il faut refaire une injection ? »
« Je crains que ce ne soit inefficace. Ton corps a synthétisé la molécule inhibitrice. Son action a été enregistrée, et ne sera sans doute pas renouvelable. Cependant… Il est fort possible que l'antidote puisse t'aider à modifier ta mutation. » Expliqua le Professeur, l'air pensif.
« Modifier ? »
« Oui. La rendre peut-être moins… violente. Peut-être même te permettre de la contrôler. »
Malicia soupira en fermant les yeux.
« Je pourrais toucher les personnes de mon entourage sans les blesser ? Sans leur voler leurs dons, leurs pensées ? »
« Je t'apprendrais à le faire. » répondit Charles Xavier, un sourire paternel sur les lèvres.
« Et comment feriez-vous ça ? Vous êtes mort ! »
« Je ne suis pas le seul Mutant de ton entourage, Marie. D'autres tiennent aussi à toi, et pourront t'aider à apprivoiser ton don. »
La jeune femme, les yeux pleins de larmes, vit le Professeur lui adresser un dernier sourire avant de se lever et de s'éloigner, la laissant seule sur son banc. Le vent soufflait doucement dans les branches des arbres l'entourant, chatouillant la peau de ses bras et faisant voleter ses cheveux autour de son visage. C'était une sensation très agréable, qui lui permit d'oublier pour un moment les terribles paroles du Professeur. Oui, très agréable.
Malicia ouvrit les yeux.
La pénombre ambiante n'était pas suffisante pour l'empêcher de distinguer des détails lui confirmant qu'elle ne se trouvait pas dans sa chambre. Ce qu'elle avait pris pour la caresse du vent, dans son rêve, revêtait la forme de doigts qui se promenaient sur son bras dénudé. Au bout de ces doigts se tenait Logan, le regard brillant.
« Tu étais agitée. Cauchemar ? » Murmura-t-il.
« Pas exactement… Je t'ai réveillé ? » Répondit-elle d'une voix ensommeillée, son cœur accélérant son rythme en constatant la présence de l'homme auprès d'elle. Il était resté. Elle avait craint avant de s'endormir qu'il ne la laisse seule, même dans sa propre chambre.
« Non. J'attendais que tu ouvres les yeux. J'ai juste fait en sorte d'accélérer le processus. J'ai des tas de trucs qui me sont passés par la tête, et j'avais besoin que tu sois réveillée pour les réaliser… » Affirma Logan avec un sourire en coin. La jeune femme sentit ses joues s'embraser au même rythme que la chaleur s'éveillant dans son bas-ventre. Elle dormirait une autre nuit, se promit-elle avant de l'enlacer et de poser ses lèvres sur les siennes, oubliant dans un coin de son esprit les mystérieuses paroles du Professeur Xavier de son rêve.
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Resserrant le nœud du bandana bleu marine qui enserrait la masse brune de ses cheveux, Malicia fronça le nez pour faire remonter ses lunettes de soleil. Elle songea qu'il lui faudrait penser à sortir son bonnet de son sac le soir même, la température ayant dangereusement chuté depuis la veille. La jeune femme tourna subitement la tête vers la portière conducteur de la fourgonnette où elle se trouvait, côté passager, pour voir s'engouffrer son compagnon de route dans l'habitacle, un gobelet fumant à la main. Elle reconnut immédiatement la douce odeur sucrée d'un chocolat chaud et eut un regard brillant de gratitude pour l'homme, qui le lui mit entre les mains avant de s'asseoir et de redémarrer le moteur.
« Tu n'as rien pris pour toi ? » demanda-t-elle en soufflant prudemment sur son gobelet.
« Pas froid. Et puis, est-ce que j'ai une tête à boire du chocolat chaud ? » Grommela-t-il en réponse, reprenant la route. La jeune femme pouffa.
« Oh oui ! Avec une petite montagne de crème chantilly. Ça serait si mignon ! » Ricana-t-elle en trempant ses lèvres avec précaution dans le breuvage brûlant. Il grogna.
« Ben voyons… »
Malicia tourna la tête vers l'arrière du véhicule. Il s'agissait d'une grosse fourgonnette à mi chemin entre le pick-up et le camping-car, du fait maison assez rudimentaire, comme si l'ancien propriétaire n'avait pas eu le courage de finir de l'aménager correctement. Elle se remémora la même scène, plusieurs années auparavant… Une éternité. Le pick-up était différent, mais le froid saisissant, et surtout son conducteur, étaient les mêmes. La jeune femme se réinstalla confortablement dans son siège, avant de poser son regard où brillait un intense sentiment d'amour sur son compagnon.
« Quoi ? » grogna-t-il, se sentant observé.
« Rien. Je repensais juste à une scène du même genre, il y a… quoi ? Quatre, cinq ans ? »
« six. » affirma Logan sans hésitation, tirant sur son cigare pour en recracher un petit nuage de fumée.
« Six ans… J'ai parfois du mal à y croire, avec tout ce qui s'est passé durant ces dernières années… » Murmura Malicia en sirotant son chocolat. Son compagnon ne répondit pas, visiblement perdu dans ses pensées. Elle tourna la tête vers lui à nouveau.
« C'est gentil à toi d'avoir accepté de rentrer à l'Institut pour passer l'hiver. »
« Y a pas de quoi. Ne le dis à personne, sinon je te coupe en deux, mais ils me manquent à moi aussi, tous ces gosses. Et Tornade aussi. »
« Elle a lourdement insisté la dernière fois que je l'ai eu au téléphone. Je crois qu'elle se fait du souci pour moi. »
« Même si elle sait que tu es avec moi ? »
« Surtout en sachant que je suis avec toi. » répondit la jeune femme en souriant.
Logan afficha un rictus moqueur.
« Et bien la voilà rassurée de te savoir de retour à la maison. »
« Tu lui manques aussi. Depuis qu'elle assume seule la direction de l'Ecole… ça fait beaucoup de responsabilités d'un coup tu sais… »
L'homme se renfrogna imperceptiblement.
« Je sais. Mais je devais faire une pause dans tout ça. Tu le sais, on en a déjà parlé. »
« Je sais. Et c'est très gentil à toi de m'avoir supporté pendant une année entière. »
« J'ai pas trop eu le choix… Tu aurais été capable de te planquer dans le moteur s'il l'avait fallu. » Ironisa Logan.
« Eh ! » grogna sa compagne, un air faussement indigné sur le visage alors qu'elle lui assénait un coup de poing moqueur dans l'épaule.
Ils continuèrent le trajet en silence, bercés par un morceau de country crachoté par le vieux radiocassette du tableau de bord.
Au soir, ils arrivèrent en vue de l'immense manoir. L'Institut Xavier avait tellement manqué à Malicia… Enfin rassurée, elle posa nonchalamment sa main sur son ventre. Il fallait absolument qu'elle parle avec Tornade. Elle saurait quoi faire, la conseiller et la rassurer, avant de confronter Logan à la vérité qu'elle lui cachait.
Mais demain. Ce soir, elle se contenterait juste de savourer de rentrer à la maison…
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Voilà, c'était pas fameux, ça date d'il y a un bout de temps et j'ai retouché deux-trois trucs mais rien de bien violent.
J'avoue sans honte que la fin est effroyablement nulle, à la base j'avais commencé à écrire ça suite à une subite inspiration après avoir re-re-revu X-Men 3, mais ça n'a jamais progressé dans ma tête, donc ça restera à 99% de chances un OS ^^
Mais ça ne vous empêche pas de me donner votre avis :D
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