I'm back mes fidèles lecteurs/lectrices !
J'ai décidé d'étoffer encore un peu le fandom SaNa. Après pas mal de réfléxion, je me dis que ce couple mérite d'être autant connu que le ZoSan ou le SanZo qui est à mon humble avis un peu trop exploité [tu dis ça mais ça t'empêche pas de lire les lem*BAF*]
Disclaimer : Les personnages ne sont pas à moi mais à Oda. Je vous envie Oda-san... Ah ! Et pour vous donnez un peu une idée de réflexion sur la fic en elle-même, l'idée de départ me vient de Sly Cooper. Excellent jeu d'ailleurs.
Pour des explications plus approfondi, chers habitués, vous savez où aller. Pour les autres c'est toooooout en bas, à la fin de ce texte.
ENJOY !
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Bande-Annonce
Le monde tel qu'on le connait n'est plus…
Un homme, une femme : l'ombre et la lumière
Que leur réserve leur destin ?
― Un briquet pour toi, histoire de t'éclairer, voleur de l'ombre ?
― Pas besoin, j'en ai un !
― M-MAIS C'EST LE MIEN ! Rends-le-moi tout de suite !
― Je suis pas voleur pour rien Inspecteur Dorobo !
Ça s'annonce mal barré mais ce que nous pouvons promettre c'est qu'il y aura…
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Des dilemmes…
― Attends Pipo, tu m'as dis que je dois aller par où ?
Kuroashi attendit la réponse de son comparse, se demandant ce qu'il fichait. Il y avait un problème où alors il ne s'y connaissait pas. De son oreillette, il l'entendit feuilleter ses documents avant de reprendre la parole.
― Tu dois de suite tourner à gauche…
― Ok ça me va… SAUF que je n'ai qu'une ligne droite.
― …
― Alors je fais quoi ? Je fais le conduit moi-même ou je pars à l'aveuglette avec un copilote complètement paumé ?
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De l'action…
Aisa était une jeune fille très maligne et avec un instinct de survie très développé. Quand on lui disait de faire quelque chose, même si c'était stupide, elle le faisait sans hésiter. Avec Wiper dans les parages, elle ne risquait rien.
Dès qu'elle vit le signal, elle se mit à sautiller dans la ruelle, chantonnant à tue-tête la chanson demandée.
― Il court, il court, le furet du bois mesdames ! Il court, il court, le furet du bois joli !
Sanji la considérait avec surprise et lança un coup d'œil vers Wiper qui la laissait faire. Il se dirigea vers lui nonchalamment.
― Wiper, qu'est-ce que tu fabriques ?
― Que dalle, je suis pas artisan.
Sanji s'obligea à prendre une grande inspiration avant de parler.
―… Aisa se ridiculise en chantant « Il court le furet » et tu laisses passer ?
― Il a le droit de courir ce furet non ?
― Putain tu ne me laisses vraiment pas le choix…
Et après, les gens se plaignaient parce qu'il était violent...
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De l'humour…
― Tu devras faire attention Sanji, Lucci est secondé par le meilleur garde du corps de la profession : Ener.
― Ouais, on l'appelle même "La foudre".
― "La foudre" hein…
― Oui la foudre.
― Me coupes pas dans l'élan, j'allais sortir une super punchline !
Usopp et Franky s'entre-regardèrent pendant que Chopper considérait celui qui était comme un frère à ses yeux avec perplexité.
― Excuse-nous alors. Vas-y.
Extrêmement fier de lui, Sanji posa un pied sur le dossier de sa chaise, un coude posé sur le genou et le menton installé sur sa paume.
― "La foudre" hein… On va mettre à l'épreuve mes aptitudes de paratonnerre.
Silence consterné alors que leur chef semblait très fier de son petit effet. Il piqua un fard en voyant leur réaction.
― NORMAL QU'ELLE TOMBE A PLAT VOUS AVEZ GÂCHÉ L'EFFET !
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De l'amour…
― Que… de l'attention ? Normal, vous me coursez depuis des mois, si vous ne faisiez pas attention à moi, je me poserais des questions.
― … Pas l'attention. La tension. Crétin.
Il mit quelques secondes à comprendre. Pourtant, la situation dans laquelle il se trouvait aurait dû lui mettre la puce à l'oreille plus vite.
― Oh… Mais quelle tension sexuelle ? C'est pas moi qui embrasse à pleine bouche mon subordonné !
― LA FERME ! C'est de TA faute !
Sanji avait toujours rêvé qu'une femme soit folle de lui au point de vouloir abuser de son corps. Mais là… Par elle… Im-po-ssi-ble.
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Du suspense…
Le grappin tenait bon tant bien que mal. Kuroashi grinça des dents et fut horrifié de constater que la belle rousse glissa petit à petit de son bras. A ce train là, elle allait vite tomber et il ne pourrait rien faire. Il devait tenir d'une main la corde du grappin pour assurer sa prise mais il ne pouvait pas laisser tomber l'inspectrice. Dans les deux sens du terme. Cela aurait pu être ironique s'ils ne risquaient pas de faire une chute mortelle.
Par pur réflexe, il enserra de son bras la taille de la jeune femme et posa la main sur la première partie de son corps qui était la plus proche. Son sein droit pour être précis.
Huuuuum 95 I… NON ! Faut que je me concentre sur le moyen de sortir d'ici vivant et pas à sa poitrine ferme, généreuse et si… Argh ! Je suis un gentleman merde ! Concentre-toi mon petit Sanji ! Pense solution et pas poitrine tentatrice !
Il retira sa main avant d'être davantage perturbé. Si elle se réveillait à se moment-là, il ne donnait pas cher de sa peau. Elle se ficherait bien de l'endroit où ils seraient, elle penserait surtout à se venger de cet acte pervers. Il n'avait pas fait exprès néanmoins elle s'en ficherait comme de son premier soutien-gorge. Raaaa non ! Penses pas à ça !
Il cherchait encore lorsque le grappin lâcha.
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Du romantisme…
― Comment t'appelles-tu ?
― C'est à vous de voir. Vous êtes la seule à reconnaître mon existence après tout. Vous me voyez. Vous me parlez. Donnez-moi le nom qui vous plaira.
L'inspectrice fut déstabilisée par cette réponse à la fois lyrique et sincère.
― Kuroashi ?
Il lui sembla que l'ombre eut un sourire.
― Très bien. A vos yeux, je serais donc Kuroashi. Je ne l'oublierais pas.
Il lui souffla un baiser et disparut dans la nuit avant qu'elle n'ait pu faire un geste.
Ce qu'elle ne sut jamais, c'est qu'à l'autre bout du toit, il se prit les pieds dans la gouttière et se rétama lamentablement au sol.
― AÏÏÏE ! Qui a mit cette putain de gouttière là ?
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Des combats légendaires…
Contre une tronçonneuse, Kuroashi ne pouvait pas faire grand-chose. Ses jambes ne faisaient pas le poids face à ça. Les gadgets d'Usopp et Franky… Il n'y penserait même pas.
C'est pourquoi, dans un geste désespéré, il ouvrit la première porte venue et en extirpa le premier objet qui était à sa portée. Il fut assez désappointé par le résultat.
― Évidement, sur toutes les salles de ce fichu manoir, fallait que je tombe sur le placard à balais… Reste à savoir si le combat devient équitable avec cette serpillère.
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Les critiques sont unanimes...
"Cette série décoifferait un chauve" The Bald
"..." The Neutral
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Bientôt dans vos chaumières…
Le Gentilhomme et le Félin
Chaque Samedi !
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― Pour la dernière fois, rends-moi ce briquet !
― Ah non, on a plus le temps, là ! La série va bientôt commencer et j'en ai besoin.
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Voilàààà ! Vous aurez donc le premier épisode (qui est plus une sorte de prologue) Samedi, promis ! Ce que vous avez eu là sont des extraits qui seront présent dans la fiction. Pas d'inquiétude, je n'ai pas épuisé mon stock de bonnes idées.
Je sais, je sais, vous vous demandez "mais elle débloque où quoi celle là ?" Vous en faites pas, ça c'est juste pour vous appâtez [Tentative désespérée *BAF*]
Vous pourrez vous faire une bonne opinion Samedi. Attendez deux jours avant de jugez, vous ne devriez pas trop le regretter mais bon.. Dans tout bon film/série/whatever on nous fait languir avant de découvrir le résultat.
Je reviens le temps d'une page de pub les amis, ne vous en faites pas ! Si vous voulez commenter cette B.A. [les impressions surtout parce là c'est ri-di-cule*BAF*] vous gênez pas !