Bonjour ! Voici le lemon tant attendu, si si
J'ai mis un moment à l'écrire, changeant tous les passages, y réfléchissant toute la nuit (ok, ça c'est pas vraiment du travail). Bref, j'espère qu'il vous plaira !
réponses aux reviews :
Christigui : j'ai mis un peu de temps, mais le voilà !
Elinoa : Merci pour ton commentaire ! J'espère que ça te plaira toujours autant
FullmoonMArvex : la suite, c'est tout de suite
Il ne restera plus qu'un épilogue après ceci, et c'est mon premier lemon alors soyez indulgents
bonne lecture !
Chapitre 6
Sanji était resté toute l'après-midi perturbé par sa discussion avec Zoro. Le comportement de Zoro le rassurait sur ses sentiments, il pourrait peut-être lui avouer. D'un autre coté, ça l'inquiétait. Le bretteur lui avait parlé comme a une proie, une véritable bête. Et si il se moquait de lui ? Juste pour le faire avouer ? Le marimo était stupide mais quand même pas à ce point, si ? Bref, Sanji était perturbé. Mais un sourire idiot ne l'avait pas quitté depuis ce moment. Il se donna une baffe mentale, il avait l'air con ainsi et il devait avoir bonne allure pour ses magnifique déesses. Au soir il prépara, comme à son habitude un succulent repas. Préparé plein de grâce et de décorations subtiles. Le tout fut englouti en moins de 2 minutes par le gouffre sans fond qu'est Luffy.
- Eh bretteur de mes deux, tu restes pour faire la vaisselle !
- Et pourquoi moi, face de citron ?
- Parce que c'est toi qui a apporté les emmerdes tantôt ! Alors tu t'actives maintenant
Zoro fit un soupir bruyant mais il lança un regard complice à Sanji que seul celui-ci pouvait comprendre. Il était bien décidé à ce qu'il avoue tout. Quand tout le monde fut parti de la cuisine, ils se retrouvaient à deux.
- Alors, qu'est-ce que tu as à me faire laver, love-cook ?
- Que dalle, tu casserais tout avec tes grosses paluches
- Pfeuh, j'ai pas de raison de rester alors
Sanji n'avait pas prévu ça, il pensait que le marimo se serait jeté sur lui comme une bête féroce en comprenant pourquoi il le gardait dans la cuisine. Mais non, Zoro était décidé à avoir ses aveux, coûte que coûte. Sanji se dirigea vers la porte et ferma le loquet.
- tu sais que je peux la rouvrir de ce coté-ci ? Demanda Zoro
- Faudra me passer sur le corps !
- C'est une proposition ? Demanda Zoro, un sourire en coin sur les lèvres
Sanji rougit sur le coup, mais se reprit vite. La référence n'était pas voulue. Mais il était décidé à aller jusqu'au bout.
- Pourquoi pas ?
- Alors il me faut toujours la réponse de tout à l'heure
Le bretteur s'approcha du cuisinier et mis sa main sur la porte, à deux centimètres du visage de Sanji. Il rapprocha son propre visage.
- Alors ?
Sanji n'arrivait pas à répondre, c'était plus fort que lui. Mais il ne pouvait plus bouger non plus, cette odeur, ces lèvres qui l'appelaient, il voulait que ce moment dure une éternité. Zoro l'embrassa dans le coup et lui mordilla le lobe de l'oreille.
- Alors ? Susurra-t-il
Sa main gauche avait quitté la porte pour passer sous la chemise du blondinet, tandis que sa main droit allait caresser ses fesses. Il jubilait intérieurement, voir Sanji rougir, ses lèvres tremblantes de désir, sa peau hérissant à son contact l'excitait de plus en plus. Et d'ailleurs le cuistot aussi vu la bosse de son pantalon. Il lui mordit tendrement la clavicule tout en caressant ses tétons.
- Alors ?
- Zoro ..., Gémit Sanji
Le sus-nommé releva la tête, lui fit un sourire.
- ça suffira comme réponse
Il ramena sa main droite sous le cou de Sanji et le rapprocha pour l'embrasser passionnément. Sanji répondit directement au baiser. Ils s'embrassaient depuis un moment quand le cuistot décida qu'il en avait un peu marre de passer pour la poupée docile. Il repoussa Zoro sur la table qui se trouvait derrière et se mit sur lui. Il mordilla les lèvres du bretteur tout en allant à son tour explorer le torse de son nouvel amant. Très vite il voulait plus et retira d'un coup sec le t-shirt de Zoro. De son coté, l'homme aux cheveux vert embrassait fougueusement celui aux cheveux blonds et ses caresses se faisaient de plus en plus insistantes, surtout au niveau des fesses. Il arracha la chemise du blondinet, cassant un ou deux boutons au passage. Devant la grimace du cuistot, il en profita pour se tourner et se remettre au-dessus de lui. Sanji essayait de le repousser mais Zoro n'hésitais pas à le forcer à rester en bas, attrapant ses poignets pour les bloquer. Le blond avait beau essayer de se défendre pour retourner au-dessus, au fond il aimait ça. De sa main libre, Zoro retira le pantalon et le caleçon de Sanji. Le sourire carnassier du bretteur fit froid dans le dos du cuistot. Il s'apprêtait à envoyer un coup de pied quand une vague de plaisir l'envahissa. Le marimo venait de mettre sa virilité en bouche, et il avait l'air vachement doué. Il serrait et desserrait sa mâchoire en faisant des vas-et-vient, et ça fonctionnait bien, trop bien même. Sanji tremblait de tous ses membres et gémissait. Zoro avait laché ses poignets mais il ne savait plus rien faire avec, bloqué par le plaisir qu'il ressentait. Très vite il se sentit venir.
- Je ... Je vais ... Zoro ...
Celui-ci avala la semence de son partenaire, se léchant les babines et encore plus envieux de continuer. L'attitude de Sanji l'avait particulièrement excité. Celui-ci était gêné d'avoir éjaculé aussi vite. Mais ça ne semblait déranger nullement son amant qui avait retiré son pantalon et qui continuait à l'embrasser dans le cou. Le blond se remit à caresser son partenaire, profitant de chaque parcelle de son corps mis à découvert. Alors qu'il commençait à caresser son érection, il sentit un doigt caresser son anus. Il se raidit, il n'avait pas pensé à ça... Il essayait de repousser Zoro pour revenir au-dessus, ce que le vert le laissa faire, sans pour autant abandonner son idée. Sanji voulait lui dire d'arrêter mais la sensation commençait à l'enivrer. Finalement, il décida de se laisser faire, mais il aurait sa revanche un jour. Le doigt entra, puis un deuxième. Chacun d'eux faisaient une petite douleur mais ça passait vite. Il avait quand même peur au vu de la taille de l'engin de son partenaire.
Les deux amants s'embrassaient de plus en plus violemment, se battant d'une nouvelle manière. Ils se griffaient, se mordaient. Les caresses étaient de plus en plus insistantes et Sanji commençait à prendre du plaisir de cette infraction dans son intimité. Couchés sur la table, le blond s'était assis sur Zoro. Ce dernier choppa de l'huile d'olive qui traînait là, sous le regard étonné de Sanji qui comprit vite l'idée de son compagnon. C'était quand même de l'huile d'olive extra vierge paradoxalement à ce qu'ils allaient faire, il était un peu triste d'utiliser ce produit pour ça. Mais comme pour la chemise, il y pensera plus tard. Durant ces réflexions monétaires, Zoro s'était enduit le pénis et l'anus de son compagnon d'huile sans aucun soucis pour la rareté de celle-ci. Il recommença à caresser (griffer et mordre) son partenaire. Sanji profitait bien de chaque muscles saillant qui se trouvait à sa portée.
Enfin, Zoro commença à pénétrer le blond, doucement, en le laissant au-dessus pour aller à son rythme. Sanji se crispa instantanément, mais ne manqua pas de remarquer que Zoro pouvait avoir du tact pour cette situation là. Il se décontracta assez vite, les bienfaits de bonnes caresses, et se mit en mouvement. L'effet étrange commençait à passer pour donner de vives bouffées de plaisir. Il augmenta le rythme. Zoro prenant ça pour un signal, repris son air de tueur sanguinaire et se tourna se remettant sur Sanji. Ayant dépassés la table, ils se trouvaient au sol mais peu importe. Il prit un rythme effréné, ravi de faire jouir son blondinet. Sanji essayait encore de caresser et griffer son compagnon mais le plaisir l'emporta, l'empêchant de bouger excepté pour les mouvements de bassins. Il sentait de l'électricité dans tout son corps. Zoro prenait un malin plaisir à voir son partenaire perdre la raison et en profitait pour augmenter encore l'allure, accompagnant ses coups de bassin par des caresses sur la virilité de Sanji qui s'était à nouveau réveillée. Les mouvements de bassins du blond et les contractions de son corps empêchaient Zoro de rester concentré et ses mouvements devenaient de plus en plus saccadés, à la recherche du plaisir. Ils jouirent ensemble. L'un dans le corps de l'autre, l'autre dans les mains de l'un. Zoro se coucha sur Sanji, sans se retirer, pour en profiter encore un peu.
Au bout de plusieurs minutes où ils reprenaient leur souffle, le bretteur se retira enfin. Il trouva directement les paroles romantiques à dire.
- T'es dégueu love-cook, tu m'en as mis partout
- Oh ta gueule, t'aurais pu te retenir, t'as tellement griffé qu'on dirait que j'ai joué avec un léopard, en moins mignon
Ils disaient ça en souriant et en se faisant de derniers baisers.
- Allez ramène-toi sourcil-en-vrille, on va prendre une douche
- Ouais,et tu me devras une chemise et de l'huile d'olive extra-vierge