Voici le deuxième chapitre et dernier de Hantise.

Je tiens quand même à préciser que même si c'est un R27, il n'est pas très poussé. Je trouve qu'un lemon ici aurait été de trop.

Enfin bon, j'espère que ça vous plaira !

Bonne lecture ~

Haha8D : Merci pour ton commentaire ! Toi aussi tu sautille quand tu aimes quelques chose, même si c'est super triste ? ^.^ Bonne nouvelle pour moi, je me sens moins seule maintenant xD. J'espère que ce chapitre te plaira aussi.

nathalie : Nyahou ~ Merci ! Est-ce que c'est normal d'écrire des trucs tristes quand je suis joyeuse ? Nan parce que je me pose la question... Enfin, bref ! Bonne lecture.

Merci aussi à Reborn Generation, Tenshirangelis.

Je vous n'aime ! 3


Hantise

Chapitre 2 - Remonter la pente.

Un mois. Cela faisait un mois que Tsuna était à l'hôpital. Et l'état de son entourage ne faisait que se dégrader. Nana semblait avoir de plus en plus de mal à sourire.

Reborn était inquiet et furieux. Surtout furieux en fait.

Contre le monde. Contre son impuissance. Mais surtout, contre Tsunayoshi.

Il lui en voulait de faire souffrir ainsi sa mère. De ne pas essayer de s'en sortir. Il ne comprenait pas son refus de vivre. Qu'est-ce qui pouvait l'avoir dégoûté au point où il ne voulait plus rester sur terre ? Pourquoi n'avait-il pas essayé d'en parler ?

Il ne comprenait toujours pas, malgré ce qui s'était passé. Et ça le rendait fou de rage. Reborn voulait des réponses. Tout de suite.

C'était dans cet état d'esprit que le mafieux se dirigea vers l'hôpital, d'un pas décidé. Pour une fois, la colère l'empêchait de se morfondre. Il n'en pouvait plus de cette situation, et il savait qu'il s'en voudrait toute sa vie s'il ne tentait rien.

Il salua à peine les infirmières, se contentant de pousser la porte de la chambre 502.

Deux yeux ambre se tournèrent vers lui.

Vides.

Il frissonna.

...

- Qu'est-ce que tu dessines Fuûta ? demanda doucement Nana avec un sourire fatigué.

Il se tourna vers elle en souriant.

- Tsuna-nii ! Il lui montra le dessin qu'il avait fait, représentant Tsunayoshi, un sourire chaleureux inscrit sur son visage.

Le sourire de Nana faiblit légèrement, plus douloureux. Elle réussit cependant à le féliciter sans éclater en sanglots.

- Tsuna-nii sourira de nouveau, ajouta Fuûta, il a promis d'être toujours là pour nous. Et il tient toujours ses promesses.

L'innocence d'un enfant. Sa confiance naïve.

Dans certains cas, amusant. Dans d'autres, exaspérant ou attendrissant. Dans celui-ci, cette innocence ne fit que déchirer un peu plus le cœur de Nana Sawada.

Les adultes ne veulent pas penser au pire, mais ils savent ce qu'il en est réellement. Et à ce moment, la femme ne pu que se dire que son Tsu-kun ne tiendrait pas sa promesse cette fois.

Elle s'effondra au sol.

Tsuna tu es un menteur...

Elle aurait tellement voulue être encore un enfant. Pour croire qu'il allait redevenir comme avant. Pour avoir confiance en lui, encore un peu plus.

Pour pouvoir encore croire aux miracles.

...

Reborn resta quelques instants bloqué sur les ambres vides qui le fixaient. Jusqu'à ce que l'adolescent ne détourne les yeux. Il pût respirer de nouveau, ce qu'il fit avidement.

Il ne savait pas s'il se sentait capable d'affronter ce regard plus longtemps...

Il se gifla intérieurement. Non, il ne devait pas abandonner. Pour Nana. Pour retrouver cet adolescent qu'il aimait un peu trop.

- Dame-tsuna.

Aucune réponse.

Il retenta l'expérience mais ne reçu pas plus de réponse.

Certaines personnes auraient été découragées par ce manque de réaction, mais Reborn était complètement différent. Il n'aimait pas être ignoré. Pas du tout.

Il s'approcha rapidement de l'adolescent et le prit brusquement par les épaules, de manière à le tourner face à lui.

" N'essayez pas de le secouer. On ne sait pas quels pourraient êtres les effets secondaires."

A quoi bon écouter ce que disait le médecin ? Puisqu'en ne faisant que parler, il n'y avait aucun progrès, alors autant utiliser la manière forte. Cela ne pouvait pas être pire que cette indifférence.

- Regardes moi, ordonna-t-il.

Les yeux se posèrent sur un point derrière lui et ne s'en détournèrent plus. Cela l'énerva. Il lui empoigna fermement le menton et planta ses yeux dans les siens.

- Regardes moi, tenta-t-il de nouveau.

Encore une fois les yeux se détournèrent des siens. Glissant sur lui, comme s'il n'existait pas. Il fronça des sourcils et l'empoigna plus fermement. Il n'aimait pas l'impression qu'on lui tordait l'estomac. Regardes-moi.

- Regardes-moi, ces mots étaient dit avec une froideur qu'il n'avait jamais utilisé contre l'adolescent. C'était le ton qu'il utilisait lorsqu'il était en mission.

L'adolescent sursauta, reprenant contact avec la réalité. Puis ses yeux rencontrèrent ceux noir glacés de Reborn. Il sursauta de nouveau avant de se défaire d'un mouvement rapide de son emprise. Tsunayoshi se replaça dans sa position initiale au plus grand désespoir de Reborn.

- Dame-Tsuna ! Sa voix était ferme. Aucune réponse. Oy, Tsunaze ne m'ignore pas ! Il se rapprocha, le secouant légèrement. En vain, il semblait repartit dans son monde. Tsunaze ! Il recommença, d'un ton plus désespéré. Il le prit par les épaules, le secouant plus violemment. Regardes-moi ! Ce n'était plus un ordre, mais une supplication désespérée. La tête du châtain partait d'avant en arrière, sans pour autant qu'il ne cherche à la retenir, tel un pantin désarticulé.

Les infirmières arrivèrent à ce moment-là. Tombant sur le spectacle d'un Reborn ayant perdu la tête, le secouant de toutes ses forces. Elles essayèrent de lui faire reprendre raison, mais en vain. Il était devenu fou de douleur.

Tout mais pas l'indifférence.

Ils durent littéralement l'arracher à l'adolescent, s'y mettant à plusieurs. Cependant, même séparé, il continua de se débattre, sa voix éraillé d'avoir trop supplié.

- Tsunayoshi !

Une dernière supplique. Celle de la personne au bord du gouffre.

Celle qui sous-entendait : Tu es tout pour moi... Alors je t'en prie, ne m'abandonne pas.

La porte se referma sans un bruit.

Laissant la chambre de nouveau silencieuse.

...

Le psychologue traversa d'un pas pressé les couloirs de l'hôpital. Un soupir lui échappa. Il avait eu vent des évènements de la matinée, aussi se dirigeait-il vers la chambre de son patient. Chambre 502.

Il ne savait quels allaient être les effets secondaires dû au choc. Cependant, même s'il en était très contrarié, il pouvait comprendre ce qui avait animé cet homme. Le désespoir.

Il poussa doucement la porte de la chambre, observant de loin son patient. Celui-ci ne tourna même pas la tête dans sa direction. Il semblait comme à l'ordinaire, mais il ne pouvait encore rien conclure.

Le psychologue s'avança d'un pas léger, prenant une chaise et se plaçant près du lit de l'adolescent.

- Bonjour Tsunayoshi, comment vas-tu aujourd'hui ? Il marqua une pause. J'ai entendu dire que tu avais reçu la visite d'un ami ce matin, et que cela ne s'était pas très bien passé. Voudrais-tu m'en parler ?

Il ne reçu pas plus de réaction que les séances des mois précédents. Aucun tressaillement, aucun mouvement qui prouverait qu'il écoutait ce qu'il disait. Rien qui ne prouvait que l'évènement l'ait touché, ne serait-ce qu'un peu.

Il continua à en parler durant une demi-heure. Mais voyant qu'il n'avancerait pas plus ce jour-ci, il décida de prendre congé.

Jusqu'à ce qu'il remarque de petites tâches sombres sur les draps blancs du lit. Prit d'un doute, il contourna le lit, se plaçant face au visage du plus jeune.

Et quelle ne fût pas sa surprise en voyant le spectacle qui l'attendait.

Tsunayoshi avait enfin une réaction, après plus d'un mois, d'indifférence.

Ses traits ne bougeaient pas, figés en un masque d'indifférence. Mais les larmes dégoulinaient sur ses joues en de longs sillons humides. Coulant jusque dans son cou, puis tombant en petites gouttes sur les draps.

Tsunayoshi pleurait.

Tout n'était pas encore perdu.

C'était douloureux. Bien plus que ce qu'il avait ressentit jusque-là.

« Tsunayoshi ! »

Son prénom, hurlé de manière désespérée. Pourtant, Reborn était connu pour être l'image de la froideur en toutes circonstances. Mais pas cette fois-là.

Il avait semblé sur le point de pleurer.

Et ce constat, n'avait fait que rendre Tsunayoshi malade. Il se dégoûtait. Comment pouvait-il faire souffrir autant son entourage ? Sa mère, les enfants, ses amis et Reborn… Il s'en voulait horriblement.

Il avait honte.

« Pardonnez-moi. »

Il ne méritait pas tant d'amour.

« Tout le monde ».

Mais… Avait-il droit à une seconde chance ?

Il voulait se faire pardonner. Et, peut-être essayer de passer à autre chose. Seulement, en avait-il encore le droit ? Pouvait-il encore leur demander de lui faire confiance ?

Byakuran.

Il frissonna violemment mais n'essaya pas de penser à autre chose. Au contraire, il se laissa envahir par ses souvenirs et ses sentiments.

Ce n'était plus ce sentiment d'amour qui lui revenait désormais en mémoire. C'était le visage désespéré de Reborn, sa voix éraillée et surtout… sa main tendue.

Il aurait tellement voulu avoir le courage de l'attraper…

Reborn errait telle une âme en peine dans l'hôpital. Certaines infirmières le regardaient passer d'un mauvais œil, chuchotant sur son passage. La rumeur de ce qu'il avait fait quelques heures plus tôt, s'était propagée à toute vitesse. Mais il ne pouvait pas leur en vouloir, il avait été tellement désespéré qu'il en avait perdu le contrôle.

Pris dans ses pensées, il ne remarqua pas la jeune infirmière en face de lui. Ils se heurtèrent brutalement.

- Excusez-moi…

Il lui tendit une main secourable qu'elle se contenta d'ignorer. Il l'observa plus attentivement et eu un déclic : c'était l'une des infirmières qui avait essayé de le calmer. Il se sentit un peu coupable en avisant le bleu sur son avant-bras. Il n'avait pas pour habitude de toucher à une femme. Sa tête se baissa légèrement de honte.

Elle allait repartir comme si de rien n'était, mais elle se stoppa subitement, comme bloquée. Elle se tourna légèrement vers lui.

- Vous ne devriez pas abandonner…

Il releva la tête.

- Je suis sûre que vos sentiments finiront par l'atteindre !

Elle lui sourit chaleureusement et repartit tranquillement.

Espoir.

Cette femme était bien plus jeune que lui, pourtant, avec une facilité déconcertante, elle avait réussie à faire disparaître tous ses doutes.

Il sourit, soulagé.

« Merci »

La jeune femme sourit doucement lorsque le vent lui apporta le son d'une voix rauque, aux accents reconnaissants.

Reborn restait là, debout devant la porte de la chambre 502. Il ne savait pas pourquoi, finalement il était revenu. Tout sentiment de soulagement s'était envolé, à l'approche de la chambre. C'était trop dur. En découvrant l'indifférence derrière cette porte, il allait encore souffrir. Alors pourquoi ? Pourquoi ne pouvait-il pas s'empêcher d'espérer ? Il n'était plus un enfant. Les miracles n'existaient pas, il en avait eu de nombreux exemples. Et cette-fois ne ferait pas exception à la règle.

Mais l'espoir n'est pas un sentiment que l'on peut contrôler, comme l'amour ou la colère. Et même si l'on sait que tout espoir est vain, que rien ne changera la situation actuelle on souhaite. On supplie. On espère. De tout son cœur.

Que tout ira bien, encore une fois.

Il ouvrit doucement la porte.

Gokudera regardait le ciel bleu d'un air morne. Il ne ressentait plus rien à part la tristesse. Il n'avait rien pu faire pour son Juudaïme-non…Tsuna . Il ne méritait pas d'être son bras droit. A quoi bon ? Il était la tempête. Il ne pouvait pas exister sans ciel. Désormais, il n'avait plus aucune utilité.

Un soupir lui échappa.

Il ne prit même pas la peine de grogner après Yamamoto qui arrivait, s'asseyant à ses côtés. Il n'avait plus envie de rien faire, à part rester là et attendre. Attendre la fin de cette journée de malheur. Partir se coucher, accueillant ainsi le sommeil qui lui ferait oublier durant quelques petites heures la douleur dans sa poitrine. Puis, au matin se réveiller. Et prendre conscience de la dure réalité.

Le ciel n'était plus.

Il ne repoussa pas le bras du baseballeur qui passait autour de ses épaules. Au contraire il s'appuya un peu plus contre lui.

Il n'y eu aucun mot de prononcé. Ils n'en avaient pas besoin. Chacun ressentait la même chose.

Qu'allaient-ils devenir s'il n'y avait plus de ciel ?

Chrome restait là, à fixer le ciel bleu. Même Ken et Chikusa n'osaient pas la déranger.

Mukuro regardait lui aussi, à travers elle, cette étendue bleu.

En silence.

Kyoya balança son ennemi au loin, qui s'affala au sol, inconscient. Un grognement d'agacement lui échappa. Si faibles…

Il se tourna vers le quelques racailles restantes, un sourire mauvais sur les lèvres.

- Je vais vous mordre à mort.

Il fondit sur eux, et en quelques minutes seulement, il ne resta plus aucun adversaire. Il avisa le massacre qu'il venait de faire et partit rapidement. Il rejoignit ses subordonnés qui l'attendaient silencieusement.

- Partons.

Il jeta un bref regard vers le ciel.

Ryohei courrait sans s'arrêter. Depuis plusieurs heures.

Comme s'il essayait de rattraper quelque chose.

Implacable, sous les yeux inquiets et tristes de sa sœur, il continuait de courir.

Fixant son regard sur l'horizon bleu.

Reborn entra doucement dans la chambre 502.

Il voulait juste… Que voulait-il, en réalité ? Revoir une dernière fois un sourire sur les lèvres de l'adolescent sentir sa douce et chaleureuse aura l'englober. Retrouver cette flamme orange au fond de ses yeux.

Il releva les yeux, qu'il avait jusque-là gardés rivés sur ses pieds.

Tsuna le regardait d'un air impassible. Aucun trait de son visage ne laissait entrevoir de sentiment.

Mais lorsqu'il plongea ses yeux au fond des siens, il ne pu que y lire souffrance, culpabilité et tristesse. Ainsi qu'une étincelle.

Il se précipita vers lui et le prit dans ses bras. Après quelques instants, il sentit deux bras se refermer autour de lui, et le petit corps se mettre à trembler.

Il embrassa affectueusement ses cheveux.

« Tu es enfin de retour. »

Tsunayoshi éclata en sanglots.

Il pleurait, ses larmes continuant inlassablement de s'écouler. Il se libérait enfin de son chagrin trop longtemps contenu.

- Re..Reborn…

Il répétait sans cesse son prénom. S'assurant qu'il était bien là qu'il n'allait pas l'abandonner. Et Reborn, répondait à chaque fois la même chose.

- Je suis là, d'un ton rassurant. C'est finit.

- Je- je suis désolé…

Reborn ne lui en voulait pas. Quoi qu'il ait pu se passer, désormais cela n'avait plus d'importance. Il lui remonta doucement le menton, plongeant ses yeux dans ceux, baignés de larmes, de son élève.

« Je veux vivre. »

Il se pencha, cueillant doucement ses lèvres contre les siennes.

C'était une promesse. Celle de jours meilleurs.

Les larmes de l'adolescent ne se tarirent pas, bien au contraire.

- Nous ne te jugeons pas.

Il comprenait enfin. Il était temps de faire le deuil de ses sentiments.

Tsunayoshi enlaça la main de Reborn, serrant fortement les doigts entre les siens.

Il avait enfin eu le courage d'attraper la main tendue vers lui.

Celle qui le tirait vers la surface.

Des sourires heureux lumineux accueillirent l'adolescent. Il leur répondit avec autant de joie, quoique de manière un peu plus gêné. Nana se précipita vers lui, l'enlaçant de toutes ses forces, les larmes coulant abondamment sur ses joues.

- Oh mon dieu ! Mon bébé…

Un soupir ému. Emerveillé.

Ce n'était pas un rêve. Tsunayoshi était de retour.

Gokudera s'agenouilla face à son Juudaïme. Yamamoto passa un bras autour de ses épaules.

- Bon retour, herbivore. Hibari repartit rapidement, telle une ombre.

- Bienvenue à l'EXTREME !

- Bonjour boss…

- Tsuna-nii, regardes le dessin que j'ai fait pour toi.

L'adolescent se pencha doucement, prenant le dessin. Il posa un baiser sur le front du petit garçon en remerciement.

- Merci, il est très beau.

Nana frappa joyeusement des mains, un sourire éclatant sur les lèvres.

- Ah là là, il faut que je prépare à manger ! Et elle fit demi-tour, se dirigeant vers la cuisine. Elle fût rapidement suivit de Chrome, puis du reste des adolescents.

Une fois seul avec Reborn, Tsuna laissa son sourire se faner, laissant place à une grimace de culpabilité. Il les avait tant fait souffrir… Le bras du mafieux encercla sa taille de manière ferme.

- Arrêtes de te prendre la tête. Personne ne t'en veut.

Il l'embrassa rapidement puis partit à la suite des autres.

Les joues de l'adolescent rougirent tandis qu'un doux sourire prenait place sur ses lèvres.

C'était finit.

Il releva la tête, contemplant longuement le ciel bleu.

Byakuran

Ce n'était plus avec peur et dégoût qu'il disait ce prénom. C'était désormais avec acceptation.

Il avait trouvé quelqu'un d'autre à aimer.

Il n'avait plus besoin d'avoir peur. Reborn était là. Il l'acceptait sans le juger.

Il se dirigea à son tour vers la cuisine.

C'était un nouveau départ. Le beau temps après la tempête.

Le ciel venait de renaître de ses cendres…

...

Fuûta tira sur la manche de la mama. Lorsqu'elle se tourna vers lui, interrogatrice, il lui sourit de toutes ses dents.

- Tsuna n'es pas un menteur…

Il tourna la tête vers l'adolescent qui venait d'entrer.

- Et puis, on sait tous qu'il faut s'attendre à un miracle lorsqu'il est là !

Le petit garçon repartit comme si de rien n'était.

Nana posa son regard sur son fils, songeuse. Leurs regards se croisèrent.

Une étincelle orange.

- Hum, Tsu-kun revient toujours à la maison…


Voilà, c'est finit.

Je voulais juste décrire la renaissance du ciel.

Cela prendra du temps, pour que toutes les cicatrices se referment, mais cela, je ne tenais pas à l'écrire.

Pour moi, on doit s'arrêter au moment où enfin Tsuna se dit : "Je veux essayer une dernière fois".

Car c'est une parcelle de sa vie qui se finit. Il tourne enfin la page...

L'étincelle redeviendra flamme.


Merci de m'avoir lue :D

J'espère vraiment que ça vous avez aimé !

~ Mad'