Pairing: Robb Stark / Jon Snow
Rating : MA
Warning : Yaoi / Inceste / Explicite
Disclaimer : Tous les personnages appartiennent à R. R. Martin.
Petite fic dont le seul but est le SEXE ! Je n'ai pas encore lu au-delà du tome 2 donc si jamais vous me laissez des reviews (ce qui serait adorable), merci de ne pas me spoiler la suite ! Dans cette fic il n'y a aucun spoil au-delà du tome 1.
Ch. 1 :
La famille royale et les Stark s'étaient retirés depuis longtemps dans leurs quartiers, mais la fête continuait de battre son plein dans le hall du château de Winterfell. Assis dans son lit, Robb entendait les acclamations rythmées de la foule qui accompagnaient sans doute quelque danse ou spectacle. S'il tendait l'oreille, il pouvait également distinguer le chant d'un luth qui jouait une ballade qu'il connaissait mais dont les paroles lui échappaient, les hennissements effrayés des chevaux qui se mêlaient aux jappements joyeux de Nymeria – qui s'était apparemment encore une fois échappée de la surveillance d'Arya pour embêter les bêtes – et aussi d'autres sons plus étouffés, plus secrets, parfois entrecoupés d'un bref gémissement de passion.
Ces derniers bruits étaient les pires.
Il inspira longuement, s'astreignant à garder son calme, et écouta une nouvelle fois les bruits du château, essayant de se concentrer sur ceux les plus proches de sa chambre. Un grattement discret à sa porte le fit sursauter.
'Enfin !'
Mais quand il ouvrit la porte, il ne vit que Grey Wind. Le loup semblait d'humeur festive, comme le reste du château, et d'un bond posa ses deux pattes avant sur les épaules de son maître avant de lui donner un grand coup de langue affectueux sur le visage. Puis il se mit à sautiller autour de son maître, exprimant son désir manifeste de jouer malgré l'heure tardive.
-Ca suffit ! Couche toi ou va t'amuser ailleurs, je ne suis pas d'humeur ce soir !
Le loup s'immobilisa immédiatement mais sans s'allonger ni partir. Robb avait l'impression que ses yeux étaient pleins de reproche, et il regretta aussitôt de s'être emporté.
-Désolé, je suis énervé mais ce n'est pas ta faute...
Il se tourna vers la porte de sa chambre, toujours ouverte, et ne vit qu'un couloir vide. Prenant enfin une décision, il enfila rapidement de quoi se couvrir un peu.
-Je me rattraperai auprès de toi demain, d'accord ? Là, il faut vraiment que je te laisse.
Il caressa brièvement Grey Wind derrière ses oreilles et sortit à grands pas de sa chambre. Il entendait toujours les clameurs de la fête provenant du grand hall, mais aucun badaud ne s'était aventuré jusque dans cette aile du château et il ne rencontra personne sur son chemin. Enfin, il s'arrêta devant une porte, frappa quelques coups et entra sans attendre qu'on lui répondit.
Son frère sursauta en l'entendant entrer.
- Robb !
Le fils aîné des Stark prit le temps d'observer son bâtard de frère avant de répondre. Il portait encore les vêtements tachés de vin qu'il avait au banquet, et n'avait même pas enlevé ses chaussures avant de s'allonger sur son lit. Ses longs cheveux noirs étaient en pagaille, et son visage rouge d'avoir trop bu. Ou d'avoir pleuré ? se demanda silencieusement Robb en remarquant les yeux humides de son frère. S'il avait laissé coulé des larmes, il s'était en tout cas repris et fixait son aîné d'un regard boudeur, visiblement mécontent de le voir.
-Jon.
La voix de Robb n'avait été qu'un murmure, bien que l'épaisseur des murs les protégeât complètement des oreilles indiscrètes.
-Je t'attendais, continua-t-il.
Il n'avait pas besoin d'en dire plus, son corps tendu et son regard à la fois accusateur et inquiet exprimaient toutes ses questions, et Jon y répondit en baissant les yeux.
-Je n'avais pas envie de te voir.
Un silence, puis :
-Pourquoi ?
-...
-Tu veux que je sorte ?
Jon leva brusquement sa tête, une expression d'horreur sur le visage. Il se reprit rapidement et bégaya un vague 'oui', mais Robb passa outre et prit place sur le lit au dessus du brun, les genoux de part et d'autre de ses hanches, les mains à plat sur le lit autour de sa tête, et le visage à quelques centimètres de celui de son frère.
-Tu veux vraiment que je m'en aille ?
Leurs nez se touchaient presque et leurs souffles s'entremêlaient, brûlants. Jon ne voulait pas répondre, ou alors n'avait pas entendu la question, et il se contentait de détailler chaque détail du visage de Robb comme s'il voulait les apprendre par coeur.
-Jon ! le pressa son aîné, réclamant une réponse, mais ce dernier toujours muet tourna ses yeux gris foncés vers ceux de Robb et les fixa comme on fixe une merveille ou un miracle ou un être aimé qui s'en va. Avec une émotion au-delà des mots.
Cela n'eut pour effet que d'agacer Robb. Il n'était pas un objet d'admiration silencieuse, il était un homme fait de chair et de sang dans le lit de son amant et voulait toucher et être touché, et il voulait entendre Jon gémir et lui répéter qu'il l'aimait.
Il fit glisser une de ses mains le long du corps de son frère jusqu'à son aine.
-Tu es dur, constata-t-il en pressant sa main contre le sexe du brun.
Cela tira enfin Jon de sa torpeur admirative, mais plutôt que de répondre par des mots il saisit la tête de son frère pour l'amener vers la sienne et il l'embrassa avec fougue. Robb le laissa prendre le contrôle du baiser et Jon fit glisser sa langue dans tous les recoins de sa bouche, comme pour en prendre possession, et ils ne se séparèrent que quand ils eurent besoin de respirer. Ils haletaient tous deux et aussitôt Jon se saisit de nouveau de la bouche de son frère pour sucer et mordiller sa lèvre inférieure, avant de replonger sa langue dans l'antre chaude et humide. Les pupilles dilatées par le désir, Robb le laissa faire quelques instants puis chassa Jon de sa bouche pour glisser sa propre langue entre les lèvres rougies de son frère et lui lécher avidement les dents, le palais et la langue.
Pendant qu'ils s'embrassaient, Robb avait lentement descendu son corps jusqu'à frôler celui du brun, sans toutefois s'appuyer sur lui. Il avait glissé une jambe entre celles de Jon et sa cuisse touchait le sexe du brun à travers les tissus. Jon leva son bassin pour gagner plus de friction, mais son frère lui saisit aussitôt les hanches de ses deux mains et l'empêcha de bouger.
-Pas avant que je n'aie donné ma permission.
Jon protesta et se débattit, mais Robb était plus fort que lui et il finit par renoncer. Il se laissa retomber sur le matelas, et feignant un air contrit et soumis il déclara :
-Très bien. Dans ce cas j'attendrai que tu te décides, prends tout ton temps.
Ce disant, il avait ouvert largement ses bras et relevé son menton, découvrant son torse et sa gorge dénudée, et semblait comme une vierge offerte en sacrifice, lascive et entièrement soumise à son persécuteur. Il avait également écarté ses jambes de manière provocatrice, autant qu'il le pouvait, si bien que s'ils avaient été nu Robb aurait pu le pénétrer entièrement d'un seul mouvement.
Ce spectacle ne laissa pas l'aîné des deux garçons indifférent, et alors qu'il voulait prendre le contrôle de la situation la vision de Jon étendu sous son corps, offert comme un festin, eut raison de lui. La respiration sifflante, il se hâta de défaire la tunique de son frère. Il la déboutonna rapidement et Jon l'aida à l'enlever entièrement. Le brun voulut ensuite enlever la chemise de son aîné mais ce dernier, impatient, chassa ses mains et commença à lécher la gorge puis le torse de son frère. Ses mains massaient ses flancs tandis que sa langue traçait des cercles autour d'un des tétons, et Jon glissa ses mains dans la chevelure de son frère, d'abord caressantes, puis fermes, tenant la tête de Robb contre lui comme s'il avait peur qu'il s'en aille. Ce dernier suça avidement son téton, lui arrachant un grognement de plaisir. La bouche de Robb finit par abandonner le mamelon rougi et durci mais elle fut vite remplacée par une de ses mains qui le caressa et le massa doucement tandis que sa langue traçait une ligne humide jusqu'à son autre mamelon. Les doigts, les lèvres, la langue et les dents de Robb sur son torse brûlait la peau de Jon et son sexe le faisait souffrir tant il était dur et réclamait d'être libéré de sa prison de tissu pour pouvoir se frotter contre la peau de son frère.
Robb releva la tête et, massant et pinçant sans pitié les tétons dressés de son frère de ses deux mains, alla lécher son oreille. Des courants de chaleur brûlante parcouraient le corps de Jon et descendaient jusqu'à son aine, et il dut se concentrer pour ne pas jouir immédiatement, avant même que son sexe ait été touché. Il frissonnait malgré la chaleur dégagée par leurs deux corps.
-Pourquoi n'es-tu pas venu ? Réponds ! chuchota Robb à son oreille.
Son murmure était un ordre, mais Jon y décela aussi l'inquiétude de son frère. Son corps se figea et son érection se calma un peu quand il songea de nouveau à la raison pour laquelle il n'était pas venu dans la chambre de son frère ce soir-là comme il le faisait tous les soirs depuis plusieurs mois. Dès qu'il avait pu s'échapper de la fête, il était remonté à sa chambre et s'était aussitôt écroulé sur son lit, ne voulant plus bouger, plus penser, peut-être plus respirer non plus. Il avait même cru que ce serait mieux s'il ne revoyait plus Robb, du moins pas de façon aussi intime, mais sa résolution avait cédé dès que Robb avait franchi la porte de sa chambre. Sans doute même avait-elle cédé avant. Mais même s'il se laissait emporter par sa passion une fois de plus cette nuit, et peut-être encore la nuit suivante et celle d'après, il savait que cela ne changerait rien et que bientôt...
-Réponds-moi, Jon !
Cette fois, Robb n'avait pu masquer la supplication dans ce qu'il voulait être un ordre. Mais son jeune frère se mordit la lèvre inférieure et ne dit rien, trop bouleversé et effrayé par ce que serait la réaction de Robb s'il avouait son secret. Ce dernier avait cessé ses caresses et le regardait fixement. Jon tenta de soutenir son regard, mais dut bientôt détourner la tête. Robb le saisit violemment par les épaules et lui enfonça profondément les ongles dans la peau.
-Jon ! répéta-t-il.
-Tu me fais mal.
Robb le lâcha immédiatement, et Jon voulut rattraper les mots qui lui avaient échappés, regrettant aussitôt la douleur enivrante des ongles des Robb pénétrant sa peau. Il voulait cette douleur, voulait que Robb lui fasse mal, le punisse pour ce qu'il ne lui avait pas encore avoué mais comptait faire tout en sachant que Robb s'y opposerait fermement. Mais Robb semblait avoir abandonné toute violence. Il caressa doucement les plaies que ses ongles avaient formées, et parcourut le torse et le ventre de son amant de légers baisers. C'était la première fois, depuis toutes ces nuits, que Robb se montrait aussi doux. Le plus souvent, ils faisaient l'amour avec fougue, comme les deux jeunes gens impétueux et inquiets d'être découverts qu'ils étaient. La peur d'être surpris et le tabou de l'inceste alimentaient leur impatience et leur agressivité, et leurs rencontres nocturnes avaient été aussi brèves et parfois violentes que passionnelles.
Mais cette fois, Robb était tendre et lent dans chacun de ses gestes. Sa langue semblait goûter chaque cellule de son corps et la savourer. Il embrassa chaque centimètre de son cou, de sa poitrine, des ses flancs. Jon gémissait, son corps tout entier réagissait à chacune des caresses de son frère comme jamais auparavant. Il voulait plonger son sexe dans cette bouche qui l'embrassait et le caressait et le torturait sans fin, mais se laisser dominer par son frère était comme une drogue dont il ne pouvait plus se passer et il le laissait agir comme il l'entendait, savourant pour la première fois des caresses prodiguées avec une adoration lente et tendre.
La bouche de son frère descendait doucement le long de son ventre, vers ses hanches. Soudain Robb fixa ses yeux bleus foncés dans les siens et ses lèvres enflées et rougies soufflèrent :
-Je t'aime.
Jon expira d'un coup tout l'air de ses poumons, qu'il retenait sans s'en apercevoir depuis plusieurs secondes, et ferma les yeux. Ce n'était pas la première fois que Robb lui faisait cet aveu, mais prononcés avec calme, ces quelques mots prenaient une consistance toute autre que lorsqu'ils étaient criés au sommet de leur passion. Et Jon savait que ce n'était pas qu'un aveu, mais aussi une question, presque une supplication, et Jon voulait lui répondre, lui hurler qu'il l'aimait aussi et qu'il ne devait pas s'inquiéter, ne jamais s'inquiéter, qu'il serait à lui toujours, mais il n'avait pas le droit, il n'avait plus le droit de dire ces quelques mots, aussi il se tût encore une fois, tout en se maudissant de sa lâcheté.
Il ouvrit de nouveau les paupières et le regretta aussitôt, car l'expression de Robb quand il comprit que Jon ne lui répondrait pas lui brisa le coeur. Il espéra ou eut peur que Robb ne parte à ce moment-là, il ne savait pas trop. Mais quoi qu'il eut craint, Robb n'hésita que quelques secondes avant de, lentement, défaire la ceinture de Jon. Voyant que le brun ne lui résistait pas, et lisant sans doute dans ses yeux l'amour qu'il se refusait à exprimer à haute voix, il défit son pantalon et le baissa jusqu'aux genoux.
-Arrête-moi si tu n'en as pas envie, dit Robb sur un ton de défi.
Puis il descendit sa tête jusqu'au sexe du brun et l'embrassa à travers ses sous-vêtements. Jon maudit la fine épaisseur de tissu qui le séparait encore de la bouche de son frère, mais bientôt Robb la fit glisser également le long de ses jambes et son érection, enfin libérée, se dressa fièrement vers la bouche qu'elle cherchait à atteindre. Les courants d'air froid sur son sexe tendu fit gémir le bâtard, mais ses gémissements se muèrent en un cri étouffé quand Robb lécha le sperme qui s' en échappait déjà. L'aîné des Stark suça avidement le gland de son amant, puis lécha la veine saillante le long de son sexe durci. Ses mains bloquaient de nouveau ses hanches pour l'empêcher de bouger. Jon leva le tête et vit son frère lécher son essence sur ses lèvres comme s'il savourait chaque goutte, mais quand Robb commença à prendre en bouche ses bourses il laissa retomber sa tête sur le lit et la secoua de droite à gauche en gémissant. Il voulait que son frère l'avale entièrement et le fasse jouir, mais ce dernier avait apparemment décidé de le torturer et n'accordait d'attention qu'à l'intérieur de ses cuisses, à ses poils pubiens à la base de son sexe, et un peu à son gland, sans toucher au reste de son membre au supplice.
-Robb..., supplia-t-il.
-Oui ?
Robb soufflait maintenant sur l'érection de son frère, et Jon ne put articuler d'autres mots tant il avait besoin de jouir. Son frère semblait apprécier cruellement la torture qu'il lui faisait subir.
-Dis-moi ce que tu veux. Je veux l'entendre de ta bouche, ordonna-t-il.
Son corps entier était brûlant de désir et il n'arrivait plus à penser tant il avait BESOIN d'atteindre l'orgasme, mais il parvint finalement à aligner quelques mots.
-S'il te plait...Je veux... mon sexe dans ta bouche... jouir dans ta gorge... S'IL TE PLAIT !
Un éclair de désir traversa les yeux de Robb et pendant quelques secondes il demeura muet et presque prêt à obéir immédiatement, mais il se reprit et déclara :
-Seulement si tu me dis ce que tu me caches.
'Et si tu m'avoues que tu m'aimes', lut également Jon dans son expression. Il essaya de calmer son érection, mais son sexe était plus dur qu'il n'avait jamais été, et son désir le faisait souffrir au-delà du supportable.
-Je te dirai tout si tu me fais jouir, céda-t-il.
-Non. D'abord tu parles, et après seulement je te suce jusqu'à ce que tu libères jusqu'à la dernière goutte de ton sperme.
-Fuck, Robb ! Suce moi maintenant !
-Non.
-Pourquoi ?! Je croyais que tu m'aimais, mais tu aimes juste me faire souffrir ? Salaud !
Cette remarque eut l'effet d'une gifle sur son aîné. Il chercha dans le regard de Jon s'il pensait vraiment ce qu'il venait de dire, et Jon voulut s'excuser immédiatement mais il savait qu'il ne pourrait s'excuser qu'en avouant son secret et il ne le voulait pas, pas encore, il devait retarder le plus possible le moment où il parlerait et où Robb le détesterait.
-C'est parce que je t'aime que je m'inquiète. Et je serai prêt à m'interdire toute ma vie de goûter à ton essence et à enfoncer mon sexe au plus profond de ton délicieux cul si c'était pour assurer ton bien-être. Ton silence me rend fou, Jon. Je ne sais pas ce qui t'es arrivé, ce qui te fait peur ! Père va peut-être bientôt partir avec le roi et alors je serai le Seigneur de Winterfell, censé gérer les problèmes de tout le nord du pays et d'assurer le bonheur de chaque paysan et de chaque pute de la région, mais je ne suis même pas capable d'aider mon frère ?!
-Ton demi-frère, rectifia Jon. Ton bâtard de demi-frère. Et le départ de Père n'est pas une hypothèse, c'est une certitude. Il n'a pas le choix. Il va partir bientôt, sûrement avec Sansa qui va être fiancée à Joffrey, peut-être aussi avec Arya et Bran. Mais pas avec moi, je suis un bâtard et je n'ai pas ma place à la cour.
-Mais je ne pars pas non plus ! s'exclama Robb avec ferveur, cherchant à comprendre où était le problème.
-Je sais. Ta mère aussi va rester.
Il caressa doucement la joue de son frère.
-Mais moi je vais partir.
Robb ne dit rien.
-Je vais partir avec oncle Benjen. Au Nord, sur le Mur.
-Tais-toi. Tu racontes n'importe quoi.
-Je vais protéger les Sept Couronnes des attaques des sauvages du Nord et de la menace du Roi d'au-delà du Mur.
-Tais-toi.
-Je vais prendre le noir, Robb. Je partirai dans quelques jours.
-TAIS-TOI !
Furieux et voulant à la fois se venger de Jon pour ces absurdités et l'empêcher d'en proférer de nouvelles, Robb défit avec hâte son pantalon et libéra son immense sexe tendu.
-Je ne peux pas rester, continuait Jon avec une voix suppliante comme s'il essayait de se convaincre lui-même. Ta mère...
-Tais-toi, tais-toi, tais-toi, répéta Robb en pressant son sexe contre la bouche de son frère, et Jon obéit, se tut et prit avidement la virilité offerte dans sa bouche, suçant et léchant avec désespoir, comme si c'était une sucrerie qu'il goutait pour la dernière fois, et peut-être était-ce le cas. Robb se tourna sans que son sexe quitte la bouche de son frère, afin d'avoir le corps de son amant étendu devant lui, et il massa sans tendresse la gorge de son frère tandis qu'il enfonçait son sexe aussi profondément qu'il le pouvait. Jon accepta l'intrusion sans s'étrangler, et Robb ne s'arrêta que quand ses bourses pressèrent les lèvres de son frère étendues à l'extrême. Jon aurait voulu prendre également les bourses de son frère dans sa bouche, le prendre tout entier et le clamer comme sien. Robb commença à bouger avec abandon. Il sortit presque entièrement son sexe de la gorge de son frère, puis l'enfonça de nouveau jusqu'à la racine d'un mouvement brusque. Il répéta l'action encore et encore, et Jon augmentait son plaisir en frottant sa langue et ses lèvres contre son sexe.
L'érection de Jon, qui s'était un peu calmée pendant leur discussion, était de nouveau tendue et au bord de l'explosion. Il voulut crier lorsque son aîné empala soudain sa bouche sur son sexe, et les vibrations de sa gorge se transmirent au sexe de Robb qui se tendit encore davantage. Il sentait d'après la pression des bourses de son frère sur son visage que Robb était près de l'orgasme, et lui-même ne tiendrait plus très longtemps. Sans cesser ses mouvements de va et viens dans sa bouche et dans sa gorge, Robb suçait son propre sexe, et en avalant sa salive il aspirait à chaque fois un peu plus du membre de Jon tout en créant de la friction contre sa peau, et soudain n'y tenant plus Jon libéra son sperme tandis que Robb enfonçait sa propre essence au plus profond de sa gorge. Jon eut l'impression de jouir pendant une éternité et sentait que Robb essayait de tout avaler, et enfin il retomba sur le matelas, vidé de ses forces. Robb lâcha son sexe et se retira doucement de sa bouche, et se retourna avant de s'écrouler lui aussi à côté de Jon. Jon allait s'endormir et pensa que Robb ferait de même, mais ce dernier le serra contre son torse et lui dit, d'une voix rauque :
-Tu resteras avec moi.
C'était une affirmation absurde, irrationnelle, mais elle avait un ton de promesse et malgré sa résolution Jon ne put s'empêcher de sourire alors même qu'il sombrait dans un profond sommeil.
Merci d'avoir lu, et rendez-vous au chapitre 2 pour encore plus de sexe ! 3