Titre : La déclaration
Autatrice : lasurvolte (de pseudo) ou mari (mais vous pouvez m'appelez aussi Plectrude si ça vous dit ^^)
Disclaimer : Merlin ne m'appartient pas
Genre : ficclet
Couple : napa
Thème : écoute moi, j'ai quelque chose de très important à te dire
Merlin et Arthur étaient de plus en plus proches. Si leur amitié avait mal commencé, aujourd'hui ils s'entendaient plutôt bien. Le prince aimait taquiner Merlin, se servir de lui pour des tâches ingrates, se moquer de lui également, mais il n'arriverait plus à se passer de son serviteur. Et si Merlin se lassait parfois des bêtises d'Arthur, il aimait bien lui rendre l'appareil et finalement sauver cet imbécile de prince n'était pas un si mauvais sort.
Leur rapport était devenu solide et sans doute indestructible. Encore que ce jour là, l'enchanteur eu des doutes.
En effet, Arthur et son père devait rencontrer une riche famille voisine pour des questions de politiques ou de longues amitiés, ou les deux, Merlin n'était pas vraiment sûr. Il devait seulement veiller à la sécurité du prince et parfois le blond omettait de lui expliquer tout ce qu'il faisait. Bref, donc ce jour là le sorcier s'était levé tôt pour s'occuper du prince (et de lui-même, puisqu'Arthur lui avait dégoté un costume ridicule, encore). Arthur avait insisté pour mettre son pantalon préféré et tout semblait se dérouler à merveille.
Pourtant depuis vingt minutes Merlin se tortillait dans tous les sens, rougissant un peu, et baissant souvent la tête, il faisait des gestes à Arthur mais le prince ne les comprenait pas. Finalement le sorcier prit sa décision, il fallait être direct et tout avouer au blond :
- Arthur…
- Cesse donc ton manège Merlin, tu me fatigues
- Mais...
- Si tu continues comme ça je te botte les fesses, ça me fera de l'exercice.
- Je voudrais vous dire que…
- Silence, je n'ai plus envie de t'écouter, allons-y.
Le prince commença donc à sortir de la pièce et Merlin voyait sa dernière chance lui filer sous le nez. Alors il s'écria un peu trop fort :
- Écoutez-moi, j'ai quelque chose de très important à vous dire !
Au ton, Arthur compris que son serviteur ne plaisantait pas et décida de l'écouter (pour une fois). Merlin le regarda, rougit encore plus, et décida de tout avouer le plus rapidement possible, comme cela se serait terminé :
- Arthur, vous avez un trou dans votre pantalon.
Le prince ne regretta pas d'avoir écouté Merlin et se changea immédiatement.
Peut-être un peu déçu tout de même que la déclaration n'ait pas été celle à laquelle il s'attendait.
Fin.
L'autatrice : je suis débile et j'en suis fière ahaha !