Auteure: Zanne
Note: En relisant les chapitres précédant (ainsi que DGM) j'ai remarqué que les perso était pas mal OC (surtout kanda... et Lavi... et Allen, tout les perso, quoi!)) donc je vais essayer de changer progressivement ça, tout en insérant le couple (que j'ai pas encore décidé. Oui je sais, je suis mal partit ^^") J'hésite entre Yullen et laven... hmm, que choisir?
Ah oui! Le chapitre va être centré sur Zanne et non Allen mais je vous promet que ça reviendra au maudit tantôt!
Sur ce bonne lecture!
"- Z.. Zanne?! Qu'est-ce que tu fabriques ici?
- J'étais venu pour tuer, répondit le plus sérieusement du monde ladite Zanne.
- J'étais?"
La fille s'avança et se plaça derrière Allen.
- Oui, un Noé a parlé de poker avec votre ami ici présent.
Kanda resta impassible, contrairement Lavi, qui fit littéralement un crise cardiaque.
- QUOI?! Un Noé était ici?! s'écria Lavi, oubliant le fait même qu'elle venait de leur déclaré qu'elle tuerait Allen.
- C'est la preuve même que c'est un crétin... Même pas capable de tuer quelqu'un! fit Kanda, un aura obscurs l'entourant.
Des regards noirs fusèrent de la part du maudit, mais il décida de ne pas répliquer... Pour cette fois-ci.
- Et qu'est-ce que ça fais que quelqu'un parle de poker avec moi? demanda le blandinet.
Zanne rit, comme si elle avait affaire à des enfants impertinent. Elle tourna ensuite autour des trois garçons, les main croisé dans le dos. La brune s'arrêta devant Kanda, qui la regardait depuis le début, se méfiant de cette femme.
Le kendoka ne la connaissait que dépuis quelque seconde, et déjà il la détestait. Elle avait tué énormément de gens et il le savait juste à l'odeur qui émanait de cette personne, cette chose, cette femme. Et pourtant, cette "Zanne" ne devait pas avoir plus que l'âge du Moyashi, qui se tenait en face de lui, le regard méfiant.
La fille recula de quelque pas, comme si elle avait déviné la suspicions de Kanda à son égard, et se dirigea vers Lavi, qui s'était apparemment remis de ses soit disants émotions ou encore, de sa surprise.
Brusquement, sans aucune raison apparente, Zanne pris Lavi par le col et le souleva du sol. Allen voulu s'interposer, comme si cela aurait changé quelque chose mais la fille le poussa comme s'il n'était pas plus lourde qu'une petite démone (1) de sa connaissance. Après l'avoir regardé droit dans les yeux pendant quelques secondes, elle eu un de ses sourires sadiques puis la brune laissa Lavi valdinguer un peu plus loin.
- Ça, déclara-t-elle, c'est pour toutes les fois que tu m'as fait chier!
- Et de qu'elles fois veux-tu parlé? demanda le roux, en se massant le cou.
- Je vois que tu peu encore parlé... fit Zanne, puis, pour changé de sujet: Pour confirmer les regards de l'efféminé et de l'androgyne, oui, je le connais.
La première chose qu'on sut après cette réplique, c'est que Lavi était à terre, mort de rire littéralement et que les deux autre avaient totalement oublié la déclaration de la fille.
- Je ne suis pas efféminé, je te signal, cracha le brun en mettant une main sur la garde de son katana. Il s'approcha de Lavi: Tu vas te prendre Mugen si tu n'arrêtes pas IMMÉDIATEMENT.
Lavi se leva péniblement. Mais continua tout fois à rire dans sa barbe.
- Je ne suis pas androgyne! Où vas-tu cherché cette idée? demanda Allen, indigné.
- Regardes-toi, tu verra ou je la sort, cette idée.
Alors que deux serrait les point et grinçait des dents, Zanne réfléchissait à comment s'en sortir. La tueuse devait les convaincre qu'elle pouvait resté, qu'elle allait être utile... Mais à quoi? Elle savait chassé, faire un feu, se battre et tout le tralala pour survive, mais ce n'était pas de ça qu'ils avaient besoin.
- Je reste, fit Zanne brusquement.
- Non, dirent catégoriquement les trois garçons.
- Et pourquoi ça? Je sais me rendre utile...
- Ça semble évident. Et puis, tu as juste servi à nous insulté depuis que t'es là, se renfrogna Kanda.
- Et voilà une raison de plus, vous n'avez aucune raison valable pour que je parte! s'exclama-t-elle. Bon, moi, je vais me coucher, bonne nuit!
Et la tueuse tourna vivement les talons et se dirigea d'un pas assuré vers le bois...
Les trois garçons se renfrognèrent, mais se dirigèrent tout de même, dans un commun accord, vèrent l'auberge pour aller chercher leurs maigres possession. Plus ils seront loin de se village et mieux cela vaudra!
-pPp-
Allen, Lavi et Kanda marchaient d'un pas vif, leur prochain arrêt étant le cottage le blandinet ayant abandonné la fugue après l'explosion du brun, le jour précédent.
Apparemment, ils avaient pu devancé Zanne qu'en se levant à l'aube, et cela les avaient comblé d'un soulagement collectif, de n'avoir pas endurer cette fille justement insupportable.
Ce n'est que lorsque qu'il s'arrêtèrent pour manger qu'ils se rendirent compte de leur erreur; elle était accotée à un arbre, les regardant en souriant comme s'ils n'était que de garçonnets inattentifs à ces consigne.
Kanda se leva calmement, et se planta devant la tueuse, la regardant fermement dans les yeux, sous la supervision des deux autres qui faisait déjà des paris sur qui allait mourir en premier. Puis Zanne s'approcha près, très près du kendoka. Et le plus sérieusement du monde elle plaça sa lèvre à quelque millimètre de l'oreille du brun et lui souffla:
- Tu veux mourir, pas vrai?
Tout ceci c'était passé en une fraction de seconde, une infime portion de temps que Kanda, malgré ses sens et ses année de pratique n'avait pas pus saisir. Se maudissant intérieurement il dégaina Mugen alors que l'autre sortait de ridicules dagues.
Les deux autres, quand à eux, c'était reculé de quelque pas pour leur laisser un peu de place. Lavi avait un sourire de débile accroché au lèvre, espérant voir le kendoka affiché une belle et grosse défaite. Pour Allen, il avait juste hâte de voir s'il avait gagné son pari.
Les armes commencèrent à s'entrechoquer furieusement et la dextérité de Zanne surpris le kendoka. Coup d'estoc, parade, attaque, feinte, tout y passa. Ce n'est que lorsque la tueuse réussi à percé la garde de son adversaire que l'égalité s'en fut. D'un simple coup de pied bien placé, le katana de Kanda s'envola l'acculant à un arbre. Il enrageait carrément.
Lavi, lui, jubilait. Il avait gagné son paris et contre le maudit! Bon, il avouait que ce n'avait rien d'un jeux de hasard, mais c'est avec un visage qui affichait la victoire, qu'il s'approcha d'Allen et tendit la main. Découragé, Allen donna la somme toute fois, en rechigna quelque peu.
Zanne aussi était très contente, bien que pour elle, c'était prévisible . Mais le meilleur, c'était de voir le visage du kendoka qui était allé reprendre Mugen: il serrait les points et les dents, était rouge tomate et tremblait de rage.
- Toi... grinça-t-il
- Oui, moi? fit-elle avec le sourire, malgré cette froideur qui se dégageait toujours d'elle.
Voyant la tension monté entre les deux malade mentaux qui se battait pour un rien, Allen et Lavi se levèrent comme un seul homme, et se dirigèrent prestement vers Zanne et Kanda pour prévenir la prochain confrontation.
- Bakanda! Ça ne se fait pas de menacer les femmes! s'exclama le maudit subitement.
C'était sortit tout seul... Et tout le monde fut surpris, enfin, à part la tueuse qui ignorait tout de la "super" relation qu'il y avait entre ces deux exorcistes.
- Et qu'est-ce que tu viens faire, dans ce que je fais Moyashi?! Mêles-toi de ce qui te regarde, cria le kendoka à la tête du blanc.
- Mon nom, c'est Allen, et ça ne change rien à ce que j'ai dit, répliqua ledit Allen.
- TU VOIX PAS QU'ELLE N'EST PAS NORMAL, T'A FEMME SANS DÉFENSE?!
- J'AI JAMAIS DIT QU'ELLE ÉTANT SANS DÉFENSE, IMBÉCILE!
- Euh... Les gars, je crois que... commença Lavi en s'approchant pour les séparer.
- LA FERME! hurlèrent les deux autres exorcistes, déjà occupé à s'affronter
Lavi était plus ou moins surpris de la tournures des évènement. Ses deux collègue s'étaient toujours détestés au plus haut point, et apparemment, leurs relations s'étaient dégénérées avec la perte de mémoire du blanc. En fin de compte, Komui n'avait peut-être pas eu une bonne idée, en enlevant le statut d'exorciste à ces deux là. Sans doute que la retenu et la fatigue les avait rattrapé... Quoique cela aurait surprit Lavi que ses deux coéquipiers ne se gueule pas après...
Finalement la situation s'arrêta par elle-même: en pleine "confrontation" le ventre du blanc gronda. Après une remarque acerbe de Kanda sur l'anormalité de la chose, tous ce retrouvèrent assis en cercle proche d'un feu, deux lapin entrain de cuire.
Tous, se couchèrent tôt, pour partir à l'aube demain. Enfin presque tous. Incapable de dormir, -et voyant la chose inutile- Zanne s'éloigna du camp pour réfléchir. Elle s'accota, comme à son habitude, au premier arbre venu, un gros chêne centenaire.
Personne ne l'avait recontacté, le contrat était encore suspendu. Elle ne pourrait pas resté indéfiniment avec la groupe, elle le savait.
Un bruit la sorti de ces réflexion. Elle jugea inutile de ce retourner, car elle savait exactement qu'il allait la suivre, et ce, depuis hier.
Le roux s'arrêta à un mètre d'elle, ne sachant pas par quoi commencé cette conversation, qui risquait fort de devenir gênante, voir hargneuse.
- Zanne, commença tout de même Lavi.
Il semblait mal-assuré, mais pas elle. En fait, tout ça n'était qu'une parade depuis le début. Un simple mur destiné à cacjé leurs réels identités. Et le roux le savait aussi bien qu'elle.
- Tu l'aime n'est-ce pas? l'interrompit la tueuse.
Zanne se retourna, pour voir sa réaction. Il souriait, gêné, les bras sur sa tête.
- Oui, et c'est ironique... fit-il.
- Pas tant que ça. En fait, il ne te reste plus qu'à lui dire...
- Je, je ne suis pas venu pour ça. Je suis venu pour m'excusé... Et te demander quelque chose.
Là, il allait trop loin. Tout les deux avait leur but, un chemin différent à suivre. Lui en tant que Bookmen, elle en tant que vengeance. LA tueuse s'approcha, son regard devenu froid.
- Et de quoi, puis-je savoir? demanda Zanne.
- De t'avoir mentit, tu sais, avec le métier que j'exerce, j'avais besoin de certaine information et...
Lavi essaya de toucher la joue maintenant assez proche de la fille. Elle l'en empêcha, comme il s'y attendait.
- Et on en ai arrivé là. Je sais. Tu voulais me demandé quoi? demanda-t-elle, impatiente d'en finir avec ce dialogue dégoulinant de regret.
- Eh bien, Allen à perdu la mémoire. Étant donné le groupe dans lequel t'appartiens, j'ai pensé que tu pourrais l'aidé.
Zanne fronça les sourcils.
- Et pourquoi je ferais ça Nathaniel?! Je ne mélange jamais travail et famille, déclara-t-elle, sauf si tu veux mettre en place un contrat... Je pourrais surement faire en sorte de trouver quelque chose pour ça.
Ses yeux brillait, décidée d'en tiré quelque chose d'intéressant. Lavi, lui tressaillit en entendant se nom.
- Maintenant, mon nom, c'est Lavi. Tâche de ne pas l'oublier... Tu veux combien?
- Disons que je te le fait gratuitement si tu me fait entrer dans le groupe, et me laisse parler à Allen.
- Si tu ne lui fait rien, je suis d'accord. Marché conclu? demanda le roux.
- Marché conclu.
(1)Ceux qui devine c'est qui aura le droit à un congé de devoir et d'examen dans matière qu'il déteste!(indice: c'est une référence à une histoire de Dana.)
J'espère que vous avez aimé ^^