Bonsoir !

Me revoilà avec le nouveau chapitre et cette fois vous noterez je n'ai pas pris six mois (mais c'est plus court par contre) ! :D

Merci à toutes pour vos commentaires, ainsi qu'aux guests 5mondes-1passion, little k, kill kenny, Pauline, et les fausses guests Estrella-san et Tenshi Kamato *j'insèrerais bien une petite vaguelette et une note de musique ici mais sur c'est pas possible alors tant pis*

Cette fois-ci il y aura moins de gaffes de la part de Sanji, mais si vous trouviez que jusque-là Zoro n'était pas assez présent voilà de quoi vous faire plaisir (du moins je le pense 'o').

Ce chapitre vous est aimablement traduit en français compréhensible par Tenshi Kamato! Encore une fois sankyuu!

Bonne lecture!


Ce fut la lumière vive du matin et le chant apaisant et mélodieux des vagues qui tirèrent Sanji de son sommeil. Il leva des petits yeux endormis vers son réveil tout en baillant : neuf heures moins dix.

Il resta quelques minutes immobile, émergeant peu à peu à la réalité… Ou plutôt se fut la réalité qui vint à lui brutalement, quand les événements de la veille firent irruption dans sa mémoire.

Il avait croisé le lycéen aux cheveux verts, alors qu'il avait raté le dernier bus allant jusqu'à son arrêt et avait dû prendre l'ultime bus s'arrêtant à Hayama. Il s'était perdu sur le chemin du retour avec Zoro.
Enfin, Zoro l'avait perdu sur le chemin de retour – même s'il assurait le contraire.
Les deux jeunes hommes avaient pris leur mal en patience et, en ayant exceptionnellement réussi à ne pas s'étriper en cours de route, avaient finis par regagner la route principale et puis… trou noir.

Le lycéen fronça les sourcils en se redressant sur son lit. Il portait encore ses habits de la veille, qui s'étaient froissés dans son sommeil. La douleur qu'il ressentit lorsqu'il s'appuya sur son coude droit, ne manqua pas de lui faire conclure qu'il avait perdu connaissance et s'était effondré sur le bitume, le manque de sommeil et l'overdose d'efforts ayant eu raison de lui.

Tout ça devant Zoro qui, non, ne l'avait pas drogué au GHB dans le but de le violer, surtout qu'à présent il n'était plus une fille – ou plutôt n'y ressemblait plus – et que ce crétin de macho à tête d'algue n'avait certainement pas de penchants homo.

D'ailleurs Sanji ne lui semblait apparemment pas assez viril, et le lycéen aux cheveux verts aurait désormais encore plus de raisons de le traiter de gonzesse après qu'il l'ait vu s'écrouler sans force sur le sol.

Sanji soupira en observant son coude sur lequel un énorme bleu avait fleurit.
Il fallait vraiment qu'il arrête de psychoter et de voir les hommes comme les pires monstres sur Terre. Après tout, il était désormais un des leurs et les femmes avaient aussi leurs défauts – bien que le blondinet ait du mal à l'admettre.

Roronoa l'avait ramené à sa maison presque sain et heureusement sauf, c'était bien la preuve qu'il n'était pas aussi rustre que Sanji s'entêtait à le croire.

Un vague sourire aux lèvres, le blondinet posa les pieds sur le parquet de sa chambre et faillit s'écrouler au sol, tant ses jambes étaient cotonneuses sous son poids.
Qu'étaient-elles donc devenues, ses gambettes jolies mais puissantes, qu'il avait entrainées dur au fil des années pour pouvoir protéger son secret en cas d'urgence ?

Il se rassit un instant sur le matelas et ferma les yeux quelques instants, pendant qu'il rassemblait ses forces. Il fit un nouvel essai et pu cette fois se stabiliser et sortir de sa chambre. Il se dirigea à pas lents et quelque peu incertains en s'appuyant aux murs du couloir, jusqu'à l'escalier menant au rez-de-chaussée d'où montaient les voix de sa sœur et de sa mère.
Son père avait dû déjà s'envoler pour Miyazaki, vu l'heure tardive qu'il était.
Sanji était un peu déçu ne pas avoir pu l'embrasser avant qu'il ne parte.

Une fois en bas, dans l'entrée, il se rendit cependant compte qu'elles n'étaient pas seules : le rire chaud de son camarade de classe faillit lui faire faire une crise cardiaque. Que ? Quoi ? Comment ? Roronoa Zoro était resté dormir ?

Son regard croisa son reflet décoiffé dans le miroir en face de lui, son T-shirt froissé, et l'idée de retourner s'enfermer dans sa chambre jusqu'à ce que l'intrus parte lui traversa l'esprit, mais la voix de sa petite sœur le fit instantanément changer d'avis.

- Regarde, regarde, c'est là où on habitait avant !

Après la crise cardiaque, ce fut au tour du malaise vagal qui menaça d'emmener Sanji au tapis. Ambre n'avait pas sortit les albums photos de famille pour les montrer à la tête de gazon quand même !?

Le jeune homme parvint à se reprendre et à se précipiter dans la salle à manger, manquant de glisser sur le parquet. Il fit irruption dans la pièce en s'exclamant dans la langue de Molière :

- Bon sang Ambre, on t'avait bien dit que… Ses yeux se posèrent sur la table face à Zoro et sa sœur qui était assise sur ses genoux : une carte de France, une simple carte de France. Non rien, ajouta-t-il en se calmant alors que Zoro le dévisageait d'un air perdu et que le regard de la petite s'illuminait.

- Grande sœur ! Ohayô !

Les joues de Sanji perdirent en un instant leurs couleurs… avant que le blondinet ne se rappelle que le vert ne comprenait pas le français, et ne risquait donc pas de découvrir le pot aux roses. Un petit sourire forcé émergea sur son visage plus pâle que de coutume et il alla s'asseoir à la table, rendant son salut matinal à sa sœur et à Zoro qui se contenta de hocher virilement et zoroment la tête. Il se sentait déjà las alors que ce n'était que le matin.

- T'es tout pâle, lui fit remarquer Zoro en portant sa tasse de thé vert à ses lèvres. Tu vas pas encore t'évanouir au moins ?

- Tss, tu me prends pour qui ? répondit le blondinet au quart de tour, vexé qu'il revienne sur l'épisode de la veille.

- Allons, allons, intervint Emma en revenant de la cuisine, un plat de tartines grillées dans les mains et un grand sourire sur les lèvres. Sanji ne s'est pas évanoui, il s'est endormi, nuance.

Elle posa le plat au centre sur la table et passa une main affectueuse dans les cheveux dorés de son fils en chantonnant un petit « Bonjour, bien dormi ? ». Sanji contenta de grogner un « 'Jour » pour toute réponse. Il prit une biscotte et se mis à la mâchonner avec mauvaise humeur, sans même se donner la peine de la tartiner de quoi que ce soit.

- C'est vrai qu'on ne ronfle habituellement pas quand on s'évanouit, dit simplement le lycéen à la peau mate en fixant avec un petit sourire amusé le blond aux airs revêches.

Sanji faillit s'étouffer en entendant Zoro. Il vida d'un trait le verre d'eau qu'Ambre s'empressa de lui apporter, tandis que le lycéen aux cheveux verts le regardait d'un air amusé. Le blond au visage rouge écrevisse lui rendit un regard noir, tout en essayant de reprendre son souffle (et, accessoirement, sa contenance).
« C'est normal de ronfler, hein, parce que je suis un mec, en fait. » se disait-il, pour se consoler de cette révélation parfaitement dégradante vis-à-vis de la jeune fille emprisonnée en lui.

Emma revint de la cuisine au même instant pour déposer un mug de thé au citron fumant devant son fils. Contrairement à ce dernier, elle semblait rayonner de bonne humeur.

- Tu ne manges pas Zoro-kun ? S'inquiéta-t-elle en voyant le jeune homme se contenter de son thé vert. Si tu préfères un petit-déjeuner salé, je crois qu'il reste du riz et un pot de nattō dans le frigo, proposa-t-elle avec un sourire.

- Ne vous dérangez pas pour moi, répondit Zoro en lui rendant son sourire, je ne mange pas le matin.

- Oh, dans ce cas laisse-moi te resservir un peu de thé, dit Emma avant de s'empresser d'aller chercher la théière d'eau brûlante dans la cuisine. Et Ambre, lâche-le un peu !

La petite fille s'était en effet réapproprié les genoux du jeune homme aux cheveux verts et lui faisait un câlin d'un air profondément satisfait. Le lycéen n'avait pas l'air de s'en formaliser et la petite ne broncha pas. Sanji, quant à lui, mâchonnait toujours sa tartine en dévisageant son vis-à-vis avec mauvaise humeur. Sa mère revint servir le thé.

- Encore merci d'avoir ramené mon fils à la maison, Zoro-kun.

Le blondinet n'aimait pas du tout la façon dont sa mère se comportait avec son camarade de classe. Il était vrai qu'elle devait se sentir soulagée que son fils n'ait pas été seul, lorsqu'il s'était endormi brusquement en plein milieu de la route, « Mais ce n'est pas une raison ! » se disait-il.

Et puis Ambre n'était quand même pas obligée de le coller comme ça !

- Ce n'est rien madame, c'est plutôt moi qui devrait vous remercier de m'avoir hébergé, répondit Zoro humblement.

- Dieu sait où tu te serais perdu sinon, ne put s'empêcher de lancer Sanji, passablement contrarié de constater qu'un spécimen de la branche des hommes des cavernes fusse capable de tant de politesse.

- Tss.

Emma les regarda avec amusement.

- Où habites-tu exactement Zoro ?

- J'ai de la famille qui m'héberge dans le sanctuaire un peu plus loin. Ou un peu plus près, ajouta-t-il en fronçant les sourcils d'un air incertain, qui fit pouffer de rire Sanji.

Néanmoins, ce dernier ne pouvait s'empêcher de trouver ça sacrément classe. Habiter dans un sanctuaire shintô ? Ça pourrait être inspiré d'un manga. Le blondinet se repris de justesse, alors qu'un scénario de shōjo manga, bien romantique avec des pétales roses de cerisiers volant dans les airs, commençait à germer dans son esprit. God gracious, mais c'était quoi ce délire ?

Si ce crétin de Zoro devait être le personnage d'un manga, se serait d'un shōnen manga où il aurait un but bien ringard, du genre « devenir le meilleur épéiste du monde », se disait-il en se retenant de rire seul comme un idiot à la table du petit déjeuner.

Quelques dizaines de minutes plus tard, Sanji raccompagnait l'autre lycéen au portail de la maisonnée, après que sa mère l'ait forcé à emporter quelques onigiri – qu'elle avait soigneusement disposés dans une boîte à bentō – et l'ait encouragé à revenir quand il le souhaiterait (encouragements largement approuvés par Ambre qui l'appelait déjà Zoro-nii (1) avec adoration, ce qui agaçait profondément son vrai grand frère).

- Eh, Roronoa, commença le blondinet alors que le jeune homme aux cheveux verts s'apprêtait à enfourcher son vélo. Il portait encore son uniforme, qu'il n'avait pas pu changer depuis la veille, et son sac de cours pendait négligemment sur ses épaules.

- Qu'est-ce qu'il y a, Sourcil en vrille ?

Ledit « Sourcil en vrille » choisit d'ignorer l'insulte.

- Je me demandais, il y a une raison particulière pour laquelle tu as quitté Osaka ?

Il ne savait même pas pourquoi il avait posé cette question.
La réponse eût tôt fait de lui parvenir, alors que son camarade de classe s'éloignait doucement dans la chaleur humide de l'été : « Pour devenir le meilleur épéiste du monde ». La mâchoire du blond se décrocha, tandis qu'il se demandait s'il avait atterrit dans le shōnen manga qu'il avait imaginé plus tôt, ne se doutant absolument pas qu'il était en fait le sujet principal d'une fanfiction complètement absurde…

Il reprit contenance et regarda Zoro rouler en direction de la plage. Quelques secondes de consternation passèrent avant qu'il ne se décide à lui lancer un « La bonne direction, c'est de l'autre côté, crétin ! » salvateur.

- J-je le savais ! répliqua le jeune homme aux cheveux verts en faisant néanmoins demi-tour sur son vélo.

Il n'oublia pas de fusiller du regard le blondinet lorsqu'il repassa devant lui, pour prendre – cette fois-ci – la bonne direction.

- M-merci de m'avoir ramené hier ! Finit par cracher avec mauvaise foi Sanji, le rouge aux joues.

- Bah c'est pas trop tôt, sourcil en vrille ! Répondit simplement l'autre sans se retourner.

Les iris bleus saphir du métis suivirent quelques instants Zoro, avant qu'il ne se décide à remonter la petite pente vers l'entrée de sa maison. Ambre était sortie dans le jardin, probablement pour jouer avec les deux chats errants que les Kuroashi nourrissaient depuis leur aménagement. Il fut accueilli par sa mère qui débarrassait la tasse de Zoro et le bol de céréales que sa petite sœur avait tranquillement englouti sur les genoux du jeune homme.

- Tu ne nous avais pas parlé de ce Roronoa Zoro hier midi. Quel garçon bien élevé !

Le blondinet leva les yeux au ciel. Il avait en effet omis de mentionner la plante verte, lorsqu'il avait raconté sa première matinée au lycée à sa mère et sa sœur.

- Oui, c'est vrai qu'il s'est montré d'une politesse tout à fait surprenante, répondit-il, l'ironie pointant dans sa voix.

Sanji se réinstalla à la table du petit déjeuner pour finir ton thé. Son regard s'assombrit lorsqu'il se posa sur les gélules qui l'attendaient à côté d'un verre d'eau. Les cachets de testostérone. Ceux qu'il était censé prendre matin et soir et qu'il avait oubliés la veille.
Il sentit ses yeux s'humidifier.

C'était parfaitement injuste. S'il prenait ces médicaments, c'était accepter de devenir un homme et aider son corps pour cela. Mais s'il ne les prenait pas, sa transformation – bien que ralentie – ne s'arrêterait quand même pas et toute son énergie serait consumée par son corps, le laissant faible et exténué.

Au final, ses parents avaient beau avoir voulu lui laisser choisir ce qu'il voudrait devenir, le choix, il ne l'avait pas. Pas du tout. Il se sentait presque trahi. Trahi par son propre corps…

La voix de sa mère lui parvint de la cuisine, en même temps que le bruit de la vaisselle qu'elle était en train de faire :

- Je t'ai posé tes cachets sur la table aussi, ne les oublies pas, tu as bien vu ce qui t'est arrivé hier…

La remarque d'Emma le fit lever les yeux au ciel une nouvelle fois, inspirant bruyamment en espérant dénouer le nœud qui s'était formé dans sa gorge.

- J'ai pensé que c'était mieux d'éviter de te les donner devant ton ami. Tu as l'air de t'être bien adapté, hein ! Ajouta-t-elle d'une voix joyeuse, tandis que le lycéen se mordait à présent la lèvre inférieure en essayant de retenir ses larmes.

Il finit par craquer.

- Tu rigoles ?! Hier il m'a traité de gonzesse ! Peu importe combien de cachets j'avalerai, ça ne sera jamais assez !

Jamais assez, car rien ne pourrait changer son cœur de fille, mais déjà trop à son goût pour son corps masculinisé.

Sanji se leva brusquement. Il ignora sa mère qui tenta de le retenir – inquiète – et quitta la salle à manger pour rejoindre sa chambre à l'étage, où il piocha dans le placard quelques habits propres.

- Sunny… Tu veux que je te fasse couler le bain ? Demanda Emma d'une petite voix, debout dans l'encadrement de la porte et se triturant les doigts, ne sachant que faire pour apaiser sa fille. Elle l'avait appelé 'Sunny'. L'inquiétude faisant revenir ses habitudes au galop.

- Inutile, je vais juste prendre une douche, répondit Sanji d'un ton qui laissait parfaitement entendre qu'il n'avait absolument pas envie de discuter, en laissant retomber le pan de tissu vert tendre qui fermait le placard.

Le jeune homme ressortit de sa chambre et redescendit au rez-de-chaussée.
Il se glissa dans la salle de bain – ou plutôt la petite pièce servant à se déshabiller, adjacente à la salle d'eau entièrement carrelée – et tira le rideau derrière lui.
Evitant de se regarder dans la glace au-dessus du lavabo, il balança ses affaires propres dans un coin, jeta ses affaires sales dans la machine à laver et poussa finalement la porte en verre de la salle d'eau.

Sanji se laissa tomber sur un tabouret en plastique rouge, à côté de la baignoire inutilisée, se saisit du pommeau et alluma l'eau froide. Il laissa pleuvoir l'eau en cascade sur son visage, pour chasser les larmes de colère et de tristesse qui jusqu'à présent n'avaient pas cessé de couler.

De toute façon, être une femme ou bien un homme, qu'est-ce que c'est sinon devoir se comporter selon une étiquette sociale bien définie ? Mettre du maquillage et faire sa délicate, ou avoir les cheveux courts et faire le dur. Pourquoi ne pouvait-on pas tout simplement être soi-même et pouvoir exposer sa sensibilité, qu'on ait quelque chose entre les jambes ou non, et sans se faire dévisager désagréablement ? Au moins, il n'aurait pas besoin de jouer la comédie. Enfin, dans un pays comme le Japon, où garder ses émotions pour soi est essentiel, c'était sûrement trop demandé.

Au bout d'une vingtaine de minutes de douche glacée, il se calma enfin. De la fenêtre rectangulaire de la pièce, le chant des énormes cigales japonaises et les cris enthousiastes de sa sœur lui parvenait. Les ombres des feuilles des arbres du jardin s'agitaient sur les murs carrelés.

Un petit sourire finit par naître sur ses lèvres, illuminant son visage que les pleurs avaient rougi. La vie n'était pas si pourrie après tout. Il y avait toujours des hauts et des bas, et si le jeune homme se sentait à présent au plus bas, il était au moins sûr qu'il ne pouvait que remonter.

Il sortit de la salle de bain et, attrapant sa serviette, se demanda si l'algue humaine, alias le futur meilleur bretteur du monde, était bien arrivée à destination.


(1) Zoro-nii : raccourci de « Zoro Nii-san » : « grand frère Zoro »


Fin du chapitre *encore une fois j'aimerais bien mettre une note de musique ici... arf* J'espère que ça vous a plu!

Honnêtement je n'avais pas prévu de finir le chapitre comme ça, mais après tout je me suis dit "pourquoi pas?" : Sanji est dans une situation que l'on peut imaginer difficile à vivre, il est fatigué de ne pas avoir pris ses médicaments la veille, il fait chaud et humide, c'était la rentrée, c'est donc normal qu'il craque e.e/

Je vais me mettre à la rédaction du chapitre 5, mais comme j'ai un OS Kid x Law qui me trotte dans la tête, je vais peut-être me "débarrasser" de ça en premier pour après pouvoir me concentrer à fond sur "And then I became a boy". Est-ce qu'il y a parmi vous des lectrices qui aiment ce pairing? x)

... Non en fait j'avancerai l'écriture du chapitre 5 dès que j'aurai de l'inspiration et pareil pour le OS (que je ne suis même pas sûre d'écrire en fait), parce que si je commence à me dire que je veux d'abord écrire le OS avant de faire quoique ce soit d'autre et que je fais un blocage dessus... ben je vais mettre encore six mois pour updater cette fic (et c'est pas cool!) u.u

Bref, je vais faire de mon mieux! e.e/ gambaruuu!

Et sinon, sauriez-vous deviner les personnages qui incarneront le/la prof d'histoire, le/la prof de maths, le/la prof d'anglais et l'infirmier(ière)? Allez, c'est facile pour l'Histoire, les maths et l'infirmier(ière) :P (edit : je sais pas pourquoi j'ai marqué que c'était facile pour deviner le/la prof de maths... parce qu'en fait pas du tout xD Désolée pour le bug)

A la prochaine! Oh, et bonne St Valentin (ou St Sans-Valentin pour celles dans mon cas xD)!

Pocky