Voici le second chapitre de ce two shot, avec un lemon bien hard. Tellement hard que je me demande si c'est vraiment moi qui l'ai écrit :0
Bref, âmes sensibles, passez votre chemin, pervers(es), soyez les bienvenus !
Hotaru : Ta review me fais plaisir, et voici la suite que tu m'as demandée ! Ton chat ? Au oui, c'est vrai que les chats dorment souvent hi hi ! J'adore les chats :3
00h01, sur le bateau de Kidd, dans sa chambre
Trafalgar et moi, on vient d'arriver dans ma chambre, et dire qu'à l'origine je comptais y passer du temps avec ma serveuse et sa copine… J'aurai peut être pas dû les tuer. Ou peut être que si, passer du bon temps avec ce pirate aux grands airs, ça me va aussi. Du reste, il n'a pas prononcer un mot depuis qu'on a quitté la taverne, il n'a pas son éternel sabre non plus.
« Et Trafalgar, t'as pas peur que je te tue ? Tu n'as même pas prévenu ton ours de compagnie, et tu n'as pas non plus pris ton katana… C'est très tentant tu sais.
- Tu ne me tueras pas. »
Il m'énerve ! Pourquoi est-il tellement sûr de lui, sans son arme, je pourrai faire de lui de la bouillie ! Pourquoi est-il si calme. Alors que lui semble détendu et observe par delà ma fenêtre le ciel et la mer, moi je suis frustré et en colère. C'est alors que me vient une idée. Lui fai peur. Lentement je m'approche de lui qui scrute toujours l'horizon, et je le chope par ses bras en le plaquant contre le mur, pressant son visage contre le bois sans ménagement. Il ne réagi pas, mais je maintiens ses mains crispées dans l'étaux des miennes.
« Toujours aussi sûr de toi, Traffy ? il grogne à l'entente du surnom stupide que Mugiwara lui a attribué et tente de se dégager de ma poigne, mais rien n'y fait. Niveau force brute, il n'a aucune chance. Il a beau être musclé et athlétique, je suis bien plus puissant, et il le sait.
- Lâche moi, Eustass.
- Oh et pourquoi je ferai ça ? Tu ne pensais tout de même pas que j'allais accepter ta proposition tout à l'heure ?
- Tu voudrais me faire comprendre que depuis le début tu as l'intention de me tuer, me lance-t-il, ironique.
- C'est pourtant ce qu'il se passe. »
Il se met alors à rire, et je lui enserre un peu plus les bras, si je forçe plus, les os se brisent. Il en a conscience.
« Tu n'es pas assez intelligent pour avoir tout planifié » il marmonne en grimaçant sous la douleur, dans un souffle.
C'est à mon tour de rire, ce type est vraiment insolent, ça me plaît, je vais le pousser jusqu'à l'extase de façon à ce qu'il remballe sa fierté. Je le relâche et il colle son dos au mur se massant les poignets, le regard de nouveau inexpressif.
« Et si on passait aux choses sérieuses, maintenant qu'on a joué Law ? Je susurre en me collant à lui.
- Il serait temps. »
Ses yeux prennent de nouveau cette lueur ardente et luxuriante, mais il n'affiche aucun sourire. Je ne me le fais pas répéter, je plaque ses deux mains au dessus de sa tête avec l'une des miennes, attrape son menton de l'autre et l'oblige à se soulever pour l'embrasser. Je n'ai jamais dit que j'allais être tendre, je pense qu'il l'a bien compris, car je n'attend pas qu'il m'invite pour forcer ses lèvres et prendre possession de sa langue. Je l'embrasse férocement, dans le but de soulager toute la frustration que j'ai eu les jours derniers, et je le presse encore plus contre le mur, en l'entendant gémir. Je ne lui laisse pas le temps de respirer et en ouvrant les yeux je me rend compte qu'il commence à prendre un peu plus de couleurs, tant mieux. Enfin je le libère et il relâche ses muscles, baissant la tête alors que je maintiens toujours ses bras en hauteur, m'offrant une vision plus qu'érotique de lui-même. Ce chirurgien, il sait qu'à ce moment je ne pourrai plus me retenir même s'il me le demandait ?
Décidant que le mur, ce n'est pas assez confortable, je l'attrape par un bras et le couche sur mon lit aux couvertures rouges carmin. Entre temps, son éternel sweat-shirt s'est quelque peu relevé et je peux distinguer les muscles bien dessinés de son ventre à la peau cuivrée. La lumière de mes bougies rendant le tout très excitant. Sa casquette a volé depuis bien longtemps et quelques mèches rebelles lui tombent sur le devant des yeux. Adorable. Il lève ses yeux vers moi et c'est alors que je remarque la bosse qui s'est formée entre ses jambe, un sourire carnassier se dessine sur mon visage tandis que je m'approche de lui, me positionnant au dessus de son corps longiligne.
« Je ne te laisse pas aussi indifférent que tu veux le faire paraître, on dirait, lui susurre-je à l'oreille, alors que ce dernier tourne la tête sur le coté.
-Pas vraiment non, avoue-t-il dans un demi sourire mutin. »
Je presse alors mon genoux contre son pantalon au niveau de son début d'érection, et la réaction ne se fait pas attendre. Il serre les dents pour ne pas gémir et je sens son corps se tendre alors qu'il se crispe tout contre moi. Il ne veut pas se laisser aller ? Une nouvelle fois je souris et réitère mon geste en insistant plus contre son sexe et j'obtiens ce que je souhaite, il ferme les yeux, gémit en relevant la tête et passe son bras gauche sur son visage dans le but de se cacher.
Ca fait du bien de se savoir puissant, et je sens moi aussi que je commence à être bien serré dans mes vêtements. Mais ça vaut le coup d'attendre encore un peu, rien que pour voir la tête du chirurgien essayant de se retenir.
« Connard, souffle-t-il dans un élan de bonté.
- T'apprécies, fais pas comme si c'était pas le cas. »
Et je l'embrasse à nouveau, tout en frôlant de temps en temps son entrejambe, le sentant gémir à chaque fois. Mais bon, je finis par me lasser de ces quelques coquineries, et lui enlève son sweat au couleur de son équipage, révélant enfin son torse, bien taillé et transpirant. Ce n'est pas parce que je suis une brute que je n'apprécie pas les préliminaires, au contraire, c'est le moment que je préfère, lorsque ma victime résiste, mais qu'elle finit par se laisser aller. Law n'échappe pas à la règle.
Je descend doucement dans son cou, lui laissant une marque qu'il retrouvera demain matin, et je continue d'explorer son anatomie, mon corps se collant au sien. Je m'amuse quelques instant avec ses deux tétons roses et dressés. Il se tortille dans tous les sens essayant d'échapper en vain à mes dents. Il est plus sensible que beaucoup de filles à ce niveau là, c'est étrange. Et je rigole.
Enfin, je finis par avoir pitié de lui, ce qui m'arrive rarement. Lentement je me relève et lui enlève son pantalon en le regardant droit dans les yeux, pour qu'il sache qui mène ici. Son caleçon doit bien le serrer, et je le caresse à travers la pièce de tissus obtenant un nouveau gémissement étouffé suivit d'un petit « enfoiré ». Il est vraiment drôle. Enfin, je lui enlève la dernière barrière qui me séparait de mon jouet et sans crier gare j'avale son sexe fièrement dressé d'une traite, tout en guettant la réaction de mon petit brun. Il se cambre alors et je sens tous ses muscles se tendre tandis qu'il lâche un râle de plaisir qui se perd dans les murs de la chambre. Je n'attend pas plus longtemps pour continuer ma gâterie, en insistant sur son gland plus sensible, laissant ma bave couler le long de ses cuisses galbes. Avec ma main je lui masse la base de son phallus, connaissant les points les plus réceptifs. Il rejette la tête en arrière, serrant les dents et fermant les yeux, et s'accroche aux draps carmin. Je lèche son sexe dans toute sa longueur et j'accélère mon rythme, voulant l'amener à la jouissance absolue. Bientôt, sa respiration devient difficile, et il halète entre deux gémissements. Et enfin, je sens qu'il n'en peut plus, dans un cris rauque, bestial il se lâche dans ma bouche en se cambrant quelques secondes, avant de s'affaler sur le lit, à bout de force.
J'avale une partie de la substance pâteuse et réserve l'autre pour mon compagnon qui me regarde d'un drôle d'air. Je remarque alors que sous le coup du plaisir, de la bave a coulé de sa bouche, et je me fais un plaisir de lui enlever. Comme c'est mignon… Je l'embrasse à nouveau mélangeant, nos salives et lui faisant gouter sa propre semence, il grimace un peu, mais avale, docilement ce que je lui donne.
« T'es… T'es dégueulasse, me lance-t-il en reprenant son souffle.
- Ouai mais t'adores ça, » je lui répond en l'embrassant à nouveau. Il semble avoir repris ses esprits, mais moi, je ne suis pas satisfais, il s'en aperçoit en jetant un regard vers mon entrejambe.
« Tu veux peut être qu'on s'occupe de ça ? Propose-t-il d'un air neutre, même si des gouttes de sueur continuent de perler sur son cou et son front et même si une jolie teinte rouge orne ses joues. Je passe ma main sur son visage attrapant son menton et par la même occasion sa barbichette.
- T'es sûr que tu vas pas le regretter ?
- Non. »
Bon, dans ce cas, pas de raison de me retenir, j'enlève mon pantalon sous le regard attentif du médecin et me retrouve nu aussi. Il ne semble plus très certain, maintenant qu'il voit mes attributs, et je souris intérieurement, c'est encore mieux quand la proie hésite. Un vilain rictus vient se dessiner sur mon visage, alors que Law se relève pour m'embrasser, tout en massant mon sexe dur. Il est doué le médecin maso, ses mains fines et chaudes m'enserrent et je me sens divaguer, mais je me reprends. Hors de question de le laisser faire ce que je lui ai fait. Je le repousse plus ou moins doucement et traverse la chambre.
« Tu fous quoi ? »
Arrivé près de mon bureau, j'ouvre un des tiroirs et en sors une bouteille rouge, du lubrifiant, ignorant la question du brun sur mon lit.
« Ah, je vois. Quelle attention… » obsrerve-t-il, ironisant.
Il me cherche ou quoi ? Si je prend la peine de chercher du lubrifiant c'est bien pour qu'il puisse poser son cul sur une chaise demain sans grimacer de douleur !
« Tu préfères peut être sans, je grogne.
- Nan ça va aller. »
Et puis j'en ai aussi marre d'attendre, et le préparer aurait pris du temps, question réglée. Je m'approche à nouveau de lui qui s'est allongé et fait couler la mixture à base d'eau dans ma main et à l'entrée rose du pirate de North Blue. Il frissonne lorsque le lubrifiant entre en contacte avec sa peau, mais ne dit rien.
Enfin, je me penche au dessus de lui, qui m'observe le regard brulant de plaisir et je le pénètre lentement, le sentant se contacter. Il place alors instinctivement ses bras fins autour de mon cou et plante ses ongles dans ma peau sous les coups de la douleur, bien qu'elle soit minime. J'ai du mal à me retenir de le malmener dès maintenant, mais je veux qu'il prenne autant de plaisir que moi, sinon ça n'en vaut pas la peine. Si l'autre ne ressent rien, je ne peux pas me sentir complet non plus. Aux pris de grands effort, j'arrive pourtant au bout, et attend quelques instant qu'il s'habitue à ma présence. C'est que je suis bien fourni et que ça doit pas faire du bien de se prendre ça… Mais il l'a voulu. Après quelques instants, j'entame des vas et viens en douceur, pour voir comment il réagit. Il gémit tout contre mon oreille, c'est mon signale. Je continue de le pénétrer comme ça, me délectant de ses râles et gémissements qu'il n'arrive plus à contenir. Il est tellement serré, j'arrive pas à croire ce que je suis en train de penser mais, c'est mieux qu'avec une femme. Je retourne alors mon chirurgien, et le plaque sur le ventre, pour avoir un meilleur angle et pouvoir m'enfoncer plus profondément encore en lui. Et puis, j'avoue que le voir ainsi, à ma merci, m'excite encore plus. Bientôt j'accélère mon rythme, le brutalisant un peu plus, mais il semble apprécier.
« Eu… Eustass, t'es super… super doué… » Me lance-t-il entre deux coups de reins, complètement essoufflé. Je décide alors d'aller voir s'il est de nouveau excité lui aussi, et me penche pour le masser avec ma main. Bingo, il a une nouvelle érection, et quand il sent ce que je lui fais, il se relève un peu pour que je puisse lui faire du bien à ma guise. Il ne se retient plus du tout désormais, et nos bassins bougent en même temps dans un rythme effréné et sensuel.
Je donne alors un coup plus brutal que les autres, et je le sens sous moi se cambrer et pousser un cri plus fort que les précédents. On dirait que j'ai trouvé le point sensible, je continue sur ma lancée, retouchant le même endroit et obtenant de nouveau une réaction délectable. Je décide alors de le retourner sur le dos, souhaitant le voir atteindre le summum de la jouissance de mes yeux. Il commence à perdre sacrément pied le Traffy, des larmes viennent perler aux coins de ses yeux, mais il ne semble même pas s'en rendre compte, tandis que je le prend comme je n'ai jamais pris personne. Des gouttes de sueur perlent dans son cou et à la base de ses cheveux, alors qu'il ferme les yeux pour mieux apprécier. Cependant je sens que je ne vais pas tarder à craquer non plus.
« Ouvre les yeux, je lui demande, je … je veux te voir ! »
Il rouvre ses yeux, emplis de luxures et de débauches et les plante dans les miens, ce que j'aime ce regard !
« Plus … plus fort ! » Me demande-t-il dans un souffle, et j'obéis à sa requête, poussant de toutes mes forces dans son pauvre corps, et déclenchant un cri rauque de sa part. Je n'ai plus rien d'humain, et lui non plus. Il attrape de nouveau mon cou et enfonce ses ongles dans ma peau, je vais avoir des marques…
La délivrance arrive, il bouge son bassin en cadence, venant frapper contre le mien, et je ne tiens plus.
« Trafalgar …
-Hummmm »
Enfin, dans un dernier coup de rein, touchant à nouveau son point si sensible, je jouis, et lâche un grognement, libérant ma semence chaude en lui.
Law, garde les yeux fermé tandis que je me répand dans ses entrailles, et c'est à son tour de se libérer à nouveau, sur mon torse… Dans un élan d'érotisme, je lèche avec mes doigts mon torse et le vois à nouveau grimacer. Finalement je m'affale à ses cotés et l'embrasse une dernière fois avant de m'endormir. Ce type là, j'ai beau réfléchir, je ne le comprends pas.
9h14, dans la chambre de Kidd.
Je sens le soleil me caresser le visage, j'entends les vagues lécher doucement la coque du bateau et je me tourne avec un grognement, ne souhaitant pas me réveiller. Je me retrouve alors contre un corps chaud et j'ouvre les yeux. Trafalgar, il est toujours là ? Moi qui pensais que c'était un lève tôt… Peu importe, il dort comme un enfant, dos à moi, ses cheveux en batailles venant chatouiller mon nez à chacune de ses respirations. A ce moment là, il est désirable je l'avoue. En regardant dans le miroir situé juste en face de lui, je peux voir son visage, la bouche légèrement entrouverte et le corps dénudé. Ah oui, j'ai tendance à prendre toute la couette... Il a placé sa main gauche, où est joliment tatoué le mot « DEATH » contre sa joue ce qui gonfle un peu son visage lui donnant un air mutin. Lorsqu'il dort, il ressemble plus à un adolescent de quinze ans qu'à un jeune homme ayant passé la vingtaine. Dans un élan d'attention, ou peut être aussi à cause de mon désir de le posséder, et puis sûrement parce que je suis pas bien réveillé je passe mon bras gauche contre lui et l'attire à moi, le plaquant contre mon torse. Et je me rendors, bercé par la chaleur de son corps, j'ai l'esprit trop embrumé.
9h45, toujours dans la chambre de Kidd.
Cette fois je suis bien réveillé, et le chirurgien n'est plus là, il s'est tiré ni vu ni connu, le con. J'm'en fous de toute façon. En me levant, cependant, je vois que quelque chose à été écris au savon sur mon miroir.
« On se remet ça la prochaine fois. Ciao le Kidd »
Compte sur moi Traffy.
Voilà ^^ Écris en deux jours, c'est un record je dois dire ! Bien laissez moi une chite review si le coeur vous en dit !
Question maintenant : Quel est ou a été votre arc préféré dans One Piece, et pourquoi ? Pour moi, c'est L'arc Punk Hazard qui est en cour si vous lisez les scan !