Auteur de la version en anglais :Dilly-Oh sur fanfiction . net

Traduction: Nami-chan

Fool Exorcist

Episode 20 : Masque

"A l'époque où nous vivions à l'église," narra Yukio d'un ton nostalgique, "c'était facile de savoir quand Rin était à la maison ou non... ordinairement à cause des hurlements. Des nombreux hurlements. Et des jurons. Et des descente de police pour tapage diurne." il marqua une pause tandis qu'une image de Fujimoto, de Yukio et des quelques aide à l'Eglise assis à une longue table lui revenait à l'esprit. "En tout cas, lorsqu'il n'était pas là nous dinions en silence. Un silence doux et bienfaisant." puis il y une pause plus courte, lourde de sens. "Ça me manque."

soudainement la porte s'ouvrit violemment à la volé et Rin entra, couvert de toute sorte d'égratignures et d'éraflures.

"Je suis rentré, bande de con !" beugla-t-il, levant les bras en l'air. "J'vous ai manqué ?"

"Ben ça n'aura pas duré longtemps," soupira Yukio, repoussant son assiette.

"Rin, tu et en retard ! Ou étais-tu ?" demanda Fujimoto, se levant de son siège et croisant es bras de manière sévère.

"Pas tes oignons !" lança Rin en retour. "Je me faisait faire une lap-dance par TA MERE-"

"RIN FERME LA ET ASSIER TOI !"

"Oui, papa." Rin s'assit promptement et commença à enfourné la nourriture dans sa bouche. "Ce truc a un goût de FESSES."

"...vous vous souvenez de ce que je disais à propos des hurlements ?"Yukio continua de raconter. Pendant ce temps, son lui du passé s'était levé de table et se tenait près du téléphone, murmurant frénétiquement à travers le combiné dans sa main.

"Allo, police ? Mon frère est revenu. Il refuse de partir."

"Yukio, nous avons déjà eu cette conversation," expliqua l'officier à l'autre bout de la ligne d'une voix fatigué. "On ne peut pas arrêter ton frère pour le simple fait d'exister."

Yukio raccrocha le téléphone qui craqua sous le coup et se couvrit le visage avec ses mains.

-De retour dans le présent!-

Rin et Yukio couraient ensemble sur la route, se dirigeant vers le monastère où ils avaient été élevés. Yukio avait reçu un appel à propos d'une attaque qui avait lui ici, et que le diable emporte Rin s'il allait manquer quelque chose d'aussi excitant. Finalement en atteignant le bâtiment, ils passèrent sous les barrières de polices et entrèrent à l'intérieur, perdant leur souffle face à la scène cauchemardesque qu'il trouvèrent à l'intérieur. De long fils de soie pendait des murs, s'étirant du plafond au sol. L'endroit était dans un désordre complet, avec le mobilier détruit et les fenêtre brisé qui vont avec.

"Oh seigneur quelqu'un à pqufié l'église ? C'est terrible !" hurla Rin outragé, les yeux rivé sur les rubans de blancs. "C'était MON idée !"

"Rin, c'est de la soie d'araignée," aboya Yukio, touchant l'un des fils du bout des doigts.

"...Donc une araignée a posé une énorme pêche ici ?" Rin tourna sur place, observant les dégât avec une jalousie non voilée. "Mince ! Pourquoi J'AI pas pensé à ça ?"

Yukio ignora son imbécile de frère et s'approcha de là ou un groupe d'exorciste s'était rassemblés entre les bancs. Là il découvrir que plusieurs des membres de l'église étaient avaient été gelés sur place au sol, recouvert par un cocon de fils de soie.

"Oh, SEIGNEUR, c'est horrible !" murmura-t-il durement, les yeux sur l'horrible scène devant lui. "Rin, viens par ici !"

"Je...J'essaie..." pleurnicha Rin, pris dans l'une des toiles collante comme une mouche attardé luttant pour se libéré. "J'ess... saie !"

"Ne vous en faites pas, ils respirent toujours," rapporta un exorciste à Yukio avec une certaine autorité. "Mais nous avons également trouvé...CECI" il désigna le mur le plus éloigné de façon inquiétante. Yukio se tourna et perdit son souffle. Un message était gribouillé sur le mur dans un dialecte étranger, mais la menace était clairement compréhensible. "C'est écrit en polonais," continua l'exorciste. "Ça veut dire, 'Les suppo de Satan doivent mourir'. Yukio déglutit.

"Oh, je vous en prie ! Ce n'est PAS ce qui est écrit !" moqua Rin depuis sa toile, ayant réussi à libérer un de ses bras.

"Quoi?" Yukio se retourna pour fusiller son frère du regard. "Comme le peux-tu le sav-"

"Parce que c'est moi qui l'ai écrit !"

"...Alors pourquoi-"

"J'ai une écriture horrible."

"...Donc qu'est-ce que-"

"Ca dit, 'Yukio est un-'."

"LAISSE TOMBER." Yukio l'interrompit rapidement avant de commencé à arpenté les allées, son cerveau travaillant à toute allure. "Ça n'a aucun sens ! Quoi pourrai bien FAIRE une chose pareille ?"

"Spiderman ?"

"Rin, va t'assoir dans le coin."

"Ouais, tu as raison, il ne ferai jamais une chose pareille-"

"j'ai dit va t'assoir dans le co-"

"Je peux pas BOUGER, connard !"

"Alors reste ou tu es." Yukio pris une grande inspiration pour calmer son enfer intérieur avant de s'adresser de nouveau à un Exorciste qui portait un masque médical. "Des indices ?"

"Eh bien, avant qu'ils ne soient complétement recouvert par la toile," expliqua l'homme, sa voix légèrement étouffé, "ils ont dit qu'ils avaient été attaqué par un 'homme marqué'-"

Rin se tenait soudainement à côté de l'homme et en un seul mouvement il le frappa au visage. Tandis que l'homme s'effondrait au sol, Rin chanta son triomphe, pompant son poing en l'air.

"Je t'ai eu enfoiré !" sa voix traina quand il remarqua que Yukio le regardait bouche bée. "Il...il porte un masque..."

"La toile est magique," fit remarquer un autre exorciste, s'agenouillant à côté de l'un des corps pris dans un cocon. "Çà à complètement recouvert leur corps avant de durcir comme de la pierre."

"C'est ce qu'elle disait !" Rin se mis à glousser de son côté.

"Seigneur Dieu, t'a quel âgé, cinq ans ?" gronda Yukio.

"Cinq et demi, en fait. J'ai mesuré mais je suis toujours en pleine croissance-"

"Putain je vais te tuer."

"Ils récitent des prières pour rester en vie," coupa l'exorciste, faisant reprendre la conversation. "il ne leur reste qu'environ huit heure." Rin regarda immédiatement sa montre et commença à compter les seconde à voix haute.

"Sept heure, cinquante-neuf minutes, cinquante-neuf seconde… sept heure, cinquante-neuf minutes, cinquante-HUIT secondes… sept-"

"RIN !" Yukio plongea pour lui arracher sa montre des mains, mais le jeune garçon avait déjà traversé la porte et courrait dans la rue comme un fou en crise. En d'autre terme, comme l'idiot qu'il était d'habitude. "Rin, attend ! Qu'est-ce que tu fais, bon sang ?" Yukio suivit son frère hors de l'église et dans la rue.

"Tu as compris ? peut-importe qui a fait ça, c'est moi qu'ils veulent!" cria Rin par-dessus son épaule, s'arrêtant au milieu de la rue. "Eh, connard ! aller ! je suis là! Viens me chercher !"

"Il est juste là! PAR PITIER venez le chercher!" Yukio se joignit à lui, pointant Rin du doigt.

"ça ne marche pas," marmonna Rin, regardant tout autour de lui. "Je dois me mettre encore plus en danger. Dans les ruelles !" il sprinta jusque dans une ruelle sombre, marchant entre les flaques d'eau salle et les piles d'ordures. Yukio tenta de le suivre mais il fut rapidement distancé. "Où t'es ? OU ?" cria Rin tandis qu'il courrait, tournant à droite ou à gauche tout en cherchant en vain. Soudainement, il se figea, un frisson évocateur glissant dans sa colonne vertébrale. Quelqu'un était proche. Très proche. Il sentit que la personne était juste derrière- "TE VOILA!" Rin se retourna vivement et projeta on poing qui entra en contact avec-

Un pauvre sans abri.

"…Oh merde." Rin se tenait au-dessus de l'homme convulsant, clignant des yeux rapidement. "Oh seigneur je suis TELLEMENT désolé. Tien, mec. Prend cette monnaie. Va t'acheter un peu de bière." Il était si décider à retourner le fond de ses poches pour trouver de la monnaie qu'il manqua de voir l'ombre menaçante qui s'éleva depuis les ténèbres. Elle se jeta sur Rin, qui sentit l'attaque au dernier moment et se tourna pour faire face à son ennemi. "Waouh!" Rin grimaça à la vue d'un étranger vêtu d'un imperméable et d'un masque qui donnait la chair de poule dissimulant son visage. "… Désolé je n'ai plus de monnaie-"

Immédiatement l'étranger masque leva la main et tira un filet de toile sur l'épée brandis de Rin, scellant la lame. Rin resta de marbre, bouche ouverte béatement.

"…Foutre Dieu est-ce que tu viens de faire sortir ça de ton CUL ?"

"Quoi ?" l'homme masqué s'étouffa, sa voix épaisse et trop brouillé pour pouvoir être reconnu. "Non ! pourquoi j'aurai-"

"Parce que ça aurait été TOTALEMENT GENIAL-"

"… Je crois que je vais viser ta bouche maintenant."

"Rin, je t'ai retrouvé! Lança Yukio, tourna à l'angle et apercevant enfin son frère. L'étranger masquer leva son bras en reflexe et utilisa une ligne de toile pour se propulser en haut d'un bâtiment proche.

"OH MON DIEU C'ETAIT SPIDER MAN!" Rin s'étonna dans un souffle, le seul rond et brillant de bonheur. "Je suis ton plus grand fan! Je rêve toujours de volé avec toi à travers la ville de nuit, riant entre tes bras-"

"Cela explique pas mal de choses." Shura se posa à côté de Rin, le regardant de travers.

"Oh, eh, désolé, je n'ai pas entendu tes nichons se garer-"

Shura le fit tomber avec expertise et s'assit sur lui pendant que Yukio tirait ses pistolet et tentait de suivre l'étranger masqué, s'orientant tant bien que mal à travers le labyrinthe de ruelles jusqu'à ce qu'il arrive devant une vielle tour d'horloge. S'introduisant dans la structure abandonnée, il grimpa les escaliers a moitié effondré jusqu'en haut, ou il plongea entre les rouage et les mécanismes. A travers les toiles d'araignée, il aperçut une silhouette se tenant devant la lumière d'une grande fenêtre.

"Ne bougez plus!" il lança, pointa la personne de son arme. La silhouette se tourna lentement, révélant son visage. "…Professeur Nehaus ?" Yukio s'étouffa, fixant l'homme avec confusion. "Pourquoi êtes-vous ici ? Ne me dites pas que… vous êtes toujours…"

"Chaud pour toi ?" termina Nehaus.

"Non! Je veux dire, est-ce que vous essayez toujours de tuer Ri-"

"Parce que oui, complétement."

"Voulez-vous bien… avez-vous attaqué le monastère ou pas?"

"Tu es si mignon quand tu es en colère."

"REPONDEZ SIMPLEMENT A LA QUESTION!" Yukio fini par exploser, les joue en feu.

Nehaus ne répondit pas, au lieu de cela il tourna son regard tristement pour regarder par la fenêtre la ville qui s'étendait à l'extérieur. Il prit une grande inspiration et soupira, secouant la tête.

"Peut-importe combien tu regard," il murmura doucement, "si ton jugement et faussé, tu ne découvriras jamais la vérité."

"Vous ne pouvez pas ACCEPTER la vérité!" lui retourna Yukio.

Il y eu un moment de pause pendant laquelle Nehaus fixa Yukio.

"Je…j'ai toujours eu envie de dire ça," dit Yukio, un peu honteux.

"Et moi j'ai toujours voulu dire CA," répondit Nehaus. "PREND MOI."

Avec un fracas soudain, les rouage de l'horloge se décrochèrent et commencèrent à tomber, écrasant pierre et bois avec leur poids. Nehaus profita de la distraction pour s'échapper, tandis Yukio se précipitait vers la sortie.

"Je crois qu'il est TEMP de sortir d'ici!" lança-t-il, avant de marqué une pause. "…mince il faut que je raconte celle-là à Rin en rentrant!"

-Plus tard…-

Yukio retourna au monastère dévasté, rejoignant Rin et Shura dans la cuisine. Là, lui et la poitrine de Shura tinrent une conférence, discutant des mesure à prendre pendant que Rin luttait avec son épée scellé.

"Bon sang! Saloperie… je n'arrive pas à la sortir!" grogna-t-il, forçant sur la poignée. Il s'arrêta pour reprendre son souffle, fronçant les sourcil de colère face aux fine lignes de fils collants qui tenait la lame dans son fourreau. "…On dirai un peu de la barbe à papa." Après un instant, il tira lentement la langue et commença à s'approcher.

"Rin, qu'est-ce que tu es en train de faire ?" la voix de Yukio le coupa, figeant Rin sur place. ses yeux dérivèrent vers le côté pour trouver Yukio et Shura qui le fixaient avec dégout.

"…Je n'allais pas le faire !" protesta Rin. "… A moins que vous ne me payez, dans ce cas JE M'EN SERAIT FOUTU PARTOUT-"

"Oh seigneur, laisse tomber." Yukio se retourna vers la poitrine de Shura et reprit l'importante discussion. "Donc, je pense que d'une certaine façon le professeur Nehaus à un lien avec l'étrange laboratoire qu'on a trouvé à travers le portail du van."

"Hmm, oui," répondit Shura, hochant la tête. "Il y avait des traces de vie artificielle là-bas, bien que je ne comprenne pas comment Nehaus peut avec un lien avec ça."

Le regard de Rin se plongea sur les deux, un air de profonde répugnance sur son visage.

"Je crois que mon cerveau viens de se suicider."

"Oh, si seulement," moqua Yukio.

"Donc c'était Nehaus qui a attaqué notre église?" demanda Rin. "C'est entièrement de ta faute Yukio, tu ne lui as pas laissé sa chance."

"Rin, la FERME!"

"Je dis ça, je dis rien. Il est probablement un type bien, et tu es tellement snob-" soudainement Rin s'interrompit et s'étrangla face à Shura, remarquant son haut de maillot de bain et son mini short. "Grand DIEU comment fait tu pour te tenir dans cette église et ne PAS avoir de combustion spontané habillé comme ça ?"

"Comment fait tu pour être ici alors que tu es le FILS de SATAN?" lui retourna Shura, redressant un sourcil.

"Parce que je suis diablement bon à ça, c'est pour ça." Répondit Rin de but en blanc, puis il se leva promptement et se dirigea vers la porte. Yukio intervint rapidement, se tenant devant son frère et croisant les bras.

"Et ou crois-tu allé comme ça ?" il demanda d'un ton sérieux, bloquant la vois. Rin le regarda.

"CHIER."

"Tu viens d'y aller." Les yeux de Yukio se plissèrent. "On entendait tes gémissement depuis le couloir."

"…DIARRHEE-"

"Rin, tu ne quittes pas cette maison !" Yukio pointa Kurikara du doigt, agrippé dans la main de Rin. "Tu ne peux même pas te servir de ton épée ! Comment pourrais-tu te battre ?"

"Euh… comme ça !" dit Rin, levant son poing. "UFC, bébé ! HOOOO-" il lança son poing en direction de Yukio, qui l'attrapa sans mal avant de lui mettre un coup de genoux dans l'estomac. "…t.. tu en veux encore, CHIEN ?" cracha Rin, tombant à genoux et se tenant le ventre.

"Ça suffit, Rin !" Yukio éclata, repoussant son frère. "J'irais après l'homme masqué. Tu ne vas nulle part. tu… tu es PUNIS !"

"Quoi ?" Rin hoqueta en outrage, les yeux rond. "Tu ne peux pas ! Ce n'est pas juste ! Je n'ai rien fait ! Je te déteste, papa ! Tu ne me comprend jamais !" il éclata en sanglot.

"Je comprends CA." Yukio tira son pistolet et tira une balle sur Rin entre les deux yeux. Immédiatement après les yeux du jeune garçon roulèrent dans leur orbite et il s'effondra au sol, inconscient. "… Oh. C'était un tranquillisant. C'était totalement ce que j'avais prévu. Et pas une vrai balle." Yukio rangea son arme et soupira. "Prend soin de lui, "dit-il à Shura, puis il se précipita vers la porte.

"Eh, attend !" Shura tenta de l'interpeller. "Tu te fous de moi ? Je n'ai aucune idée de comment- oh, EURK, il a pissé! " Elle resta devant le corps prostré de Rin, renfrognées. "…je suppose que je n'ai qu'à mettre du papier journal par terre ou un truc comme ça."

-Plus tard cette nuit-

Tard cette même nuit, Yukio était assis dans une petite voiture, serré comme des sardines aves trois autres exorcistes. Monsieur Tsubaki se trouvait sur le siège conducteur, jetant des regard noir vers la fenêtre d'un bâtiment plongé dans le noir devant eux.

"Le professeur Nehaus est ici ?" il demanda à Yukio dans un murmure étoffé, celui-ci hocha la tête en confirmation.

"Oui," il répondit tout aussi doucement. "Je l'ai traqué ju- BORDEL DE DIEU est-ce que c'est un putain de SERPENT dans cette cage?" il recula le plus possible et regarda béatement la créature accroché au rétroviseur de la voiture.

"C'est… c'est ma décoration de retro," répondit Tsubaki un peu embarrassé.

"…C'est un serpent… dans une CAGE. Ce n'est certainement PAS légal." Yukio le fixa pendant un long moment. "Par contre, c'est abso-foutre-lument génial."

"…Je pense que Rin détint un peu sur toi."

"Ne me forcez pas à vous tirer dessus. Allons-y."

La petite équipe d'exorciste débarqua de la voiture et pénétra dans le bâtiment sombre, plongeant plus profondément dans les tréfonds de la ville. Très vite ils se retrouvèrent à vagabondé à travers les nombreux tunnels sombre des égouts, la lueur de leur lampe torche suivant leur mouvements tandis qu'il fouillaient les ténèbres. Il se séparèrent en équipe de deux, Yukio prenant l'homme à moustache tout en déclarant qu'il n'était pas sécuritaire pour lui d'être seul avec monsieur Tsubaki, qui devait s'accommoder avec la femme du groupe (qui avait un horrible sens de la mode, nota le professeur avec dégout.) Après plusieurs long moment tendus à galérer dans les tunnels et à chercher, Yukio s'arrêta, levant la main pour prévenir l'exorciste qui le suivait.

"Chut! Vous entendez ?" Il se tut, écoutant. "Quelque chose approche…" il se tapis dans le coin, arme au poing, attendant. Les bruits d'eau se rapprochaient, le coupable se rapprochant, jusqu'à ce qu'une silhouette émerge finalement de-

"KOWABUNGAAA!"

*BLAM BLAM BLAM!*

"Yukio ! Qu'est-ce qui ce passe?" Monsieur Tsubaki demanda à travers la radio dans l'oreille du jeune. "J'ai entendu des coups de feu ! Est-ce que tout va bien ?" il y eu un moment de flottement avant que Yukio ne répondent.

"…Je crois que je viens juste de tuer Michelangelo des Tortue Ninja."

"Ohhh, ce dessins anime était l'un de mes préféré quand j'étais gamin!" se plaignit l'exorciste à moustache, tapotant le corps avec son pied alors qu'il flottait dans les eau putrides.

"Ouais," ajouta le professeur Nehaus de derrière le duo. "Bien joué, Shredder."

"Très bien," gronda Yukio, "maintenant ça suffit tous les deux ooOOhMONDIEU!"

*BLAM BLAM!*

Nehaus esquiva les balles et s'enfuit par à l'angle d'un croisement, Yukio sur les talon. Immédiatement il y eu un cri de derrière et il se retourna pour voir son partenaire exorciste enserrer fermement dans un cocon de soie.

"…Toujours mieux que d'être avec monsieur Tsubaki," lui dit Yukio, tapotant son visage momifié pour le réconforté.

-De retour avec Rin !-

Rin renifla soudainement lorsqu'il se réveilla avant de s'assoir, un fin filet de bave collé à son menton. Il cligna des yeux lentement, frottant le sommeil hors de ses yeux.

"Qu'ez guiz passe?" marmonna-t-il, ses yeux retrouvant Shura, assise sur une table à côté, buvant une tasse de café. "Pourquoi y'a du papier journal dans mon froc?"

"T'aurais préféré que je te passe au tuyau d'arrosage ?" renifla Shura, levant les yeux au ciel.

"Non, pas vraiment- ooh Garfield!" Rin sorti une des pages avec le sourire. "Ce gros chat et tellement stupide!" soudainement il jeta le journal, bande dessiné oublié. "Enfoiré de Yukio! Pourquoi est-ce qu'il me tire dessus ? Qu'est qui ne va pas chez lui, bon sang?"

"Ça s'appelle l'inquiétude," affirma Shura depuis la table, prenant une autre gorgée.

"Ça s'appelle être un connard!" Rin se redressa péniblement sur ses pieds, ses jambe affaiblis quelque peu flageolante.

"Attention," s'amusa Shura. "Tu es toujours groggy à cause du tranquillisant."

"Je vais bien," grogna Rin, avant de tombé dans la cafetière, renversant le contenu encore brulant sur ses mains et ses jambes. "AAAAUUUU- *shluuuurp* Ahhh! Voilà qui réveille- UUUUUGGGGHHHHH!'

"Pourquoi s'ennuyer à y aller?" lui demanda Shura, le regardant tituber vers la porte. "Tu arriveras à rien. C'est parce que tu ne peux contrôler tes flammes que tout le monde a peur, est inquiet, et/ou souffre à cause de toi."

"Lâche-moi la grappe, pis de vache!"

"Et il y a ça , aussi," ajouta Shura. "Le fait que tu sois un connard ne t'aide vraiment pas. Mais ça suffit. Viens là." Elle se leva, chercha dans un petit sac avant d'aligner trois bougies sur la table. "Ecoute. Voilà tes amis. Si tu ne peux pas contrôler tes flammes, ils mourrons." Elle marqua une pause. "Ou survivront avec d'horribles brûlure au troisième degrés tout en souhaitant être mort de toute façon. Ce que j'essaye de dire c'est que-"

"Laquelle est Suguro?" l'interrompit Rin.

"…Quoi?"

"Je veux lui rouler des pelles."

"Rin, soit sérieux !"

"Je suis sérieux!" Rin observa les bougie pendant un instant. "Regarde, celle-là a une tache dessus donc elle peut-être Yukio et ses grain de beauté chelou-"

"RIN!" rugit Shura, frappant la table du plat de la main. "Tu n'as qu'une seule chance. Contrôle tes flammes. Fait-le. MAINTENANT."

"…d'accord!" Rin prit une profonde inspiration et ferma les yeux, se concentrant durement. Il imagina les bougie être ses amis, tout aussi inflammable et avec presque autant de personnalité. Il devait faire attention, ou bien il les réduirait en cendre. "Je peux le faire…" s'encouragea Rin, invoquant ses flammes avec précaution. "Je peux le faire… je peux le faire… je PEUX LE FAIRE!"

Et la cuisine se retrouva prise dans une torrent de flammes bleues.

Rin fit un petit sourire à Shura, qui jura avant de lutter pour se frayer un chemin jusqu'à l'extincteur.

"…Est-ce que je peux avoir… une dernière DERNIERE chance ?

-De retour avec Yukio!-

Yukio et les autres exorcistes étaient sortis des égout humides et s'étaient regroupé dans la voiture avec la géniale décoration serpent dans une cage. La femme exorciste s'affairait sur celui qui était maintenant momifié, cherchant des signes vitaux.

"Mince, nous avons été imprudent," souffla Yukio plus pour lui-même, se sentant honteux.

"Très juste," lui accorda monsieur Tsubaki, son regard se portant sur ses pieds. "Je savais que je n'aurais pas dû porter mes Gucci cette nuit !"

"De quoi, attendez-"

"Mais elle rendent mes jambes tellement sexy, je ne pouvais pas résister ! maintenant elle sont fichue-"

"Est-ce qu'il va s'en sortir?" Yukio se tourna et interrogea la femme, fermement décidé à ignorer monsieur Tsubaki et ses vociférations.

"ça condition est stable," répondit la femme, ajustant son stéthoscope. "… je crois que je peux l'entendre chanter 'Mm-Bop'."

"… donc il devrai être bon pendant encore une paire d'heure?

Don'tcha wish your girlfriend was HOT like me? Don'tcha wish your girlfriend was a FREAK like me? Don'tchaaa?

"Allo?" monsieur Tsubaki répondit a son téléphone et couina de joua. "Oh, hey, chérie! Comment ça va ? Oh, petit chenapan! Non, je ne te dira pas la couleur de mes dessous! Tu es si vilain!"

"Oh, seigneur." Soupira Yukio, se massant les tempes.

"D'accord, j'ai compris! A plus tard, bébé !" *Bisou bisou*! Monsieur Tsubaki raccrocha et se tourna vers les autres. "C'était Méphisto."

"Oh, seigneur!" Yukio s'étouffa.

"L'homme masqué est en train d'attaquer le dortoir des garçon à l'Académie."

"OH, SEIGNEUR!"

-A l'Académie-

Comme monsieur Tsubaki l'avait rapporté, le dortoir des garçon était effectivement attaqué par l'homme masqué. L'étage était un désastre, les meuble brisé ou retourné, les garçon criant de peur tandis que l'homme masqué tirait des toiles à travers les chambres, les emprisonnant tous.

"Mince! On est dans le caca!" pleurnicha Shima, attaché au mur par des fils collant. "Oh, c'est sûr il va trop nous violer!"

"Quoi?" cria Konekomaru alarmé, tout aussi collé contre le sol non loin.

"Il ira probablement vers toi en premier, vu que tu es le plus féminin," continua Shima.

"QUOI?"

"La ferme, Shima!" aboya Suguro par-dessus son épaule, faisant face à l'homme masqué avec une chaise en main. Il faisait de son mieux pour repousser l'attaquant et pour sauver ses amis, mais il ne faisait pas beaucoup de progrès.

"Tu ne comprendrais pas, Bon!" lui cria Shima. "Il te violerais probablement en dernier parce que tu es le plus masculin!"

"Je… te…remercie-GWAAAAUGH!" parvint à sortir Suguro avant qu'il ne soit lui aussi pris au piège dans la toile collante. L'homme masqué émit un rire maléfique, se dressant devant les trois garçon.

Dehors, une foule impatiente s'était rassemblée devant le bâtiment, les yeux rivé sur les vitres brisées des chambres du dortoir tout en murmurant entre eux. Yukio arriva, courant droit vers un officier de police isolé il lui demanda ou en était la situation.

"C'est l'homme au masque," répondit rapidement l'officier. "Il tient quelques gamins en hottage là-haut." Il marqua une pause. "Il va probablement commencer par violé le plus petit, avant de passé à-"

"OK, qu'est qui ne tourne pas rond chez vous les gens?" cria Konekomaru par la fenêtre.

"Je prendrais ça comme un compliment," déclara Méphisto, apparu soudainement à côté de Yukio qui eut un mouvement de recul. L'homme extravagant fit tourner son parapluie et le tint en hauteur. "C'est un acte de bravoure que d'attaqué mon Académie. Mais sachez cela ! je suis le seul à être autorisé à harcelé sexuellement mes élèves! Je vais vous le faire regretter!" avec un sourire sournois, il commença à faire tourner lentement son parapluie vers le ciel avec des intention malveillante.

"…Est-ce que… vous jetez un sort?" demanda le policier dans l'incertitude.

"Un sort!" Méphisto lança un regard noir à l'homme, son visage inexpressif. "Oh, JUSTE CIEL non. J'ai l'épaule un peu raide en ce moment donc je l'étire-bien sûr que je suis en train de jeter un sort espèce de bouffon!"

Au-dessus dans le ciel nocturne, un symbole de feu était en train d'apparaitre, illuminant les étoiles. Les flammes s'enroulèrent, devenant lentement un cercle tandis que d'autres parties se rejoignaient formant…

"…Est-ce que c'est un smiley clin d'œil?" demanda Yukio après un moment.

"Maintenant ça va être un smiley colère!" lança une voix avant de rire. Soudainement un puissant jet d'eau s'éleva vers le ciel and éteint le symbole de feu, arrêtant brutalement le sort de Méphisto. Tout le monde laissa échapper une exclamation de surprise et se tourna pour trouver Angel qui les regardait de haut depuis l'échelle d'un camion de pompier, tuyau en main. "Oh, je suis TELLEMENT désolé. Ma main à glisser."

"Qu'est qu'il fout avec une putain de lance à incendie?" se demanda Yukio pour lui-même. "Il se lave les cheveux?"

"Très bien, Méphisto," déclara Angel, descendant de l'échelle( ce qui était un exploit avec des talons). "Vous êtes en état d'arrestation. Vous avez le droit de gardé le silence-"

"Vas te faire voire," affirma Méphisto de but en blanc.

"D'accord, vous avez l'ordre de garder le silence," se corrigea Angel, poussant l'homme sur le côté du camion de pompier. "Tous ce que vous direz ou ferrez sera poster sur mon Twitter plus tard. Maintenant tournez-vous et écartez les jambes."

"Je paris que c'est la première fois que c'est toi qui le dis," marmonna Méphisto, bougeant pour obéir. Angel l'ignora, sortant une paire de menotte à fourrure rose de sa poche arrière.

"…c'est tout ce que j'ai."

"Je ne me plaint pas." Méphisto fit un clin d'œil coquin.

Yukio, toujours aussi réactif, utilisa la distraction extrêmement gay pour passer devant le garde figé d'horreur et entré dans le dortoir. Son pistolet sorti, il grimpa les escaliers jusque dans le couloir se dirigeant vers la chambre ou l'homme masqué gardait les garçons prisonnier. Il jeta un coup d'œil par la porte entrouverte et vis les trois élèves, tous accroché au mur par des couches de toiles.

"s'il vous plais soyez doux avec Konekomaru," disait Shima à l'homme masqué, qui faisait les cent-pas devant eux. "Il est délicat-"

"Ouais, au moins gardez le contact visuel ou un truc comme ça," ajouta Suguro.

"Est-ce que vous les gars allez-vous LA FERMER à la fin? Il ne va PAS me violé!" leur hurla Konekomaru, perdant finalement son sang-froid. Soudainement l'homme masqué s'arrêta, et s'avança lentement vers lui. "…oh mon dieu il VA le faire! Aidez-moi ! au secours!"

"Vite, dis-lui ton nom!" Cria Shima avec désespoir. "Laisse lui savoir que tu es un être humain!"

"Oh…oh seigneur!" Konekomaru s'étouffa sous la panique et tremblas tandis que l'homme au masque se rapprochait. "MON NOM EST KONEKOMARU, J'AIME LES CHATS ET ETUDIER ET PARFOIS JE ME VERNIS LES ONGLES DE PIEDS! S'IL VOUS PLAIS NE VIOLEZ PAS MES ORIFFICES !"

L'homme masqué se pencha sur le garçon tremblant, la tête incliné, l'observant, puis il avança doucement sa main et-

Ramassa un téléphone portable tombé par terre.

"OH SEIGNEUR DIEU IL VA PRENDRE DES PHOTOS PENDANT QU'IL LE FAIT-"

"Hey!" cria Shima, béat devant l'étranger. "C'est mon téléphone portable! Non! Attendez! J'ai plus de forfait! NOOOOONN! Vous pouvez pas juste violer Konekomaru?"

"je t'emmerde, Shima!"

L'homme masqué ignora les deux garçons, pianotant un numéro avant d'attendre patiemment que l'autre interlocuteur décroche.

"Uiallo?" répondit la voix de Rin. "Je jure devant dieu que si c'est encore un démarcheur téléphonique je vous tuerais."

"Peux-tu m'entende, Fils de Satan ?" pesta l'homme masqué sombrement.

"Que…cette voix! C'est toi! Est-ce que c'est le téléphone de Shima?" Rin inspira soudainement. "IL NE LUI RESTE PLUS DE FORFAIT, ESPECE DE MALADE!"

"Ouiii…" l'homme masqué lâcha un ricanement maléfique. "Je continuerai à faire du hors forfait surtaxé jusqu'à ce que tu arrives." Il raccrocha le téléphone et se retourna vers les garçons pour les menacé à nouveau. Yukio saisi sa chance et sortir des ténèbres, visant en hauteur.

"AH! Je ne vous laisserai pas-" et il courut droit dans une toile."…bon sang."

"Oh mon dieu, tu es SAUVE, Konekomaru!" pleura Shima, les yeux ronds tandis qu'il désigna Yukio, comme il le pouvait vu son état de captivité. "Viole-le-lui en premier! LUI! Regarde comment il est beau!"

"Ne le touche pas! Il est à MOI!" soudainement il y eu un effroyable fracas et la fenêtre explosa vers l'intérieur, du verre se répandant au sol tandis que Rin apparu de par l'ouverture. Puis il se laissa promptement tombé au sol et resta sans bougé, parce que volé à travers les fenêtre sa faisait putain de mal. L'homme masqué le regarda pendant un instant avant de se rendre compte qu'il avait une lame pointé sur la gorge venant de derrière lui.

"Ah! J'tais eu!" Shura souri, se tenant derrière l'homme, son épée tirée. Une petite équipe d'exorciste apparu dans l'entrée, armes prêtes. "Ne bouge pas, tu es encerclé. Bon boulot avec la distraction, Rin!" Rin ne bougea pas."… Rin ?"

"Vous pensez avoir gagné?" l'homme masqué cracha sa menace.

"…Eh bien, plutôt, ouais- WOAH!" lança Shura quand l'homme se mis à tournoyé, frappant tout le monde avec de longs fils de toiles pour les capturé en l'espace d'un instant. "Très bien, je suppose que ce n'est pas tout à fait le cas. Rin! Ta seconde chance viens d'arriver!"

"Mmkay…" Rin tituba sur ses deux jambes, retira quelque morceau de verre de sur son visage et lança un regard noir a l'homme masqué. "Nous y voilà!" il invoqua ses flammes, le feu bleu rageur se rependis à travers la pièce et dévora tout. Après quelques instant sous tension, les flammes disparurent, laissant les garçons intouché et libre de leur toiles.

"D'accord! Ta vus ça? Je l'ai fait!" Rin sauta de joie. "J'ai contrôlé mes-" tous les exorciste a l'entré n'étaient plus que des tas de cendres fumantes."…euh, cinq sur dix, c'est plutôt pas mal, non?"

"Non, pas vraiment," affirma l'homme masqué avec un haussement d'épaule. Rin le frappa, l'envoyant volé par la fenêtre jusqu'au jardin plusieurs étage en dessous. Shura suivi rapidement, sautant par la fenêtre pour atterrir accroupis devant le corps étendu de l'homme. Elle hoqueta de surprise quand le masque se fendis sous la chaleur et se désintégra, révélant…

"C'est une femme!" Shura souffla, les yeux rivé sur la belle blonde gisant sur le gazon. Puis elle jeta un coup d'œil plus bas. "…mes seins son plus gros."

"C'est FAUX!" cria Nehaus, sortant de l'ombre et éloigna Shura de l'étrange femme. Immédiatement les yeux de la femme s'ouvrir et elle se redressa péniblement, avant de se précipité vers la forêt toute proche pour s'échappé.

"Nehaus!" lança Shura avec colère, se tournant pour lui faire face. "Qu'est-ce que vous faites? Est-ce que ce démon et vous travaillez de concert pour tuer Rin?"

"Ce n'est pas un démon!" lui renvoya Nehaus, les dents serrées."…Elle est…ma FEMME!"

"Vous êtes marrie à Spiderman?" Rin resta sans voix, se tenant inexplicablement à côté de lui, un bras sur son épaule. "Mec je suis TROP jaloux! C'est MON rêve!"

Inutile de le dire, le professeur Nehaus fut arrêté, pendant que sa Spiderman épouse truc se fit la belle. Rin et les autres retournèrent au monastère mis à sac, ou Rin utilisa ses nouveau pouvoirs un peu aléatoire de flammes bleues pour bruler les toiles et libéré ses autres amis. Les exorcistes s'activaient parmi les prêtres convalescent, vérifiant leur signes vitaux et prenant connaissances des dommages.

"Il n'ont que de légères blessures, rien de sérieux," dit un exorciste à Rin tandis qu'il se tenait parmi le groupe de membre d'église. "Bien qu'il se PEUT qu'il ait développé un trouble de la personnalité sévère pour préserver leur mental après avoir été piégé dans la solitude pendant des heures."

"Quoi?" un membre d'église cligna des yeux sous la confusion, massant ses muscles endolories. "Je ne vois pas de quoi vous-VOLEZ VOTRE AME."

"Tu nous a sauvé, Rin!" dit un autre, tapotant le dos du garçon. "Je n'arrive pas à croire que je suis en train de dire ça, mais merci! Tu as vraiment grandis!"

"Ah! Merci, les gars!" Rin rougit avec pudeur et sourire pendant que tout le monde autour de lui se réjouissait, riant de soulagement. Puis l'un deux attrapa soudainement Rin a la gorge et commença à l'étranglé.

Etrangement absent des réjouissances à l'intérieure, Yukio était assis sur les marches à l'entrée, retournant ses pensées sombres dans sa tête.

"Bon sang," se marmonna-t-il, le visage grave. "Je suis sensé le protéger. Protégé Rin. Mais maintenant…est-ce qu'il a au moins besoin de moi?

Une voiture noire aux longues lignes se gara avec un bruissement de gravier. Yukio leva la tête pour rencontrer un grand homme en costume qui s'approchait, ses yeux caché derrière une paire de lunettes noire.

"Etes-vous Yukio Okumura?" demanda l'homme solennellement.

"Je… oui." Yukio cligna des yeux, confus. "En quoi puis-je vous aidé?"

"Venez avec moi. Il y a quelqu'un qui voudrais vous rencontré."

'Ecoutes, je suis désolé, mais je ne fais plus ce genre de chose-"

"Vous pourrez monter dans un train."

"Un train? La VACHE, j'en suis!" Yukio sauta en bas des marches et monta dans la voiture avec l'homme.

La voiture disparu dans les ténèbres de la nuit.

-Fin de l'épisode 20-


Note:

Non mais quand j'ai vu que j'avais commencé ce chapitre en 2015 j'ai hurlé comme un ptérodactyle et j'ai redoublé d'effort pour essayer de le finir. La bonne chose étant que je suis une bien meilleure traductrice maintenant.

Juste que je n'ai plus autant de temps à consacré à la ça. Cette fic est une horreur à traduire avec tous ses saut d'italique à majuscule. Mais bon je compte bien la finir un jour pour ceux qui sont toujours là pour lire.

Merci de votre patiente.