Bonjour tout le monde! Ici Audrey et Marie, deux petites nouvelles sur cette planète Fanfiction!
Ceci est notre première traduction et nous espérons que cela va vous plaire.
La fiction que nous traduisons ici est "Sincerely, Lieutenant Cullen" de sa merveilleuse auteur: LuvCullens.
Donc voilà, il ne reste plus qu'à lire! Bonne lecture!
Disclaimer: Les personnages de Twilight n'appartiennent qu'à Stephenie Meyer et l'histoire qu' à LuvCullens.
Chapitre 1
« Bella, ça fait un mois. Passe à autre chose. » rabroua Emmett à sa petite sœur, ses mains jetées en l'air.
« Emmett », le réprimanda Rosalie du côté de Bella.
« Non Rosalie, je suis fatigué de tout ça. Bella, tu es plus forte que ça. Peu importe combien tu m'as rendu fou en grandissant, j'ai toujours pensé que tu étais coriace. Tu n'as jamais laissé quelqu'un t'atteindre et tu n'as jamais laissé quelque chose se mettre en travers de ta route. Et maintenant tu laisses ce crétin et cette sorcière de colocataire te ruiner. Pourquoi ? Tu étais trop bonne pour lui de toute façon. PASSE A AUTRE CHOSE.
Des larmes coulaient sur les joues de Bella. « C'est beaucoup plus facile à dire qu'à faire. Tu n'as aucune idée, Emmett. Aucune idée de ce que je traverse ! »
« Tu as raison je n'ai jamais eu le cœur brisé. La seule personne que j'ai jamais aimé m'a adoré toute ma vie. » Emmett fit un clin d'œil à sa femme avec un sourire diabolique.
« Te comporter en idiot n'aide pas. » Rosalie secoua la tête au manque de compassion de son mari.
Bella se leva pour quitter la salle mais Emmett la saisit par les épaules. « Regarde-moi Bella. Je ne suis pas venu ici pour te faire te sentir comme de la merde, mais tu ne resteras pas assise tout l'été, pleurant au téléphone avec ma femme enceinte et penser que ça t'aidera à tourner la page.
« Tu as absolument raison. Je ne comprends pas mais j'ai regardé un de mes potes passer par un enfer pire que le tien et je ne l'ai jamais vu échapper à ses responsabilités un seul instant. Sa vie de famille n'est pas super, sa fiancée l'a brisé, et le gars n'a personne pour veiller sur lui. Il ne reçoit jamais de lettres ou de colis, bon sang. Pas une seule fois je ne l'ai vu assis en pleurant et laissant sa vie lui échapper.
« Tu sais que je ne suis pas pour toute cette connerie de jargon psychologique mais je pense que parler à quelqu'un qui a vécu quelque chose de semblable peut aider. Il peut te comprendre et peut être te montrer ce par quoi il est passé à travers ça. D'ailleurs, il pourrait réellement avoir besoin de quelques lettres et d'un ami. Tiens... » Emmett lui tendit un petit carré de papier avec un nom et une adresse griffonnés dessus. « ...si tu peux penser à quelqu'un d'autre qu'à toi-même pendant un certain temps, tu pourrais lui écrire, il pourrait apprécier la lettre. »
Emmett se pencha et embrassa amoureusement sa femme, posant une main sur la minuscule bosse de son ventre. « Je vais faire une randonnée avec mon père. Je serais de retour dans quelques heures. Je t'aime. »
Emmett se dirigea vers la porte et se tourna vers sa petite sœur. « Je t'aime aussi, Bells. Je veux juste revoir ton ancien "toi". »
Bella hocha la tête et regarda le papier dans sa main. Lieutenant Edward Cullen.
OoOoO
Peu importe combien de temps Edward passa au soleil, sa peau n'a jamais semblé s'y adapter. Il sentait toujours l'inconfortable brûlure sur son dos et son cou pendant qu'il courait. Cependant pour une raison quelconque, ça n'avait jamais été assez gênant pour qu'il remette son maillot. La chaleur était refroidie par les dribbles constants de sueur qui tombaient de ses larges épaules jusqu'à sa taille. C'était le moment d'Edward, son propre moment. Pas pour son pays, pas parce qu'il avait dit qu'il le fallait, pas parce qu'il était inquiet de se maintenir en forme. Courir était son moment thérapeutique. Il pouvait enfin être seul sans personne pour lui dire ou lui demander quoi faire. Il pouvait penser à des choses personnelles dont il devait se séparer quand il faisait son boulot. Sa tête se vidait toujours après cette période d'effort, et il était prêt à retourner à son travail et à donner le meilleur de ses capacités.
Aujourd'hui, ce 29 juin, aurait été leur septième anniversaire à Tanya et à lui. Oui, pensa-t-il, courir était définitivement nécessaire aujourd'hui. Cela faisait deux ans que c'était fini et les souvenirs le tourmentaient toujours. Ses muscles se tendirent de frustration en pensant à ce qu'il faudrait faire pour la faire sortir complètement de sa tête, pour de bon. Ça allait un peu mieux chaque jours mais ce n'était pas assez rapide. Il était un homme, il ne pensait pas qu'il aurait pu être affecté de cette façon. Il se sentait parfois comme s'il portait le poids du monde sur ses épaules, ceci était la malédiction de ces hommes qui prenaient trop au sérieux leur métier dans l'armée. Ils protégeaient l'ensemble du pays contre le mal dans le monde, alors comment avait-il le temps de s'inquiéter que d'une seule femme ? Une femme qui l'avait complètement détruit il y a deux ans .
Laissant sortir un petit grognement, Edward se mit en appui sur ses mains et ses orteils, à quelques mètres de la base, et commença ses pompes et ses abdominaux. Il n'était pas encore prêt à être entouré des gars.
« Cullen »
Edward braqua ses yeux vers la voix qui l'appelait, légèrement énervé de l'interruption. « Ouais ? »
« Une lettre pour vous. »
Ça ne faisait que quelques jours depuis qu'il avait reçu la dernière lettre de sa mère. Pouvait-t-il qu'il se soit passé quelque chose pour qu'elle lui écrive si vite ? En un mouvement rapide, Edward était sur ses pieds et s'avançait vers le jeune garçon qui lui tendait la lettre.
« Merci », marmonna-t-il, les sourcils froncés, et les yeux fixés sur l'enveloppe bleue. Il lut le nom de l'expéditeur. Bella McCarty. Des images de l'ensemble de ses connaissances et de sa famille lui traversèrent l'esprit, se rendant compte qu'il ne savait pas qui était Bella McCarty. Il n'avait jamais entendu ce nom auparavant. Ses yeux se précipitèrent vers le milieu de l'enveloppe pour s'assurer qu'elle lui était bien adressée, et là, dans une élégante écriture, était inscrit son nom. Lieutenant Edward Cullen.
Un frisson d'excitation et de curiosité le parcourut quand il se demanda quelle femme lui envoyait une lettre, et pourquoi ? De retour au campement, il se laissa tomber sur le bord de son lit, et tira un couteau de poche de sous son lit pour ouvrir l'enveloppe. Ses mains nerveuses déplièrent le papier, tandis que ses yeux se précipitèrent autour de lui pour voir qu'il n'y avait que deux autres soldats dans la pièce. Les deux étaient endormis. Se sentant rassuré pour sa vie privé, il commença à lire la lettre.
Lieutenant Cullen,
Je sais que vous ne me connaissez pas , mais vous connaissez mon frère. Je l'appelle la créature la plus agaçante sur Terre, mais vous vous référez à lui comme le Lieutenant Emmett McCarty. Cependant, si vous le connaissez bien, il est hautement possible que vous vous l'appeliez comme je le fais.
Un sourire se propagea sur son visage et un petit rire s'échappa de ses lèvres. Il connaissait, en effet, Emmett McCarty, et pouvait totalement comprendre pourquoi sa sœur le trouvait agaçant. Edward le trouvait surtout drôle et honnête, mais il ne pouvait s'empêcher de se demander pourquoi la sœur d'Emmett lui écrivait.
C'est lui qui m'a donné votre nom et votre adresse, comme ça vous pourrez le blâmer si je vous ennuie. Si je ne vous ennuie pas, nous pouvons rester en correspondance mais ne lui laissons aucun crédit. En fait, j'apprécierai que vous ne racontiez pas à Emmett que je vous aie écrit. Je voudrais qu'il ne sache jamais que j'ai suivi son conseil et que je l'ai écouté.
Pendant qu'Emmett était à la maison pour un week-end au début de l'été, j'étais en train de traverser une mauvaise passe qui me rendait désagréable. De la façon tendre et aimante d'Emmett, il m'a dit que j'étais égoïste et que je devais passer à autre chose. Oui, il a tout à fait le sens de la formule. Qu'est ce qui ne va pas chez moi, quoique, quand il vous a mentionné, il a dit que vous étiez passé par quelque chose de similaire à ce que je traverse. Il a même dit que vous étiez un bon exemple parce que vous ne vous êtes jamais assis à pleurer sur votre malheur. Donc me voilà, une « égoïste » qui écrit à un inconnu, avec l'espoir qu'il puisse m'apprendre comment « passer à autre chose », avec les dires d'Emmett.
Laissez-moi vous parler un peu de moi. Je m'appelle Bella McCarty. J'ai 21 ans. Je vais à l'UCLA* où je termine mon diplôme en éducation. Actuellement, je suis chez mes parents à Forks, Washington, pour l'été. J'ai donné des cours particuliers à des enfants pendant l'été et j'ai porté compagnie à Rosalie (la femme d'Emmett). Il n'y a pas beaucoup de choses à dire sur moi. J'adore lire, faire des randonnées et camper. Je sais que vous devez être jaloux de ma génialissime vie, mais bon, je suis à Forks, qu'y-a-t-il d'autre à y faire ?
Quant à ce qui s'est passé et ce qui m'a amené dans toute cette dramaturgie, eh bien, vous devez penser que cette histoire n'est pas une grosse affaire, mais ça l'est pour moi. En fait, ça a fait s'écraser mon monde. Durant les dernières semaines du trimestre d'hiver, j'étais rentrée plus tôt chez moi de mes révisions pour les examens finals, et j'ai trouvé ma colocataire, Jessica, avec mon petit ami, Mike. Quand je dis avec, je ne veux pas dire qu'ils révisaient tous les deux pour leurs derniers examens. Cela m'a rendu si malade que j'ai littéralement vomi au milieu du salon de mon appartement, et je les évite tous les deux depuis. Je vais les voir l'année prochaine et rien que d'y penser, ça me soulève l'estomac.
Mon été touche à sa fin plus vite que je ne le voudrais et je n'en ai toujours pas fini avec tout ça. Je sais que je vais devoir faire face à mes démons lors de mon retour à l'école, donc je suis en quelque sorte désespérée pour toute aide que je peux obtenir. Emmett dit que vous êtes en mesure de m'aider et j'espère que vous le pouvez.
J'espère que cette lettre vous trouvera en sécurité et heureux. S'il vous plaît écrivez et parlez-moi de vous, comment avez-vous réussi à tenir le coup à travers votre situation et, surtout racontez-moi quelque chose d'humiliant à propos de mon frère.
Merci pour tout ce que vous faites pour notre pays et pour ma liberté,
Bella McCarty
Edward lut la lettre une fois de plus et plia ensuite le papier, en le remettant dans son enveloppe. Bien que l'excitation d'avoir reçu une lettre persistait –il était reconnaissant pour la lettre– Edward était confus par cette jeune fille. Qui écrit une lettre à un étranger, demandant de l'aide pour une situation personnelle ?
Bella. Il avait entendu des histoires sur elle, mais il ne pouvait se souvenir des détails. Maintenant, il souhaitait avoir mieux prêté attention à ces histoires. L'humour et l'esprit de Bella l'avaient amusé, mais il fut troublé par la colère qui le traversa quand il lut ses mots expliquant ce qui lui était arrivé. Les pensées d'Edward dérivèrent vers son propre passé.
Secoué par les flash-back de sa propre expérience, Edward sortit la lettre une dernière fois et traça de son doigt l'écriture de Bella. Quel idiot pouvait faire ça à une fille si douce ? Ouais, a-t-il décidé, ce gars devait être un idiot pour blesser la sœur de McCarty. Edward sourit à cette pensée et remit la lettre à l'intérieur de l'enveloppe.
Il ne pouvait décider quelle serait sa réponse. Il ne savait même pas s'il répondrait. A l'heure actuelle, les émotions venant de la lettre contre lesquelles il luttait, étaient de vieilles émotions bouillonnantes qu'il ne voulait pas faire ressortir. Et au dessus de ça, il y avait le sentiment de trahison. Comment Emmett a-t-il pu partager une telle information personnelle avec quelqu'un d'autre ? Sœur ou non, Edward avait tout raconté à Emmett à titre confidentiel.
Faisant courir ses doigts le long du bord de l'enveloppe, il décida de penser à ça plus tard. Il tira une boîte métallique de sous son lit et rangea, en toute sécurité, la lettre à l'intérieur. Il saisit sa serviette de son casier et se dirigea vers une douche bien nécessaire.
OoOoO
Courant de sa voiture jusqu'au porche de la maison, Bella essayait d'éviter une partie de la pluie torrentielle. Elle avait passé ses deux dernières heures à travailler avec un garçon de dix ans qui ne savait toujours pas lire. Faire du tutorat à des enfants et les aider à être meilleur était gratifiant, mais ça pouvait aussi être très frustrant. Elle avait besoin d'une pause mentale. Une fois à l'abri, elle s'assit sur la balancelle bancale du porche et enleva ses tennis qui étaient maintenant recouvertes de boue, puis elle enleva rapidement sa veste imperméable. Soupirant d'épuisement, elle tira ses genoux contre sa poitrine tandis que la balancelle se balançait d'avant en arrière, comme si elle la réconfortait. Une minute, elle sentait qu'elle ne pourrait pas vivre sans être entourée de vert et de l'odeur de la pluie, la suivante, elle pensait qu'elle brûlerait si elle ne sentait pas le soleil sur son visage. Aujourd'hui, le soleil lui manquait. Tandis qu'elle examinait l'environnement humide qui l'entourait, elle remarqua la boîte aux lettres pleine de courriers et bondit pour les récupérer.
De retour sur la balancelle, elle éplucha le courrier, incertaine parce que rien n'était pour elle. « Facture d'électricité, coupons, publicités, publicités, magasine... »
Bella arrêta son marmonnement quand elle remarqua une lettre lui étant adressée et venant du Lt Edward Cullen. Un sourire se propagea sur son visage, elle sauta de la balancelle et se dirigea vers sa chambre, laissant sa veste et ses chaussures derrière elle. Se jetant sur son lit, elle entreprit d'ouvrir la lettre.
Mademoiselle Bella McCarty,
Je tiens à vous remerciez pour votre lettre. Bien que j'ai été choqué de recevoir une lettre de la part d'une inconnue, cela aida à bien commencer ma journée. J'ai été surpris d'apprendre qu'Emmett vous avait parlé un peu de moi et qu'il vous avait demandé de m'écrire. Je l'avoue, je me sens un peu embarrassé que l'un de mes compagnons d'armes ait du quémander en mon nom, mais je l'accepte. Je suis entièrement d'accord sur le fait de garder secret notre correspondance. Donner raison à Emmett serait comme si on donnait raison au diable.
Bella bascula sur le dos avec un sourire amusé. Edward devait bien connaître Emmett, parce qu'Emmett était le diable en personne.
Laissez-moi vous parlez un peu de moi. Avec un peu de chance, je peux me présenter d'un façon un peu moins pathétique que votre frère l'a fait. Je m'appelle Edward. J'ai vingt-sept ans, et je suis de Chicago, Illinois. Je suis dans l'armée depuis trois ans. C'est à peu près tout sur moi, alors, vous voyez, votre vie est tout à fait intéressante.
Education, hein ? Allez-vous faire un Master ou prévoyez-vous d'enseigner ? Quels genres de livres lisez-vous ? J'aime lire aussi.
Je suis désolé d'apprendre votre situation avec votre ex et votre colocataire. Je ne sais pas quoi dire d'autre...ça craint. Je sais pourquoi Emmett a dit que je pouvais comprendre. Je comprends tout à fait ce que vous traversez. Six mois après le début de mon service, j'ai reçu une lettre de ma fiancée m'informant qu'elle voulait rompre notre engagement. Elle a dit et je cite : « Je n'ai jamais eu l'intention de me marier avec un militaire ». Elle voulait un cadre, apparemment, quelqu'un qui pouvait lui rapporter plus d'argent, quelqu'un qui pouvait être plus présent que je ne le pouvais.
Un halètement s'échappa de la gorge de Bella. « Quelle sorcière ! »
Comment n'ai-je pas pu voir la vraie Tanya avant que je ne me fasse avoir. Un an après, elle épousait mon cousin. Il m'a fallu un très long moment pour faire disparaître la douleur et la colère. En étant honnête, je ne m'y suis pas encore remis à cent pour cent. Ma mère m'a écrit une lettre me disant essentiellement la même chose que ce qu'Emmett vous a dit, sauf que ma mère l'a fait d'une façon plus douce. Elle m'a dit que je méritais mieux et que je ne devais pas gaspiller mon cœur et mon temps pour quelqu'un d'indifférent à mes sentiments. Elle s'est aussi lancée dans un discourt comme quoi je rencontrerai une personne qui m'aimera. D'accord, c'est un peu beaucoup. Mais elle a raison. Je ne peux pas rester assis, le cœur brisé, dégoûté de Tanya et manquer de trouver la bonne personne. Bien que je doute que je trouverai quelqu'un ici, entouré de soldats –ni ce que je recherche comme fille– je sais que ma mère à raison.
La lèvre inférieure de Bella se mit à trembler. Elle savait exactement ce qu'il ressentait. Elle aussi se sentait comme si elle ne pourrait plus jamais aimé quelqu'un à nouveau. Elle ne pourrait pas prendre le risque d'avoir le cœur brisé une fois de plus.
J'ai détruit toutes les lettres venant de Tanya quand j'ai décidé que j'en avais fini avec elle. Par chance, je suis très occupé ici et lorsque j'ai une pause, je cours, cela aide toujours.
Malheureusement, Emmett a raison. Vous devez passer à autre chose. Ce sont eux qui ont détruit vos relations. Vous les avez laissé ruiner votre été, mais vous ne pouvez pas les laisser prendre autre chose loin de vous. Commencez à courir, je vous jure que ça aidera.
« Courir ? On ne peut pas courir à Forks sans attraper une pneumonie », marmonna Bella.
Merci pour votre lettre. Ne vous sentez pas obligée de me répondre, mais je serais ravi d'avoir de vos nouvelles à nouveau.
Passez une bonne semaine,
Edward Cullen.
Reconnaissante d'avoir trouvé quelqu'un ayant vécu la même chose qu'elle, Bella lui réécrira certainement à nouveau. Au fond de son cœur, elle remerciait Emmett pour lui avoir parlé du Lieutenant Cullen, même si elle ne le lui dirait jamais. Marchant à son bureau, elle sortit son papier à lettre bleu et commença immédiatement sa lettre pour Edward.
*UCLA: Université de Californie à Los Angeles.
Voilà, fin du premier chapitre!
Nous espérons que ça vous a plus et qu'il n'y a pas trop de phrases incompréhensibles!
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Sinon prenez soin de vous et à bientôt!